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anti-national - Page 1036

  • Obligés de fuir leur quartier parce que blancs : gros plan sur une famille victime d’un racisme qui n’intéresse pas les médias

    Entretien réalisé par Atlantico :

    Monsieur et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes d’injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être évacués de leur domicile avec l’aide de la police et ont porté plainte. Monsieur LETERME s’est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors qu’il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des grands médias sur cette affaire, l’avocat de la famille accorde une interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public.

    Atlantico : Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce qu’elle n’appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s’est-il passé exactement ?

    Stéphane Maitre : Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police.

    Pourquoi avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés à faire connaître cette affaire dans les grands médias ?

    Parce que la famille LETERME va se retrouver doublement victime, et veut témoigner d’une incroyable injustice : malgré l’agression violente dont il a été victime, M. LETERME s’est retrouvé lui aussi sur le banc des accusés, poursuivi à côté de ses agresseurs pour un prétendu coup de poing qu’il aurait donné pendant la bagarre, alors qu’il n’a fait que se débattre comme il pouvait pour se défendre contre huit personnes qui le rouaient de coups. Sous prétexte que l’un des agresseurs s’était fait délivrer un certificat médical de son médecin traitant et avait déposé plainte (deux jours après les faits), le parquet n’a rien trouvé de mieux que de convoquer M. LETERME, non seulement en tant que victime (ce qui était la moindre des choses), mais également en tant que prévenu auteur présumé de violences légères.

    Peut-on aussi parler d’un cas avéré de racisme anti-blanc ? Avez-vous plaidé en ce sens ?

    Les mots parlent d’eux-mêmes : l’un des prévenus a clairement menacé Madame LETERME en ces termes : « on va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on va vous trancher la gorge à toi et à ta fille ». Il ne s’en est même pas caché, tenant ces propos devant le policier qui protégeait Madame LETERME. Ce n’est pas la première fois. La famille LETERME avait déjà déposé deux mains courantes pour ce type de menaces ouvertement racistes.

    http://www.contre-info.com

  • [video] Un avocat remet en place des policiers qui violent la loi

    triomphe.jpgLa police profite de l’ignorance des gens et de son impunité pour violer elle-même la loi comme on l’a vu souvent ces temps-ci (voir le communiqué du Renouveau français précédemment, avec son directeur arrêté préventivement !).
    Mais quand un avocat en tenue et en train de filmer leur rappelle la loi, ils finissent par céder, comme on le voit ci-dessous, quand maître Jérôme Triomphe fait libérer des jeunes interpellés pour port d’un sweat « manif pour tous ».

    http://www.contre-info.com/un-avocat-remet-en-place-des-policiers-qui-violent-la-loi#more-27675

  • Quand la République divise, méprise... et réprime !

    Dans les universités comme dans les lycées, les fins d’année scolaire sont toujours éprouvantes parce qu’elles affolent les professeurs soucieux de terminer les fameux programmes officiels quand les élèves, même à la veille du baccalauréat ou de leurs examens et concours, sont beaucoup plus sereins et cherchent à profiter, malgré les échéances proches, des douceurs du printemps : mais cette année est décidément fort particulière ! Jamais il n’a fait aussi froid au mois de mai, jamais le soleil n’a été aussi discret tandis que les rues de Paris et les places de nos villes de France sont le théâtre de manifestations, de veilles, de discussions enflammées, voire de confrontations musclées et, malheureusement, pas toujours pacifiques ni de bon aloi, comme on a pu le constater lors des événements du Trocadéro, au lendemain de la victoire du club du Paris-Saint-Germain, bien loin de la protestation contre la loi Taubira.

    Ainsi, la promesse de M. Hollande de « réenchanter le rêve français » (sic !) a-t-elle tourné au cauchemar et à la division, profonde, de la société française, comme le signalait encore « Le Parisien », ce lundi 27 mai : l’argument ancien avancé par la Gauche d’une fracture due au seul Nicolas Sarkozy est désormais dépassé et si personne ne l’a repris en tant que tel pour M. Hollande jusqu’à ses semaines dernières, c’est bien sa politique matrimoniale et familiale qui a mis le feu aux poudres en ce drôle de printemps et jeté tant de gens sur le pavé, effrayés de la remise en cause de ce qui était, jusqu’à présent, l’une des fondations solides de notre société et, au-delà, de la civilisation dont, que nous le voulions ou non, nous sommes les héritiers plus ou moins fidèles. Il semble bien que notre pays soit arrivé à ce moment délicat où le tissu social est si abîmé qu’il se déchire en haillons et que se multiplient les sujets de mécontentement et de colère : de Florange et des faux espoirs suscités par un candidat socialiste qui, devenu président, s’est empressé d’oublier ceux qui lui avaient fait confiance, aux Invalides qui voient, régulièrement, s’échouer les grandes vagues de la contestation du mariage homosexuel, des Français nombreux, aux aspirations parfois fort différentes, voire antagonistes, clament leur dépit et s’en prennent aux symboles et aux gardiens d’un Etat aujourd’hui confisqué (beaucoup plus qu’assumé…) par une faction politicienne plus préoccupée d’idéologie que de social.

