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anti-national - Page 1116

  • Le vrai visage de la LICRA et de l'antiracisme en France

  • Les colis alimentaires de plus en plus sollicités en Europe

    C’est une des conséquences les plus visibles de la crise: de plus en plus d’Européens ont faim et doivent recourir aux colis alimentaires pour s’en sortir, constate la Croix-Rouge européenne.

    Selon un responsable de la Croix-Rouge européenne, il n’y a jamais eu autant de colis distribués depuis 1945. L’aide intérieure prend le pas sur les projets à l’étranger.

    Trois millions de personnes dépendent de ces colis en Espagne, par exemple. Mais dans des pays dits riches, la tendance est aussi à l’augmentation, comme en Finlande ou au Luxembourg.

    La Belgique n’y échappe pas. 121.000 personnes ont franchi le seuil d’une banque alimentaire l’année dernière, soit 4.500 de plus qu’en 2011. Ces chiffres ont été publiés par Het Nieuwsblad op Zondag.

    Les plus pauvres ne sont plus les seuls à demander cette aide en Belgique. Il y a des personnes issues de la classe moyenne, des indépendants en faillite. Mais aussi des pensionnés de plus plus nombreux. Les retraites les plus basses ne permettent plus de suivre le coût de la vie.

    La demande est criante alors que l’offre a une voix de plus en plus étouffée par le manque de crédits.

    RTBF.be  http://fortune.fdesouche.com

  • 24 mars, Champs Elysées, Manif pour tous : bras de fer Préfecture de police / organisateurs

    Le 24 mars : le printemps français !

    Pour des raisons de sécurité et des raisons commerciales, la Préfecture de police de Paris s’est prononcée contre le parcours de la manif pour tous; les organisateurs maintiennent leur décision

     

     

     

    Ils devront s’assoir ailleurs que sur les Champs-Elysées. La préfecture de police de Paris (PP) et les opposants au mariage homosexuel, qui souhaitaient manifester le 24 mars sur les Champs-Elysées à Paris, ce qui leur a été refusé, ne sont toujours pas tombés d’accord sur un autre lieu de rassemblement.

     

    La PP a expliqué dans un communiqué avoir prévenu les organisateurs dès le 22 février, soit deux jours après avoir reçu la demande de manifestation, de « l’impossibilité pour des raison impérieuses d’ordre public, de se rassembler » sur les Champs-Elysées et à la place de la Concorde comme le souhaitaient les organisateurs.

     

    TF1  http://www.fdesouche.com

  • Liberté d’expression : Anne-Marie Le Pourhiet ne mâche pas ses mots

    PARIS (NOVOpress Breizh) – Le Code pénal est devenu un bréviaire totalitaire“. Lors de l’émission « Ce soir ou jamais » du 15 mars, Anne-Marie Le Pourhiet, professeur agrégé de droit public à l’université de Rennes 1, a dénoncé les atteintes portées en France à la liberté d’expression. Un point de vue jugé « dangereux pour la démocratie » (?!) par Bruno Roger-Petit, chroniqueur au Plus, une filiale du Nouvel Obs’.

    « Toutes les opinions autorisées par la loi sont défendues par la constitution. Tout ce qui n’est pas interdit est autorisé et ce n’est pas à moi, animateur de télévision, qui vais décider de ce qu’on a le droit de dire ». Réputé pour accueillir dans son émission des personnes connues pour exprimer des points de vue politiquement incorrects, Taddeï ne mâche pas ses mots. Raison pour laquelle il est actuellement dans le collimateur des éditocrates de la presse mainstream.

    Après Patrick Cohen, le patron de la matinale sur France-Inter, qui s’en est pris violemment la semaine dernière sur France 5 au présentateur de « Ce soir ou jamais », c’est au tour de Bruno Roger-Petit de critiquer celui qui s’est donné pour règle d’inviter à son émission des personnalités de tous bords.

    Dans un papier publié hier sur Le Plus, BRP reproche notamment à Taddeï d’avoir invité Anne-Marie Le Pourhiet. « Anne-Marie Le Pourhiet est l’un de ces invités potentiellement à problème » (sic), écrit-il. Selon lui, en effet, cette éminente juriste, régulièrement consultée par les parlementaires (voir deuxième vidéo), « affiche un conservatisme ultra », elle dit « n’importe quoi », « profère son petit chapelet de mensonges et d’amalgames », ce qui pervertirait « le débat démocratique ». Rien de moins.

    Dans un souci de contribuer à la liberté d’expression, et nonobstant les récriminations des tenants de la pensée unique, NOVOpress vous propose donc d’écouter Anne-Marie Le Pourhiet.

