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  • TRUMP ET BATTISTI, MÊME COMBAT ?

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    « S'étonnera-ton encore que le fil de la confiance se soit rompu ? »

    En un seul jour de la semaine qui s'achève, l'on aura appris tout à la fois les aveux de Cesare Battisti et le blanchiment de Donald Trump.  

    L'accusation de collusion de l'équipe de campagne de Donald Trump avec les Russes, comme on le sait, vient de faire long feu. L'enquête menée à la demande de la majorité démocrate du Congrès a déclaré l'accusation infondée ... Airs de victoire du côté de chez Trump. Confusion chez les démocrates. 

    Battisti a avoué avoir menti sur les crimes qu'il a bel et bien commis et qu'il a niés avec la dernière énergie pendant près de 40 ans. Le monde officiel avait épousé sa thèse et sa cause. Selon son penchant habituel. Tout ce que la gauche avait de forts esprits et de belles âmes l'a soutenu si l'on peut dire perinde ac cadaver. De BHL - sur tous les fronts - â Guy Bedos. Le président Hollande l'avait visité dans sa prison. Battisti était une intouchable victime. En avouant ses crimes, comme l'écrit Gérard Leclerc*, il « a porté un coup terrible » au clan innombrable de ses soutiens. Mais qu'en a à faire Battisti ?  

    Sur Trump, avant et après élection, l'on a tout dit, tout prédit, tout parié, tout hasardé. A chaque étape de sa course à la présidence, à chaque stade de l'exercice de son mandat, l'on a misé  sur son échec. Auto-intoxication ? Formatage de l'opinion ? L'un et l'autre, bien-sûr. 

    Trump n'a pas commis de crime hormis celui de n'être pas politiquement correct. Ce péché ne lui sera pas remis. 

    Battisti a avoué ses crimes et ses soutiens n'en éprouveront ni honte ni regrets. Ils courront les conférences, les salons parisiens, les restaurants à conciliabules, les plateaux télé, ils y péroreront, comme si de rien n'était. Ils y dénigreront Trump et Poutine avec l'autorité qui leur échoit du fait de leur haute valeur morale. 

    S'étonnera-ton encore que le fil de la confiance se soit rompu, sans-doute pour longtemps, entre les Français et ceux qui les dirigent, les représentent, les informent ou ceux qui, le cas échéant, auraient à les juger ? Il faudrait un sacré changement, des hommes d'une trempe toute différente, et des institutions d’une autre nature, pour que ce fil de la confiance soit renoué. ■ Gérard POL - lafautearousseau

    Gérard LeclercLes aveux de Cesare Battisti

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/03/29/trump-et-battisti-meme-combat-6139611.html

  • Réalité du Grand Remplacement et nécessité de la remigration

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    Communiqué de la Dissidence Française cliquez ici

    L’attentat de Christchurch en Nouvelle-Zélande – que nous ne pouvons évidemment que condamner – a donné lieu à une offensive médiatique sans précédent, destinée à démontrer que le Grand Remplacement « ne correspond à aucune réalité » et relève « d’une théorie d’extrême-droite ». Pire, une tribune parue dans Libération appelle même à « inclure le Grand Remplacement parmi les thèmes relevant du discours raciste et de l’incitation à la haine », ce qui constituerait une nouvelle étape dans le processus totalitaire de répression de la liberté d’expression et d’opinion, déjà bien avancé en France.

