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  • En Marche vers la mort du monde agricole

    En Marche vers la mort du monde agricole

    Alors que les tracteurs bloquent la circulation parisienne, le Forum Terres de France, associé au RN et chargé des questions de ruralité, coordonné par Loup Mautin, explique :

    Le cri d’alarme poussé par les agriculteurs qui roulent vers Paris est plus que légitime. 

    Alors que nos produits sont les plus sûrs du monde, que nos savoir-faire sont les plus reconnus à travers la planète, que la variété de nos terroirs est immense, la ferme France est en train de mourir. Excédés et épuisés,  les agriculteurs sont dans une impasse mortelle et veulent le faire savoir. Le président de la République doit les entendre.

    En signant des traités de libre-échange avec le monde entier, sans l’avis des peuples, contre l’avis des peuples, les gouvernements successifs ont sacrifié l’agriculture de notre pays et ses producteurs. 

    Tu m’achètes mes voitures et je t’achète ton boeuf aux hormones.  C’est cela “en marche”. Mais en réalité, c’est “en marche” vers la concurrence déloyale, “en marche” vers la mort du monde agricole, “en marche” vers des risques sanitaires énormes pour les consommateurs et “en marche” vers une pollution effrénée. 

    Les gens qui nous gouvernent ont réussi la prouesse de transformer la filière d’excellence qu’était notre agriculture, en une réalité mortifère où à une extrémité de la chaîne les producteurs se suicident et à l’autre extrémité les consommateurs s’empoisonnent. 

    Le pouvoir doit prendre la mesure de cette détresse et créer les conditions d’une politique agricole qui permette de dégager des revenus dignes. 

    Cessons d’importer des denrées que nous nous interdisons de produire.

    Promouvons le localisme en particulier dans la commande publique.

    Consentons à la ruralité les crédits qu’elle mérite au même titre que d’autres parties du territoire.

    https://www.lesalonbeige.fr/en-marche-vers-la-mort-du-monde-agricole/

  • Répression, mutilation… Le témoignage d’une battante

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    Camille Galic dans Présent

    Le 8 décembre 2018, Fiorina, jolie fille et brillante étudiante amiénoise en philosophie qui venait de rencontrer le grand amour, était éborgnée par un tir de LDB qui lui emporta la moitié du visage, dont les os furent « brisés en dizaines de morceaux » et les nerfs sensitifs atteints. Un an de désarroi et d’espoirs souvent déçus. Si la reconstruction de sa face est assez satisfaisante « entre les sept plaques, les vis, la grille » qui la structurent désormais, la victime devra finalement être énuclée et, la conjonctive s’étant à plusieurs reprises déchirée, le remplacement de l’œil n’est toujours pas définitif malgré maintes tentatives. Un an de souffrances morales et surtout physiques que même la morphine ne parvient pas à calmer, avec impossibilité de se risquer au soleil (la canicule estivale fut pour elle un enfer) ou dans l’eau. Un an perdu pour ses études, un an d’attente fiévreuse. Imagine-t-on la détresse, la révolte d’une jeune femme ainsi frappée à l’aube de sa vie adulte ?

    Et pourtant, publié sous le superbe titre Tir à vue, le témoignage qu’elle a dicté à son fiancé n’a rien de geignard ni de misérabiliste. En grande partie parce que ce fiancé, justement, n’a cessé de l’assister et de l’accompagner dans ses multiples « excursions » hospitalières, souvent au détriment de ses propres études. Mais aussi parce que Fiorina est une battante, convaincue que « là où il a une volonté, il y a un chemin », si bien que son courage a séduit bien au-delà des Gilets jaunes d’abord rencontrés « sur les ronds-points de la Somme », en réaction au pacte de Marrakech, qui « va amener toujours plus de migrants », et parce que son avenir, elle « veut le vivre dignement »  d’où sa décision d’aller manifester ce 8 décembre 2018, pour la première fois et bien sûr la dernière, sur les Champs-Elysées.