    La grande faute de la République, quel que soit le détenteur de la magistrature suprême sorti des urnes depuis quelques élections, c’est de diviser encore et toujours au lieu, non d’uniformiser, mais de rassembler, d’unir les diversités et les différences au profit d’une synergie nationale, au moment même où les défis de la mondialisation, désormais dangereuse pour les équilibres sociaux et les capacités productives et culturelles de la France, se font de plus en plus pressants, voire oppressants.

    Là où il aurait fallu discuter et permettre à chacun de s’exprimer librement sans céder à la tentation de l’ostracisme pour qui ne partageait pas les vues du gouvernement en place, l’Etat, depuis quelques années, privilégie le passage en force : lorsque les électeurs français, en mai 2005, marquent leur refus d’une Constitution européenne qui semble ignorer les peuples et inscrire dans le marbre des règles économiques qui négligent la justice sociale, leur décision référendaire est méprisée et condamnée par les élites autoproclamées de l’Union européenne, élites qui profitent de l’élection d’un Nicolas Sarkozy pour contourner le vote français et faire adopter, par le Congrès assemblé à Versailles, ce que les urnes avaient rejeté deux ans plus tôt. Dans cette affaire peu honorable, socialistes et libéraux avaient fait cause commune, « au nom de l’Europe », nouvelle terre promise de l’ancien Occident médiéval et de ses marges, mais aussi alibi des renoncements du politique, et MM. Hollande et Sarkozy avaient posé ensemble sur une couverture de magazine, pour défendre la même politique, en somme. Affront terrible fait aux citoyens qui, désormais, ont perdu confiance en une démocratie si peu respectueuse de ceux qu’elle est censée représenter et, éventuellement, défendre…

    Même chose avec cette affaire de mariage homosexuel qui semble être devenu le seul marqueur identitaire d’une Gauche qui, faute d’être capable de résoudre la question sociale, se contente de faire du sociétal dans un sens libéral-libertaire et sans accorder aucune importance aux centaines de milliers de manifestants contestataires de l’automne, puis au million du mois de mars et à celui du 26 mai, au risque de cabrer et radicaliser les plus inquiets des opposants, persuadés d’être les victimes d’un « mépris d’Etat »fort préjudiciable à la confiance minimale nécessaire à l’Etat pour agir et faire accepter par tous son autorité à défaut de ses choix. Aujourd’hui, la désobéissance civique (réaction marquée par l’abstention, le vote protestataire ou la contestation permanente de l’Etat et de ses épigones), couplée à un désaveu moral (et l’affaire Cahuzac a évidemment accentué cette remise en cause de la croyance en la qualité de l’Etat…), fragilise la parole et la capacité à être respecté et simplement écouté, du Pouvoir en place.

    Cette situation est préoccupante et il sera difficile, désormais, de recoudre le tissu français : sans doute, même, faudra-t-il le retisser… Il faudra recréer les conditions de la confiance et, donc, de l’autorité reconnue, à la fois arbitrale et engagée, pour sortir de cette sorte de « guerre civile froide » qui n’est rien d’autre que la crise de la citoyenneté et de ses modes d’expression dans une Europe désincarnée et une France désenchantée parce que trop souvent trompée par des « dirigeants de passage » quandil faudrait des hommes d’Etat, quand il faudrait, d’abord et surtout, un Etat digne de ce nom, libre et attentif…

    Jean-Philippe Chauvin http://www.actionroyaliste.com

  • [Tribune libre] Flicaille-Racaille, le piège du 26 mai – par Spoutnik

    [Tribune libre]  Flicaille-Racaille, le piège du 26 mai – par Spoutnik

    PARIS (via Spoutnik) - Le texte ci-dessous est une tribune libre d’un rédacteur régulier de Novopress, il n’engage en rien la rédaction de Novopress. Et sur l’attitude plus qu’étrange de la police nous vous invitons à lire ce témoignage édifiant publié sur le Rouge et le Noir

    ——————-

    On était prévenu. Depuis le milieu de la semaine dernière , Manuel Valls avait déjà annoncé qu’il y aurait des incidents et qu’il faudrait « laisser les enfants à la maison ce jour-là ». Le préfet de police misait là dessus pour se racheter une conduite après le désastre du Trocadéro. M.Valls le voulait parce que ça le démange depuis l’occupation du toit  du chantier de la future  mosquée de Poitiers par Génération Identitaire l’automne dernier, il a également menacé d’interdire le Printemps Français vendredi dernier : il veut museler les mouvements d’opposition. Mais il subsiste encore des lambeaux de légalité démocratique en France : le ministre de l’Intérieur ne peut donc pas interdire chaque mouvement d’opposition, juste parce qu’il en a envie. Il faut des bonnes raisons pour cela. Quitte à les créer et les provoquer. Avec l’appui involontaire des “idiots utiles” d’une certaine extrême-droite.