    Pourtant les faits sont têtus, et les chiffres ne mentent pas. Nous avons sélectionné 7 chiffres incontestables qui établissent la réalité du bouleversement démographique qui est en train de se produire dans notre pays. Tous ces chiffres proviennent de sources officielles et vérifiables :

    • 2400 : c’est le nombre de mosquées que compte aujourd’hui notre pays. A titre de comparaison, la France ne comptait que 150 mosquées en 1976, soit 16 fois moins. Le nombre de mosquées salafistes approche la centaine. (chiffres du Ministère de l’Intérieur)
    • 12 millions : c’est le nombre d’immigrés ou de descendants d’immigrés extra-européens qui se sont installés dans notre pays en quelques décennies, profitant du droit du sol, du regroupement familial et des naturalisations massives opérées par les gouvernements successifs. Le nombre de musulmans en France s’élève à 8,5 millions. (chiffres de M. Tribalat, 2011 ; chiffres de J-P Gourévitch, 2017 ; confirmés par F. Héran, ancien directeur de l’INED)
    • 40% : soit 2 personnes sur 5. C’est aujourd’hui la part de la population française issue de l’immigration sur 3 générations. (estimation C. Beauchemin, INED, 2018)
    • 400 000 : c’est le nombre d’immigrés supplémentaires – légaux, clandestins ou au titre de l’asile – qui entrent chaque année en France. (chiffres du Ministère de l’Intérieur)
    • 39,39% : c’est la part nationale des nouveaux-nés qui ont fait l’objet en 2016 d’un dépistage pour la drépanocytose, une affection qui ne concerne que les populations d’origine extra-européennes (essentiellement africaines et maghrébine). Pour la région d’Île-de-France, ce taux s’élève à 73,56%, soit 3 naissances sur 4. (chiffres de l’AFDPHE)
    • 700 000 : c’est le nombre de musulmans dans le seul département de la Seine-Saint-Denis (93), où l’Islam est désormais la première religion pratiquée. (P. Galli, ancien préfet de Seine-Saint-Denis)
    • 20% : c’est la part des prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France en 2017, soit 1 sur 5. Ce taux était de 6,5% il y a 20 ans. Pour le seul département de Seine-Saint-Denis (93), ce taux grimpe à plus de 50%. (chiffres de l’INSEE)

    Ces quelques chiffres suffisent à établir la réalité statistique du Grand Remplacement et de ses implications : un bouleversement démographique majeur qui pourrait bien changer à jamais la physionomie millénaire de notre pays.

    La recrudescence d’attentats terroristes, l’explosion de la délinquance et le développement du communautarisme procèdent du multiculturalisme et d’une immigration de peuplement imposés au peuple Français par les gouvernements successifs des quarante dernières années.

    Face au mondialisme et au cosmopolitisme, seule la Dissidence Française propose l’organisation sans délai d’une politique de remigration, c’est-à-dire d’inversion des flux migratoires, par 8 mesures immédiates et concrètes :

    1. le rétablissement permanent des contrôles aux frontières ;
    2. l’instauration immédiate de la préférence nationale ;
    3. l’expulsion systématique des clandestins et délinquants étrangers ou binationaux ;
    4. l’abolition du droit d’asile et du regroupement familial ;
    5. la suppression de l’A.T.A., de l’A.M.E. et des allocations destinées aux clandestins et demandeurs d’asile ;
    6. la réforme du code de la nationalité, impliquant l’abolition du droit du sol et la réintroduction de la prééminence du droit du sang pour l’acquisition de la nationalité française ;
    7. la dissolution des associations immigrationnistes ou communautaristes et l’application des peines concernant l’aide au séjour irrégulier et l’emploi de travailleurs clandestins ;
    8. l’interdiction des financements publics ou étrangers des mosquées et l’interdiction des associations liés aux réseaux islamistes internationaux.

    Pour la France et les Français d’abord !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Anne Hidalgo, « la reine maire de Paris » : 0 % concertation, 100 % satisfaction

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    Faut-il que la classe politique soit en déconfiture pour que l’on donne – à ce jour – Anne Hidalgo vainqueur des prochaines municipales à Paris !