    Si Aude Lancelin, ancienne du Nouvel Obs passée au Média de Mélenchon, dont elle a depuis été congédiée, a été la seule à gauche à lui manifester de la sympathie, elle a reçu l’aide morale et financière de l’association Solidarité pour tous animée par Anne-Laure Blanc depuis les Manifs pour tous, cependant que Jordan Bardella, Alain de Benoist et surtout Jean-Yves Le Gallou s’employaient à faire connaître son cas. 

    Tir à vue - La répression selon Macron, par Fiorina Lignier. Ed. Via Romana, 246 pages, 19 euros.

    Lire la suite dans Présent 

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  • Faillite des fausses garanties

    6a00d8341c715453ef0240a4efdfcb200b-320wi.jpgAyons aujourd'hui, d'abord, une pensée pour rendre hommage aux soldats français tombés en Afrique pour la défense de l'Europe. Elle nous renvoie hélas aux centaines de milliers de nos grands-parents sacrifiés entre 1914 et 1918, dans un conflit européen, sans que nos dirigeants aient su empêcher par leurs décisions de 1919 que les combats reprennent en 1939.

    L'histoire recommence toujours.

    Ce qui se passe par exemple, en ce moment à Hong-Kong, où le régime de Pékin, cherche à tordre le bras à ceux qui croyaient aux accords de rétrocession de 1997, semble étonner nos bien-pensants. La Chine en effet, est en train de s'affirmer, sinon comme la principale puissance du monde, du moins comme la vraie rivale des États-Unis. Or, elle s'écarte des règles convenues lors de l'abandon de la dernière colonie  britannique.

    Il ne faut pas tenir pour totalement négligeables les modestes outils dont disposent les militants de la Liberté. Or, leurs seules ripostes possibles reposent, non sur les fausses garanties des accords internationaux, mais sur une lutte intelligente et courageuse, souvent soutenue par la foi chrétienne. Réponses du faible au fort, les actions de la jeunesse et du peuple de Hong-Kong ne se traduiront pas nécessairement par la défaite de l'opposition. Mais bien naïfs ceux qui croient encore possible de faire reculer un pouvoir dictatorial par de vertueuses condamnations morales.

    Les 14 points de Wilson, furent formulés en janvier 1918. Ils reflètent l'idéologie mondialiste, faussement moraliste, dans son intégralité et sa pureté. Ils réapparaîtront, au moment de Yalta en 1945, avec la Golden Peace de Roosevelt. Ils devinrent but de guerre des Alliés. À ce moment de la guerre, la finance américaine pouvait imposer ses conditions à des alliés occidentaux surendettés et abandonnés par la Russie.

    L'illusion a consisté à faire croire que cette prétendue guerre du Droit allait conduire à une paix durable, gérée la société des nations. Nous considérons aujourd'hui qu'il s'agit du premier conflit mondial mais, en fait, le deuxième en découla 20 ans plus tard, second acte d'une nouvelle et monstrueuse guerre de 30 ans.

    On a beaucoup reproché à Bismarck d'avoir, un jour, constaté que, dans l'histoire réelle des hommes, "la force prime le droit", une phrase célèbre mais qu'il a toujours démenti de l'avoir prononcée[1].

    Un lecteur de l'Insolent m'objectait hier[2] que l'on ne doit pas reprocher au traité de Versailles son injustice.

    En réalité ce n'est pas "l'injustice" qui est en cause mais l'absurdité sectaire. Aucune sortie de guerre ne saurait être considérée comme entièrement juste pour le vaincu. Je crains fort que ce soit des Gaulois qui ont immortalisé la formule Vae victis, que tous les lycéens latinisants ont apprise dans Tite-Live, et que par conséquent nous avons retenue dans la langue des Romains un moment envahis par le chef Brennos vers 387 avant Jésus-Christ.

    Ce lecteur fait référence à un livre de Chevènement, qui s'intitule "l'Europe est-elle sortie de l'Histoire ?"[3]. Ancien ministre de Mitterrand et rédacteur du programme commun de la gauche, l'auteur n'hésite pas à rappeler la condamnation bien connue, formulée par Jacques Bainville à l'encontre de la paix de Versailles "trop forte pour ce qu'elle avait de faible, trop faible pour ce qu'elle avait de fort".

