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Paul Pobeda, un octogénaire propriétaire d’un immeuble en plein centre de Toulouse, raconte comment il est parvenu à récupérer son bien qui venait d’être squatté par l’ami d’un de ses locataires. (…)
« Petits plaisantins » : qu’en termes si gentils, si doux, presque cajoleurs, sont ainsi désignés les instigateurs des fausses alertes à la bombe qui se multiplient plus vite encore ces temps-ci qu’un coronavirus. Par qui ? Mais par « la » grande gueule du gouvernement, le guère aimable habituellement Éric Dupont-Moretti, Garde des Sceaux durant ses heures de bureau et pourfendeur de fachos le reste du temps (sachant que pour lui, le fascisme commence à la droite de François Bayrou).
Essayiste, écrivain, consultant international sur l’Afrique et auteur d’une récente étude réalisée pour Contribuables associés au sujet des dépenses relatives à l’immigration en 2023, Jean-Paul Gourévitch répond aux questions de BV.
Les gendarmes de l’Eure ont saisi un imposant arsenal chez un homme de 39 ans, résidant aux Andelys (Eure), selon un communiqué de la gendarmerie nationale. La cellule renseignements a été mise en alerte en raison du “comportement suspect de cet individu, acheteur de plusieurs armes sur un site internet de vente en ligne”.
C’est un entretien poignant et particulièrement intéressant avec Boualem Sansal qu’Alexandre Devecchio a publié dans Le Figaro du 14 octobre. Boualem Sansal ne cesse d’alerter les peuples occidentaux et principalement la France sur le danger islamiste et la faiblesse de leur riposte. Ils auront été dûment avertis par quelques grandes voix, dont celle de Boualem Sansal, qui rejoignent, d’ailleurs, tout simplement le sentiment populaire. Ici, la trahison des « élites » est patente. Elle est clairement désignée comme telle aujourd’hui par un nombre grandissant de Français.
Les médias de service public ne déçoivent jamais. Même dans le contexte actuel de massacres commis par le Hamas en Israël et d’une menace djihadiste maximale en Europe, une bonne partie des journalistes français parviennent encore à exonérer l’islamisme. C’est plus fort qu’eux. Pointer l’idéologie qui motive tant d’attentats est au-dessus de leurs forces. Prendre des mesures contre les étrangers radicalisés choque leurs sacro-saintes « valeurs républicaines ».
Macron sera en Israël, ce mardi 24 octobre. Bien tard. Il est probable, malheureusement, que le monde entier s’en moque comme d’une guigne… mais il est cependant possible que le président de la République nous déçoive quand même. Jordan Bardella rappelait, dimanche, sur Europe 1 et CNews (dans « Le Grand Rendez-vous »), que notre Président avait réussi le tour de force de se mettre à dos à la fois le Maroc et l’Algérie, ce qu’aucun chef d’État français avant lui n’avait réussi à faire. Il y a fort à parier qu’il a le talent nécessaire pour se brouiller à la fois avec le monde arabe et avec le gouvernement israélien. À la fois vibrionnant et totalement inutile, dans une version renouvelée de la mouche du coche, il fera probablement quelques selfies et publiera un ou deux tweets en hébreu ou en arabe, et la France continuera de couler. Même si rien n’est perdu, même si nous sommes condamnés à l’espérance, entre une opposition islamo-gauchiste désormais totalement revendiquée, une jeunesse immigrée qui déteste notre pays et un exécutif complètement aux fraises, il y a peu de raisons de se réjouir pour démarrer la semaine, alors que la précédente a mal fini.
Des hommes politiques sans goût pour « la » politique : le néant !
Des Français abandonnés par les pouvoirs politiques : du sang !
Quelques jours après la décapitation de Samuel Paty, survenue le 16 octobre 2020, le chefaillon de l’État, dans la cour de la Sorbonne, prononçait un émouvant discours, indiquant que « […] dans ce lieu de l’humanisme, […] nous continuerons, professeur. Nous continuerons ce combat pour la liberté et pour la raison dont vous êtes désormais le visage. Parce que nous vous le devons, parce qu’en France, professeur, les Lumières ne s’éteignent jamais » et d’ajouter « les mots, je les ai eus. Le mal, je l’ai nommé.