
Une information du Parisien rapporte que trois juges d'instruction enquêtent actuellement autour d'un «financement illégal» de la campagne d'Emmanuel Macron en 2017, en lien avec le cabinet de conseil Mc Kinsey.
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L’incohérence du néoféminisme vis-à-vis de l’islam politique
Lors de la manifestation féministe #NousToutes, place de la République samedi 19 novembre à Paris, le collectif Némésis s’est infiltré dans le cortège en niqab, burka et hijab. Pour ces militantes identitaires, l’objectif était de dénoncer « l’incohérence du néoféminisme vis-à-vis de l’islam politique ».
Voici comment la presse rapporte les faits :
Un groupe de femmes fend la foule place de la République. Elles sont vêtues de voiles, de tenues amples et de masques noirs dans le but d’imiter les niqab, ces tenues masquant intégralement le corps des femmes et leur visage, interdites en France depuis 2011. Sur les photos [Voir ci-dessus] largement relayées sur les réseaux sociaux, elles brandissent des pancartes aux slogans provocateurs : « Féministe et islamiste », « ma burqa, mon choix » ou encore « mon coran, mes lois ».
Eric Ciotti, Bruno Retailleau et Aurélien Pradié, les trois champions se sont affrontés dans le cadre de leur seul débat télévisuel avant le vote des 3 et 4 décembre prochains.
Ruth Elkrief et Adrien Gindre ont présenté cet affrontement entre les trois protagonsites sur LCi, une émission d'une heure et quarante minutes.
par Rorik
Souvenons-nous, c’était il y a quatre ans, le 1er décembre 2018. Au troisième samedi de mobilisation des Gilets jaunes, la France du travail était dans la rue. Elle se soulevait contre un pouvoir devenu illégitime, qui la déclassait et la méprisait de ses taxes, s’opposant au règne du capital, du conformisme bureaucratique et des lobbies, accablée par un système de pression sociale toujours plus insidieux.
Au programme ce soir, à quoi tient la paix en Ukraine ? Alors que la situation sur place est de plus en plus inquiétante, la nécessité de négocier devrait peu à peu s’imposer dans les esprits… Seul Zelensky semble faire la sourde oreille.
Nous ouvrirons ensuite une page judiciaire avec les magistrats en colère qui manifestent aujourd'hui pour dénoncer leurs conditions de travail… Une colère sur fond de déclin généralisé des domaines régaliens.
ENQUÊTE – Les opérations de secours, comme celle menée par l’Ocean Viking, sont accusées par l’agence européenne de contrôle aux frontières Frontex d’«influencer la planification» des réseaux d’immigration clandestine. Les associations, elles, réfutent toute collusion.
(…)
Un cadre de la police aux frontières française le confie au Figaro : «En allant chercher les gens si près des côtes libyennes, certaines ONG rendent un service inespéré aux passeurs puisqu’elles sécurisent les convoyages et contribuent à en minimiser les coûts pour les réseaux.» Selon lui, «les navires prépositionnés reçoivent souvent des appels de détresse alors que les embarcations des migrants sont à quelques milles des côtes libyennes seulement, dans les eaux territoriales du pays».