    Ceci résume sans doute l'aspect géopolitique du traité qui aboutira finalement à une constitution allemande plus centralisée que celle de Bismarck. Les Français ignorent trop souvent que le fameux Second Reich, issu du Deutscher Bund de 1815, éclaté en 1866, puis réorganisé au Nord en 1867, rallia après 1871 les principautés de l'Allemagne du sud, fonctionnait en réalité sur une base confédérale. L'Empire disposait, dois-je le rappeler, d'un régime parlementaire et d'un très fort parti social-démocrate.

    Pourquoi la paix punitive de Versailles n'a-t-elle pas tenu compte de cet héritage ? Il remontait à la très ancienne constitution du Saint-Empire, à la bulle d'Or du XIVe siècle, aggravée par le traité de Westphalie imposé par la France au XVIIe siècle. Pourquoi les dirigeants radicaux-socialistes et jacobins de 1917-1918 n'ont-ils pas appliqué la politique que Maurice Barrès suggérait[4]à propos de la Rhénanie ?

    En fait le mondialisme dès le départ exprimait l'aveuglement des banquiers internationaux.

    Ceux-ci, créanciers indirects, désiraient de façon impérative ne traiter qu'avec un seul débiteur, un seul partenaire, si possible le plus solvable. On élimina d'ailleurs les autres vaincus, l'Autriche-Hongrie puisqu'on l'avait détruite, la Bulgarie parce que trop pauvre, la Turquie parce que la dette ottomane n'avait jamais été honorée.

    Et Bainville, qui se situe sur le terrain d'abord géopolitique, mais qui n'ignore certes pas les questions économiques, évoque cette attitude des experts financiers. Simplement, son fameux livre n'est publié qu'en 1920 et le débat sur la Ratification s'est déroulé l'année précédente, entre août et septembre 1919.

    Car dans ce débat ce n'est pas la seule Action française qui critique la politique de Clemenceau, on peut même dire qu'elle en partage à certains égards, par patriotisme, les mots d'ordre immédiats. À la Chambre des députés, c'est l'ensemble de la droite, qui voit juste quant à l'avenir, aussi bien les quelques élus monarchistes que le nationaliste républicain Barrès ou le chef de file des modérés Louis Marin qui dressera un réquisitoire de 30 pages[5]. Le premier intervenant, Louis de Chapdelaine[6], lui aussi élu conservateur, décrit pratiquement sans erreur de diagnostic et de pronostic, aussi bien les conséquences directes du traité que les capacités de redressement du peuple allemand cependant que presque toute la gauche s'engouffre dans la rêverie du mondialisme.

    Ainsi s'illustra le discours du socialiste Jean Longuet[7], petit-fils de Karl Marx[8] : c'est précisément à ce moment que l'on apprit que le Sénat américain ne ratifierait pas le traité et que les États-Unis n'adhéreraient pas à la SDN ce qui renversa tout l'échafaudage.

    Au bout du compte, on constate une fois de plus que l'utopisme et les slogans de la gauche se révèlent de puissants relais des erreurs des technocrates et autres financiers internationaux.

    JG Malliarakis  

    6a00d8341c715453ef0240a4c86ca3200d-320wi.jpgTout a été dit au long des débats de 1919 à la Chambre des députés...