    Je sais, l’électorat parisien est tendance « boboïssime », d’un genre qu’on nommait autrefois « gauche caviar ». Il habite les nouveaux beaux quartiers (les anciens sont, maintenant, la propriété des Chinois ou des rois du pétrole), ceux des boutiques où l’on ne vend que de l’huile parfumée à la truffe et des légumes « régressifs » (ah, les topinambours !), où l’on brunche le dimanche matin et pique-nique au bord du canal le samedi soir, où l’on va travailler en costume et le casque aux oreilles sur sa trottinette électrique.

    Ce Paris-là vote Hidalgo. France insoumise, même. La rive gauche aime « le peuple » qu’elle se garde, toutefois, bien de croiser. Comme disait Éric Zemmour, l’autre matin, il n’y a plus, dans Paris, que des gens aisés ou aidés. Les autres ont fui vers la banlieue ou, comme moi et 12.000 de mes semblables chaque année, vers une province ensoleillée.

    Donc, nous dit-on, un sondage vient de donner Anne Hidalgo gagnante au premier tour des municipales. Je ne sais pas qui a été sondé, ni où, mais j’y crois à peu près autant qu’aux sondages sur le soutien aux gilets jaunes.

    Concomitamment à ce sondage sort un livre intitulé La Reine maire de Paris (Éd. du Rocher), signé de François Delétraz, avec le concours d’Étienne Jacob et Johan Blavignat. Les trois journalistes du Figaro ont mené l’enquête sur les maux qui ravagent la capitale, à savoir : « dette, logement, embouteillages, saleté… » On peut expliciter les points de suspension : rats, camps de migrants, voleurs à la tire, mendiants en pagaille, loyers à prix exorbitants, trottoirs impraticables aux piétons, et on en passe…

    Les marqueurs de madame Hidalgo, disent les auteurs, sont en premier lieu l’autoritarisme et l’autosatisfaction. Certes, c’est courant chez les politiques, mais il se dit qu’elle porte ces deux qualités à leur sommet. Très « maîtresse d’école » version blouse grise et bonnet d’âne, elle agit paraît-il avec « absolutisme », portant en étendard « l’absence de volonté de conciliation et d’esprit de synthèse ».

    Quant à l’autosatisfaction, elle suinte par tous les pores de la dame et transforme ses prises de parole en « exercice de vanité pure », au point de mettre ses plus proches fort mal à l’aise. Présentant son projet Réinventer Paris, elle a ainsi assuré que la capitale, sous sa houlette, était devenue « une ville différente »« la ville de demain », regorgeant d’« une énergie créative inégalée », préoccupée plus qu’aucune autre « des enjeux sociaux climatiques ». En conclusion, « une ville de rêve » !

    Les fiascos Vélib’, Autolib’ ou la gestion désastreuse du dossier Decaux, elle balaie cela d’un revers de main, quand elle ne le colle pas sur le dos large de la misogynie : comme sa copine Ségolène Royal, si on la critique, c’est parce qu’elle est femme !

    Évidemment, Anne Hidalgo a sa cour, des gens « qui ont bien compris qu’avec la maire, la flagornerie restait la meilleure assurance de pérennité ». Pas question, donc, d’oser émettre une opinion car « toute personne qui distillerait un semblant de nuance serait considérée comme un opposant ».

    Car le souci principal d’Anne Hidalgo est bien moins la vie de ses administrés que la perspective de sa réélection. Pour cela, elle est même prête à renier ses engagements fondamentaux. Le Grand Paris, par exemple, délaissé « pour préférer une capitale refermée sur elle-même ». Et cela, « c’est uniquement à cause des élections de 2015 où quasiment toute la petite couronne qui était à gauche a migré vers le centre droit ». Tant pis pour les banlieusards : pas question que Paris « s’agrandisse d’une région passée à droite ».

    Pour résumer : la politique d’Anne Hidalgo ne vise que « sa » clientèle, les bobos boboïssimes… qui pourraient bien la réélire !

