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  • Nicolas Dupont-Aignan candidat en 2022 ?

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    Invité sur CNews, le président de Debout la France a préparé le terrain pour une éventuelle candidature aux prochaines élections présidentielles, sans toutefois se lancer officiellement dans la course.

    Éviter un nouveau duel Macron-Le Pen

    Objectif : barrer la route à . Et pour cela,  est prêt à se rejeter dans le bain de la présidentielle pour 2022. Même s’il ne s’est pas encore déclaré officiellement, le président de Debout la France s’est exprimé sur la nécessité d’éviter un nouveau second tour Macron-Le Pen qui renverrait le Président cinq ans de plus à l’Élysée.
    Nicolas Dupont-Aignan se pose en représentant d’une ligne « gaulliste, sociale et humaniste ». Une stratégie « de rassemblement », allant de l’électorat des Républicains à celui du Rassemblement national. Mais le président de Debout la France, contacté par nos soins, assure qu’« il ne s’agit pas d’une déclaration de candidature ».

    Un sondage confortant

    Rien d’officiel, donc, mais le candidat qui avait réussi à atteindre 5 %, en 2017, peut se satisfaire d’une progression dans les sondages. Dans le dernier sondage, Nicolas Dupont-Aignan est donné à 6 % d’intentions de vote pour les élections, ex aequo avec Bruno Retailleau, potentiel candidat Les Républicains. Pour déjouer les pronostics d’une finale Macron-Le Pen, on est encore loin. Le Président sortant est donné à 32 %, contre 27 % pour Marine Le Pen.

    https://www.bvoltaire.fr/nicolas-dupont-aignan-candidat-en-2022/

  • Affaire Traoré : trop, c’est trop !, par Jacques de Guillebon.

    Manifestation à Paris contre les prétendues violences policières © Flickr

    Source : https://lanef.net/

    À peine sommes-nous sortis de nos grottes que la grande guerre de notre temps a repris. Sans crier gare, nous voilà jetés dans un cauchemar dont on nous reproche en sus d’avoir depuis quarante ans voulu l’éviter : celui de la confrontation « raciale », ou au moins civilisationnelle. Sans crier gare, des familles Traoré et des Tchétchènes tapant sur des Maghrébins et réciproquement viennent squatter les feux de l’actualité, imposant leur sous-ordre à la France entière. Sans crier gare ? Nous, nous rigolons. Ça fait donc, comme on vient de le dire quarante, voire cinquante ans qu’une partie lucide de la France avertit des dangers encourus par, disons-le nettement tellement c’est évident, une immigration de masse, inorganisée, subie, ressemblant de plus en plus à une invasion même si les moyens employés ne sont certes pas guerriers.

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  • Les chiffres de la sélection anti personnes âgées dans l’épidémie de coronavirus

    Les chiffres de la sélection anti personnes âgées dans l’épidémie de coronavirus

    Lors de son audition par la Commission d’enquête parlementaire sur l’impact, la gestion, et les conséquences de l’épidémie du Covid-19, le 16 juin, le Pr Jérôme Salomon, Directeur général de la santé, a nié, sous serment, que les portes des réanimations ont été fermés aux résidents d’EHPADs.

    Or, les chiffres sont sortis et ils sont accablants. Alors que la classe des plus de 75 ans rassemblait le plus grand nombre des patients hospitalisés (tous services), nous observons un effondrement de la proportion des +75 ans hospitalisés en réanimation, passée de 37% le 15 mars à 14% au pic de mortalité à l’hôpital (6 avril 2020). Une présence réduite qui n’a que très peu évolué par la suite (maintenue entre 15% et 19,5%). Cet effet de ciseaux ne peut s’expliquer que par une exclusion brutale des plus de 75 ans refusés à être admis en réanimation :

  • Frédéric Laupies : “Les abstentionnistes ont pris une lourde responsabilité qu’ils regretteront dans les années à venir”

    Lors de l’installation du nouveau conseil municipal de Tarascon, Frédéric Laupies, conseiller municipal de la liste Le Bon Sens pour Tarascon, a souligné la responsabilité des abstentionnistes dans le déclin qui va se poursuivre ces prochaines années.

    On ne peut que lui donner lorsqu’on observe que dans de nombreuses communes de France, des Maires calamiteux ont été désignés avec le vote de moins de 20 % des inscrits.

    Lorsque le dégoût pour les politiciens se traduit par un total désintérêt pour la politique et la vie de la Cité, c’est l’anti-France qui récolte les marrons du feu avec d’autant plus de facilité.

