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  • JEUDI 28 NOVEMBRE, AU COURS DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS, STÉPHANIE BIGNON, PRÉSIDENTE DE TERRE ET FAMILLE, NOUS PARLERA DE La Défense DE LA RURALITÉ

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    LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ IC

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/23/jeudi-28-novembre-au-cours-de-l-emission-synthese-sur-radio-6192648.html

  • Le Parti de la France demande des mesures sévères contre la Turquie.

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    Un communiqué du Parti de la France.

    Mettant ses menaces à exécution, le maître chanteur Erdogan, dictateur de la République islamique de Turquie, vient de laisser plus de 50 000 "réfugiés" venus de Syrie, d'Irak et d'ailleurs, se répandre vers l'Europe, renouant ainsi avec sa politique de déversement migratoire qui, en 2015, avait conduit à une arrivée massive de clandestins en Allemagne, en Hongrie, en Autriche et en France. Déferlante que l'accord scélérat conclu entre Berlin et Ankara n'avait que momentanément jugulée, créant les conditions d'une véritable bombe à retardement et faisant ainsi d'Erdogan le maître du jeu et des frontières.

    Face à la perspective d'une nouvelle ruée migratoire vers le continent, l'Union européenne, loin de prendre les mesures de rétorsion qui s'imposeraient contre la Turquie, se prépare à payer rançon : 1,5 milliards d'Euros qui viendront s'ajouter aux 8 milliards versés en 2017 et aux 3 milliards accordés pour la période 2018/2019.
    Le Parti de la France condamne cette lâcheté de l'UE. Il demande l'arrêt immédiat de tout versement d'aide à la Turquie, la mise en place d'un verrouillage absolu des frontières extérieures de l'Europe, la fin immédiate des négociations sur son éventuelle intégration historiquement, identitairement et stratégiquement criminelle à l'Europe, ainsi que, dans une perspective d'endiguement, la mise en œuvre d'une série de sanctions économiques et politiques sévères contre le régime turque dont Erdogan veut faire la base de son ambition de reconstituer l'Empire ottoman et le retour au Pays des ressortissants turcs présents sur le sol européen.
    Pour le Parti de la France, on ne traite pas avec les maîtres chanteurs, on ne compose pas avec les États terroristes, on les réduit.
    Jean-François Touzé
    Délégué national du PdF
  • Foutez-moi tout ça dehors !

    Platon traitait, il y a plus de 2.000 ans, dans La République, de ses réserves sur la notion de démocratie.
    Il analysait avec une lucidité toujours d’actualité son inévitable glissement vers l’anarchie, une anarchie que seul un régime tyrannique pourrait, avec tous ses excès, remettre en ordre.
    Nous n’en sommes pas loin…
    La décadence de la civilisation, la médiocrité et la corruption des élites, tout est en place pour ce scénario.
    Un scénario que nos responsables politiques savent écrire, en prenant allègrement le peuple pour des imbéciles.
    C’est Juan Branco qui a mis au jour de jeu de rôle d’un cynisme effroyable.
    Certes, les observateurs aguerris de la vie politique ne seront pas surpris de l’échange en question. Cela fait bien longtemps que l’on peut aisément comprendre la connivence du pouvoir (qu’il soit de centre gauche ou de centre droit depuis plus de trente ans) avec l’extrême gauche.
    Mitterrand, en son temps, avait lui aussi su traiter avec les communistes.
    Mais là… Là…
    Entendre une discussion enregistrée en 2016 entre François Ruffin endossant le rôle de contestataire soutenant les ouvriers d’Ecopla avec le ministre de l’Économie et futur candidat Macron pour orchestrer leur rivalité sur le thème de la fermeture d’usines et du chômage…
    On y parle avec froideur d’épisodes de communication, comme dans un scénario, ce qui n’est finalement pas étonnant puisque tous deux ont une passion commune pour le cinéma et le théâtre.
    « Si on réfléchit stratégie, que vous soyez vivement interpellé par les salariés d’Ecopla, ça fera un épisode, ensuite, que vous y répondiez en disant moi je suis prêt à me déplacer sur place, bah, ça fait un deuxième épisode », lance Ruffin.
    « Un : on échange sur le dossier ; deux : on vous tient au courant des avancées ; trois : vous m’interpellez publiquement ; quatre : dans la foulée, on cale ensemble une date de déplacement avant le 5 octobre et on voit comment on la communique ensemble », renchérit Macron.
    « Et je pense qu’on sort d’ici en n’étant pas contents. »
    « En disant vous avez fait part de vos… »
    « De tout ça », conclut l’Insoumis.
    Ce machiavélisme leur a plutôt bien réussi puisqu’ils ont été élus respectivement député et président de la République.
    Une illustration parmi tant d’autres du jeu de notre système politico-médiatique.
    Une communication où l’on traite « les épisodes » à la petite semaine, en dépit de l’intérêt général, sans aucune vision à long terme pour la nation et son peuple réduits à écouter les consignes de la bien-pensance pour voter comme il se doit.
    Il fut un jour de 10 novembre 1799 (18 brumaire) où Murat entra dans la salle de l’Orangerie sous les ordres de Napoléon.
    Suivis de ses fidèles grenadiers, il ouvrit la porte avec fracas sous les regards apeurés des députés devant les baïonnettes.
    Les plus pressés commençaient déjà à sortir par les fenêtres quand le héros d’Aboukir déclama alors avec autorité : « Foutez-moi tout ça dehors ! »
    Axel Vontargier

