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  • Bruno Gollnisch : “Vive l’alliance des peuples libres dans une Europe des Nations renouvelée !”

    Nous avons semé. D’autres récolteront, qui savent que la liberté des nations est la condition du maintien de notre civilisation européenne. Gollnisch : “Vive l’alliance des peuples libres dans une Europe des Nations renouvelée !”

    Monsieur le Premier Ministre, Cher ancien collègue,

    Vous venez nous entretenir de l’avenir de l’Union Européenne. Disons les choses franchement : cet avenir serra bien sombre si l’on ne change pas radicalement de perspective.

    Au cours des 30 années que j’ai passées dans ce parlement, j’ai vu se développer une dynamique de groupe perverse, prométhéenne, je devrais dire luciférienne telle que la majorité de nos collègues s’est crue apte à donner au monde entier des principes qu’ils proclament, mais qu’ils ne suivent guère à l’égard de leurs collègues de la minorité. En outre, ils se persuadent qu’ils ont mandat pour gérer tous les aspects de la vie politique, économique, sociale, culturelle, sexuelle même, de 500 millions d’Européens.

    Ils croient participer à l’édification radieuse du super Etat Euro-Mondialiste, bourré de directives, surchargé de normes, de règles et de contraintes, mais ouvert à la concurrence de pays qui n’en ont aucune, ou qui en ont très peu.

    Monsieur le Premier Ministre, vous dont le pays s’est libéré du carcan de l’oppression de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques, ne cédez pas au mirage de la nouvelle Union Soviétique Mondialiste qui s’échafaude ici.

    Il faut changer radicalement de direction.

    Il faut fonder notre Europe sur les vraies valeurs de notre civilisation, sur l’accueil de la vie et non sur l’avortement massif, sur la famille et non sur la promotion systématique des minorités sexuelles qui n’en demandent pas tant !

    Le brassage généralisé des hommes, des marchandises et des capitaux n’est pas forcément gage de prospérité ni de bonheur.

    Il faut organiser la coopération des nations libres par des programmes précis, chiffrés, dans des domaines concrets dont les citoyens pourraient mesurer et les coûts et les bénéfices.

    La révolte des peuples contre ceux qui veulent les contraindre, méprisent leurs identités particulières, bafouent leur volonté, est en marche.

    Ici même, nous avons fait tomber les murs des mensonges et de la désinformation qui empêchaient les patriotes de divers pays de communiquer entre eux.

    Sur cet univers de mensonges feutrés et d’hypocrisie, les peuples commencent enfin à ouvrir les yeux. Nous avons semé. D’autres récolteront, qui savent que la liberté des nations est la condition du maintien de notre civilisation européenne.

    Vive l’alliance des peuples libres dans une Europe des Nations renouvelée !

    https://gollnisch.com/2019/04/17/alliance-peuples-libres-europe-nations/

  • Lancement d’une brigade anti-discrimination

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La secrétaire d’Etat Marlène Schiappa et le ministre Julien Denormandie ont annoncé le lancement d’une « brigade anti-discrimination », surnommée BADI. Celle-ci a pour objectif de, « mettre en relation victimes et acteurs de la lutte contre les discriminations ».

    Elle est mise en place avec plusieurs partenaires associatifs, notamment les habituels persécuteurs de toute pensée divergente tels que SOS Racisme, la Licra, SOS Homophobie, ou le Centre LGBT Paris Île-de-France.
    « La première mission confiée à la BADI, avec l’appui de Facebook France, sera de mettre à disposition de chacun une plateforme d’alerte, de mise en relation entre victimes et acteurs de la lutte contre les discriminations », ont expliqué Marlène Schiappa et Julien Denormandie.