  • C’est au nom de ses propres principes que l’on accuse l’Occident

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    par Chantal Delsol *

    Le mouvement décolonial qui s’en prend à l’histoire européenne comporte une contradiction interne, estime le professeur de philosophie politique, Chantal Delsol*, qui refuse toute relecture manichéenne du passé.

    Nous nous étions réjouis de voir décapiter les statues de Lénine et de Staline. Sortant d’une longue période totalitaire, pendant laquelle le visage de Big Brother était omniprésent et monopolistique, la destruction des images détestées symbolisait pour les peuples soviétisés le retour à la liberté. La mise à mal récente, pour ne citer qu’eux, de Schœlcher, Colbert, Faidherbe, traduit la volonté d’abolir une vision élogieuse du passé colonial, de l’époque où l’Occident dominait le monde. Il ne s’agit plus d’un régime spécifique, particulièrement odieux, comme pour le soviétisme. Il s’agit de l’histoire tout entière. Ces destructions de la mémoire s’inscrivent dans un bien plus vaste mouvement : on voudrait supprimer les noms des auteurs passés soupçonnés de machisme ou de racisme - c’est-à-dire tous !

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  • Nouvelle provocation d'Erdogan.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    La décision prise par Erdogan et validée par son Conseil d'Etat fantoche, de faire de la basilique Sainte Sophie de Constantinople une mosquée est une provocation, un message de leadership adressé au monde islamique et un affront à la civilisation européenne et chrétienne.
    Sainte Sophie est certes, depuis 1934, un musée après avoir, hélas, été déjà transformée en mosquée au quinzième siècle de notre ère.
    Mais la puissance du souvenir de ce que fut le grand empire byzantin et la force de son rayonnement continuent d'en faire un symbole lumineux de notre Histoire missionnée, du destin de notre continent, et de la spiritualité vraie.
    L'Europe d'aujourd'hui, celle de tous les abandons et de l'apostasie, s'aplatira une fois de plus  devant le diktat du nouveau sultan.
    Celle de demain - que construiront les forces nationales tôt ou tard - aura sa revanche.
  • Chauffeur agressé à Bayonne : une foule immense à la marche blanche.

    L'épouse et les trois filles du chauffeur agressé ouvre la marche blanche avec plus de 6 000 personnes, ce mercredi à Bayonne © Crédit photo : Emilie Drouinaud

    Source : https://www.sudouest.fr/

    Ce mercredi soir, la famille du chauffeur de bus agressé dimanche à Bayonne, organise une marche blanche. Une foule immense, de plus de 6 000 personnes, accompagne le cortège sous les applaudissements.

    Ce mercredi soir, la famille du chauffeur agressé organise une marche blanche depuis l’arrêt de bus Balichon où il a été frappé dimanche soir, jusqu’à l’hôpital où il est admis, et se trouve en état de mort cérébrale.

    Une foule nombreuse, plus de 6 000 personnes, accompagne le cortège, sous les applaudissements, avec des gens tous habillés en blanc. De nombreux agents de Chronoplus et des élus sont présents.

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  • L’armistice de 1940 : des conditions inespérées malgré sa dureté

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    André Posokhow

    Les orientations stratégiques et politiques des belligérants après la chute de Paris.

    Du côté des Allemands, le choix d’un armistice acceptable.

    En juin 40, Hitler qui, vraisemblablement souhaitait traiter avec les Britanniques, préféra, pour obtenir un règlement politique, une autre solution que l’écrasement définitif de notre pays. Pour cela, soucieux d’éviter une résistance des colonies françaises et un ralliement de notre flotte à l’Angleterre, il préféra neutraliser la France et choisit la solution d’un armistice acceptable qu’il imposa à Benito Mussolini..

    Chez les Britanniques, Churchill imposa la lutte contre l’Allemagne.

    Fin mai, Churchill, partisan de la résistance à l’Allemagne, imposa, non sans difficultés, la poursuite de la guerre à son gouvernement.

    Retirant ses dernières troupes hors de France, replié sur son ile, il s’employa à contraindre le gouvernement français à aller jusqu’au bout d’un combat désespéré en invoquant la duperie de l’accord franco-anglais du 28 mars 1940. Sa grande préoccupation était le sort de la flotte française.

    Un président du conseil qui n’a pas été à la hauteur des évènements.

    Si ses responsabilités ministérielles passées ne confèrent pas à Paul Raynaud une responsabilité directe dans la défaite de la France, l’opinion générale est qu’il ne s’est pas montré à la hauteur des évènements en mai-juin 1940. Il est vrai que sa tâche était accablante.

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