Une cinquantaine d’hôtels Formule 1 ont été rachetés et mis à disposition pour accueillir des sans-abris et des migrants. Pour mieux reloger et faire des économies…
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Halloween : une France Orange mécanique – Journal du vendredi 2 novembre 2018
Sécurité / Halloween : une France Orange mécanique
C’est un peu la tradition d’Halloween ! La nuit précédant la fête de la Toussaint a encore donné lieu à des violences urbaines un peu partout en France. Des violences loin d’être anecdotiques et qui s’inscrivent dans un climat d’insécurité global.Société / Espagne : l’éternel débat autoure de la tombe du général Franco
Francisco Franco n’en finit plus de faire parler de lui après sa mort. Après des années de lutte de la gauche pour sortir sa dépouille du Valle de los caídos, cette fois, c’est au tour d’un pseudo artiste de dégrader sa tombe pour se faire un coup de pub.International / Asia Bibi sauvée de l’exécution… et après ?
Asia Bibi sauvée in extremis d’une exécution capitale au Pakistan. Acquittée par les juges, la chrétienne accusée de blasphème n’est pas pour autant complètement tirée d’affaire dans un pays où les chrétiens sont persécutés.International / Israël contre les chrétiens
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Trêve hivernale : les squatteurs ne seront plus protégés par la loi
Un discret amendement à la loi logement empêche désormais les occupants illégaux d’invoquer la trêve hivernale, qui début ce jeudi, pour éviter d’être expulsés. Explications.
Ce jeudi, débute la trêve hivernale. Jusqu’au 31 mars, les locataires ne peuvent pas être expulsés de leur logement mais une procédure peut être entamée par le propriétaire. En revanche, cette période de cinq mois ne protège plus les squatteurs de logement. C’est un discret amendement à la loi logement, qui devrait bientôt être promulguée, qui a mis fin à cette anormalité. Désormais, seuls les locataires bénéficiant d’un bail, qu’il s’agisse d’une location vide ou meublée, seront protégés par la trêve hivernale.
Cette mesure était pourtant inscrite dans le Code des procédures civiles d’exécution depuis mars 2014 mais «les préfets se retranchent derrière la trêve hivernale pour ne pas intervenir», dénonce un parlementaire. Pourtant, la loi interdit certes de déloger, par la force, des occupants d’une habitation en dur mais elle précise aussi que «le juge peut supprimer le bénéfice du sursis lorsque les personnes, dont l’expulsion a été ordonnée, sont entrées dans les lieux par voie de fait» (article L412-6). Par «voie de fait», comprenez par effraction (carreaux de fenêtres cassés, serrures fracturées ou changées) ou par violences physiques. Mais que se passe-t-il si ce n’est pas le cas? Aucune expulsion n’est prévue. Un vide juridique dont ont profité les squatteurs pour éviter d’être expulsés.
L’article 58-ter de la loi logement, voté par les députés, prévoit donc désormais de faciliter les expulsions des squatteurs pendant la trêve hivernale. Pour inciter les préfets à recourir plus systématiquement aux forces de police, la loi logement donne une définition plus précise des squatteurs. Sont identifiés comme tels, «les personnes entrées sans droit ni titre dans le domicile d’autrui, à l’aide de manœuvres, menaces, voies de fait ou contraintes».
Pour le député LR du Vaucluse Julien Aubert, «la loi logement ne va pas assez loin». «Je propose de créer un délit d’occupation sans droit ni titre de tout bien immobilier. Il serait inscrit dans le Code pénal et permettrait de punir plus sévèrement ces actes: trois ans de prison et 45.000 euros d’amende (contre un an de prison et 15.000 euros d’amende actuellement)», explique-t-il. Cette proposition de loi a pour l’heure été rejetée par la majorité.
Source : Le Figaro
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La fondatrice des Femen au Brésil demande pardon aux chrétiens
Sarah Winter, fondatrice des Femen au Brésil en 2012, s’est livrée dans une vidéo :
« Ce n’est pas une chose facile à faire, mais je demande pardon aux chrétiens pour nos protestations féministes… Nous sommes allées trop loin. » Répercutée quelques jours après Noël par le site LifeSiteNews, la repentance dans une vidéo YouTube de Sarah Winter, pseudonyme de militante de Sara Fernanda Giromini, fondatrice des Femen au Brésil puis militante du mouvement pro-bisexualité « Bastardxs », remonte au mois d’octobre dernier. Un mois après la naissance de son deuxième enfant, elle a exprimé son repentir pour l’avortement de son premier enfant, et a reconnu que la récente naissance du deuxième avait changé son regard sur le droit à la vie.
https://www.lesalonbeige.fr/la-fondatrice-des-femen-au-bresil-demande-pardon-aux-chretiens/
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Combien de temps avant la « Purge » ?