    TABLE DES MATIÈRES : Note de l'éditeur par JG Malliarakis -- Introduction de 1945 I. Les Préambules [Chappedelaine - Raiberti - Charles Benoist] II. Pour une politique d’après guerre [Maurice Barrès - Albert Thomas] III. Plaidoyer et Réquisitoires [Tardieu - Barthou - Franklin-Bouillon] IV. La prochaine guerre viendra par Dantzig [Marcel Sembat] V. Réparations et organisation économique [Bedouce - Klotz - Dubois - Auriol - Loucheur] VI. Le désarmement [André Lefèvre] VII. Un ténor : Viviani VIII. Travail et Colonies [Colliard et Simon] IX. Du socialisme à l’extrême-droite [Longuet et Marin] X. Clemenceau intervient et XI. Dernières interventions [Renaudel - Lefèvre - Augagneur]  La conclusion de l'historien au lendemain de la Seconde guerre mondiale.
    Épilogue : Quelques dates. Quelques chiffrages à propos des réparations.
    L'Occupation de la Rhénanie (1923-1930)  → Pour en savoir plus sur ce livre, lire aussi  "Les cent ans de la fausse paix de Versailles". •••  Ce livre de 204 pages paraîtra courant novembre. Il est proposé au prix de souscription de 18 euros franco de port jusqu'au 30 novembre. Paiement par carte bancaire sur le site de l'éditeur  [ou par chèque en téléchargeant un bon de commande]

    Apostilles

    [1]  On a voulu en faire son programme, alors que le chancelier de fer, comme on l'a surnommé sévèrement, remarquait  tout simplement aussi que "la diplomatie sans les armes c'est la musique sans les instruments". Déformant ces apophtegmes, on a d'ailleurs beaucoup caricaturé le prussianisme, comme réplique allemande du jacobinisme : la constitution bismarckienne de 1867-1871 était beaucoup moins centraliste que celle de la république française.
    [2] cf. L'Insolent du 26 novembre "Cette vieille gauche qui revient"
    [3] Livre publié en 2013 ed. Fayard.
    [4] cf. in "La Ratification du traité de Versailles" chapitre II "Pour une politique d'après-guerre" pp. 39 sq
    [5] cf. interventions du 18 au 23 septembre in ">"La Ratification du traité de Versailles"
    [6]  cf. ">"La Ratification du traité de Versailles" chapitre Ier pages 27sq

    [7]  cf. ">"La Ratification du traité de Versailles" chapitre IX pp. 135sq

    [8]  Aucun rapport avec son honorable homonyme qui fut président de la Région Lorraine.

    https://www.insolent.fr/2019/11/faillite-des-fausses-garanties.html

  • L’hommage de Macron à nos 13 soldats sonnera faux

  • Affaire Nicolas Bardy : quand les zigomars des villes s’installent dans la France des champs…

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    Pauvres paysans. Pour commencer, on leur a volé leur nom et la noblesse allant avec en les affublant du sobriquet d’« agriculteurs » ou, pis, d’« exploitants agricoles ». En attendant celui de « travailleur social en zone non urbanisée » ? Ensuite, le système dominant, non content de les tenir pour citoyens mal dégrossis, ne votant pas pour les partis politiques qu’il faut et toujours prêts à enfiler le gilet jaune, se paye leur tête avec des émissions du genre de cet « amour » qui serait « dans le pré ». Et ta sœur, elle bosse chez BFM TV ? Pour tout arranger, ceux qui nous nourrissent – ce qui n’est pas le plus moindre des détails – sont, de plus, taxés de criminels contre la planète, en attendant de l’être contre l’humanité.

    C’est oublier un peu vite que l’agriculture intensive et gourmande en produits chimiques n’est pas de leur fait et que ce sont des décennies de propagande et de planisme d’État qui les ont poussés à devenir ce qu’ils sont désormais. On les a surendettés, condamnés au productivisme, au mépris le plus élémentaire de l’ordre de la nature. Et voilà que, maintenant, certains voudraient les tenir pour étrangers en leurs champs, en attendant de leur interdire de respirer en leur traditionnel cadre de vie.

    Hier, sur ce site, il y avait le témoignage poignant de ce paysan du Cantal, Nicolas Bardy, persécuté depuis dix ans par des voisins estimant que ses vaches sentaient mauvais et faisaient du raffut. Bref, une mauvaise redite « du bruit et des odeurs »… Pourquoi une telle rechute de chiraquite aiguë ? Et depuis quand nos amies les vaches ne sentiraient pas bon et seraient trop bruyantes ?