    Le dispositif
    J’ai démarré la manifestation avec quelques amis, en intégrant le cortège qui démarrait de la porte Dauphine. Pendant que nous descendions tranquillement vers les Invalides, je me suis étonné de la quasi-absence de dispositif policier le long du parcours, alors que le ministère de l’Intérieur avait annoncé la mise en place d’effectifs records. C’est en arrivant sur l’esplanade des Invalides que nous avons compris où était la police. L’esplanade des Invalides était transformée en nasse : tous les points de sortie en était coupés. Nous avons donc décidé d’en avoir le coeur net en remontant les parcours des autres cortèges : toutes les rues adjacentes étaient bloquées par des barrière anti-émeute quasiment jusqu’à Montparnasse. Curieusement, les CRS en faction dans ces rues là, laissaient passer les gens qui voulaient rejoindre la manifestation, mais pas l’inverse, ils bloquaient les gens qui voulaient en partir (riverains inclus). Je m’explique : il était encore tôt dans l’après-midi, les trois cortèges étaient très loin d’avoir encore terminé de converger vers les Invalides, l’atmosphère était festive et bon enfant. Pourquoi empêcher des gens qui le souhaitaient, de quitter les lieux dès ce moment-là ? En terme de maintien de l’ordre, cela n’a aucun sens. A moins d’avoir une idée derrière la tête. Celle de vouloir créer une cocotte-minute.

    Nous revenons vers l’esplanade où nous nous posons quelques minutes sur les pelouses extérieures. A partir de 18h, alors que l’ambiance est toujours bon enfant, nous commençons à voir des de troupeaux de policiers en civils – toujours aussi mal déguisés – sans brassards, se déplacer vers le bas de l’esplanade, en direction de la Seine. Ils vont y rester un moment alors que les discours à la tribune ne sont pas encore terminés. Ils attendent quelque chose, c’est évident… Le moment de rentrer en scène. Nous comprenons alors ce qu’il va se passer : il n’y a pas d’incidents ? Ils vont donc les provoquer.

    Il est facile de faire dégénérer une manifestation de ce type, surtout quand le service d’ordre de la manif en question est plus préoccupé par le fait de faire placer les gens au bon endroit pour qu’ils soient comptabilisés, plutôt que par l’expulsion d’éventuels provocateurs. Un service d’ordre de bisounours. Les conséquences vont se payer très cher. Un troupeau de policiers en civil, caricaturalement déguisés en « fachos » sur le point de faire un mauvais coup, ça doit être expulsé d’une manifestation : si ce ne sont pas des flics, on vire ainsi les excités, si ce sont des flics (la suite a prouvé que oui) , on les oblige ainsi à sortir leurs brassards et à se démasquer AVANT un quelconque incident. [Les deux vidéos ci-dessous montrent bien que ces « casseurs » montrent leur brassard police lorsque les manifestants ainsi piégés et ainsi énervés les reconnaissent, brassards mis en avant pour éviter de se faire cogner par les CRS qui vont attaquer brutalement les manifestants restés sur place, note de Novopress]

    Le piège
    Les incidents démarrent aux alentours de 20h. Des gens sont restés sur l’esplanade, mais ils sont calmes. Les Veilleurs s’installent de leur côté.
    Des journalistes sont attaqués.

    Les journalistes semblaient “au courant” qu’il y aurait des problèmes. Ils se sont équipés comme pour aller en zone de guerre.

    Pour ce que nous avons pu en voir ,les attaquants ressemblaient beaucoup aux flics en civil vus un peu plus tôt. La foule commence à s’agiter, les CRS reçoivent des projectiles. Voyons voir un peu la tête des lanceurs de projectiles :

    Les flics en civil, facile à reconnaître. Grosse doudoune sous laquelle il y a visiblement du matos, passe-montagne et casque pour être non identifiable. Plus âgés que la moyenne des manifestants : les militants vétérans sont connus, on peut les identifier même si ils sont à moitié masqués. Si PERSONNE ne les connait, ce sont des flics. Le crétin pas masqué sur la gauche qui suit bêtement le mouvement est lui un vrai manifestant.

    Les flics en civil, facile à reconnaître. Grosse doudoune sous laquelle il y a visiblement du matos, passe-montagne et casque pour être non identifiable. Plus âgés que la moyenne des manifestants : les militants vétérans sont connus, on peut les identifier même si ils sont à moitié masqués. Si PERSONNE ne les connait, ce sont des flics. Le “crétin” pas masqué sur la gauche qui suit bêtement le mouvement est lui un vrai manifestant [certainement emporté par sa colère, note de Novopress].

    Dans ce contexte, les « racailles » d’extrême-droite vont commencer à s’amuser. C’était le but de la manoeuvre policière. Je précise que je ne mélange pas sous l’appellation « racaille » des militants politiques identifiés et des braves gens qui s’attardaient sur l’esplanade et se sont retrouvés pris dans le mouvement. Difficile de ne pas réagir quand on est pris dans un mouvement de foule. Difficile de ne pas riposter quand on se fait taper et gazer. Surtout quand la police est hostile depuis des semaines. La cocotte-minute a explosé. C’ETAIT LE BUT DE LA MANOEUVRE.

