En date du 5 septembre, Rachida Dati, maire du 7e arrondissement, aujourd'hui porte égide de la droite parisienne, brandissait l'étendard de la protestation et de la mauvaise humeur de ses électeurs. Il est vrai que les taxes foncières, dans la Capitale comme ailleurs, ont pris cette année un sérieux coup de multiplicateur, aboutissant en moyenne à une hausse de 62 %.
Son groupe "Changer Paris", ciblant les fautes, les erreurs, et parfois les mensonges, de Mme Hidalgo, ne peut évidemment que bénéficier d'un capital de sympathie de la part des électeurs, des contribuables et même des amoureux de Paris, s'il en existe encore.