    Mais les voisins de l’infortunés Nicolas Bardy ne sont pas n’importe quels voisins. Ils ont déguerpi le cauchemar urbain pour rejoindre le rêve campagnard ; lequel, la chose est connue, n’est que calme, paix, luxe et félicité. Tout le monde le sait : quand une vache se soulage dans l’herbe, ce n’est pas une bouse qu’elle abandonne, mais un chapelet de pétales de roses. Et un tas de purin ou de fumier n’est jamais rien d’autre que du Chanel n° 5 en à peine moins parfumé.

    Réfugié dans la cambrousse depuis plus de vingt ans, je n’en connais malheureusement que trop, des zigomars de cet acabit. Ceux qui vont se plaindre au maire, en automne, parce que les feuilles mortes dans les rues, ça fait sale. Ceux qui brament comme des putois – c’est une licence de style, je précise, connaissant la vétilleuse attention de certains de nos lecteurs quant au bon usage de la langue de Molière – parce que le coq du bout de la rue a le mauvais goût de fêter la journée qui s’annonce en chantant. Au bout de la mienne, de rue, notre coq devait avoir des ascendances corses ou antillaises – il n’était pas vraiment du matin – et ne commençait à pousser son cri de joie que sur le coup des neuf heures. C’était déjà trop. Et de coq il n’y eut plus.

    Idem pour le gros cochon qui, paraît-il, était dangereux pour les enfants alors qu’il ne faisait que promener sa couenne dans les fossés en attendant que ces mêmes enfants viennent lui flatter le groin, cérémonial qui le mettait, j’imagine, de bonne humeur pour chaque journée que le bon Dieu fait. Je le sais, dès que j’arrivais en voiture, il se mettait en travers du chemin et n’en partait qu’après que ma progéniture l’avait gratté de partout. Plaintes citoyennes obligent, ce brave cochon a été obligé de regagner sa bauge, avant de finir en jambon ; sans même des militants veganistes pour le sauver : pour une fois que ces nigauds auraient été utiles à quelque chose.

    Personnellement, je n’ai rien contre les voisins de ce cher Nicolas Bardy, mais je ne serais pas contre, non plus, une loi interdisant les voisins. Surtout ceux-là. Une assignation à vie en Absurdistan septentrional me paraîtrait être un châtiment assez mesuré.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/affaire-nicolas-bardy-quand-les-zigomars-des-villes-sinstallent-dans-la-france-des-champs/

  • Violences faites aux femmes : tout le monde est contre. Évidemment…

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    Richard Hanlet  dans Boulevard Voltaire

     Moi, je suis contre la violence. Toutes les violences. Et d’abord celles contre les femmes, puisque j’appartiens à l’espèce en disparition des mâles blancs qui tiennent leurs compagnes comme plus faibles physiquement. Une déformation professionnelle, sans doute…

    Or, il paraît que ce qu’il est désormais convenu d’appeler féminicide serait, cette année, en augmentation, ce qui ne peut qu’inquiéter toute âme bien née. Mais les statistiques, on le sait, sont comme les réverbères pour les ivrognes : elles soutiennent plus qu’elles n’éclairent. Les unes prennent en compte les couples officiels, ce qui, dans la France d’aujourd’hui, doit rassembler les gens passés devant M. le maire ou l’imam, les PACSés et les « concubins notoires », comme disent les rapports de gendarmerie. Les autres sont étendues aux couples « occasionnels », aux « sex-friends », voire – horresco referens – aux « coups d’un soir », ce qui fait déjà plus de monde. Mais à la lumière de cette définition, quand Mireille Knoll est assassinée au cri de « Allah Akbar », ce n’est pas un féminicide.

    Quoique toujours trop élevé, leur nombre, oscillant selon les années entre 100 et 150, est-il statistiquement suffisant pour dégager l’évolution tendancielle à la hausse dont on veut nous convaincre ? Auquel cas, les 50.000 manifestants contre les violences sexistes et sexuelles de samedi feraient bien d’en rechercher la cause, et pour une fois, il sera difficile d’impliquer le changement climatique.