    Mais il y a des gens qui confondent la politique et le hooliganisme, qui viennent au manifs juste pour se cartonner avec les flics. Le carton ne se justifie que s’il y a un sens politique. Quel sens y avait-il à se cartonner avec les flics hier soir ? Les organisateurs avaient bien précisé que cette manif serait la dernière (sur l’air du « on ne lâche rien mais on arrête ce soir »). Si les manifs avaient dû se poursuivre, oui, cela pouvait se comprendre : il se serait agi de durcir le rapport de force avec le gouvernement. Alors que là, ça sert à quoi concrètement ?

    A rien. Mais certains voulaient s’amuser. Nous avons vu plein de “fafounets” qui rôdaient en fin de manif et qui n’attendaient plus que ça. Mais il n’ y avait pas que des électrons libres. Certains mouvements ont revendiqué leur participation dès 21h avant-hier soir sur les réseaux sociaux. Il y avait également des militants que l’on avait plus vus à des manifestations depuis 20 ans, se pointant  comme par hasard uniquement en fin de manifestation vers 18h-19h pour chercher objectivement le carton avec la police.

    La bonne attitude qu'il fallait avoir, malheureusement trop minoritaire.

    La bonne attitude qu’il fallait avoir, malheureusement trop minoritaire.

    Les policiers ont commencé, les “fafounets” ont répondu à la provocation. Panurgiquement. Bêtement. Et les CRS ont riposté. Logiquement. Sans s’embarrasser de faire le tri entre les excités et les manifestants dignes qui chantent la Marseillaise en brandissant des drapeaux français.

    A partir de là, les flics vont jouer sur du velours : gazage et matraquage pour tous.Les flics en civil ressortent leurs brassards.  La situation devient incontrôlable. Les incidents souhaités sont là et bien là.

    Les inoffensifs Veilleurs qui subissent les conséquences de l'agitation hooliganesque de certains.

    Les inoffensifs Veilleurs qui subissent les conséquences de l’agitation “hooliganesque” de certains.

    Les politiques
    Pendant que les «certains s’amusaient aux Invalides, d’autres faisaient de la politique.

    Rappel aux élus UMP de leurs contradictions : défiler avec la manif pour tous et par ailleurs refuser d'abroger la loi s'ils revenaient aux affaires (Génération Identitaire, 13h, porte Dauphine)

    Rappel aux élus UMP de leurs contradictions : défiler avec la manif pour tous et par ailleurs refuser d’abroger la loi s’ils revenaient aux affaires (Génération Identitaire, 13h, porte Dauphine)

    Occupation du siège du Parti Socialiste par Génération Identitaire.

    Occupation du siège du Parti Socialiste par Génération Identitaire.

    Les conséquences
    - L’image pacifique de la Manif pour tous est irrémédiablement abîmée : nous ne sommes pas dans la configuration du 24 mars sur les Champs-Elysées, où des familles et des militants pacifiques se sont fait brutaliser indûment par les forces de l’ordre. Le bilan de la journée – entre 500.000 et un million de personnes pacifiques – est médiatiquement passé à la trappe. [Comme l'explique ce témoignage sur le Rouge et le Noir, note de Novopress].

    - Le préfet de police de Paris et Manuel Valls commençaient à être en difficulté suite aux incidents de ces dernières semaines (auxquels il faut ajouter le désastre du Trocadéro) . L’occupation du siège du PS aurait pu même conduire le préfet à la démission, c’était l’incompétence de trop pour ses services. Et bien, non.Ils sauvent leurs têtes.

    - Frigide Barjot est relégitimée. Depuis des jours qu’elle dit qu’elles ne veut rien avoir à faire avec des “nervis d’extrême-droite”, cela lui a été beaucoup reproché parce que ce qu’elle disait était FAUX jusqu’à présent. Je le répète les familles du 24 mars et les agités d’hier ne sont pas les mêmes.

    - Des menaces de dissolution risquent de planer sur le seul mouvement qui, lui, a fait de la politique et n’a pas participé aux incidents (les jeunes de Génération Identitaire ont un alibi béton, ils était déjà en garde à vue pour l’occupation de Solférino). Manuel Valls a déjà annoncé la couleur dès hier soir en parlant « d’inadmissibles violences de l’extrême-droite identitaire ».

    - Des manifestants pacifiques, eux, qui n’ont rien fait d’autres que résister comme ils le pouvaient , se retrouvent interpellés, victimes de gardes à vue abusives (plus de 20 h pour beaucoup d’entre eux, alors que la police n’a toujours rien trouvé à leur reprocher à ce jour)

    - Depuis une répression policière féroce et totalement injustifiée s’abat sur toutes les actions liées de près ou de loin à LMPT : arrestations arbitraire pour déambulations sur la voie publique, port de t-shirt, cri de slogans et j’en passe, toujours assorti de 15 à vingt heures de garde à vue…

    Alors, tout ça pour s’amuser un peu et se donner le frisson de la dissidence ? La politique ce n’est pas du hooliganisme. Repérer des flics en civils et ne pas rentrer dans leur jeu, c’est le B.A-BA de la pratique de la manifestation. Que des gamins inexpérimentés, et à bout de se faire mépriser par le système depuis des mois, se fassent avoir, c’est une chose. Ils ont l’excuse de l’inexpérience et de la colère accumulée face au mépris. Que des militants « vétérans » ou « actifs » tombent dans le panneau, juste pour retrouver le frisson de leur « vingt-ans » c’est inexcusable. C’étaient leur rôle de canaliser les inexpérimentés, justement. Et de ne pas faire ce que la police attendaient d’eux. La politique n’est pas un jeu.

