Le désintérêt pour une démocratie dont politiques et éditorialistes en vue ont tout fait pour qu’elle ne permette pas de changer le système ne peut pas nous étonner.
© Hannah Assouline
Une démocratie digne de ce nom a besoin d’une agora, rappelle Natacha Polony. Les médias devraient en être une, les réseaux sociaux auraient pu en être une autre. Encore faut-il acclimater les téléspectateurs aux débats de fond, à la contestation farouche mais argumentée, encore faut-il leur donner le goût de la démocratie, parce qu’on ne naît pas citoyen, on le devient.