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/11/foutez-moi-tout-ca-dehors.html

  • En France, Google fait un don important à des associations pro-immigration

    Sur son blog officiel, le géant de Mountain View rappelle qu’il a lancé – en mai dernier – le Google.org Impact Challenge en France, un appel à projets de 3 millions d’euros, invitant les associations et les acteurs de l’économie sociale et solidaire à proposer leurs idées pour promouvoir l’inclusion numérique.

    C’est ainsi que le 19 novembre dernier, 10 finalistes ont présenté leurs “idées innovantes” à un panel de jurés lors d’une cérémonie à la Maison de l’Artisanat.

    Parmi les projets qui vont recevoir un don très important, on note deux associations qui viennent en aide aux réfugiés en France…

    Le 1er prix du jury Konexio recevra un don de 600.000 euros pour son projet de parcours de formation au numérique gratuit pour un usage personnel et professionnel à destination des jeunes des quartiers défavorisés et des migrants.

    Le 2e prix du jury Unis-Cité recevra 500.000 euros afin de favoriser l’intégration des réfugiés en France grâce à un parcours de formation au numérique animé par des jeunes en service civique.

    Voir l’annonce complète sur le blog de Google France : https://france.googleblog.com/2019/11/google-recompense-10-associations.html

    https://fr.novopress.info/

  • Italie – Le tribunal des ministres donne raison à Salvini : “les ONG doivent débarquer les migrants dans leur pays”

    Nouvelle victoire contre les immigrationnistes pour le chef de la Ligue plébiscité par les Italiens. Le tribunal des ministrelui donne raison et réduit à néant les thèses des magistrats de la bien-pensance :

    « L’État de premier contact est celui du bateau qui a procédé au sauvetage. »

    Il y a une semaine le parquet d’Agrigente en Italie s’était mis en tête d’essayer de mettre en examen Matteo Salvini en l’accusant de délits de séquestration de personnes et manquement au devoir officiel. Pour cela, il a exhumé le cas des 164 clandestins qui, après avoir été récupérés cet été 2019 au large de la Libye par le bateau Open Arms de l’ONG espagnole, avaient été emmenés au port de Lampedusa. Salvini, ministre de l’Intérieur à l’époque, les avait bloqués une vingtaine de jours dans la tentative de faire respecter la loi italienne et le décret Sécurité.