    Et la violence ne se conçoit que si elle a un but. Frapper pour le plaisir de la bagarre sans réfléchir aux conséquences, ce n’est pas un comportement de militants politiques, mais de racailles.

    Alors on nous annonce sur les réseaux sociaux une nouvelle manifestation, ce qui n’était pas prévu. Pour le moment aucune demande officielle en préfecture n’a été déposée. Mais les éléments dont on dispose (14 juillet, Champs-Elysées) laissent présager un refus de la préfecture. Elle avait déjà refusé les Champs-Elysées, avant le moindre incident. Il estprobale que quelle que soit la décision de la préfecture, les manifestants viendront quand même. On peut même d’ores et déjà prévoir de probables affrontements avec les forces de l’ordre. Le contexte sera différent : il s’agira là de défendre nos droits de citoyens, notre liberté d’expression, notre droit de manifestation. Pas d’aller « s’amuser »

    « Politique d’abord » (Charles Maurras). Sans arme, ni haine, ni violence

    Spoutnik http://fr.novopress.info

  • Dans l'attitude exemplaire du peuple, il y a peut-être cette France « éducatrice des peuples »

    Extrait de l'homélie de l'Abbé Patrick Faure, Curé de St Eugène Ste Cécile, lors de la messe célébrée mercredi à Notre-Dame de Paris :

     

    "Il n’appartient pas à la patrie terrestre de définir et de décider par elle-même, par voix légale, au besoin parlementaire, qui a le droit de vivre et qui ne l’a pas, qui a le droit de connaître ses origines et qui ne l’a pas. A travers la légalisation de l’avortement, et aujourd’hui la légalisation du mariage homosexuel conduisant logiquement tôt ou tard à la procréation artificielle des enfants, le législateur français construit la patrie terrestre sur le meurtre et la blessure des plus petits des siens. Mais ici, à Notre-Dame, les veillées de prière pour la vie rassemblent des fidèles de toute l’île de France, pour demander à Dieu la grâce de mener le combat pour la vie dans la persévérance, l’énergie et la dignité. C’est ici qu’on prend conscience – en ces jours où nous sommes - que l’amour surnaturel pour la France, pour ses grandeurs et pour sa liberté, veut dire très concrètement le même amour égal pour tous ses enfants, y compris les plus faibles dans leur droit à la vie et à leurs origines.

    Beau combat où il faut écouter, argumenter, réfuter, promouvoir. Beau combat où il faut montrer la vraie vie conjugale et familiale, fondée sur la nature des corps, face à ses contrefaçons fondées sur les besoins de l’ego.

    Lors de l’inauguration des célébrations du jubilé, le 8 décembre dernier, le cardinal archevêque de Paris rappelait que le péché originel a défiguré la relation entre Adam et Eve.

    Disons qu’aujourd’hui c’est bien le péché, mensonger dès l’origine, qui voudrait au nom de la loi dénaturer cette relation entre l’homme et la femme, et sa fécondité. Mais la France résiste, plus que d’autres pays. Et elle résistera encore, dans la durée, avec autant de force que d’intelligence, jusqu’au jour où les lames de fond qu’on veut faire passer pour des feux de paille la remettront debout, grandie par ses épreuves.

    Dans son récent discours à l’Académie des Sciences Morales et Politiques, le cardinal archevêque de Lyon relève que les autorités romaines ont été impressionnées par l’attitude des catholiques de France face aux réformes du mariage et de la filiation. Et ces autorités romaines ont remercié les évêques en visite ad limina pour leur appel à la prière, au jeûne et à la réflexion menée avec des juristes, des éducateurs, des philosophes, des psychologues et des représentants des autres religions. Et le cardinal de Lyon de voir que dans cette attitude exemplaire il y a peut-être cette France « éducatrice des peuples », comme l’a nommée le pape Jean-Paul II en 1980.

    [...] Si souvent, mes frères, le regard que nous portons sur notre pays et sur notre église gagne à être élargi par le regard que les autres portent sur la France. Que jamais nous ne perdions cet élan et cet appel qui nous ouvrent à l’Eglise universelle et à la vraie vie. C’est là notre vocation de français.

    Nous serons fidèles à cette vocation aussi longtemps qu’aux pieds de Notre-Dame, en ce lieu le plus visité du monde, nous serons les enfants de l’épouse du Christ qui récapitule en lui tout ce qui est humain et tout ce qui est divin, tout ce qui est sur terre et tout ce qui est au ciel. Nous serons fidèles à notre vocation de français, insufflant à leurs compatriotes l’amour de la vérité, aussi longtemps que nous serons les enfants de celle qui a la Vierge Marie pour mère, l’Ecclesia Catholica. Voilà notre assurance et voilà notre avenir. Que Dieu les bénisse et qu’il fasse de nous ses témoins."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La Révolution est née dans la révocation des lois

    Lu sur France Catholique

    Parfois il suffit de trois lignes écrites par un ami, fut-il à 5.000 kilomètres, pour ressentir une joie pure et sainte, et de se dire qu’il n’est pas inutile de se battre à coups multipliés de pauvres mots indigents et lancés dans les airs comme d’invisibles bouteilles à la mer.

