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  • La Petite Histoire : Louis VI, le roi qui a soumis les seigneurs brigands


    On le connait généralement sous son surnom tardif, « le Gros », et le public moderne en garde l’image caricaturale faite par le film Les Visiteurs, de Jean-Marie Poiré. Pourtant, avant de devenir impotent, Louis VI était surnommé « le Batailleur ». En effet, c’est l’arme à la main qu’il a soumis tous les seigneurs brigands du bassin parisien, agrandissant ainsi considérablement le domaine royal. Par ailleurs protecteur du pape, il a tenu tête à l’Empereur comme au roi d’Angleterre, tout en participant, en France, à l’essor des communes.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-louis-vi-le-roi-qui-a-soumis-les-seigneurs-brigands

  • Légitime défense : cambriolé entre 40 et 50 fois, il avait porté plainte 30 fois

    Légitime défense : cambriolé entre 40 et 50 fois, il avait porté plainte 30 fois

    Et ce qui devait arriver arriva : l’agriculteur a fini par tirer sur un intrus de 19 ans, aujourd’hui dans le coma. Jean-Louis Leroux a été mis en examen pour “tentative d’homicide volontaire” et placé en détention provisoire. La cour d’appel de Reims a ordonné jeudi sa remise en liberté.

    De nombreux agriculteurs sont venus le soutenir. Hervé Lapie, président de la FDSEA de la Marne, explique :

    “Il a été victime de nombreux vols, de nombreuses intrusions sur son exploitation depuis une dizaine d’années, il a toujours porté plainte, il a été voir les gendarmes, et là il incarne ce que tout le monde vit aujourd’hui, les agriculteurs, les vignerons, le monde rural, en terme d’insécurité et de vols à répétition.

    L’affaire est devenue symbolique pour les agriculteurs face à des vols et des actes de malveillance de plus en plus fréquents sur les exploitations. Un agriculteur à Somsois dans la Marne témoigne :

    “Je me suis fait volé 7 fois en 3 ou 4 ans, on nous dit de porter plainte, on porte plainte, on nous dit d’aller voir nos assurances, une fois, deux fois, trois fois, et on se fait virer… Il y a eu plusieurs vols, c’est jamais les mêmes personnes, un coup c’est l’atelier qui est visé, un coup c’est le vol de GPS, un coup c’est le vol de gazoil, la gendarmerie elle est à 50 kilomètres que voulez vous qu’ils fassent ?!”.

    https://www.lesalonbeige.fr/legitime-defense-cambriole-entre-40-et-50-fois-il-avait-porte-plainte-30-fois/

  • Moyen-Orient : III) Le retour aux Etats-Nations !, par Christian Vanneste.

    Le Printemps arabe a été une supercherie orchestrée par des puissances convergentes qui ont utilisé les vecteurs médiatiques considérables dont elles disposent pour désinformer massivement les populations occidentales. L’idée principale reposait sur la transposition dans le monde arabe des révolutions européennes qui avaient brisé l’empire soviétique, cette fois pour remplacer les dictatures « laïques », souvent liées à l’armée, qui régnaient dans cette région du monde, héritières d’un nationalisme arabe réduit à chacun des Etats.

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  • De la viande achetée 3,8 € le kilo aux éleveurs est revendue 42,10 € en supermarché

    Même en tenant compte de la chaîne de la viande, c’est difficilement justifiable.

    « « On n’est pas considérés », c’est ainsi que Nicolas Mazilly résume la situation.
    L’éleveur, installé à La Rochepot, en Côte-d’Or, a de plus en plus de mal à boucler ses fins de mois. Il est d’autant plus amer qu’il voit les bénéfices que d’autres font sur son travail. Il montre la photo d’un tournedos vendu au rayon boucherie d’une grande surface de l’agglomération de Dijon.

    De la viande achetée 3,80 euros le kilo aux éleveurs est revendue 42,10 euros en supermarché

    « Ils vendent ce tournedos 42,10 euros le kilo. Moi, ce morceau-là, je l’ai vendu 3,80 euros. Ca a de quoi énerver, car on se rend compte que notre produit est noble, qu’ils font une marge bénéficiaire exceptionnelle et que nous on n’est pas considérés. »

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  • La Sécurité sociale avance le nombre de 609.000 cartes Vitale en trop circulant en France… deux jours après que sa directrice ait admis sous serment l’existence de 2,6 millions de cartes Vitale surnuméraires

    La Direction de la Sécurité sociale avance le nombre de 609.000 cartes Vitale en trop circulant en France. Annonce qui survient deux jours après que sa directrice ait admis, sous serment devant le Parlement, l’existence de 2,6 millions de cartes Vitale surnuméraires. Retour sur un miracle administratif qui masque un tabou français.