    Le tribunal des ministres de Rome a annulé ces tentatives de poursuites du parquet le 21 novembre dernier en, par-dessus le marché, donnant raison à Salvini :

    « Les ONG doivent débarquer dans leur pays. »

    La ligne du chef de la Ligue n’est pas seulement licite mais elle devrait être respectée par tous les pays européens, continue en substance le tribunal. Même si la responsabilité de désigner un « port sûr » aux embarcations qui transportent des « migrants » prélevés en mer incombe à « l’État de premier contact », les indications transmises par conventions et accords internationaux établissent que « l’État de premier contact ne peut que s’identifier à celui du bateau qui a procédé au sauvetage ». Aussi, ce n’est donc pas à l’Italie de se charger des migrants des ONG qui continuent à frapper à sa porte.

    Depuis que Salvini a lancé la campagne contre l’immigration clandestine les magistrats, aussi acquis à la cause mondialiste et immigrationniste qu’en France, font de tout pour lui mettre des bâtons dans les roues.

    « Pour moi défendre la pays a toujours été un honneur » a répété en plusieurs occasions l’ex-ministre de l’Intérieur. Ce jugement du tribunal des ministres est une victoire pour Matteo Salvini qui a tenu à rappeler que « finalement » il a été reconnu par un juge que « bloquer les débarquements non-autorisés d’immigrés n’est pas un délit ».

    Mettre un terme à l’immigration clandestine c’est donc possible…

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/italie-le-tribunal-des-ministres-donne-raison-a-salvini-les-ong-doivent-debarquer-les-migrants-dans-leur-pays/114899/

  • Recension de « Lénine, l’inventeur du totalitaris

    Courtois.jpgStéphane Courtois, Lénine, l’inventeur du totalitarisme, Perrin, 2017, 500 p.

    Stéphane Courtois, directeur de recherches au CNRS, maître d’œuvre en 1997 du Livre noir du communisme, nous livre ici une biographie politique de Lénine  inspirée de la méthode d’Alexandre Soljenitsyne lequel, « dans son grand œuvre, La Roue rouge, a cherché à dégager des nœuds structurant le récit historique des moments où l’histoire bascule et prend une direction irrémédiable. ».

    Dans ce gros ouvrage, Courtois a cherché « à établir dans quelles circonstances et par quels chemins Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine, fut amené à créer le premier régime totalitaire de l’histoire. Et à démontrer l’inanité de deux idées largement répandues : d’une part, que le régime instauré par Staline après 1924 et jusqu’en 1953, qui perdura avec une plus ou moins haute intensité jusqu’à son implosion en 1991, avait peu ou rien à voir avec celui instauré par Lénine en novembre 1917 ; d’autre part, que c’est sous la contrainte des événements consécutifs à sa prise du pouvoir que Lénine mit en œuvre, entre 1918 et 1921, ce qu’on nomma « le communisme de guerre », caractérisé par des mesures extrêmes dans tous les domaines et qui donna son orientation définitive au régime. »

    Au delà de cette problématique, l’un des points forts du livre consiste dans la description des mouvements révolutionnaires russes de la fin du XIXe siècle. On y relève en permanence l’influence du Que faire ? de Nicolas Tchernichevski sur le jeune Vladimir Oulianov, tout comme celle de Netchaïev à travers son Catéchisme d’un révolutionnaire.

    Dès 1899, alors en exil en Sibérie, celui qui n’était encore que Vladimir Oulianov commence en effet à préciser ses thèses. Il revendique pour le Parti social-démocrate de Russie un double monopole, idéologique et politique. Courtois montre comment le rejet doctrinal de la société auquel il procède alors va précisément être « à l’origine de l’invention du totalitarisme, ce phénomène dont l’une des caractéristiques essentielles serait l’écrasement de la société civile et la volonté du parti au pouvoir de contrôler jusqu’aux individus. » Lénine s’oppose constamment aux socialistes réformistes et se donne comme véritable tâche « d’organiser la lutte de classe du prolétariat et de diriger cette lutte dont le but final est la conquête du pouvoir politique par le prolétariat et l’organisation de la société socialiste. » Tâche difficile dans un pays où la classe ouvrière ne représentait guère que 1% de la population.