    Depuis novembre mes neurones se sont surtout concentrés sur ce combat nécessaire, dont l’un des enjeux est la sauvegarde de toutes les familles, le bien des enfants à naître, rien d’autres ici que leur droit enfin et pleinement reconnu de vivre et non d’être anéantis ; leurs droits d’être entourés d’un vrai père, d’une vraie mère et non déclaré dès sa naissance orphelins de père ou de mère ; leur droit d’être éduqués par ceux qui les ont donné la vie et non par des ministres aux mœurs peut-être répréhensibles, des éducateurs idéologisés, tous soumis aux modes du temps comme aux loufoqueries éventuelles de hauts-fonctionnaires distingués… La confiance ne peut plus être accordée automatiquement.

    Que m’écrit Fernand ? Qu’il est d’accord avec ce que je dis, avec ce que je fais, si laborieusement que ce soit. Il est un grand poète donné à notre langue par le Québec qui est aussi celle de nos cousins là-bas…

    « Cher Dominique, je suis toujours tes écrits dans France Catholique. On est vraiment gouverné par une bande de déracinés. À la fois sur le plan de la conscience religieuse et de la conscience culturelle.

     » Imagine que je continue mon travail d’écriture poétique à près de quatre-vingt-trois ans. N’est-ce pas ridicule ? Alors, lorsque je vois que des cours en anglais seront donnés en France dans certaines universités, j’ai l’impression, comme Québécois, de recevoir de la part de ma propre mère un coup de couteau dans le dos, ou dans l’esprit.

     » Décidément l’état de notre monde actuel va faciliter ma mort. Le quitter sera moins pénible.

     » Amicalement,

    Fernand  »

    Il y a trois heures, Natacha m’a révélé que le président Hollande, au cours d’une visite dans un lycée, avait prononcé un discours aux élèves qui le fréquentent et dans ce discours lancé le mot « résistance », victime selon lui d’une indignité, car ce mot était interdit d’usage depuis la dernière guerre, surtout quand il s’agit « de défendre de ces idées » que je défends, que nous sommes pourtant des millions à défendre, « et qui d’ailleurs, a-t-il ajouté, ne sont même pas des idées ! ».

    Ah, quel coup de coup de pied de l’âne en pleine figure ! Réveillons-nous, Français, nous ne combattons pas avec les mêmes armes que cet homme et ces complices.

    Je n’ai aucun mépris pour lui, quoiqu’il emploie des arguments assassins : il ne peut en effet qu’être un pauvre parmi les pauvres, un errant balbutiant dans les labyrinthes d’un Pouvoir dont il ne saisit pas la nature ni les dangers : ni les mérites ni les abîmes, et pas plus découvrir à quel point il n’est qu’une marionnette entre des mains expertes dont la seule caractéristique est qu’elles sont occultes.

    Il démontre par l’évidence qu’il ne sait rien, qu’il ne comprend rien à tout ce qu’ont écrit les écrivains de ce bord, parfois chrétiens, parfois non ; les journalistes chrétiens de France Catho, des Manants du Roi, du Salon beige, des chroniqueurs de KTO et des nombreux autres petits médias où ils se retrouvent nombreux ; les membres du Collectif de la « Manif-pour-tous », les évêques de France accompagnés de nombreux théologiens ; les philosophes parfois de droite, parfois de gauche, les penseurs juifs et musulmans qui ont fait chorus avec nous tous ! [...]

    Dominique Daguet - La suite sur France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net/

  • Valls doit démissionner – Communiqué du RF

    autoc-adoption.jpgCommuniqué du Renouveau français :

    « Alors qu’ils se rendaient naturellement à la manifestation du dimanche 26 mai, un peu avant 14h, notre directeur et une dizaine de militants du RF ont été arrêtés arbitrairement dans la rue, puis emmenés illégalement au commissariat suite à ce contrôle d’identité, alors que chacun avait pu justifier de son identité !
    Ils sont restés 5 heures détenus, dans la plus parfaite illégalité, avant de pouvoir rejoindre leurs camarades aux Invalides.

    Après avoir pu constater l’immense succès de cette mobilisation populaire de la France réelle face aux délires d’une oligarchie perverse, ils ont aussi constaté l’attitude inacceptable de la police aux ordres de Manuel « Gaz », comme en témoignent diverses videos visibles sur internet.
    Les centaines de gardes à vue de ces jours derniers sont elles aussi inadmissibles.

    Devant cette avalanche de scandales – témoins d’un régime qui perd pied et qui s’en prend logiquement mais intolérablement à ses véritables ennemis, les nationalistes -, Valls doit démissionner immédiatement !
    Et il doit aussi présenter ses excuses au Renouveau français.