Gérard Collomb ne pouvait être plus clair. Exhumé par Valeurs actuelles, le constat de celui qui fut notre ministre de l’Intérieur est sans appel. À la question du journaliste qui lui demandait ce qu’il craignait, « une partition ou une sécession », Collomb répondit ceci : « Oui, je pense à cela. C’est ce qui me préoccupe, d’ici cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. » Ces mots nous parviennent quelques jours après que le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a exprimé en direct ses craintes en observant une « colonisation à l’envers« .
On peut souffler, tempêter, on peut laisser l’amertume nous ronger en pensant que cela fait trente ans que certains prophètes alertent sur l’épilogue inévitable. Nous en avons eu, des Cassandre qui prédisaient la chute de Troie. Nous avons eu nos cohortes de Byzantins préférant débattre du sexe des anges pendant que les Ottomans escaladaient leurs murailles. À la différence, sans doute, que nous sommes les citoyens d’une Troie qui est fatiguée de vivre, à la différence que nous ne débattons plus du sexe des anges mais de celui assigné à nos enfants par quelque construction sociale.
On peut, effectivement, se rasseoir en se disant qu’on l’avait bien dit. Ou alors on peut se réjouir en considérant que cette situation dramatique n’est pas encore irréversible, justement.
Les événements de ces derniers jours ont agi aussi comme un rappel du réel. D’un côté, des racailles se servant des réseaux sociaux pour appeler à la « Purge », du nom d’un film connu en France sous le titre d’American Nightmare. Le principe ? Pendant une nuit, tous les droits sont suspendus et malheur à ceux qui seraient hors de chez eux. Bien évidemment, c’était, à la base, la blague d’un ado confondant réalité et fiction, URL et IRL. Mais tellement emblématique de l’époque que nous vivons.
Pendant ce temps, notre Président si mal élu se remet tranquillement d’un coup de fatigue. Pendant ce temps, notre Jupiter foudroyé depuis l’Olympe alerte sur un possible retour des années 30. Péchant par ignorance, il oublie un fait important : les émeutes du 6 février 1934 n’étaient qu’une conséquence de décennies de corruption et d’atermoiements. Le 6 février 1934 et les morts ont été le fait des princes de l’époque. Ce ne sont plus des bourgeois factieux que la France affronte mais des milliers de bandes ultra-violentes non intégrées et insensibles au sort du pays qui les accueille et les nourrit. Un pays tenu par des élites qui pratiquent l’auto-détestation de ce qu’ils sont ne saurait survivre, fût-il protégé par des frontières. Plus que jamais, il est urgent de faire aimer la France.
Dans six mois, les européennes permettront aux électeurs d’imposer un Parlement anti-technocratique et souverainiste. Dans un peu plus d’un an, les municipales permettront aux électeurs d’élire des maires compétents. Dans un peu plus de trois ans, nous aurons la possibilité d’élire un chef de l’État et des députés câblés pour répondre à l’urgence. Mais il est illusoire d’engager une transformation en commençant par le haut. Principe de subsidiarité oblige, c’est par la base que le pays se transformera. C’est ce que Macron a oublié, et c’est sans doute sa plus grande erreur. Début de réponse le 17 novembre ?
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À FRIVILLE-ESCARBOTIN (80) : LES CLANDESTINS SE FONT LA MALLE...
Un communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :
La plupart des clandestins installés autoritairement à Friville-Escarbotin (80) par le préfet la semaine dernière, avec la complicité active de la municipalité, sont partis. D'une part, parce qu'ils souhaitent passer en Angleterre et vont tenter leur chance à Calais, Dieppe, Ouistreham ou Dunkerque. Et d'autre part, parce que, la veille de leur arrivée, les militants du Parti de la France avaient alerté les habitants de l'arrivée ces migrants. Il en a été de même à Moreuil (80).
Quoi qu'en dise la presse locale xénophile pro-invasion, les habitants des communes concernées étaient en très grande majorité hostiles à l'installation de ces clandestins, et la mobilisation des militants locaux du Parti de la France a été particulièrement appréciée et soutenue.
Partout où il le pourra, le Parti de la France sera aux côtés des Français qui refusent que leur commune soit colonisée par des migrants.
Source cliquez ici
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Massacres à la Romaine
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L’histoire de la Guerre d’Algérie entre en résonance avec de nombreux problèmes de la société française de 2018
Le 1er novembre 1954, les terroristes du FLN commettaient une série d’actes criminels, déclenchant les hostilités de la terrible Guerre d’Algérie. Plus de 60 ans après, cette histoire, manipulée par le régime gaulliste et l’extrême-gauche, dans une complicité abominable, continue d’être occultée. Dans la ligné de ses ouvrages destinés à combattre la désinformation sur des faits historiques, Jean Sévillia vient de publier Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie (Fayard). Il a accordé un long entretien au Figaro Magazine du 26-27 octobre. Extraits :
Pourquoi avoir écrit maintenant une histoire de la guerre d’Algérie ?