    En 1901, furent créés à la fois, l’Iskra (« L’étincelle »), un journal destiné à l’ « agitation » (la diffusion d’un petit nombre d’idées à un grand nombre de personnes), et une revue, Zaria (« L’aurore »), réservée à la « propagande » (la diffusion d’un grand nombre d’idées à un petit nombre de personnes).

    En mars 1902, Lénine publie à Stuttgart une brochure qui fera grand bruit : Que faire ? Il y expose sa stratégie et sa vision de l’organisation du « parti » : une organisation clandestine formée de révolutionnaires professionnels, reprenant ainsi l’idée du « permanent » déjà mise en œuvre à l’époque dans la social-démocratie allemande. Il préconisera la création de « détachements d’ouvriers révolutionnaires spécialement préparés par un long apprentissage,… dévoués corps et âme à la révolution », et qui « jouiront de la confiance illimitée des masses ouvrières. » « En substituant le parti à la classe, Lénine modifiait profondément la pensée marxiste », analyse Courtois.

    Dès cette année 1902, les métaphores militaires abondent dans la prose léniniste ce qui conduit Courtois à évoquer « une forte militarisation de sa pensée » et un discours « dominé par une vision belliciste », alors même que Vladimir Oulianov n’avait pas fait son service militaire. Selon le Que faire ? en effet, l’organisation du parti doit reposer sur « une discipline quasi-militaire », l’objectif final étant de détruire « la société capitaliste et bourgeoise » par « l’insurrection armée du peuple. »

    Courtois relève que « toute la problématique de 1917, des années de guerre civile et du communisme du XXe siècle, celle du conflit radical entre démocratie et totalitarisme », émergeait déjà en 1904 avec la brochure de Lénine intitulée Un pas en avant, deux pas en arrière, qui acte la scission bolcheviks/mencheviks intervenue en 1903 lors du IIe Congrès.

    La révolution de 1905 est l’occasion pour Lénine de publier un article prophétique sur la Vendée où il prévient déjà : « La guerre civile ne connaît pas de neutres. » Il tirera plus tard les enseignements de l’échec du soulèvement bolchévik de Moscou en décembre 1905 et le mettra sur le compte d’une trop grande pusillanimité : « Il est des moments où les intérêts du prolétariat exigent l’extermination implacable de ses ennemis… » Au début du mois de mai 1905 était survenu un phénomène nouveau, qui réapparaîtra en 1917, le soviet (conseil), élu par les classes populaires urbaines puis rurales pour prendre en charge l’administration locale. C’était en réalité le fruit d’une tactique proposée par les mencheviks, qui fut dans un premier temps violemment critiquée par Lénine.

    Le parti bolchévik est financé à cette époque grâce à deux importantes captations d’héritage et aux hold-ups réalisés par Staline dans le Caucase, qui permettent à Lénine et à ses affidés de vivre en exil une vie confortable de petit-bourgeois. Courtois relève à cet égard le charisme de Lénine, considéré par ses partisans comme un véritable « guide ».

    On peut souligner avec Courtois une autre particularité de la mouvance léniniste : « alors que les grandes social-démocraties d’avant 1914 présentaient un caractère ouvrier très marqué – en particulier en Allemagne, en Angleterre et en Belgique – , le parti bolchévique allait jusqu’en 1917 compter peu d’ouvriers mais nombre d’intellectuels déclassés et d’aventuriers n’hésitant pas à agir avec des bandits de grand chemin, des maîtres chanteurs et des escrocs. »

    A l’automne 1914, Lénine étudie attentivement le De la guerre de Clausewitz, ce qui lui permet, explique Courtois, « d’achever son puzzle intellectuel » en mettant en cohérence ses idées sur « la relation entre idéologie, violence et stratégie politico-militaire. » Il participe ensuite à la conférence de Zimmerwald, près de Berne, du 5 au 8 septembre 1915 et y défend les motions les plus radicales.