    Les missions suivantes seront de « sensibiliser la société » et d’évaluer « la pertinence des politiques publiques existantes et de proposer des mesures concrètes et efficaces ». Ces mesures pourraient donc signifier une nouvelle intensification de la censure des médias.

    https://fr.novopress.info/

  • L'incendie de Notre-Dame révèle la profondeur abyssale de l'inculture journalistique

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    Julien Michel La Lettre patriote cliquez ici

    Ils ne savent rien. Ils ne comprennent rien. Ils n’ont plus aucune culture. Tout ce qui est éminemment français leur échappe, ne les intéresse pas. Alors pensez, une cathédrale qui brûle, et qui n’a même pas la politesse de s’écrouler pour faire de l’audience…

    La prime revient à Bénédicte Le Chatelier, une présentatrice de LCI (ici en illustration), qui a enchaîné les perles. Juste après minuit et demi, pour lancer l’historien Franck Ferrand au téléphone, elle expliquait doctement que “Notre Dame n’est pas un lieu religieux, mais [que] les catholiques continuent de se l’approprier” ! Salauds de Cathos ! S’approprier une cathédrale, c’est-y-pas honteux ?

    Ensuite, durant la nuit, la même journaliste est allée de surprise en surprise. Ah bon, il y a cinq messes par jour ? Ah bon, on y fait des ordinations ? Ah bon, il y a des baptêmes ? Que d’étonnement ! C’était une instant avant qu’elle ne rebaptise Mgr Aupetit “Mgr Auprêtre” et s’interroge à haute voix “mais le bourdon, en fait, il est accroché à une poutre en bois ?” Non, il lévite, c’est magique.

    Mais la pauvrette n’est pas la seule. Tous les invités, tous les journalistes, un par un, y sont allés de leur boulette, de leur bourde, de leur approximation.

    Ca pourrait être drôle, amusant même, si ce n’était le révélateur de l’incroyable déracinement de ces générations d’incultes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Dans la République laïque, c’est l’islam qui commande

    Dans la République laïque, c’est l’islam qui commande

    Après l’annonce du ministre de l’Éducation nationale de fermer une école d’inspiration salafiste, l’avocat de l’établissement basé à Échirolles assure que l’école restera ouverte après les vacances.

    En février, le tribunal correctionnel de Grenoble avait ordonné la fermeture définitive de cet établissement, notamment parce qu’il ne respectait pas le programme obligatoire prévu par le ministère. L’association qui gère l’école a fait appel de cette décision de justice, la procédure est toujours en cours, mais l’académie de Grenoble vient d’ordonner aux familles d’environ 45 élèves scolarisés en primaire de les changer d’établissement.

    Ce que le ministre a appelé une fermeture est en fait une mise en demeure adressée aux familles par la rectrice d’académie. Les parents d’élèves sont sommés de ne plus mettre leurs enfants dans cette école après les vacances de Pâques. C’est “une injonction“, précise le rectorat, c’est-à-dire un ordre.

    Mais pour l’avocat de l’école, c’est “un contournement du processus judiciaire“.

    “Ce courrier indique aux familles qu’elles se placeraient en infraction avec la loi française en plaçant leurs enfants au sein de cette école. Or, jusqu’ici, il n’a pas été définitivement jugé que cette école n’était pas conforme à la loi française. On voit mal comment les familles pourraient se voir reprocher quoi que ce soit”.

    Maître Michaël Bendavid assure que l’école musulmane d’Échirolles restera ouverte après les vacances de Pâques, “jusqu’à ce que le pouvoir judiciaire, conformément à la loi française, lui ordonne d’en faire autrement“. L’appel déposé par l’école devant la justice doit être examiné le 1er juillet.

  • 1 an de prison ferme et mandat d’arrêt contre Alain Soral

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    Source Breizh info cliquez ici

    1 an de prison ferme et mandat d’arrêt contre Alain Soral. Telle est la peine infligée à l’essayiste, polémiste et animateur du site Egalité et Réconciliation, ce lundi 15 avril 2019.

    Voici ce que l’on peu lire sur le site d’Egalité et Réconciliation à ce sujet :

    Affaire Shoah où t’es ? : après avoir été condamné à 10 000 euros d’amende pour « contestation de crime contre l’Humanité », Alain Soral est cette fois condamné à un an de prison ferme avec mandat d’arrêt pour « contestation de l’existence de la Shoah » ! Rappel : il est bien question d’un simple dessin de caricature relayé sur E&R !

