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  • La Petite Histoire : Denain, la France sauvée de l’invasion

    En juillet 1712, alors que les coalisés entrent en France et qu’une seule place forte les sépare de Paris, Louis XIV confie une ultime armée au maréchal de Villars. Se portant au devant de l’ennemi, largement supérieur en force et en nombre, celui-ci va parvenir grâce à ses talents de manoeuvrier et de tacticien à tomber sur ses arrières. C’est la bataille de Denain, où les coalisés menés par le Prince Eugène, surpris et dépassés, n’eurent d’autre choix que de se replier. Ainsi Villars sauva-t-il la France d’une invasion certaine, permettant au roi d’obtenir une paix honorable et une fin de règne stable. Retour sur une victoire inespérée comme seule la France sait en produire.


    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-denain-la-france-sauvee-de-linvasion

  • Supprimer des jours fériés pour relancer l’économie : la seule raison ?

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    Tout est bon pour relancer l’économie du pays après le Covid-19. Ainsi, la toute fraîche proposition de Laurent Hénart, président du groupusculaire Mouvement radical, héritier du très ancien et très laïcard Parti radical : supprimer des jours fériés. « Il n’y a pas de tabou ! Nous avons beaucoup de jours fériés en France et nous pouvons en supprimer 4 à 5 en les transformant en jours de congés », explique celui qui fut un éphémère secrétaire d’État sous Chirac.

    Beaucoup de jours fériés : est-ce à dire trop ? C’est ce que sous-entend cet ancien maire de Nancy. La France compte onze jours fériés : cinq fêtes civiles (les 1er janvier, 1er mai, 8 mai, 14 juillet et 11 novembre), six fêtes religieuses (lundi de Pâques, jeudi de l’Ascension, lundi de Pentecôte, 15 août, Toussaint et Noël). À titre de comparaison, l’Allemagne (on aime bien nous comparer à l’Allemagne…) n’en compte qu’un seul au niveau national : la fête nationale du 3 octobre. Mais les Länder ont en commun… neuf jours fériés ! Nouvel An, Vendredi saint, lundi de Pâques, Ascension, Pentecôte, 1er mai, fête nationale, 25 et 26 décembre. Augsbourg, en Bavière, compte même quatorze jours fériés ! Onze jours fériés pour la France, neuf pour l’Allemagne : pas de quoi expliquer notre décrochage industriel par rapport à nos voisins depuis trente ans !

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  • Macron, la grande braderie de la France (2019)

    Fleurons industriels, infrastructures stratégiques, mais aussi sites classés, ressources naturelles ou territoires entiers, avec le VRP Macron, toute la France est à vendre… depuis Bercy sous Hollande, la grande braderie, voire la casse pure et simple, se poursuit de plus belle depuis qu’il est à l’Élysée.

    Image qui restera Bruno Le Maire sous les huées de la foule manifestant contre le plan social de General Electric (GE). Visiblement, son piteux « Il est important que General Electric revoie sa copie » n'a pas convaincu. « Ne vous y trompez pas, ce plan, avec son millier de suppressions d'emplois, c'est la dernière étape avant la fermeture du site turbines à gaz ! », rétorque un syndicaliste, qui voit clair dans ce dossier.

    Alstom, fleuron industriel et stratégique, a été vendu à la découpe par Macron, ministre de l'Économie de Hollande. Aux Américains de General Electric (GE), les turbines à gaz, utilisées dans le nucléaire, vitales pour notre indépendance militaire et énergétique. Aux Allemands de Siemens, la branche ferroviaire, volet flingué, ironie de l'histoire, par Bruxelles. L'activité nucléaire d'Alstom n'a pas eu cette chance. Promesses de créer 1 000 emplois nets non tenues, « garanties » allègrement bafouées, avec le millier de licenciements annoncés le 27 mai par GE, l'affaire revient en boomerang au visage de Macron Président. Un coup qui fait d'autant plus mal que Hugh Bailey l’actuel patron de GE France, était conseiller pour les affaires industrielles de Macron à Bercy lors de la vente d'Alstom à GE. Quand le conflit d'intérêts est une seconde nature…

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  • Quel journaliste pour s’offusquer des menaces de mort contre Geoffroy Lejeune, désormais sous protection ?

    Quel journaliste pour s’offusquer des menaces de mort contre Geoffroy Lejeune, désormais sous protection ?