    La dernière partie de l’ouvrage est consacrée à la révolution d’octobre et à l’établissement du nouveau régime. Nous ne reviendrons pas sur les événements de 1917, suffisamment traités par l’historiographie, si ce n’est pour rappeler que l’effondrement du régime tsariste ne fut en rien provoqué par le mouvement ouvrier et révolutionnaire, alors au plus bas. En février 1917, les bolchéviks n’étaient en réalité que 2000 ou 3000 dans la capitale pour 400 000 ouvriers. « Il fut avant tout, pour Courtois, le résultat d’une crise qui minait le cœur de l’autocratie en raison même de la nature archaïque de son système politique . » Le passage d’une partie de l’armée à la révolution change la donne par rapport à 1905. En 1917, ce seront en effet les mutineries de certains régiments cantonnés à Saint-Pétersbourg, beaucoup plus que les grèves ouvrières, qui permettront aux bolchéviks de s’emparer du pouvoir.

    Dès la prise du pouvoir, on assiste à la mise en œuvre d’un « génocide de classe », l’extermination organisée par le pouvoir d’un certain nombre de catégories sociales désignées comme « ennemies ». Cette extermination est réalisée par un certain nombre d’exécutions sommaires (le 5 septembre 1918 est pris le décret instituant la terreur rouge, cette date ayant été choisie précisément pour rappeler la « mise de la terreur à l’ordre du jour » par la Convention le 5 septembre 1792), mais aussi par la déportation et par un système de rationnement privant les « oisifs » (intellectuels, aristocrates, prêtres,…) de toutes les nécessités vitales. Le pouvoir confisque finalement les biens de l’église orthodoxe précisément au moment de la grande famine de 1920-1921 causée par la saisie des récoltes.

    Inventeur d’un instrument politique inédit, inspiré du Catéchisme de Netchaïev. constitué selon le schéma développé dans Que faire ? par « un parti de révolutionnaires professionnels placé sous une direction toute puissante », la vision stratégique de Lénine saura allier attentisme et opportunisme pour s’emparer du pouvoir et éliminer ensuite ses opposants. C’est tout le mérite du livre de Courtois de nous présenter, pas-à-pas, cette stratégie et de nous montrer comment elle se met à tourner en roue libre et à se déconnecter du réel, aboutissant ainsi au totalitarisme.

    Le livre appelle cependant une réserve mineure. L’auteur tente en permanence d’expliquer certains traits de comportement du leader révolutionnaire par ses « origines aristocratiques ». C’est oublier que ce n’est qu’en 1874 (soit quatre ans après la naissance du futur Lénine) que son père Ilya, fils du serf  Nicolas Oulianine, fut promu directeur des écoles primaires de Simbirsk, avec le grade de « conseiller d’État titulaire », grade qui conférait alors automatiquement, dans le système administratif russe, la noblesse héréditaire. Un peu court pour évoquer une « éducation aristocratique » comme clé d’un comportement autoritaire et distant…

    Serge Gadal

    http://cerclearistote.com/2019/08/recension-de-lenine-linventeur-du-totalitarisme-de-stephane-courtois-par-serge-gadal/

  • Les députés LREM commencent à douter d’Emmanuel Macron

    Les députés LREM commencent à douter d’Emmanuel Macron

    Dans une note envoyée au chef de l’Etat, le président du groupe LRM à l’Assemblée, Gilles Le Gendre, l’alerte sur la dégradation de sa relation avec les 303 députés macronistes (contre 314 en début de mandat).

    Si le Gendre refuse de commenter, l’un des lecteurs de cette note déclare :

    « Le Gendre met en garde sur la nécessité de recréer un lien fort entre le président et le groupe ». « Elle est dans le constat négatif. Il n’y a pas beaucoup de propositions ». « Il n’est pas malsain qu’un “warning” soit lancé ». « Cela a un peu tangué dans le groupe en cette rentrée ».

