
Le suspect de l’attentat de la synagogue de La Grande-Motte a été interpellé et sa photo circule largement sur les réseaux sociaux. Avec un décorum particulier certes, qu’on ne sait encore à quoi attribuer. Ce drapeau palestinien autour de la taille, façon qami, est une première, mais ce n’est peut-être que pour bien marquer la revendication première. N’en déplaise à la gauche et à son antisémitisme d’extrême droite, il s’agit bien de l’antisémitisme religieux, avec le fameux drapeau palestinien, présent dans toutes les manifestations d’extrême gauche et de cette importation sur notre sol, de la guerre entre l’état hébreux juif et les Palestiniens musulmans. Avant son arrestation, l’homme a ouvert le feu sur la colonne d’intervention, qui a riposté. Il était donc armé. Comme quoi, une fois de plus, on a la confirmation que se procurer une arme illégale en France n’est pas si compliqué et que ce sont bien ces armes illégales qui servent dans la délinquance, cependant que l’État se préoccupe de fliquer les chasseurs. Mais la récupération politique qui s’en suit a de quoi faire hurler, avec un Fabien Roussel, patron du PC, qui s’est rendu à La Grande-Motte en fin d’après-midi, « apporter tout son soutien à la communauté juive ». Avec Manuel Bompard, de LFI, qui lui aussi apporte son « soutien total aux citoyens de confession juive ». Ces deux là ne manque pas d’air, alors qu’ils sont en permanence du côté des coreligionnaires de l’assaillant, à se mêler aux manifestations pro-palestiniennes noyautées par l’islam radical. Le tout en dénonçant à cors à à cris un antisémitisme d’extrême droite dont on ne voit jamais la couleur. Ces deux là n’ont vraiment aucune gêne aux entournures.