    Certains multiplient les pains, d’autres divisent les fraudeurs. Mathilde Lignot-Leloup, à la tête de la direction de la Sécurité sociale (DSS), a admis mardi 11 février, devant la Commission parlementaire sur la fraude aux prestations sociales, qu’«environ» 2,6 millions de cartes Vitale en trop étaient en circulation dans l’Hexagone. En somme, une carte Vitale sur douze en France serait potentiellement utilisée par un fraudeur.
     
    (…) Sputnik
  • Le décolonialisme, une idéologie de collabos

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    Mon collègue Driss Ghali signe, dans les colonnes de Causeur, un bel article sur l’idéologie décoloniale. Il dit, en résumé, que le décolonialisme ne sert à rien. Philosophiquement, je suis d’accord : le décolonialisme n’est pas un raisonnement ou un questionnement, mais une pure assertion victimisante. Il n’est construit sur rien de sérieux et ne peut rien construire de sérieux. Il n’a pas d’avenir philosophique, mais il a une logique politique.

    En effet, il est certain que les philosophies victimisantes enferment ceux qui les croient dans une impossibilité d’action, parce que la base de toute action est une responsabilisation : un retour sur soi, une analyse de ses erreurs et une décision de corriger. Si le discours est « On ne me doit rien et personne ne m’attend, donc je vais le faire », l’action peut être efficace. Elle est motivée et motivante parce qu’elle s’enracine dans une vraie liberté. Si, par contre, le discours reste « On me doit ça parce que je suis ça », le sentiment de « dignité offensée » fera croître une certaine forme de contentement de soi, avec une haine du monde et des autres qui poussera à l’enfermement et à l’inaction. C’est le principe même de l’aliénation, et cela est vrai pour toutes les philosophes victimisantes, y compris celles qui touchent, aujourd’hui, les femmes et toutes sortes de minorités. La victimisation est un piège.

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  • Histoire : Valmy, morne colline...

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    Morne colline Il ne s'est rien passé à Valmy

    Il s'agit bien d'un mythe, mais dans son sens trivial : celui d'une grande fumisterie, qui a de plus semé les germes de la destruction de l'Europe.

    « De ce lieu et de ce jour, date une nouvelle époque de l'histoire du monde, et vous pourrez dire : j'y étais ». Depuis bientôt deux siècles, la célèbre exclamation de Goethe est invoquée pour qualifier l'épisode de Valmy. Rapportée dans sa Campagne de France (1822), publiée trente ans après l'événement, elle aurait été, à en croire le poète, réellement prononcée par lui au soir de la « bataille », à laquelle il assista comme attaché à l'état-major de l'armée prussienne. Depuis bientôt deux siècles, cette phrase sert à accréditer le symbole qui s'attache, en France, à Valmy : celui d'une armée improvisée de fiers « volontaires », d'ardents « patriotes », d'un « peuple en armes » faisant barrage, grâce à sa bravoure et à sa foi en la Liberté, à l'invasion du territoire national par les armées du « despotisme » et de la « tyrannie », dont celle du roi de Prusse, la mieux entraînée d'Europe. Un symbole lui-même indissociable d'une scène maintes fois décrite et représentée : celle du général Kellermann en train de galvaniser ses troupes en agitant son chapeau placé au bout de son épée et criant : Vive la Nation ! sur fond de « ça ira ». Le lyrisme de Michelet a largement contribué à la populariser, en en rajoutant : « À l'exemple de Kellermann, tous les Français, ayant leurs chapeaux à la pointe des sabres, des épées, des baïonnettes, avaient poussé un grand cri… Ce cri de trente mille hommes remplissait toute la vallée : c'était comme un cri de joie, mais étonnamment prolongé ; il ne dura guère moins d'un quart d'heure fini ; il recommençait toujours, avec plus de force : la terre en tremblait… C'était : « Vive la Nation ! » (Histoire de la Révolution française).

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