    Le Renouveau français considère que le nombre et la détermination des manifestants de dimanche sont un motif de consolation et de réjouissance en ces temps sordides.
    Les « heurts » sur l’esplanade des Invalides ont aussi montré que la force du Système et de ses nervis réside dans notre faiblesse, dans notre attitude parfois trop timorée et dans notre manque d’unité.
    Le combat ne fait que commencer. »

    http://www.contre-info.com

  • Manuels Valls réveillé à Bordeaux ce matin

    Sur le Figaro

    "Quelque soixante opposants au mariage gay, dont des militants du Printemps français et de la Manif pour tous, ont tenté ce matin à Bordeaux de "réveiller" le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, qui avait passé la nuit à la préfecture. Munis de sifflets, les manifestants s'étaient donné rendez-vous vers 5h45, via réseaux sociaux et textos, pour tenter de "réveiller" le ministre, qui logeait à la résidence préfectorale, dans le centre-ville, après un déplacement hier en Gironde et avant son départ pour Marseille".

    Sur info-Bordeaux qui propose une vidéo : 

    "Le ministre de l’intérieur était en déplacement à Bordeaux et logeait cette nuit à l’hôtel de la préfecture. Vers 05h30 ce matin, plusieurs dizaines de jeunes sont venus le réveiller avant son départ pour Marseille, aux cris de « Valls démission », « Hollande ta loi on n’en veut pas » ou encore « dictature socialiste ».

    Les forces de l’ordre étaient en nombre, et dirigées par le commissaire Jean-Claude Borel-Garin (photo), elles avaient bouclé tout le quartier. Ce dernier n’a pas hésité à faire sortir les gazeuses face à des manifestants totalement pacifiques.

    Face à la pression des anti « mariage pour tous », les sorties en province des ministres sont désormais couvertes par d’importants dispositifs policiers. Le signe d’un gouvernement de plus en plus coupé du peuple ?"

    Lahire   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Mères Veilleuses : Soyez nos Jeanne !

    Par Baudy Bod. 

    Quelle fut la surprise de tous ces hommes aguerris au combat lorsque se présenta devant eux cette jeune fille à la conviction marquée ! Quelle fut leur stupeur lorsqu’elle s’adressa à eux, non comme aux chefs qu’ils étaient, mais tel un général haranguant ses troupes ! Quelle fut leur incrédulité lorsqu’ils la virent mener la charge sur les remparts d’Orléans ! Pourtant, ils auraient dû savoir eux, ces conseillers militaires, ces stratèges des premières heures, que la conviction d’agir pour la Vérité est le fondement du courage.

    Toutes ces années ils étaient là, entourant le dauphin Charles qui ne savait plus s’il devait lutter pour sa couronne ou se résigner et demeurer un Roi sans sacre. Car, en France, si la mort du précédent entraine l’avènement du suivant au cri du célèbre « le Roi est mort, vive le Roi ! », pour se revendiquer bras armé de Dieu, il doit être oint. Plus qu’une histoire guerrière, c’est un ode au courage qui germe avec Jeanne la pucelle. Elle est la voix de l’espérance, lorsqu’armée de son fanion elle défie crânement l’ennemi pour aller planter l’étendard fleur de lysé sur les remparts d’Orléans. Elle est de ceux qui d’une parole, d’un geste ou d’un regard vous font comprendre que la bataille est gagnée, quelle qu’en soit l’issue. Elle est de ces héros qui encaissent les coups avec le sourire, parce qu’ils savent que leur résistance forcera l’admiration de leur bourreau.

    Aujourd’hui Mères Veilleuses je vous le dis : Soyez nos Jeanne ! Vous êtes par votre maternité, par votre statut de mère, les boxeurs des temps nouveaux. Vous avez durant toute votre vie encaissé tous les coups. Acceptant de mettre entre parenthèses une carrière prometteuse pour donner la vie. Continuant votre passion sans jamais oublier votre nouvelle mission de mère. Multipliant concessions et sacrifices, pour l’amour d’une vie. Oui, vous êtes ces boxeurs capables d’encaisser tous les coups en gardant le sourire… Mais comme dans tout combat, vient l’heure de la riposte : vous savez que votre heure est venue.

    Mères veilleuses

    Cette lutte ancrée dans votre maternité a un sens beaucoup plus grand qu’un simple combat de boxe. Vous entrez en guerre pour l’enfant. Pour le droit de chaque enfant à grandir dans les bras d’une mère et d’un père. Une guerre pour le féminisme moderne, où la femme existe aussi comme dépositaire de la maternité. Alors saisissez l’étendard rose de votre mouvement, ceignez l’écharpe blanche, symbole de votre détermination pacifique, brandissez la flamme de votre maternité pour défendre cette filiation ! Oui, nous sommes tous des dauphins en mal de couronnement. Oui, nous avons pu grandir dans une famille où la figure du père croisait celle de la mère. Parfois par intermittence il est vrai, mais toujours en lien avec nos origines. Luttez pour que la continuité des liens biologiques prime ! Boutez hors de France l’idéologie du Gender, venue de cette nouvelle Angleterre comme une histoire qui se répète !