    Marie Delarue

    https://www.bvoltaire.fr/anne-hidalgo-la-reine-maire-de-paris-0-concertation-100-satisfaction/

  • Paris 9 avril, Jean-Yves Le Gallou aux Mardis de Politique magazine, une conférence à ne pas manquer, !

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    1034928133.5.jpgRendez-vous à partir de 19 h 00
    Conférence à 19 h 30 précises
    PAF : 10 € -  Etudiants et chômeurs : 5 €
    Salle Messiaen, 3 rue de la Trinité  Paris 9° 
    Métro La Trinité, Saint-Lazare
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    Politique magazine, 1 rue de Courcelles Paris 8°
    T. 01 42 57 43 22
  • Des euro-députés LR votent le texte culpabilisant la civilisation européenne

    Des euro-députés LR votent le texte culpabilisant la civilisation européenne

    Communiqué de Nicolas Bay, Co-Président du groupe « Europe des nations et des libertés » au Parlement européen, à propos du texte sur les “droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe” :

    Mardi 26 mars, le Parlement européen votait, à Strasbourg, un texte totalement délirant et inspiré des mouvements dits « indigénistes ». Intitulé « résolution sur les droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine », ce document était un condensé des éléments de langage que l’on trouve habituellement défendus par les communautaristes d’extrême gauche que représentent des personnes comme Houria Bouteldja, Danièle Obono ou Rokhaya Diallo.

    Or, Geoffroy Didier, directeur de la campagne de LR pour les élections européennes, a soutenu ce texte, tout comme Renaud Muselier, président LR de la région PACA, et plusieurs de leurs collègues ! Ils ont donc voté pour la théorie du « racisme structurel » de nos sociétés, pour des quotas de personnes d’origine africaine dans les institutions avec « une stratégie pour la diversité et l’inclusion au sein de leur personnel », pour l’interdiction de traditions européennes au nom du délit de « blackface » (sic), pour que les États fassent des excuses publiques au sujet de la colonisation… Et bien sûr, comme d’habitude avec LR, pour toujours plus d’immigration en « invitant la Commission et les Etats membres à garantir aux migrants des voies d’entrée sûres et légales dans l’Union ».

    Geoffroy Didier s’est aplati devant les revendications extravagantes et culpabilisatrices de ceux qui haïssent la France et la civilisation européenne. Est-ce cela, le fameux projet européen qu’il fera porter par la liste LR ? Une fois de plus, il ne se distingue en rien de celui de LREM, dont les députés ont eux aussi voté en faveur de ce texte inique.

    https://www.lesalonbeige.fr/des-euro-deputes-lr-votent-le-texte-culpabilisant-la-civilisation-europeenne/

  • 27 interdictions de manifester ? Les gilets jaunes ont répondu : même pas peur !

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    Des chiffres d’abord, encore et toujours : à Paris, le pouvoir annonce 5600 manifestants, mais la préfecture de police affirme, en même temps, avoir procédé à 8053 contrôle préventifs ! On dirait que M. Castaner s’ingénie chaque samedi à se ridiculiser un peu plus. Champion du fake. Et, cela, le jour où l’on apprend que l’Elysée, pour défendre Alexandre Benalla, aurait fabriqué de faux montages vidéos.

    Et puis il y avait ces 27 arrêtés d’interdiction de manifester. Les gilets jaunes les ont allègrement bravés. A Bordeaux, ils étaient encore plusieurs milliers, selon Le Monde.

    Mais tous les Français savent que la bataille du nombre, Emmanuel Macron l’a perdue, d’abord par ses mensonges, ensuite par le soutien toujours impressionnant de l’opinion. Et comment en irait-il autrement quand les raisons de la colère de novembre sont toujours là, à commencer par le prix des carburants qui dépasse parfois ce qu’il était alors !

    Des atmosphères, ensuite : tout le monde s’accorde à dire, comme l’a constaté Didier Maïsto lui-même sur twitter en rentrant de la manifestation parisienne, qu’elle est restée bon enfant. À Bordeaux, des vidéos montraient l’arrivée, dans le cortège, de groupes de Blacks blocs, en toute impunité.

