Cette semaine, Aya Nakamura adoubée par Emmanuel Macron, Gérald Darmanin plombe une opération de police et un plongeon raté inaugure la piscine des JO.
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La Finlande prête à refouler les migrants sur sa frontière orientale
Un projet de loi d’urgence vise à préparer le pays en cas d’arrivée massive de demandeurs d’asile, dans le cadre d’une opération orchestrée par la Russie. Les juristes et les associations de défense des droits humains sont critiques.
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Le jour le plus sanglant de l’histoire de l’armée Francaise : 27 000 morts en 24 heures
Le 22 août 1914 tombaient dans la «bataille des frontières» 27.000 soldats français. Jamais une bataille n’aura coûté autant de vies, mais cette journée reste peu commémorée.
Durant les cinq journées tragiques du 20 au 25 août, se conclut «la bataille des frontières» , première phase de la guerre. En six jours, 40.000 soldats français succombèrent sur 400 km de front entre la Belgique et la Lorraine. Le 22 août concentra 27.000 morts en 24 heures dont 7.000 pour la bataille du village belge de Rossignol: c’est autant de soldats français tués en un jour que durant toute la guerre d’Algérie de 1954 à 1962.
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"BRILLANTE ATTAQUE STRATEGIQUE"
"L’effondrement du pont de Baltimore était une « attaque stratégique absolument brillante » contre les infrastructures critiques américaines – très probablement cybernétique – et nos agences de renseignement le savent.
En termes de guerre de l’information, ils ont simplement divisé les États-Unis le long de la ligne Mason Dixon, exactement comme pendant la guerre civile".Lara Logan a dit la messe, pour elle, l'affaire du pont de Baltimore est une attaque militaire. Je lui laisse cette appréciation, en notant toutefois que ses arguments sont diablement convaincants, et qu'il suffit d'avoir fait un peu de géostratégie pour arriver à la même conclusion qu'elle.
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Au tour du collage d'affiches ! | Stéphane Ravier
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La Bombe «européenne»
par Marc Labelle
Depuis que la bombe atomique ou nucléaire est détenue par des puissances de camps opposés (1949), elle possède le statut exclusif de dissuasion, car son utilisation impliquerait la destruction mutuelle assurée. En principe, cette dissuasion vise à sanctuariser le territoire national.
Or, le président français Emmanuel Macron a récemment énoncé que la dissuasion nucléaire de la France s’étendait à l’Europe. Au surplus, l’Ukraine, un pays néonazi et mafieux qui n’est pas membre de l’Union européenne ni de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord fait néanmoins partie de la conception macronienne de l’Europe.
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L’Europe d’une guerre à l’autre (XV – 3) – La Pologne trahie
Quels sont les problèmes qui ont occupé les dirigeants et les diplomates des grandes puissances du monde au printemps et à l’été 1939?
- La tâche première d’Hitler était de neutraliser la menace de l’entrée en guerre de l’Union Soviétique. Espérant que l’Angleterre et la France trahissent une fois de plus leur allié – la Pologne, le Führer a voulu éliminer la menace polonaise sans risquer un affrontement avec les Russes. Par la suite, il lui serait possible de reprendre un siège à la table des négociations avec les Britanniques, mais il serait alors en mesure d’insister pour être traité sur un pied d’égalité.
- La tâche principale de Staline était exactement la même – neutraliser le danger d’une attaque allemande contre l’Union Soviétique. Staline pourrait bien sûr tenter de conclure un traité d’alliance avec la France, la Pologne et l’Angleterre. Mais nous savons que les dirigeants des démocraties occidentales n’auraient jamais signé un tel traité. Et c’est exactement ce qui s’est passé. Même lorsque l’inévitable attaque allemande ne pouvait plus être ignorée, la Pologne suivit docilement les conseils de Londres et refusa de signer un traité d’alliance avec l’Union Soviétique. En conséquence, Staline n’avait d’autre choix que de conclure un accord avec Hitler.
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Gabriel Attal sera le seul à répondre à l’Assemblée Nationale. Exit les ministres !
C’est un changement incroyable.
Lors des traditionnelles questions au gouvernement, une nouvelle formule a été inaugurée.
Désormais, il n’y a que le premier ministre qui répondra aux députés.
D’ailleurs les ministres peuvent ne plus venir… pas la peine de les voir défendre leurs dossiers devant les représentants du peuple.
Les Français connaissaient les questions au gouvernement (QAG). Ils vont découvrir ce que l’on pourrait appeler les QAGA, pour « questions à Gabriel Attal ». Les députés s’apprêtent à inaugurer, ce mercredi 3 avril, une toute nouvelle formule de ce fameux rendez-vous politique, qui leur permet d’interpeller directement le gouvernement sur n’importe quel sujet.
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Connaissez-vous le boîtage ? | Stéphane Ravier
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RAPPEL : dimanche 7 avril, à Combourg (35), Roland Hélie invité du Parti de la France