
Une soixantaine de migrants occupent depuis dimanche une église à Lyon, a-t-on appris auprès de la police et du collectif qui les assiste.
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Une soixantaine de migrants occupent depuis dimanche une église à Lyon, a-t-on appris auprès de la police et du collectif qui les assiste.

Depuis l’indépendance des États-Unis, le 4 juillet 1776, jusqu’à la défaite du dernier chef apache Géronimo en 1886, les guerres indiennes restent la facette la plus controversée de la Conquête de l’Ouest.
Fabuleuse épopée pour les uns, génocide impardonnable pour d’autres, les guerres indiennes et le sort réservé aux tribus d’Amérique du Nord n’ont pas fini de faire débat.

Sur le front de Kherson, les forces aérospatiales russes et les unités de drones sont actives : des cibles ennemies ont été touchées à Tyahynka, un groupe de reconnaissance et sabotage ennemi a été détruit sur l'île de Karantynnyi. Les forces ukrainiennes ont tiré 39 obus sur notre rive gauche – aucune victime.
Sur le secteur de Zaporijjia, combats intenses au nord de Prymorsk. Nos forces resserrent l'étau sur Stepnohirsk. Plus à l'est, combats acharnés au sud de Novoandreïvka, dans la zone de Novodanylivka, qui est pratiquement encerclée, ainsi qu'à la périphérie nord de Mala Tokmachka, où nos troupes repoussent les contre-attaques ennemies et tentent de percer vers Orikhiv. À Huliaïpole, nos forces frappent avec des bombes à chute libre, et progressent vers la ville à travers les points d'appui au sud de Dorozhnanka.

Trente ans après Srebrenica, la Bosnie vit toujours dans l’ombre du 11 juillet 1995. Consacré « génocide » par les Nations unies, l’événement a figé la mémoire du conflit dans une lecture univoque : des bourreaux serbes, des victimes musulmanes. Or, une part entière de la guerre reste refoulée — celle des villages serbes rayés de la carte, des civils assassinés, des églises rasées. Pour les Serbes, la justice internationale a tranché avant d’instruire. À La Haye, l’histoire a été écrite à coups d’acquittements sélectifs et de qualifications discutables, au prix d’une humiliation mémorielle qui alimente la défiance. À mesure que le « génocide de Srebrenica » devient dogme politique, toute relecture factuelle est frappée d’anathème. Dušan Pavlović, ancien expert au Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie, refuse cette amnésie organisée. Explication.

D’Antoine de Lacoste pour la Revue d’Histoire européenne
Une fois de plus, les médias dominants occidentaux ont pris leurs rêves pour des réalités. C’était sûr : Javier Milei devait perdre les élections législatives après deux ans de présidence. Les sondages allaient dans ce sens, de récentes élections locales s’étaient mal passées et les Argentins ne supportaient plus les remèdes de cheval imposés à marche forcée par le tonitruant président.

par Adrian Korczyński
Le Groupe de Visegrád (V4), longtemps considéré comme le pilier de la souveraineté en Europe centrale, connaît une profonde reconfiguration : la Pologne perd de son influence régionale et Budapest-Bratislava-Prague-Belgrade forme un nouvel axe.
En 2025, le rôle de la Pologne au sein du bloc est devenu de plus en plus instable, le Premier ministre Donald Tusk – affaibli par la défaite de son parti à l’élection présidentielle – alignant fermement Varsovie sur la politique étrangère de Bruxelles.

Boualem Sansal, interrogé par Laurent Delahousse, a dû faire face à une question piège. Le présentateur lui a affirmé qu’on le classait souvent à l’extrême droite, et lui a tendu la perche pour se démarquer.
Combien de trouillards, y compris qui se disent de droite, se seraient dérobés, en disant, la bouche en cul de poule, qu’ils n’ont bien sûr rien à voir avec les idées nauséabondes et racistes de l’extrême droite et que Bardella, Zemmour, Marine Le Pen ou Philippe de Villiers ne sont pas leur tasse de thé.

Alors que l’extrême droite continue de s’enraciner auprès de l’opinion, la gauche paraît davantage préoccupée par le débat budgétaire et la question des primaires que par la nécessité de répondre aux questions qui taraudent les Français, la délinquance et l’immigration, analyse Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde », dans sa chronique.


Le vent devait venir du sud-ouest, sans doute, car la mer se levait en nappes sombres et sonores tandis que je tentais de marcher sur la digue de Lechiagat. À chaque rafale, j’avais l’impression d’être soulevé par la bourrasque comme un brin de varech. Renonçant à cette entreprise héroïque, je me suis réfugié au café des Brisants, ce repaire de demi-silence où les pêcheurs observent la météo comme on consulte une oracle capricieuse. Dehors, un vrai temps de chiottes, un rideau de pluie comme un mur liquide. Dedans, un peu de chaleur, une odeur de café brûlant, et Le Monde posé sur le comptoir.