    Atmosphère encore, inquiétante pour le pouvoir celle-ci, que ces slogans très ciblés contre Emmanuel Macron, et la police. L’AFP rapportait les propos d’un certain Sébastien, 46 ans, préparateur automobile au chômage, venu d’Orléans pour manifester à Paris. « On sera là tant [qu’Emmanuel Macron] n’écoutera pas. »  Plus de quatre mois après le début du mouvement, le président de la République n’a pas réussi à perdre son statut de cible. Au contraire, en refusant une solution politique (dissolution, changement de Premier ministre ou démission), en se faisant le seul grand ordonnateur de son grand débat, il n’a fait qu’accroître cette personnalisation de la crise, et de la colère.

    Plus grave, par son incapacité à rétablir l’ordre, par ses erreurs dans l’usage des forces de police, il dresse une partie du pays – et pas seulement les gilets jaunes « actifs » – contre ces institutions qui recueillaient pourtant la sympathie d’une très forte majorité de la population. C’est potentiellement dangereux pour l’avenir de la cohésion nationale, déjà bien atteinte.

    Pour cet Acte XX, tout le monde peut pousser un « ouf » de soulagement, le temps d’un samedi printanier. Mais comment ne pas voir que la France est entrée durablement dans une période instable et que rien n’est réglé ?

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/27-interdictions-de-manifester-les-gilets-jaunes-ont-repondu-meme-pas-peur/

  • Grâce à Blanquer, l’enseignement islamique prospère

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    Par Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste ♦ Jean-Michel Blanquer vient d’autoriser l’ouverture d’une école élémentaire hors contrat islamiste à Strasbourg à l’initiative du mouvement islamiste turc « Millî Görüş ». Deux autres sont en projet à Belfort et Besançon, toujours portés par la même organisation.
    Avec ce nouvel établissement privé créé à la rentrée 2019, la confédération islamique du « Millî Görüş » renforce sa présence au sein de l’enseignement musulman privé en France avec une centaine d’écoles et de projets d’écoles.

    Qu’est-ce que le Millî Görüş ?

    Ce mouvement (en français :  « Vision nationale ») est né à l’initiative de Necmettin Erbakan, principal acteur politique de l’islamisme turc de ces 40 dernières années et ancien premier ministre turc dont les propos sont tout un programme : « Les Européens sont malades… Nous leur donnerons les médicaments. L’Europe entière deviendra islamique, nous conquerrons Rome ».

    Mouvement extrémiste

    Millî Görüş est le principal mouvement islamique encadrant la diaspora turque et dont les liens avec les « frères musulmans » sont connus. Le mouvement est d’ailleurs classé « islamiste fondamentaliste » par le renseignement fédéral allemand et, en 2003, « Millî Görüş » a figuré sur la liste des associations pouvant servir de base arrière au terrorisme dans le pays.

    Des documents de « Millî Görüş » mentionnent d’ailleurs que « chaque individu membre doit s’engager dans la guerre religieuse (djihad)….doit se conditionner de manière à être prêt à tout moment pour le djihad ! …la communauté est un moyen servant l’objectif de l’islamisation de la société ».

    L’objectif de l’organisation est donc clairement annoncé : assurer la domination d’Allah ! Et l’ensemble des organisations avec lesquelles elle a des relations défend le régime de la charia avec la perspective idéologique de « Millî Görüş » de se servir de la violence. Il est donc un danger social pour l’Europe.

    Ajoutons que son logo est la carte de l’Europe enchâssé d’un croissant islamique !

