
Eh bien, voici la fin la plus surprenante qui soit ! Sidoine était catholique, comme l’étaient les membres de l’aristocratie gallo-romaine, baptisé par Faustus de Riez et quelque peu tardivement sans doute. Or, depuis saint Hilaire et son disciple saint Martin, qui avaient tant œuvré au siècle précédent, le premier pour le maintien de la foi catholique, le second pour son extension, la Gaule se reconnaissait dans la foi que déjà à l’époque, pour la spécifier, on nommait catholique.