    Le 16 septembre, Emmanuel Macron s’est adressé aux parlementaires de la majorité réunis au ministère des relations avec le Parlement au sujet de l’immigration. Plusieurs députés ont critiqué cette intervention.

    « Ce moment a marqué une rupture : avant, les députés ne s’en prenaient jamais au président ».

    L’entretien accordé en octobre sur le même sujet à Valeurs actuelles a un peu plus déstabilisé les troupes.

    Le 13 novembre, le député du Nord Jennifer de Temmerman a quitté le groupe macroniste pour protester contre un « discours politique à charge contre les migrants ».

    Le gouvernement a en tout cas été « battu » à plusieurs reprises ces dernières semaines par sa propre majorité. Ainsi du vote sur un amendement favorisant fiscalement l’huile de palme, rejeté le 15 novembre par les « marcheurs » contre l’avis de l’exécutif ; ou du maintien du prêt à taux zéro, le même jour.

    « Ce n’est plus comme lors de la première année du quinquennat où les députés votaient comme un seul homme. La majorité challenge le gouvernement désormais. »

    Le député LRM du Rhône Bruno Bonnell ajoute :

    « La première année, on a appris la technique de notre métier. La seconde a été une formation à la politique, accélérée grâce aux “gilets jaunes”. Désormais, chaque député se sent légitime à dire ce qu’il pense, y compris s’il n’est pas d’accord ».

    Le député de la Somme Barbara Pompili note :

    « Il y a un vrai blues dans les rangs. Après avoir été en première ligne face aux “gilets jaunes”, de plus en plus de députés de la majorité vivent mal de ne pas être écoutés par l’exécutif. Certains le disent bruyamment, en partant ou en émettant des critiques ; d’autres viennent de moins en moins à l’Assemblée. »

    Un absentéisme croissant aussi bien lors des réunions de groupe que lors des votes dans l’Hémicycle.

    Et cela ne va ps s’arranger, avec les élections municipales de mars 2020, qui provoquent des rivalités et des frustrations. Le Monde note que la 2e partie du quinquennat risque d’être compliquée. La réélection aussi.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-deputes-lrem-commencent-a-douter-demmanuel-macron/

  • Zoom – M. Maffesoli et H. Strohl : Du modèle républicain à l’idéal communautaire

    Michel Maffesolli, professeur émérite à la Sorbonne et Hélène Strohl, inspectrice générale des affaires sociales honoraire, présentent « La faillite des élites – La puissance de l’idéal communautaire ». Pour eux, ceux qui nous gouvernent n’ont pas su remettre en cause leur grille d’analyse de la société. Un aveuglement qui les a conduit à nier le retour en force d’un être sociétal, des tribus, à reconnaître la puissance du surnaturel. Face à la chute du modèle républicain, Michel Maffesoli et Hélène Strohl proclament l’avènement de l’idéal communautaire et de la solidarité des réseaux…

    https://www.tvlibertes.com/zoom-m-maffesoli-et-h-strohl-du-modele-republicain-a-lideal-communautaire