    De plus, en Allemagne, la liste des allégations contre « Millî Görüş » sont nombreuses : fraude, escroquerie sur fonds public, collecte de fonds douteux, faux détournement de fonds et blanchiment d’argent… Des accusations dont il n’est jamais fait état dans la presse française, pas plus qu’il n’est fait référence à son orientation extrémiste, ce qui n’empêche pas non plus nos gouvernants français de lui faire bénéficier de toutes leurs largesses !

    Vision de « Millî Görüş » partagée par Edorgan

    La diaspora turque installée en Europe est en prise directe avec « Millî Görüş » qui la relie au pays et vit largement en vase clos dans un communautarisme qui a été conforté par l’actuel premier ministre Erdogan lors d’un discours au Zenith de Paris en 2010, lorsqu’il a déclaré : « Personne ne peut vous demander d’être assimilé. Pour moi, le fait de demander l’assimilation est un crime contre l’humanité… » Et il a incité ses compatriotes venus l’acclamer, drapeau turc à la main, à coloniser légalement le pays, proposant la création d’établissements scolaires turcs en France afin de consolider leur implantation, établissements qui ont vu le jour dès 2014.

    Erdogan a également déclaré : « On ne peut pas être à la fois laïque et musulman… On est musulman ou on ne l’est pas… Parce que c’est Allah qui est le créateur de l’islam, il est le seul souverain ».

    Nos gouvernants sont donc largement prévenus mais obstinément complices et maîtres d’œuvre de la destruction de notre société.

    Edorgan avait, par ailleurs, fait des appels au djihad qui ont été largement occultés lors des débats sur la question de l’entrée de la Turquie en Europe.

    La France, terre d’accueil privilégiée des djihadistes

    Néanmoins, « Millî Görüş » est en pleine expansion, maillant le territoire de nouvelles mosquées et de nouvelles écoles chaque année dans de nombreuses villes de diverses régions de France.

    A cet égard, il peut être instructif de rappeler ce que Monsieur Blanquer a déclaré, au micro de BFMTV le 18 décembre 2018 : « Nous avons les outils juridiques pour pouvoir fermer une école qui n’est pas dans les normes, et notamment celles liées au fondamentaliste safaliste… » Également au cours du même entretien : « Comme je l’avais annoncé lors du vote de la loi Gatel, nous pouvons maintenant fermer les écoles hors contrat qui ne sont pas en conformité avec les règles de la république…. »

    Oui mais voilà ! non seulement Monsieur Blanquer ne les ferme pas, les écoles liées au fondamentalisme islamiste, mais il les ouvre ! Et alors même que le 1er février 2018, il avait dit au président du CRIF (Comité Représentatif des Juifs de France) qu’il était « important de donner à chaque enfant un vaccin républicain » ! dans ces conditions, la question ne se pose même pas de savoir qui va vacciner l’autre !

    Par contre, à n’en pas douter, les écoles qui ne sont pas conformes aux règles de la République et qui vont être vaccinées, ne peuvent être que celles qui sont gérées par ces « dangereux » catholiques !!! Et là… Attendons-nous au pire !

    Claude Meunier-Berthelot 29/03/2019

    Crédit photo : Jérémy Barande / Ecole polytechnique Université Paris-Saclay, via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/grace-blanquer-enseignement-hors-contrat-islamique-prospere-milli-gorus/

  • « La Presse à l’école » : L’exemple de la FEN

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    Jean-Pierre Bey Présent cliquez ici

    La 30e édition de la semaine de la Presse à l’école s’est ouverte il y a quelques jours. L’occasion de revenir sur l’importance du journalisme dans la stratégie de la Fédération des Etudiants Nationalistes (FEN), au début de la Ve République. Contrairement au mouvement Occident, phénomène essentiellement parisien, la FEN était implantée dans la plupart des universités françaises. Héritiers directs du mouvement Jeune Nation dissous en 1958, sous le signe de la croix celtique les jeunes militants de la FEN alliaient la réflexion et l’action. Sans jamais abandonner la formation doctrinale, ils faisaient preuve d’un activisme permanent contre les soutiens inconditionnels du FLN qu’étaient l’UNEF, l’Union des Etudiants Communistes et le PSU.