    Le 27 mars 2019, Alain Soral était définitivement condamné à 10 000 euros d’amende avec possibilité d’emprisonnement en cas de non-paiement pour avoir diffusé en avril 2016 un dessin de caricature sur le site internet d’Égalité & Réconciliation ! Malgré le fait qu’Alain Soral ne soit ni l’auteur du dessin ni le directeur de la publication du site internet d’E&R, c’est bien lui qui est condamné pour « injure en raison de sa race, de sa religion ou de son origine » et « contestation de crime contre l’Humanité ».

    Dans cette même affaire Shoah où t’es ?, le parquet de Paris a jugé Alain Soral et son avocat Damien Viguier pour « contestation de l’existence de la Shoah ». Le motif ? Avoir publié en novembre 2017 sur le site d’E&R les conclusions de Maître Damien Viguier au sortir de la première instance. Le parquet a alors requis six mois de prison ferme contre Alain Soral et 15 000 euros d’amende contre Damien Viguier. Mais le jugement du 15 avril 2019 est plus sévère pour le président d’E&R : un an de prison ferme assorti d’un mandat d’arrêt. Damien Viguier est quant à lui condamné à 5 000 euros d’amende pour « complicité ».

    Rappel : la partie civile principale dans cette affaire est la LICRA. L’Union des étudiants juifs de France (UEJF), Avocats sans frontières (ASF), le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), J’accuse ! et l’Action internationale pour la justice (AIPJ), le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) et SOS Racisme étaient également partie civile.

    Le compte rendu de Damien Viguier :

    Le 4 mars 2019 se déroulait devant la treizième chambre du tribunal de Paris l’audience du procès fait au titre de la loi Gayssot à Damien Viguier et Alain Soral. Le tribunal présidé par Mme Cécile Legidan assistée de Mesdames Jocelyne Palenne et Christine Huertas, Florence Gilbert étant au Parquet, a rendu son jugement ce lundi 15 avril 2019.

    Alain Soral était poursuivi à l’initiative du Parquet sur signalement de la LICRA en tant que directeur de la publication du site Égalité & Réconciliation pour la publication d’un article qui faisait le compte-rendu de l’affaire du dessin pastiche de la couverture de Charlie Hebdo « Papa où t’es ? » et reproduisait les conclusions prises par son avocat devant la Cour d’appel de Paris, conclusions qui contenaient les propos poursuivis. Alain Soral pouvait bénéficier de l’immunité journalistique et Maître Viguier de l’immunité du plaideur. Aucun des prévenus n’avait pu prendre connaissance du dossier, le 4 mars ayant été annoncé comme une formalité de fixation du calendrier de procédure. Au fond l’accusation restait très imprécise.

    Le Parquet avait requis six mois d’emprisonnement ferme pour Alain Soral et 15 000 euros d’amende pour son avocat. La LICRA, J’accuse, l’UEJF et le MRAP s’étaient portées partie civile.

    Les prévenus ont été reconnu coupable de « contestation de l’existence de crime contre l’humanité » et condamnés, pour Alain Soral à un an d’emprisonnement ferme avec mandat d’arrêt, et pour Damien Viguier à 5 000 euros d’amende.

    Les parties civiles obtiennent 6 000 euros et la publication du jugement dans la presse.

    Alain Soral et Damien Viguier ont fait appel.

    NDLR SN : on peut être ou ne pas être d'accord avec Alain Soral. Ses prises de positions sont, parfois, bien éloignées des nôtres. Quoi qu'il en soit, l'essayiste ne manque pas de talent et, même si nous ne l'avons pas attendu pour prendre conscience de certaines réalités, nous ne pouvons que nous réjouir de l'inclure dans le camp anti-mondialiste. La répression dont il est victime relève, à nos yeux, du processus de suppression de la liberté de penser en dehors des clous imposés par le Système et cela est insupportable.

    S.N

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/16/1-an-de-prison-ferme-et-mandat-d-arret-contre-alain-soral-6144293.html

  • Franz-Olivier Giesbert dénonce “l’escroquerie du halal” !

