Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a donné son feu vert à la vaccination des 5-11 ans, mais exclut une obligation vaccinale et un « pass sanitaire » pour les enfants, selon une information d’Europe 1.
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Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a donné son feu vert à la vaccination des 5-11 ans, mais exclut une obligation vaccinale et un « pass sanitaire » pour les enfants, selon une information d’Europe 1.
La chronique de Philippe Randa
Si la musique adoucit (parfois !) les mœurs, la littérature exacerbe (souvent !) les humeurs, surtout lorsque celles-ci sont politiques. Ainsi l’élection en novembre dernier de Mario Vargas Llosa à l’Académie française, au fauteuil de Michel Serres, qui « indigne » des « chercheurs français », soit un collectif de professeurs et de chercheurs universitaires « stupéfaits » de l’indifférence que cette élection suscite !
Gérald Darmanin, qui se vante du nombre de mosquées fermées par le ministère de l’Intérieur et annonce travailler à une nouvelle organisation d’un « islam de France », est violemment critiqué par le CFCM (Conseil français du culte musulman). Un projet réaliste ? Réponse d’Alexandre del Valle, géopolitologue et essayiste, pour les lecteurs de Boulevard Voltaire.
Gérald Darmanin a vanté le nombre de mosquées fermées sur ordre du ministère de l’Intérieur. Le Conseil français du culte musulman a violemment critiqué le ministre. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?
Fallait-il vraiment attendre autre chose de l’interview par TF1 de l’actuel chef de l’Etat et futur candidat à sa propre succession qu’une grossière opération de séduction des Français à l’approche de l’élection présidentielle ? Si la réponse est bien entendu négative, on ne peut cependant aujourd’hui qu’être indigné par l’incroyable degré de démagogie, d’hypocrisie, de cynisme et, au fond, de mépris de nos compatriotes, dont Emmanuel Macron a fait preuve lors de cet entretien enregistré à l’avance pour éviter les mauvaises surprises, et avec deux journalistes pour le moins complaisants.
Dans un nouvel ouvrage, Alain de Benoist et Guillaume Travers présentent un véritable condensé de culture européenne à défendre. Une somme de livres que tout jeune Européen doit lire en priorité.
Quel intérêt 400 œuvres de fiction peuvent-elles représenter dans la vie d’un jeune Européen ? Qu’apporte la lecture et l’échappée du réel dans le fictif à un jeune en quête d’enracinement dans le présent et d’action concrète ? Que devons-nous à ces 400 auteurs ayant vécu à divers moments de l’histoire de l’Europe ?
Le billet de Patrick Parment
Voici des décennies maintenant que les Français ont largement compris que les programmes électoraux des différents candidats – à droite comme à gauche – sont un ramassis de promesses jamais tenues. D’ailleurs, on se demande bien qui s’impose de les lire, tant ils sont aussi indigestes les uns que les autres ? En fait, hormis les élections municipales qui sont un vrai enjeu pour les électeurs, qu’il s’agisse des départementales, des régionales et plus encore de la présidentielle, toutes se jouent à la gueule du client. Et souvent sur un slogan, comme ce fut le cas avec Chirac et sa fameuse « fracture sociale », soufflée par Philippe Séguin, et bien évidemment jamais réduite.
Avec quatre réacteurs nucléaires mis à l’arrêt après l’apparition de fissures dues à leur vieillissement, la France va devoir acheter de l’électricité produite à partir de charbon allemand ou de gaz russe, rapporte Le Parisien. Si, d’habitude, le pays peut compter sur ses 19 centrales nucléaires pour faire face à la hausse de consommation hivernale, leur vieillissement a entraîné une perte d’un tiers de la production d’électricité. Une situation inquiétante qui pourrait entraîner des coupures cet hiver, essentiellement en entreprise, mais surtout : une nouvelle flambée des prix.
La “gauche non dogmatique”, depuis la disparition de Dutschke, ne déploie plus le même sérieux, ne démontre plus le même souci pour les problèmes de “grande politique”, n'entretient plus la conscience historique de ses militants, en mettant en exergue que l'aliénation économique et sociale de la vie quotidienne est le produit direct et immédiat d'une aliénation globale et nationale, produit de l'impérialisme étranger. La gauche a désormais opté, en majorité, pour la flexibilité théorique de l'écologisme. Mais dans ce magma un peu fumeux, le noyau dur demeure “national”, dans le sens où il prône le départ des troupes d'occupation.
Au Royaume-Uni, Boris Johnson le Premier ministre est en grande difficulté et risque une destitution. En effet, il est mis en cause (entre autres) au sujet de festivités en décembre dernier pendant que des restrictions sévères étaient imposées au pays face à l’épidémie de convid19. Les Britanniques ont raison. On ne peut certes pas exiger des responsables politiques de régler les problèmes d’un coup de baguette magique ni d’inventer des « nouveaux mondes » tous les jours. Cependant, au moins, ils ont un devoir d’exemplarité. Empoisonner la vie des gens par des mesures prétendument efficaces contre l’épidémie pour faire croire que l’on sert à quelque chose est devenu une pratique courante des gouvernements européens.