
À l’heure actuelle, la mort fauche toujours les hommes en Afghanistan, en Irak, en Somalie, en Syrie, au Yémen et en Libye à cause des guerres impériales au service de Washington ou du mondialisme onusien. Le cas syrien revêt un caractère tout à fait exceptionnel : l’État et son armée n’ont pas été défaits malgré une extraordinaire internationalisation de la guerre. Les promoteurs du chaos par la dislocation des Nations sont toujours à l’œuvre au Levant. Comment cette machine infernale s’est-elle mise en place préparant le terrain aux fureurs de maintenant parmi lesquelles nous devons compter la destruction si peu accidentelle du port de Beyrouth ?