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    Dans un microcosme politico-médiatique à l’encéphalogramme trop souvent plat, Franz-Olivier Giesbert, qui se partage entre Les Grosses têtes et Le Point, peut faire figure d’exception, de part son indéniable ouverture d’esprit, puisque n’hésitant pas, de temps à autre, à ouvrir les colonnes de cet hebdomadaire au philosophe Alain de Benoist, bien connu de nos lecteurs.

    Dans un semblable registre d’indépendance intellectuelle, il n’hésite pas non plus, dans son dernier éditorial, à mettre le doigt sur l’une des plus envahissantes impostures économico-religieuses de l’époque : le « halal ». « Escroquerie », affirme-t-il, non sans raison. Bien vu. D’un simple mot – halal signifie « licite » –, certains aigrefins ont donc créé, de toutes pièces, une sorte de religion parallèle au service d’une vulgaire histoire de « très » gros sous.

    Franz-Olivier Giesbert : “Le halal n’est pas un héritage du passé, mais une mode sans fondement qui prétend réglementer aussi l’eau, les dentifrices, les rouges à lèvres, les loisirs, les « vacances éthiques ». Sans rapport avec les traditions musulmanes, la sphère s’étend chaque jour un peu plus”. Sur ce site, cette dérive était d’ailleurs dénoncée dès 2015 (Sex-shop à La Mecque : à quand le plug halal ?)

    Et notre homme d’en appeler à la cinquième sourate du Coran : « Vous est permise la nourriture des gens du Livre [Celle des juifs et des chrétiens NDLR], et votre propre nourriture leur est permise. » Ayant eu le privilège de régulièrement interviewer Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, ce dernier expliquait, en substance, qu’à l’époque du Prophète, les bêtes étaient sacrifiées au Dieu d’Abraham, alors que d’autres l’étaient à des divinités païennes. Il était donc parfaitement « halal » de se nourrir de ces mêmes bêtes, l’islam étant lui aussi religion abrahamique. Mais aujourd’hui, plus aucun animal n’est sacrifié à quelque divinité que ce soit, polythéiste ou monothéiste, le seul autel se tenant encore debout étant celui de la grande distribution. Une coutume antédiluvienne qui, aujourd’hui, ne présente plus, tel que rappelé par Franz Olivier-Giesbert, la moindre légitimité, historique comme religieuse.

    Certes, chaque religion a ses interdits alimentaires. Chez les musulmans, le porc ; chez les juifs, c’est déjà plus compliqué et chez les chrétiens, autrement plus simple. Mais le halal à tous les étages de ce néo-islam déviant, relève, lui, d’une totale imposture, puisque n’ayant commencé à voir le jour qu’au début des années 1990, imposture d’ailleurs brillamment dénoncée dans un essai passionnant, cité par Giesbert : Le marché halal ou l’invention d’une tradition, de Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue au CNRS et sorti en 2017.
    Pour commencer, l’auteur note : « Le fondamentalisme est une expression religieuse particulièrement adaptée au capitalisme mondialisé. » Laquelle expression s’inscrit dans la lutte que se mènent Arabie saoudite et Iran pour le leadership du monde musulman, sorte de soft power similaire à celui des USA ; sauf qu’il s’agit là d’un « islamic way of life ». D’où, poursuit Florence Bergeaud-Blackler, « la confusion halal-casher qui nous fait croire que la norme halal a précédé le marché mondialisé, qu’elle émane et qu’elle est définie et contrôlée par un personnel religieux. Or, la convention halal est née d’un deal opportuniste entre des États prédicateurs et des marchands capitalistes. » Résultat ? « Ainsi naît le “consommateur musulman”, nouvelle figure du marché à laquelle s’adresse le “marketing islamique” et que soutiennent les associations de “défense du consommateur musulman”. »

    Nous voilà effectivement bien loin d’une religion avant tout censée, à l’instar des deux autres monothéismes, sauver les âmes plutôt que d’assurer l’extension infinie du marché. En revanche, on comprend bien, même s’il ne s’agit pas d’une nouveauté, que les marchands du Temple ne connaissent ni honte ni frontières, fussent-elles religieuses.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/franz-olivier-giesbert-denonce-lescroquerie-du-halal/

  • Pour Rokhaya Diallo, c’est la France qui s’oppose à l’émancipation des femmes musulmanes !

