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  • [Une prof en France] Faudra-t-il abolir les examens ?

    Pourquoi reposer la question des examens ? Gabriel Attal, lors de son passage éclair à la tête de l'Éducation nationale, avait fait plusieurs annonces, parmi lesquelles on trouvait une reviviscence du brevet des collèges, qui aurait repris sa place d'examen de fin de cycle et donc de sésame pour le passage dans le cycle supérieur. Dans le cadre de son fameux, mais déjà moribond, « choc des savoirs », il avait en effet déclaré vouloir « donner une véritable exigence au brevet des collèges », estimant qu'il pâtissait d'un « affaiblissement du niveau d'exigence ». Très bien, très bien. Depuis son départ, on n'entend plus parler de tout cela, dont on n'avait d'ailleurs pas vu le début d'une transcription dans quelque note de service ni circulaire que ce soit, alors même que le ministère produit chaque année 3.000 pages de circulaires. Il ne semble pas que Mme Belloubet ait l'intention de donner corps aux déclarations péremptoires de son prédécesseur, malgré l'enthousiasme naïf qu'elles avaient suscité dans une large partie de l'opinion.

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  • L’US Army encense la Russie et son armée

    Surprise, surprise : l’armée russe et derrière elle l’industrie de l’armement russe, tant décriées, méprisées, moquées, s’avèrent être un modèle pour l’U.S. Army.
    • C’est le chef d’état-major de l’U.S. Army et sa ministre qui l’affirment devant un groupe de journalistes US accrédités au Pentagone.
    • C’est donc une déclaration tout à fait officielle : l’armée US va se restructurer selon les normes que l’armée russe a développées en Ukraine.
    • Les deux officiels ne ménagent pas leur appréciation élogieuses pour les capacités d’adaptation et l’efficacité des Russes en Ukraine.
    • Voilà, c’est aussi simple que cela et il suffisait de le constater.

    Viendra-t-il un jour le temps où l’on pourra confronter ces armées d’imbéciles, bien plus fournies que nos forces militaires, qui, pendant deux ans, on vomi des torrents de mensonges et de bêtises sur la Russie et son armée tout au long de nos diverses lucarnes électroniques emplies de bavardages bienpensants ? Consentiront ils à nous débarrasser, avec des cuillers argentées s’il le faut, peut-être après nous avoir hypnotisés, de cet océan de merde qu’ils ont déversé pour célébrer les vertus morales de notre civilisation devenue modèle militaire et armé du simulacre universel ? Peut-être, peut-être, – sans doute certainement pas...

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  • Imaginez ! Si Trump avait verrouillé les médias comme Tusk l’a fait…

    Imaginez… Ou plutôt, faisons un horrible cauchemar !

    Imaginez un dirigeant dangereux pour la démocratie, un Trump, un Orbán, un Poutine, un Erdoğan : complotiste, autoritaire, illibéral. Disons, pour la commodité de la chose, et puisque cette possibilité se profile, disons qu’il s’agit de Trump. Qui revient au pouvoir après une période où ses adversaires ont dirigé le pays. Mais soyons bien clair : ce n’est, ici, qu’un Trump imaginaire, fictif, un genre d’épouvantail qui va nous servir à conter une histoire.

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  • Le FBI arrête un journaliste qui enquête sur les dessous de la prise du Capitole

    Le FBI arrête un journaliste qui enquête sur les dessous de la prise du Capitole

    Steve Baker est journaliste pour le média Blaze. Il a été arrêté par le FBI pour des accusations non précisées de « délit non violent », dans une démarche qui, selon lui, visait à lui « donner une dose d’humiliation personnelle ».

    Le Federal Bureau of Investigation (FBI) a arrêté vendredi matin le journaliste d’investigation de The Blaze, Steve Baker, pour des accusations non précisées liées à la prise du Capitole le 6 janvier 2021, un sujet sur lequel Steve Baker enquête, contestant les affirmations du gouvernement fédéral.

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  • Refus d’obtempérer à Metz : la sous-préfète de Moselle, présente avec les forces de l’ordre, blessée lors d’un contrôle

    Alors qu’elle participait à un contrôle de police, la sous-préfète de la Moselle Jacqueline Mercury-Giorgetti a été blessée lors d’un refus d’obtempérer, dans la soirée du vendredi 1 mars à Metz. Le conducteur a été arrêté à bord d’un véhicule volé.

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  • Rome et l’Ibérie, la guerre de Numance

    L’Ibérie avant l’arrivée des Romains est un territoire morcelé entre de nombreux peuples et tribus (Tartessiens, Vaccéens, Vettons, Turdetans, Astures, Cantabres, Alergetes, …) dont les deux principaux sont les Lusitaniens et les Celtibères. La péninsule n’est pas unie par une culture commune, à la différence de la Gaule, mais divisée en quatre zones principales que l’on peut délimiter avec les inscriptions retrouvées en quatre langues : la Celtibérie au centre, la Lusitanie au centre-Ouest, l’Ibérie sur la côte méditerranéenne (langue non indo-européenne), la Tartessie au Sud-Ouest (non indo-européen). A cela il faut ajouter des comptoirs carthaginois dans le Sud et grecs à l’Est : ces peuples étrangers viennent s’installer pour exploiter les grandes richesses minières de l’Ibérie (or, argent, fer, plomb, étain), la péninsule étant alors perçue comme l’« eldorado » de la Méditerranée.
    Les Romains arrivent dans la péninsule pendant la seconde guerre punique (218-202 av. J.-C.) pour y chasser les Carthaginois, objectif rempli avec succès dès 208 (chute de Gadès). Mais une fois le conflit terminé, ils ne repartent pas pour autant : ils poursuivent au contraire la guerre en soumettant une à une les tribus locales. Dès 197 av. J.-C, la péninsule est divisée en deux provinces : la Citérieure (Est) et l’Ultérieure (Sud-Ouest), chacune étant dotée d’un préteur (gouverneur) avec une légion de 5000 hommes renforcés d’auxiliaires venant d’Italie. Pour autant, les hostilités sont loin d’être terminées : les autochtones vont par plusieurs fois secouer violemment le joug romain.

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  • Feu sur deux fléaux : Macronisme et escrologisme

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    « Coups d’œil & Tirs à vue et La désinformation autour de l’écologie : deux livres des éditions Dualpha « de » et « sous la direction de »… Philippe Randa »

    Entretien avec le directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés. (Propos recueillis par Guirec Sèvres pour le site Synthèse nationale) 

    Dans vos XXIe chroniques barbares, vous ne semblez toujours pas sensibles aux sirènes du Macronisme. Vraiment pas du tout ? Même pas un petit peu ?

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  • Les corporations étudiantes allemandes, introduction à un particularisme méconnu

     
    Les corporations étudiantes allemandes, introduction à un particularisme méconnu

    Les corporations étudiantes, Studentverbindung, en Allemagne existent, sous leurs formes actuelles, depuis le début du XIXe siècle. À l’origine de celles-ci, les formes les plus répandues étaient les Landsmannschaft, regroupant des étudiants venus d’une même région, les Corps, regroupant, quant à eux, des étudiants issus d’une même classe sociale et enfin les Burschenschaft, regroupant des étudiants ayant une vision pangermanique (deutschnational), nationaliste et démocratique de la politique. Le temps passant, de nouvelles formes de corporations étudiantes sont apparues et se sont démocratisées, comme les corporations catholiques.

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