J’en ai éprouvé le besoin, dans la lignée de mes travaux sur ce que j’ai appelé « l’historiquement correct », parce que nous sommes à un tournant générationnel. Ceux qui ont vécu la guerre d’Algérie disparaissent peu à peu, tandis que les jeunes générations connaissent mal cette période, ou en ont la vision biaisée diffusée par l’historiographie qui domine dans l’enseignement secondaire ou supérieur, comme par le conformisme médiatique. (…) J’ai donc voulu écrire, à l’attention du grand public, un livre de synthèse sur les événements qui se sont déroulés entre 1954 et 1962, mais surtout un livre débarrassé des préjugés idéologiques qui pèsent sur cette phase douloureuse de notre passé récent. Cette histoire entre en résonance avec de nombreux problèmes de la société française de 2018 : la question de l’intégration, de l’identité culturelle des musulmans français, du lien social dans une société multiethnique, de l’islamisme, du terrorisme, etc. Il s’agit d’une page d’histoire aux accents profondément actuels.
Certains faits sont-ils occultés ?
Ils sont d’abord déformés, et même mythifiés, et c’est pourquoi il convient d’examiner, dans l’ordre chronologique, tous les points chauds de la guerre d’Algérie : l’antécédent de l’émeute déclenchée à Sétif le 8 mai 1945 et de sa répression, l’insurrection du Constantinois en août 1955, la bataille d’Alger en 1957, le putsch des généraux en 1961, l’OAS, la réalité de la manifestation des Algériens à Paris le 17 octobre 1961, les accords d’Evian, l’exode des pieds-noirs, le massacre des harkis, etc. Mais dans mon livre, j’aborde aussi des pages de la guerre d’Algérie qui sont méconnues ou de facto occultées. Par exemple l’affrontement sanglant, en Algérie comme en métropole, entre le FLN et son concurrent du Mouvement national algérien (MNA). Ou les vagues de purges au sein du FLN. Ou le facteur religieux : à l’extérieur, en effet, le FLN parlait droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, libération de la tutelle coloniale, droits de l’homme. Mais dans l’Algérie profonde, ses recruteurs n’hésitaient pas à recourir au discours du djihad : un appel à chasser les infidèles, aussi bien les chrétiens que les juifs. Cette dimension a été minimisée, voire totalement ignorée, à l’époque, par la gauche anticolonialiste. Il est de même méconnu que les musulmans engagés aux côtés de l’armée française ont toujours été plus nombreux que les militants indépendantistes.
Vous dénoncez une histoire en noir et blanc…
Nous subissons aujourd’hui une histoire manichéenne. Celle-ci instruit à charge contre les méthodes employées par l’armée française en Algérie – problème que je ne nie pas, puisque je lui consacre un chapitre entier de mon livre – mais en oubliant que les militaires français ont affronté un mouvement terroriste : de 1954 à 1962, le FLN a systématiquement pratiqué la terreur contre les musulmans pro-français et contre les Européens d’Algérie. Or cette réalité est totalement occultée : on dénonce la torture par l’armée française, jamais les attentats commis par le FLN. De même, l’action sociale, scolaire, sanitaire et médicale conduite par les militaires français, notamment au sein des SAS (Sections administratives spécialisées), mérite d’être soulignée, même si les regroupements de population sont sujets à débat. Lorsqu’on fait de l’histoire, on doit tout mettre sur la table.
Comment expliquez-vous que le contentieux franco-algérien perdure à propos de cette guerre ?
Depuis 1962, le FLN instrumentalise ce passé, d’abord sur le plan des chiffres. La guerre d’Algérie, tous camps confondus, a fait entre 250 000 et 300 000 morts. Cela est déjà considérable, mais ne correspond nullement au million et demi de victimes algériennes dont parle la propagande de l’Etat FLN. Les dirigeants algériens invoquent les crimes commis par l’armée française, mais on attend encore, de leur part, une autocritique concernant la violence qu’ils ont employée à l’époque, notamment à l’encontre des harkis que le gouvernement français avait abandonnés. Alors que neuf Algériens sur dix n’ont pas connu la guerre d’indépendance, les plus jeunes restent éduqués dans cette idéologie victimaire. (…) Les jeunes franco-algériens, pour la plupart, sont également baignés dans cet univers mental. Ils vivent avec l’idée que la France aurait commis des crimes à l’égard de leurs grands-parents, ce qui est un frein puissant à l’intégration : comment aimer un pays dont on pense qu’il a martyrisé sa famille ? Cette question va jusqu’à nourrir le terrorisme, beaucoup d’islamistes étant persuadés de venger leurs aïeux lorsqu’ils mènent le djihad contre la France. C’est pourquoi la transmission de la vérité historique sur la guerre d’Algérie, dans toutes ses nuances et toute sa complexité, est un enjeu civique. (…) Les Algériens ne sont pas des victimes éternelles envers lesquelles nous aurions une dette inextinguible. Le statut de victime, pas plus que celui de bourreau, n’est héréditaire. Faisons la part des responsabilités de chacun à travers un travail historique juste, et passons à autre chose.