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    Vous connaissez peut-être Rokhaya Diallo, qui se définit comme « une féministe intersectionnelle et décoloniale ». Si ce n’est pas le cas, vous n’y perdez pas grand-chose. Sachez, tout de même, qu’elle a publié, cette semaine, une tribune pour accuser la France d’« islamophobie », notamment à l’égard des musulmanes portant le voile. Et pas sur n’importe quel média : sur le site de TRT Word, une chaîne de télévision internationale contrôlée par le président turc Erdoğan qui, comme chacun le sait, est un grand démocrate. C’est l’hebdomadaire Marianne qui le rapporte.

    Le titre de la tribune est significatif : « L’obsession de la France à propos des femmes musulmanes relève du contrôle, pas de la libération. » Elle estime que la société française, loin de les défendre, serait obnubilée par l’idée de les « exclure » de la sphère publique. Ainsi, elle accuse la loi de 2004 sur les signes religieux dans les écoles publiques d’atteinte à la liberté : « Au nom de l’émancipation des femmes, des femmes ont été bannies de l’espace public à cause de leur voile. » Elle compare les critiques du voilement au « fantasme d’une France blanche, dans laquelle tous les citoyens avec un autre bagage culturel doivent s’assimiler ».

    À voir certains quartiers, on n’a pas le sentiment que tous les musulmans, français ou non, veuillent s’assimiler, mais notre polémiste sait utiliser toutes les ressources de la dialectique pour tenter de démontrer le contraire : ce sont les « Blancs » les coupables, ces affreux colonialistes qu’elle ne rate pas une occasion de dénoncer. Il faut dire qu’elle a un penchant pour les Indigènes de la République et avait, en 2017, soutenu l’organisation de camps d’été, dont certains ateliers étaient réservés « à toute personne qui n’est pas blanche ».

    Rokhaya Diallo cherche à retourner les situations à son avantage. Si des femmes musulmanes n’arrivent pas à s’émanciper, ce n’est pas la faute de leur culture, c’est la faute de la culture qu’on veut leur imposer. À propos du hijab de Décathlon®, elle estime que dans un mouvement choquant d’unanimité, les politiciens de tout le spectre politique ont fermement condamné le marketing du vêtement mis en œuvre par la marque française, disant qu’il offensait les soi-disant “valeurs françaises” ». Jugement bien approximatif, car l’affaire a provoqué des controverses jusque dans le parti majoritaire.

    Quand on considère que le sectarisme est l’expression de la liberté et le communautarisme une chimère du nationalisme, tout devient possible, même le plus aberrant. « À chaque fois qu’une femme musulmane réclame des droits et prouve qu’elle n’est pas soumise, on lui rappelle qu’elle doit rester invisible », prétend cette féministe. C’est au nom de leur liberté, bien sûr, que des femmes se promènent avec un voile intégral, pourtant interdit par la loi du 11 octobre 2010, qui dispose que « nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage ». La pression intellectuelle est telle que cette interdiction a été prononcée non pas au nom de la laïcité mais pour des raisons d’ordre et de sécurité publics.

    Rokhaya Diallo accuse les politiciens de « [faire] de leur mieux pour empêcher [les femmes musulmanes] de faire quoi que ce soit en dehors de leurs maisons ». Jusqu’à reprocher à Macron d’avoir déclaré que le hijab n’était « pas conforme à la civilité dans notre pays ». Ironie de l’Histoire, elle juge que notre Président ne serait pas assez multiculturaliste. Dieu sait, pourtant, s’il fait des efforts ! Mais ce n’est pas encore, à ses yeux, suffisant. Comme si elle ne voyait de liberté que dans la soumission.

    Philippe Kerlouan

    Tribune reprise deBoulevard Voltaire

  • Les aides à la presse pour les grands groupes aux ordres !

    Les coups de pouce sous la forme d’aides à la presse ne parviennent pas forcément aux journaux qui en ont le plus besoin : quatre titres de presse accaparent en effet 30 % de ces subventions publiques.

    Entretien avec Éric Verhaeghe

    Source: RT France

    http://synthesenationale.hautetfort.com/