
Un Douaisien de 37 ans a été condamné, mardi, par le tribunal correctionnel. Reconnu coupable de violences conjugales sur une adolescente de 14 ans, qui partageait sa vie, entre novembre et décembre 2023. (…)
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Un Douaisien de 37 ans a été condamné, mardi, par le tribunal correctionnel. Reconnu coupable de violences conjugales sur une adolescente de 14 ans, qui partageait sa vie, entre novembre et décembre 2023. (…)
- l’inflation. « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » (Les animaux malades de la peste, La Fontaine).
- la forte baisse du pouvoir d’achat des salariés, des agents publics et des retraités.
- le coup d’arrêt à la baisse du chômage, qui remonte.
- la baisse drastique des investissements : la France subit une faiblesse dramatique des investissements privés et surtout publics.
par 21 Fév 2024 | |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Dans cette édition je vous propose une réflexion centrée sur la dette. La dette de notre pays a pour cause un budget déficitaire chaque année depuis l’an de grâce 1974 ! Oui.
Cela fait donc 50 ans en France que nous enchaînons les déficits budgétaires.
Il n’aura fallu à Milei que 2 mois pour faire enregistrer à son pays le premier budget mensuel excédentaire.
Rien n’est encore gagné pour l’Argentine bien évidemment, mais pour redresser la barre, encore faut-il commencer. Simplement commencer.
Tenir un budget est d’une simplicité enfantine.
Voici la première partie d’un article qui en compte deux, et qui est publié en février et mars dans la revue royaliste Le Bien Commun : il porte sur la démographie française et les risques du fléchissement de la fécondité en France, mais, fidèle à la citation de Georges Bernanos, « L’espérance, c’est le désespoir surmonté », il ne s’arrête pas au constat, et propose, en sa deuxième partie, quelques pistes de réflexion et de proposition pour « un nouveau printemps démographique ». Sur icelles, le débat est ouvert !
Cet hiver démographique qui menace la France…
Réfléchir sur la question sociale, c’est aussi se pencher sur la démographie française sans méconnaître celle des autres pays et continents, et en appréhender les grands aspects et les perspectives dans un monde qui semble peut-être plus incertain parce que la France paraît moins forte, moins assurée face à des puissances que l’on dit, par facilité plus que par discernement, nouvelles (1). Là encore, il importe de signaler que, bien que le fait principal de la natalité échappe largement et naturellement au politique, il n’en est pas pour autant totalement indépendant : si l’acte de procréer n’est pas, Dieu merci !, le fait ou l’obligation de l’Etat, les raisons qui peuvent soutenir ou, au contraire, dissuader la natalité, sont bien liés à la politique étatique générale, au-delà même du contexte et des simples conditions économiques. La démographie est, en fait, éminemment politique !
La délinquance, longtemps concentrée dans les grandes villes, touche désormais les petites et moyennes villes, avec une augmentation de 7,39% des atteintes à l’intégrité physique en 2023. Le Loir-et-Cher, la Côte-d’Or et l’Eure-et-Loir sont les départements les plus touchés.
Un phénomène inquiétant
Alors que les grandes villes françaises ont toujours été confrontées à la délinquance, ce fléau s’étend désormais aux territoires jusque-là considérés comme paisibles. Le bilan de la sécurité publique en zone de police pour l’année 2023 révèle une augmentation inquiétante de 7,39% des atteintes volontaires à l’intégrité physique dans les petites et moyennes villes.
Quatre jeunes femmes accusent Mohamed-Amine Azzabi, pour des viols commis entre 2018 et 2020 à Dijon. Une circonstance aggravante : les réseaux sociaux pour fixer les rendez-vous. Alors que le verdict est attendu mercredi, l’accusé continue de nier face aux témoignages des plaignantes.
20 chaînes Telegram francophones ont été censurées, à la suite du rapport de Viginum s’attaquant à un «réseau de propagande prorusse». L’une des victimes de l’opération, Alexandre Keller, animateur de la chaîne Telegram Kompromat, dénonce l’arbitraire visant des journalistes et un pouvoir français aux ordres de Washington.
Sa chaîne comptait près de 25 000 abonnés avant d’être censurée, mais il a déjà lancé un nouveau canal, qui a atteint 3500 abonnés en 48 heures. «On bosse dur», résume Alexandre Keller, animateur de Kompromat, au micro de RT.
Reporters sans frontières n’est pas à plaindre.
Si l’association se défend de toute idéologie, il faut regarder du côté de ses financeurs.
En 2021, un rapport du trésorier de l’association indiquait que « les subventions publiques représentent cette année 53 % des ressources d’exploitation de l’association », soit 4.293.000 euros. En décomposant ce montant, on remarque que « 74 % de [celui-ci] est constitué des subventions allouées par l’Union européenne (1.394.000 €), la Swedish International Development Agency - SIDA - (1.072.000 €) [connue pour financer un certain nombre d’associations LGBT et organiser les JO homosexuels « Outgames », NDLR] et l’Agence française de développement - AFD - (960.000 €). » Du côté des subventions privées, les choses sont sans équivoque.