
Dehors les véhicules ! La guerre du maire de Paris Anne Hidalgo prend un nouveau virage. Après la lutte anti-voiture c’est au tour des transports collectifs d’être visé. En principe ceux-ci étant par définition collectifs et accessible à tous, on aurait pu imaginer qu’ils avaient une chance de survie mais non ! L’objectif serait de faire de la capitale une ville 100 % vélo. Ainsi les pistes cyclables prennent toujours plus de place au détriment des voies de bus… Anne Hidalgo, fraichement réélue multiplie ces aménagements qui ont pour conséquence immédiate de ralentir les transports en commun réduisant considérablement la mobilité dans la capitale.
« (…) Mais si les automobilistes semblent aujourd’hui les plus touchés, sans compter ceux qui ont du mal à se déplacer, ce sont les bus qui en paient un lourd tribut. Ainsi, selon les calculs du Figaro, la vitesse des bus a nettement chuté ces dernières années, encore plus ces dernières semaines. De quoi ralentir le trajet des citoyens parisiens. Sur certaines lignes par exemple, des artères ont été retirées du parcours car elles sont désormais réservées au vélo. Dès lors, le bus doit faire un détour. C’est le cas de la ligne 95 citée par le quotidien, dont les changements n’ont pas été notifiés aux usagers, et qui a pris 18 minutes de temps de trajet supplémentaires quatre ans. Pire pour le bus 54 : les usagers mettent 38 minutes de plus pour se rendre d’un bout à l’autre de la ligne. »



Depuis Qu'est-ce que le fascisme ? de Maurice Bardèche, on sait que le fascisme n'est ni un programme politique ni économique, peut-être pas même une idéologie non plus mais avant tout un esprit, une mystique, une vision du monde et de l'homme. Composé de discours et d'articles prononcés et rédigés en 1926 par Augusto Turati, à l'époque secrétaire général du Parti national fasciste, cet ancien officier héros de la guerre de 1914-1918 nous dépeint ici, loin des calomnies véhiculées depuis 1945 par les vainqueurs, sur quoi repose le socle de cet idéal esprit de sacrifice pour un idéal qui vous dépasse et qui vous transcende, vision héroïque de l'homme et de l'existence, service désintéressé du peuple et sens de la communauté, mépris du monde de l'argent et du conformisme bourgeois, recherche de l'élite contre la loi du nombre, la hiérarchie contre la démocratie... le tout guidé par une foi intransigeante et une passion ardente tempérées par la sagesse. Préfacé par le Duce, postface par notre ami Gabriele Adinolfi, en refermant cet ouvrage, une certitude s'empare de vous le seul remède pour la résurrection de l'Europe et de la race blanche, c'est la révolution fasciste, immense et rouge, implacable, celle dont les marches guerrières feront frémir la terre...