    Semaines d’action

    Régulièrement la FEN lançait sur l’ensemble du territoire des « semaines d’action ». Les bagarres à l’entrée des restaus U étaient associées à  la distribution quotidienne de « journaux » ronéotés tirés et agrafés dans la nuit. Dans des conditions difficiles ces « journaux » étaient  fabriqués  à partir de l’écoute des derniers journaux parlés des différentes radios pieusement écoutées au fond de caves inconfortables ! Ces  nouvelles étaient analysées et assorties de commentaires  nationalistes.

    Cet intérêt de la FEN pour la presse était né d’une constatation : avant de faire  la une de France-Soir, de l’ Humanité, du Figaro, de l’ Aurore, du Monde,  de L’ Express… c’est  dans la presse clandestine de la Résistance que nombre de faiseurs d’opinion avaient fait leurs premières armes et appris les rudiments du métier.

    Par la suite consigne fut donnée aux militants de la FEN qui le pouvaient d’investir la presse ou le monde l’édition. Plusieurs, à la manière des « taupes » trotskystes, intégrèrent la presse de province ou l’AFP.  Jean-Claude Valla, talentueux rédacteur en chef du Figaro-Magazine puis de Minute et François d’Orcival à Valeurs actuelles ont fait carrière dans la presse parisienne. Il faut aussi citer l’Algérois Pierre Demaret, journaliste à Minute et Nice-Matin.

    D’autres ont inlassablement donné naissance à des revues et journaux tout en signant, dans de prestigieuses maisons d’édition, des ouvrages à succès. Proche de la FEN,  le plus connu est Dominique Venner dont le nom demeure associé à Europe-ActionEnquête sur l’Histoire et à la regrettée Nouvelle Revue d’Histoire, où écrivait Philippe Conrad. L’historien Pierre Vial, directeur de la publication de la revue Terre et Peuple, est l’ auteur de nombreuses chroniques dans plusieurs journaux de la presse amie. L’infatigable essayiste Alain de Benoist alias Fabrice Laroche, est, lui aussi, issu de cette pépinière.

    Cette tentative de pénétration de la Presse n’était pas gagnée d’avance. Ce panorama volontairement incomplet montre qu’elle était possible. Riches de leur volonté et de leur talent les jeunes militants nationalistes se sont ouverts un chemin dans un monde foncièrement hostile. Dans les medias du système ou hors-système, à visage découvert ou masqué, dans la presse écrite, parlée ou audiovisuelle, sur le net… partout il y a des places à prendre et des Bastilles à faire tomber. Les journalistes sont dans leur immense majorité « progressistes ». Raison de plus pour introduire dans cette citadelle un, dix, cent « Chevaux de Troie ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 20e samedi de mobilisation des Gilets jaunes (EN CONTINU)

    20e samedi de mobilisation des Gilets jaunes (EN CONTINU)
    ©CHARLES PLATIAU Source: Reuters
    Des Gilets jaunes avant le début de leur marche à Paris, le 30 mars.

    Le Nombre jaune a délivré sa première estimation. Il y aurait eu «102 713 manifestants minimum» en France pour l'acte 20. 

    Vidéo intégrée
    Jonathan Moadab@Moadab_RTfr

    Signe d'un apaisement de la situation, les gendarmes mobiles retirent leur casque  

    Les Gilets jaunes ont appelé à rester mobilisés ce 30 mars, pour le vingtième samedi d'affilée, tandis que les autorités ont à nouveau interdit toute manifestation sur les Champs-Elysées. Bordeaux pourrait être l'épicentre de cet acte 20.

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    • D'après notre reporter à Paris, à proximité du Trocadéro, des gendarmes mobiles retirent leur casque alors que des manifestants sont encore présents, «signe d'un apaisement de la situation».

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