    Et lorsque votre regard croisera celui de vos fils, maris, ou amis faites leur comprendre que lorsque les mères en sont réduites à descendre dans la rue c’est que l’heure est grave et que chaque homme doit désormais vous épauler. Faites-leur comprendre que votre courage n’a de sens que s’il galvanise leurs convictions. Faites-leur comprendre que chaque écrit, chaque veillée, chaque manifestation est un coup de bélier dans le rempart du Gender. Et lorsque certains vous traiteront de folles, souvenez-vous qu’il n’existe pas de plus belle vocation que celle de défendre sa famille comme vous le faites.

    http://latableronde.wordpress.com/

  • Rappel aux forces de l’ordre de l’interdiction d’exécuter des ordres illégaux

    Rappel aux forces de l’ordre de l’interdiction d’exécuter des ordres illégaux

    L’AGRIF communique :
    L’AGRIF et ses avocats constatent les faits suivants :
    Un peu partout, des forces de police et de gendarmerie sont détournées par le gouvernement Hollande à des fins de répression idéologique contre l’immense mouvement d’objection de conscience morale face à la loi radicalement antihumaine imposée par la dictature LGBT-OGM. (AGRIF)
    Le pouvoir provisoirement en place emploie contre ce mouvement de défense de la dignité humaine toute la panoplie des moyens des régimes totalitaires :
        – Déshonorante tentative d’instauration d’un climat de peur par le ministre des Gaz et Matraques, Manuel Valls, pour essayer, en vain, de dissuader les familles de venir clamer leur détermination de ne pas accepter une loi de désintégration de l’humanité ;
        – Arrestations nombreuses, incessantes et totalement arbitraires de personnes pacifiques, pour simple « délit de bonne gueule », ou par exemple pour simple port de vêtements siglés « la Manif pour tous », voire pour simple port d’un drapeau français, manifestement non prisés par les ministres de la dictature socialiste et de l’écologie subvertie ;
        – Cas de mères de famille attendant leurs enfants à la sortie des écoles, ignoblement embarquées dans les fourgons par de pauvres exécutants sans souci des droits des personnes et du sort des enfants ;
        – Placements sur écoutes, filatures, arrestations, rétentions, mises en garde à vue à des fins d’intimidation et de fichage et en violation flagrante du droit se succèdent ainsi comme aux époques annonciatrices des persécutions jacobines, nazies et communistes.
    Cependant, la police et la gendarmerie ne font plus face à la délinquance grandissante dont on occulte des faits très graves. Et rien n’est fait contre les actes de profanation d’églises et de cimetières qui se multiplient et contre lesquels, malgré les plaintes de l’AGRIF, les enquêtes ne sont pas diligentées.
    Les dirigeants et avocats de l’AGRIF constatent, comme des millions de Français, que l’actuel gouvernement, imposant une loi immorale de déni d’humanité par tous les moyens de manipulation et de violation d’une authentique démocratie respectueuse de la loi morale naturelle et éternelle, s’est enfermé dans l’illégitimité et sombre désormais dans l’illégalité la plus grossière. Ils vont riposter à cette situation d’iniquité par tous les moyens de justice et de droit encore subsistants et en appellent aux magistrats protecteurs de la défense des libertés.
    Les forces de l’ordre sont aujourd’hui employées à des missions de répression et d’intimidation des honnêtes gens qui ne réclament que de pouvoir s’exprimer.
    Elles savent pourtant que prévaut désormais fermement depuis 1945 dans le droit international et national la doctrine dite des « baïonnettes intelligentes ». Celle-ci dispose que les agents de l’Etat sont responsables pénalement s’ils exécutent des ordres manifestement illégaux (article 122-4 du Code pénal), notamment les atteintes arbitraires à la liberté individuelle qui sont réprimées par l’article 432-4.
    Ce dernier article fait encourir 7 ans d’emprisonnement aux auteurs et aux donneurs d’ordre portant atteinte arbitrairement à la liberté individuelle.
    Des dizaines de plaignants, notamment soutenus par l’AGRIF et assistés par ses avocats, et bien d’autres encore en concertation avec eux, vont saisir dans les prochains jours les instances judiciaires de plaintes contre les atteintes aux droits les plus fondamentaux de la personne humaine.
    Bernard Antony

    antonyb@wanadoo.fr
    28/05/2013  http://www.polemia.com

    Pris sur le vif sur l’Esplanade des Invalides :

    – « Là on voit les motivations de Vals : 30 arrestations au Trocadero…350 à la Manif du mariage pour tous …cela démontre que les casseurs venant des banlieues non rien a craindre avec ce gouvernement ….deux poids deux mesures….on s’en rappellera aux prochaines élections..n’ayez crainte… »

    Voir aussi : 

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/28-05-2013/lettre-ouverte-au-president-de-la-republique-apres-la-rafle-des-champs-elysees-du-25-mai-2013

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/29-05-2013/25-mai-2013-la-rafle-des-champs-elysees-ou-comment-un-pere-de-famille-sest-fait-placer-en-garde-a-vue-pendant-24-heures-pour-une-simple-ballade-sur-la-plus-belle-avenue-du-monde