La solution apparaît clairement : abattre la République et restaurer l’unité nationale derrière le Roi, garant des libertés. De cette crise, il nous faut tirer la certitude d’agir et de réclamer plus que jamais la destruction de la République.
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Flinguer la République n’est pas l’exécution d’une passion nihiliste, c’est un service à rendre aux Français. Mettre à bas nos institutions n’est pas encourager le chaos mais ramener l’ordre.La figure d’Antigone nous apprend que le pouvoir inique est toujours vecteur de désordre et que les lois supérieures de la cité impliquent de le refuser. Les matraquages des manifestants, de la Manif pour tous à la réforme des retraites, les Gilets jaune éborgnés, les morts inutiles de la mauvaise gestion du Coronavirus sont autant de raison d’agir contre la République.Nous en appelons à une monarchie fédérative, populaire, de salut public.Formons nos lignes. La monarchie n’arrivera ni sans une élite formée, ni avec des royalistes de salon. Il convient de faire disparaître la République aujourd’hui et de faire de la monarchie un véritable facteur de paix et de conquête sociale. Un régime n’a de valeur qu’au regard de son respect de la nature sociale de l’homme et de son efficacité dans la sphère publique et dans la défense des libertés particulières.C’est la durée et la continuité de la politique royale qui a permis la constitution de notre nation.Laissons le dernier mot à Maurras : « L’avenir se fait par des minorités pleines des énergies du cœur et de la raison. Les objections, les répugnances même, perdent toute signification dès que l’on a repris contact avec ce “nom oublié du Roi”. D’abord surpris de se réveiller royaliste, on s’étonne bientôt de ne pas l’avoir été de tout temps. »
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LIBERTÉ SACRIFIÉE POUR LA SÉCURITÉ : COMMENT RÉSISTER ?
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Marseille: une première victoire pour Didier Raoult
Attaqué en justice par un confrère infectiologue, pour ses essais cliniques sur l’hydroxychloroquine de son protocole contre le Covid-19 menés à la Timone, le professeur Didier Raoult n’a plus à s’inquiéter.
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Jordan Bardella (RN): “Bien sûr qu’il faut que les migrants soient hébergés, mais chez eux » (Vidéo)
Jordan Bardella (RN) sur CNEWS: « Bien sûr qu’il faut que les migrants soient hébergés, mais chez eux. En quelques jours, Gérald Darmanin a mis un genou à terre en lâchant collectivement les forces de l’ordre et en rendant hommage à ceux qui ont combattu la France en Algérie ! »
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Le Covid enfièvre la bureaucratie déchaînée
A mesure que le Covid baisse en intensité, il enfièvre la bureaucratie déchaînée. Tout se passe comme si l’Etat-mamma, enivré de son autorité sanitaire et de son pouvoir sur les foules, refusait de rendre son tablier et sa trousse d’infirmerie. Emmanuel Macron, naguère promoteur de la “start-up nation”, mène cette absurde mobilisation étatique. Il se présente en père de la nation, sans craindre l’imposture. Mardi soir, le chef de l’Etat a ainsi distribué son calendrier en trois étapes, en se noyant dans des détails ubuesques. Il a déclaré, par exemple : “La reprise des cultes est permise, dans la stricte limite de 30 personnes“.
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Mars 1815: le Vol de l'Aigle
Le 1er mars 1815, Napoléon, échappé de l'île d'Elbe, débarque à Golfe-Juan. Il entame une marche triomphale qui le conduira à Paris, mais aussi trois mois plus tard à Waterloo.
« La victoire marchera au pas de charge : l’Aigle, avec les couleurs nationales, volera de clocher en clocher, jusqu’aux tours de Notre-Dame… »
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Le Pr. Éric Caumes invité de David Pujadas au sujet des vaccins contre la Covid-19 : « Nous allons beaucoup trop vite » (Vidéo)
Le Pr. Éric Caumes invité de David Pujadas au sujet des vaccins contre la Covid-19 : « Nous allons beaucoup trop vite »
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Covid-19. Carnage économique pour les Français, salaires invraisemblables pour la bureaucratie hospitalière
Il viendra un temps, probablement assez proche, où l’on analysera avec suffisamment de recul les politiques publiques qui ont précédé la pandémie et celles qui ont été décidées, à l’occasion de celle-ci, en réaction aux incohérences du passé, sans pour autant y remédier en rien et dans la plus grande panique.
Carnage économique
On fera le constat qu’un État que l’on dit faible aura été capable, en peu de temps, de mater dans la plus grande violence la révolte socio-économique et identitaire d’une partie de sa population fin 2019, avant de décréter l’assignation à résidence du plus grand nombre. On ne pourra s’empêcher, à ce propos, d’observer le contraste tragique entre cette force quasi dictatoriale – sous prétexte démocratique cependant – appliquée sans relâche aux foules immenses des bons citoyens et la faiblesse insigne de nos gouvernants lorsqu’il s’agit de mater une minorité islamisée dont le peuple français ne supporte plus la toxicité civilisationnelle. Pour les uns, la matraque puis le déclin économique ; pour les autres, l’impuissance de l’État de droit qui n’est plus que l’État des lâches.
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Macron nous met en prison pour mieux nous protéger
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Comment l’Open Society de George Soros et Microsoft de Bill Gates financent le Conseil de l’Europe
Directeur de l’European Center for Law and Justice, le docteur en droit Grégor Puppinck est interrogé dans Valeurs Actuelles. Extrait :
Six mois après avoir révélé le scandale Soros à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), vous montrez à présent que le Conseil de l’Europe dont dépend la CEDH a lui-même été financé par l’Open Society et Microsoft.
Effectivement, à la lecture des rapports financiers annuels du Conseil de l’Europe, il apparaît que l’Open Society de George Soros et Microsoft de Bill Gates sont les deux plus gros donateurs privés de l’organisation. Ces deux organisations ont donné respectivement au Conseil de l’Europe près de 1 400 000 euros entre 2004 et 2013 et près de 690 000 euros entre 2006 et 2014. L’Open Society soutient par ailleurs des initiatives du Conseil de l’Europe, notamment l’Institut européen des arts et de la culture roms. Depuis 2015, il n’y a plus trace de ces financements directs, en revanche, le Conseil de l’Europe a institué un fond spécial pour recevoir de telles contributions volontaires extra-budgétaires.