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Retraite par points : la misère en perspective
La réforme la plus radicale de Macron
C’est peut-être la réforme la plus radicale d’Emmanuel Macron : l’institution d’un régime universel de retraites par points. Et, curieusement, dans un pays réputé conservateur et adepte des polémiques, cette réforme semble faire son bonhomme de chemin tranquillement, poussée par le tout aussi bonhomme Jean-Paul Delevoye. L’emballage égalité-universalité-simplicité et le slogan bébête « pour qu’un euro cotisé rapporte la même chose à tous » semblent avoir tué tout esprit critique. Est-ce justement sa radicalité qui lui vaut un attentisme plutôt positif des Français ? Ou le fait qu’ils aient la tête ailleurs, dans le budget carburant par exemple ? Or, cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…
Heureusement, un économiste vient de tirer la sonnette d’alarme pour arracher les Français à cette indifférence dans laquelle MM. Macron et Philippe aimeraient les maintenir. Car cette réforme sera redoutable pour les futurs retraités en les condamnant à la paupérisation.
Dans Les Échos, Christian Saint-Étienne, professeur d’économie au CNAM, démasque l’objectif véritable de cette réforme :
« Le but réel du régime de retraite par points est de baisser les retraites sans le dire et en faisant sauter tous les systèmes de solidarité inclus dans le système actuel. »
Et il précise le rôle du fameux « point » dans cette stratégie de laminage des retraites :
« La valeur du point peut baisser aussi bien que monter : compte tenu de l’état de l’économie française, il aura tendance à baisser, y compris une fois que vous êtes déjà parti à la retraite, car il sera calculé chaque année. »
La réforme sera aussi un moyen de rayer les avantages pour enfants qui, pour les parents de famille nombreuse, constituaient une compensation pour les années d’arrêt et, désormais, pour les années de décote.
Loin d’ignorer les contraintes financières et de prôner le statu quo, Christian Saint-Etienne propose une certaine convergence des régimes existants en continuant à jouer sur les durées de cotisation et l’âge de départ, tout en maintenant trois systèmes différents : « le premier pour la totalité du secteur privé hors indépendants, le deuxième pour les indépendants et le troisième pour le secteur public ». On ne voit pas pourquoi, en effet, à situations différentes, on ne devrait pas maintenir des systèmes différents, et les arguments qu’il avance sont convaincants.
Par ailleurs, Christian Saint-Étienne a perçu tout ce que peut avoir d’anxiogène cette incertitude sur l’avenir des retraites et de leur montant :
« La vérité au sein d’un régime paramétré rénové est infiniment préférable à la variabilité d’un régime à points qui prépare un appauvrissement spectaculaire des classes populaires à terme. »
Son titre affichait aussi l’enjeu : « La retraite par points : un désastre annoncé. »
Désormais, la question est de savoir si le désastre annoncé, ce sera pour les Français condamnés à une retraite calculée dans cette nouvelle monnaie de singe que sera le « point » ou pour Emmanuel Macron, le liquidateur historique de leurs retraites. Il paraît que le gouvernement a décidé de repousser la présentation de cette réforme après les élections européennes. Une raison de plus pour voter en mai prochain.
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La Croatie ne signera pas le pacte des Nations Unies sur les migrations et rejoint en ce sens les États-Unis, la Hongrie et l’Autriche.
Grabar-Kitarovic : « Soyez assuré que je ne signerai pas «l’accord de Marrakech» »
La présidente croate Kolinda Grabar-Kitarović ne signera ni l’accord de Marrakech sur les migrants, ni la déclaration de Marrakech, a annoncé Velimir Bujanec sur les réseaux sociaux.
La présidente croate, Kolinda Grabar-Kitarovic, ne signera pas le Pacte mondial pour la migration(GCM) des Nations Unies, rapporte le journal croate Direktno.
C’est sur Facebook que cette dernière a été interpellée par Velimir Bujanec, un journaliste de la télévision croate qui lui a demandé de prendre position sur le GCM (pacte mondial pour la migration) après que beaucoup de citoyens aient montré leur intérêt sur le sujet.
Dans la réponse reçue par son comité de rédaction, la présidente Grabar-Kitarovic a déclaré: «Soyez assuré que je ne signerai pas« l’accord de Marrakech », écrit Bujanec sur Facebook.
La Croatie rejoint en ce sens: Les Etats-Unis (article), la Hongrie (article) ainsi que l’Autriche (article)