    Pour Danielle Bousquet, présidente du Haut Conseil à l’égalité jusqu’en juin dernier, cette violence est la suite logique du sexisme ordinaire, « idéologie qui repose sur le postulat de l’infériorité des femmes par rapport aux hommes » : Et pour cette institution, le sexisme serait déjà dans les gaudrioles dévalorisantes, qu’il conviendrait de pénaliser au même titre que le racisme. Voyez les commentaires des Dernières Nouvelles d’Alsace sur la récente épreuve de culture générale des impétrantes Miss France : « Marlène Schiappa s’est ainsi retrouvée au Panthéon à la place de Simone Veil, quand Teddy Riner devenait l’époux de Beyoncé. Napoléon a, lui, fini sa vie un peu partout dans le monde, sauf sur l’île de Sainte-Hélène. » Attention, les DNA, on commence par une petite blague sur les blondes et on finit comme Fourniret !

    Mais quelle frange de notre population considère-t-elle vraiment les femmes comme des êtres ontologiquement inférieurs ? C’est peut-être la question que s’est posée le conseil départemental de la Seine-Saint-Denis dès 2002 en créant le premier Observatoire départemental des violences envers les femmes du pays. On se demande bien pourquoi le besoin s’y faisait particulièrement sentir.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/26/violences-faites-aux-femmes-tout-le-monde-est-contre-evidemm-6193461.html

  • « Enquête sur la loi du 3 janvier 1973 » de Pierre-Yves Rougeyron

    Loi3janv600.jpgL’Enquête sur la Loi du 3 janvier est un livre choc.

    Il montre, point par point, comment la France a été mise en esclavage par la dette avec juste un simple texte anodin.

    Il montre comment, en l’espace de 40 ans, chaque Français s’est retrouvé avec une dette de 30.000 euros sur le dos au nom du pays.

    Il montre comment l’élite des hauts fonctionnaires a renoncé, pas à pas, à la Nation française, à son âme et à son indépendance. C’est l’histoire des manipulations successives, organisées et pilotées pour ne profiter qu’à une seule entité : les banques privées.

    Grâce à cette loi, la France a été conquise sans bruit, sans une balle tirée et sans aucune résistance : chaque semaine, ce sont 4 nouveaux milliards, empruntés par l’Etat pour payer retraites, salaires et aussi… intérêts de la dette, qui s’ajoutent aux 1700 milliards déjà dus, alors qu’au même moment 800 emplois industriels sont détruits chaque jour.

    Ce livre est le récit de la pire trahison de l’Histoire de France.

    Il doit être lu par tous les Français.

    Prix : 21€

    http://cerclearistote.com/2019/11/enquete-sur-la-loi-du-3-janvier-1973-de-pierre-yves-rougeyron/

  • Royalistes : Formation et militantisme : Action Royaliste Rennaise (GAR), Bordeaux, Lyon...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/27/formation-et-militantisme-bordeaux-lyon-6192623.html

  • Les agriculteurs montent à Paris – Journal du mercredi 27 novembre 2019

     

    Les agriculteurs montent à Paris

    Les agriculteurs prennent d’assaut la Capitale. Après avoir dénoncé leurs conditions financières difficiles et un sentiment critique de la population à leur égard, la FNSEA a exhorté les agriculteurs à faire remonter leur colère jusqu’à Paris. Nous étions sur place !

    La France rend hommage à ses soldats

    La France esseulée au Sahel

    Après la mort de 13 militaires en opération contre des djihadistes au Mali, les démonstrations de soutiens se multiplient partout en France. Un drame qui replace au centre de l’actualité l’action contre le terrorisme de l’armée française au Sahel avec l’opération Barkhane.

    Actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/les-agriculteurs-montent-a-paris-journal-du-mercredi-27-novembre-2019

  • La purge continue chez LR

    La purge continue chez LR
    Pourtant, Maël Camerlynck voulait constituer une liste d’union des droites contre le maire sortant Guillaume Delbar, LR rallié LREM.