Le sort s’acharne sur Anne Hidalgo. Déjà moquée pour sa découverte des distributeurs de billets de train dans les gares, « Madame 4,5 % » voit ressurgir une vidéo enregistrée le 27 mai 2019, au cours de laquelle elle déclare découvrir Paris à bord d’un taxi. « C’est génial, on découvre Paris, je découvre Paris aussi avec le taxi… » Deuxième vague de rigolade. Aucun vaccin. Le QG de la candidate est aux abois.
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La Petite Histoire : La bataille de Cocherel – Les victoires inespérées
Pour ce deuxième épisode de la thématique des victoires inespérées, retour sur une bataille méconnue qui pourtant décida du sort du royaume. En 1364, le roi de Navarre Charles II le Mauvais réunit une armée ainsi que des archers anglais pour tenter de ravir la couronne au jeune Charles V. Pour l’arrêter, ce dernier charge son fidèle Bertrand du Guesclin de se porter au-devant de l’ennemi. À Cocherel, pourtant en sous-nombre et en position désavantageuse, le Dogue de Brocéliande saura triompher avec ruse et intelligence, et ainsi sauver la couronne.
https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-la-bataille-de-cocherel-les-victoires-inesperees
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Coup d’état civil – 11,7 % de prénoms arabo-musulmans attribués en 2020
Si la France interdit les statistiques ethniques, une enquête révèle des chiffres éloquents : 11,7 % des nouveau-nés ont reçu un prénom arabo-musulman en 2020. Le grand remplacement dit désormais clairement son nom.
Au regard des mutations démographique et migratoire que connaît la France, ce n’est pas vraiment une surprise : que ce soit en France en général ou dans plusieurs départements en particulier, la part des prénoms arabo-musulmans est devenue significative. C’est ce qui ressort de l’Ouest de la France. Une étude du site heure-priere.com, qui s’appuie notamment sur les statistiques de l’INSEE, démontre que dans certains départements il y a même plus de prénoms musulmans que bretons, même si le nombre de prénoms français reste majoritaire dans le total.
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“Un complotiste c’est juste quelqu’un qui dit les choses 3 mois avant les autres.”
Philippe de Villiers interrogé sur CNews :
“On est dominés par BigPharma, BigData et Big finance, puissances privées plus puissantes que les Etats. Eugénistes, hygiénisme et transhumanisme. Un complotiste c’est juste quelqu’un qui dit les choses 3 mois avant les autres.”
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Vivent les murs !, par Clément Martin
« L’entreprise que nous devons mener à bien est un investissement absolument stratégique et prioritaire pour la sécurité de la nation et de ses citoyens ». Ce n’est pas une phrase de Emmanuel Macron sur le front du Covid mais une promesse du ministre de l’Intérieur polonais Mariusz Kaminski. Il s’agit d’un mur d’au moins 100 km sur la partie critique de la frontière entre la Biélorussie et la Pologne, qui fait 400 km.
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Sondages en faveur de Zemmour minorés ?
Robert Spieler
Les sondages qui vont paraître cette semaine vont être particulièrement intéressants à analyser, tant ceux concernant Eric Zemmour que Marine Le Pen ou Valérie Pécresse.
Prédisons que ceux concernant Zemmour seront minorés sans qu'il y ait la moindre malhonnêteté de la part des instituts de sondage. Pourquoi ? L'image de Zemmour est aujourd'hui bien plus diabolisée que celle de Marine Le Pen. Du coup, un certain nombre de sondés, "honteux" de leur intention de vote, ne disent pas la vérité au sondeur qui les interroge, "mentent", faussant ainsi le sondage et minorant les intentions de vote en faveur du "diabolisé".
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La marquise du Deffand (1696-1780) : une Voltaire au féminin, par le P. Jean-François Thomas
Sauf en ce qui regarde l’éclat, la finesse de l’intelligence et la dimension de la culture, notre époque ressemble au XVIII° siècle, alors qu’une élite intellectuelle, entretenue par la bourgeoisie montante et l’aristocratie descendante, donnait le ton aux décisions politiques ou à l’élaboration d’un nouveau type de société. Notre intelligentsia a de petits pieds par rapport au foisonnant milieu des philosophes, des hommes de lettres et de science, des parlementaires, du clergé d’une époque où tout semblait devoir basculer pour mieux durer, sous des formes différentes. Ceux qui préparèrent la Révolution n’étaient pas tous des révolutionnaires et ils engendrèrent un enfant monstrueux qui les eût conduits à l’échafaud s’ils avaient vécu jusque-là.
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Macron et l’Histoire : le vote algérien en ligne de mire
Évoquant le récent déplacement, à Vichy, du Président, le journal Le Monde rapportait, le 9 décembre, que les « stratèges de la majorité » se disaient persuadés que l’élection présidentielle se jouerait « en grande partie sur l’émotion et les symboles ». Voilà qui a le mérite de l’honnêteté. Et, en effet, la présence du chef de l’État dans la ville qui fut le siège du gouvernement de Pétain n’était sans doute pas dépourvue d’intentions électoralistes. Face à l’éternelle menace d’un retour des « heures sombres de Vichy », Macron pouvait se présenter comme le champion de la lutte contre une « droite identitaire » à laquelle Valérie Pécresse peut, à l’occasion, faire des œillades.
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MeToo, mais pas pour Thaïs d’Escufon dans les médias dominants
C’est après que des actrices, des célébrités, ou des femmes politiques, aient témoigné avoir été victimes de harcèlement et d’agressions sexuelles d’Harvey Weinstein, un producteur de cinéma hollywoodien réputé, que naquit le mouvement « MeToo ». Mais lorsque d’autres femmes témoignent des mêmes faits perpétrés par des personnes issues de l’immigration, les faits sont passés sous silence. Un deux poids deux mesures de nouveau mis en lumière par l’affaire Thaïs.
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Éric Zemmour et l’écologie – Pour une présidentielle à la hauteur des enjeux du temps
L’écologie serait-elle l’angle mort de la droite, comme l’immigration celui de la gauche ? Dans sa déclaration de candidature, Éric Zemmour a eu le mérite d’aborder de front la seconde question, mais pourquoi occulte-t-il l’enjeu non moins central de l’écologie et du changement climatique ? C’est d’autant plus absurde qu’une écologie bien comprise permettrait de remettre au centre des débats le local et le national.
Suite à la diffusion de l’appel d’Éric Zemmour annonçant aux Français sa candidature à l’élection présidentielle, des observateurs, favorables ou hostiles, ironiques ou sincères, ont fait remarquer que la déclaration d’une dizaine de minutes ne comportait aucune référence aux enjeux climatiques. D’aucuns, en particulier à gauche, ont fait mine de le déplorer, croyant démontrer que le polémiste devenu candidat ne faisait ainsi que détourner l’attention vers des sujets jugés par eux illégitimes ; d’autres, du côté surtout d’une certaine droite vaguement trumpiste, s’en sont réjouis, pleins de mépris pour une préoccupation perçue comme une lubie pour bobos.