  • La collaboration des syndicats rouges

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    Il s’appelle Martinez, et il voudrait nous la jouer Petit Père des Peuples, avec la même moustache que son guide idéologique, responsable de 100 millions de morts.
    Autre collabo stalinien de compétition, il s’agit d’un certain Pierre Serne, porte parole de Benoit Hamon, qui demande que, non seulement zemmour soit mis hors antenne, mais qu’on multiplie les procés contre lui.
    On n’est jamais mieux trahi que par ses compatriotes.
    La palme revient quand même à ce triste sire Martinez, celui qui se croit encore en 1936, dans les rangs des Brigades internationales comme son papa et qui semble confondre CGT et CNT (Confederacion Nacional del Trabajo).
    Ce personnage qui se prend pour le défenseur du monde ouvrier, en veut beaucoup au RN qui lui prend les 3/4 de ses effectifs, ce qui le rend fou de rage.
    D’autant plus, qu’il n’est pas un bénévole syndical, car quand on perçoit un salaire de ministre pour tenir le rôle de chef de file de la CGT, on a grand besoin d’adhérents pour assurer le confort et la vie de château des cadres syndicaux.
    On fait partie des gens importants, on est reçu par le Chef d’Etat et on s’est offert au patronat, en bénéficiant du soutien des mondialistes.
    Julien Odoul dit à ce propos:
    « Ce syndicat de petits bourgeois, de vendus et de communautaristes, devrait demander pardon à tous les salariés français, pour avoir appelé à voter Macron en 2017. La CGT c’est rouge devant et macronien derrière ».
    Alors la CGT c’est combien de divisions?
    Aucune mon général! Elles sont toutes restées sur le front des oubliés.
    Ce n’est pas étonnant qu’elle courtise jusqu’à la soumission, l’électorat musulman, au point de participer à une marche dans Paris, soi-disant contre l’islamophobie, mais ouvertement pro-voile. Sans doute, ce syndicat politisé à l’extrême gauche, ignore les plans de ceux dont il se fait l’allié.
    Il préfère tenir la corde qui le pendra.
    « En 2050 la France sera un pays islamique.
    Nous croyons que les musulmans auront avec la France, un pays qui apportera l’Islam et son Message à tout l’Occident » (Imam de la mosquée Al Aqsa à Jérusalem).
    Donc, un haut responsable syndical qui s’est autorisé à refuser la présence de la présidente du RN, pour la manifestation du 5 décembre sur les retraites et contre le Système qui nous écrase, alors qu’il est le meilleur soutien de ce Système.
    En prétendant que le RN est un parti « raciste »
    Ton argument ne tient pas la route camarade, il te sert juste à ostraciser l’adversaire.
    Raciste toi même!
    Comme d’ailleurs, si lui et ses amis communistes, (en voie de disparition) devaient décider qui est invité et qui ne l’est pas.
    MLP lui répond qu’il est dans une version totalement clanique et gamélarde du combat social.
    Le même totalitarisme, que pour le vote de la réélection de Martinez l’autre vendredi à Dijon, où il s’est fait élire avec 97% de voix.
    En Corée du Nord, on fait pas mieux!
    D’autre part, il faudrait que le camarade Martinez se plonge dans un livre d’histoire, lui qui se veut si proche de ses amis musulmans.
    Il apprendrait que ses ancêtres ont été dominés et colonisés, durant de longs siècles par des Maures. Et qu’en France, nous n’avons pas envie de goûter à cette expérience.
    Il apprendrait aussi que les « Regulares » marocains, aux ordres de Franco, avaient expédié de vie à trépas des milliers de vrais et de faux « républicains » comme lui.
    Il réfléchirait davantage, avant de faire la promotion pour l’immigration.
    « Il serait un devoir de la France de les accueillir tous »
    Humanisme et solidarité ou RECUPERATION politique?
    Une position en contradiction avec un autre communiste célèbre qui était Georges Marchais (en 1991 déjà) : « En raison de la présence de prés de 4 millions de travailleurs immigrés et des membres de leur famille, la poursuite de l’immigration pose de sérieux problèmes et il faut l’arrêter.
    Comme quoi, on peut être communiste et avoir aussi du bon sens et du patriotisme, ce qui semble manquer au sieur Martinez.
    Onyx

  • Passé-Présent n°260 : La nostalgie d’Ordre Nouveau

    Philippe Conrad reçoit André Posokhow pour évoquer l’action d’André Tardieu, plusieurs fois président du Conseil entre 1929 et 1932 puis Véronique Péan pour la présentation de l’ouvrage “Ordre Nouveau raconté par ses militants” aux éditions Témoignages et Documents.

    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n260-la-nostalgie-dordre-nouveau