    Un journaliste menacé de mort mais personne ne s’offusque :

    On est en train de vivre un déchaînement d’hystérie du petit milieu politico-parisien qui ne supporte pas le succès de Valeurs Actuelles, c’est ça la réalité (…) Ça fait quatre jours qu’on vit avec des gardes du corps. On a eu une manifestation de la Ligue de Défense noire Africaine devant nos locaux lundi qui ont demandé à ce qu’on nous arrache les bras. C’est une violence inouïe, je ne demande pas qu’on s’apitoie sur mon sort, mais je veux juste que les gens sache que vivre un lynchage comme ça, ça vous marque à tout jamais

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  • La grosse presse recevra 483 millions d’euros d’aides supplémentaires sur deux ans

    La grosse presse – celle qui désinforme les Français et oriente les Français vers la Gauche au sens large depuis des décennies – bénéficie déjà de plusieurs centaines de millions d’euros d’aide chaque année. Euros issus de la poche des Français.

    Voici que le gouvernement entend encore davantage graisser la patte des merdias (pendant deux ans, ce qui mène à la prochaine élection présidentielle…), auquel naturellement il doit tant (c’est ainsi que fonctionne les régimes démocratiques).

    « Très affaiblie par la crise sanitaire du coronavirus, la presse écrite va bénéficier d’aides d’un total de 483 millions d’euros sur deux ans, a indiqué l’Elysée, dont une partie a déjà été votée.

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  • Les principaux ennemis de la liberté d’expression sont les journalistes eux-mêmes

    Les principaux ennemis de la liberté d’expression sont les journalistes eux-mêmes
  • 50 ANS DES JOURNÉES CHOUANNES LES 5 ET 6 SEPTEMBRE

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    Ne manquez pas nos cinquantièmes Journées Chouannes. Ces deux jours que nous vous proposons vous permettent de rencontrer de nombreux auteurs, et conférenciers, qui toute l'année, se battent pour vos idées. 

    Plus d'infos et le programme des deux jours ICI

  • Qui est ce pseudo Béhanzin, de la Ligue de défense noire africaine ?

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    Ne me dites pas que vous n’avez jamais entendu parler de Gbèhin azi bô ayidjlè Ahossou Gbowelé ! Comme les Français ont toujours eu du mal avec les langues gbe-nigéro-congolaises, nos ancêtres colonisateurs l’ont popularisé sous le nom occidentalisé de , roi d’Abomey, dans l’actuel Bénin de 1890 à 1894.

    Nous ne contesterons pas son courage, sans doute peut-on même parler d’héroïsme des guerriers et guerrières fons d’Abomey, qui se sacrifièrent devant les fusils gras à tir rapide des légionnaires et marsouins envoyés par la République IIIe pour le réduire. En 1892, alors que Paris était ensanglanté par les attentats anarchistes de Ravachol, la France s’enthousiasmait, par les illustrations en couleur du Petit Journal, des exploits exotiques de nos deux mille soldats envoyés contre ce despote aux milliers de fidèles, pratiquant chaque année les sacrifices humains et razziant les peuples voisins pour alimenter ses marchés aux esclaves.

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  • Montée des tensions avec la Turquie : prémices d’une Europe qui se défend ?, par Jean-David Cattin (Les Identitaires)

    Les visées impérialistes de la Turquie d’Erdogan ne font plus de doute. Après avoir annexé une portion de la Syrie, envoyé des troupes en Libye, elle tente de s’accaparer des gisements pétroliers dans les eaux territoriales grecques et chypriotes.
    La transformation de la cathédrale Sainte-Sophie de Constantinople en mosquée inscrit ces velléités dans un néo-ottomanisme de plus en plus agressif. Conquêtes territoriales et réislamisation sur fond de nostalgie pour la grandeur ottomane sont aujourd’hui la boussole politique de la nouvelle Turquie.

    La France s’oppose à ces menées en Libye en soutenant le général Haftar face à ses ennemis du Congrès général national dominé par les Frères musulmans et soutenu notamment par le Qatar et la Turquie. Récemment, en Méditerranée, cette opposition a connu une escalade. Le 10 juin, un incident grave s’est déroulé quand une frégate française a voulu interroger un cargo turc et l’inspecter. Sa cargaison était probablement destinée aux islamistes combattant en Libye. L’escorte militaire du cargo n’a pas hésité à « illuminer » trois fois la frégate française Le Courbet. Une sorte de coup de semonce, électronique, avant le feu réel. Un fait rarissime. Du moins entre deux pays membre de l’OTAN. Le 5 juillet en Libye, la base stratégique turque al-Watiya a été bombardée par des avions de combat Rafale. Une implication française est fortement suspectée. Début août, la France s’est retirée de l’opération « Sea Guardian » qu’elle menait avec la Turquie en Méditerranée. Elle entendait ainsi s’opposer au trafic d’armes de son « partenaire » à destination des milices islamistes en Libye.

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