
Ces derniers jours volent bas. Non seulement la campagne présidentielle n’a jamais su décoller, mais elle s’enfonce dans le sectarisme, la diabolisation, la bêtise au front de taureau. La macronie, en mal d’idées, n’a plus que ces vieilles recettes pour tenter d’inverser les courbes. Le pouvoir, soudainement paniqué, est en train de se rendre compte que les peurs qu’il agite – celle du populisme notamment - ne font plus d’effets, sinon encore chez les plus craintifs.