    Sur la défense de la liberté d’expression par Anne-Marie Le Pourhiet, on peut rappeler son intervention dans le cadre de l’Assemblée Nationale, où elle avait été invitée à parler devant la Mission d’information parlementaire sur les questions mémorielles. En tant que professeur de droit public elle avait défini comme étant des lois scélérates les lois mémorielles et sur l’histoire, et ce devant Jean-Claude Gayssot, initiateur de l’une de ces lois sur l’histoire qui porte son nom, la “loi Gayssot”.

    http://fr.novopress.info

  • La famille sous contrôle

    Familles, je vous hais ! Telle pourrait être la devise de ce gouvernement. Car il ne lui suffit pas de s'attaquer à la structure profonde de la famille en cherchant à inscrire dans la loi de prétendues nouvelles formes d'une institution aussi vieille que l'humanité, et dont l'extension (de la famille nucléaire à la tribu) a pu et peut encore varier, dans l'espace et le temps, mais jamais la définition (qui repose sur la complémentarité des deux sexes). Non, il lui faut aussi raboter ce que les familles coûteraient aux finances publiques, comme si les allocations dites familiales ne représentaient pas un investissement pour la société.
    Car il n'y a, malheureusement, aucun paradoxe à voir le gouvernement d'un côté dissoudre le concept même de la famille sous prétexte de  « l’étendre » à de prétendues familles homoparentales et, de l'autre, rogner, en les taxant, ou les plafonnant, les aides que l'État redistribue aux parents afin de participer au coût de l'éducation des enfants, autant dire des futurs citoyens. Ou bien encore les baisser d'un milliard l'an prochain et de 2,5 milliards l'année suivante. Ou punir, en fiscalisant la majoration de leur pension - 800 millions d'euros pour l'État -, les parents de familles nombreuses arrivés à la retraite et qui espéraient pouvoir souffler un peu, à moins que la crise ne leur impose de continuer d'aider leurs enfants. Bref, pour réduire les déficits d'un État qui dépense par ailleurs sans compter, piquer plusieurs milliards d'euros dans la poche des vraies familles.
    Car si le "besoin" d'enfant des "familles" homoparentales répond avant tout à un désir de normalité, au prix de l'instauration d'un criminel droit à l’enfant, ce n'est évidemment pas à ces "familles"-là, stériles par définition, qu'on peut compter pour assurer l'avenir de la nation, puisque, pour s'instituer en fiction juridique, il leur faut soit profiter de l'échec d'un couple à créer ou demeurer une famille - mère abandonnée abandonnant à son tour son enfant, enfants retirés à leurs parents et déclarés adoptables - soit recourir à des pratiques (PMA hors champ médical) et GPA qui ne sont que des techniques de procréation, indifférentes à la notion même de la famille. Inutile de s'étendre davantage sur le caractère orwellien de ce que "construit" - mot clef de la modernité - l'élite d'une société hors-sol. Au passage, un bon point à Marine Le Pen déclarant sur France Inter, dimanche 18 février, son intention, contrairement à l'UMP, d'abroger le mariage homo si elle arrivait au pouvoir.
    Oui, Didier Migaud, le premier président socialiste de la Cour des comptes, ne fait que rappeler à François Hollande une de ses promesses de campagne, en lui demandant d'appauvrir les familles pour renflouer l'État - en revanche, préférence étrangère oblige, il ne lui suggère pas de réserver les prestations aux seuls Français ou de diminuer la scandaleuse gabegie des aides sociales attribuées aux clandestins ! il est vrai que l'Europe ne serait pas d'accord ! Souci de justice sociale ? Non, car ces allocations, loin de viser à aplanir les inégalités de revenus - c'est le quotient familial, lui aussi dans la ligne de mire du candidat Hollande, qui joue ce rôle -, sont destinées à compenser, à revenus équivalents, la différence de charges entre les couples n'ayant pas, ayant peu ou ayant beaucoup d'enfants. Une compensation il est vrai de plus en plus dérisoire, puisque en cinquante ans les allocations ont diminué de près de 70 % !
    Nulle mesure plus contre-productive sur le plan économique, plus injuste sur le plan social et plus scandaleuse sur le plan symbolique ! Contre-productive sur le plan économique, car appauvrir les familles, c'est freiner la consommation et favoriser la récession tout en diminuant le nombre des actifs de demain par rapport aux retraités. Injuste sur le plan social, puisque ceux qui assurent l'avenir de la société sont défavorisés par rapport à ceux qui n'assurent que le leur. Scandaleuse, enfin, sur le plan symbolique, puisqu'elle pénalise la transmission même de la vie. Il est significatif que cette mise en coupe réglée des prestations familiales, dans le seul but d'augmenter les recettes de l'État, accompagne la montée en puissance parmi nos élites de l'idéologie écologiste, profondément malthusienne puisqu'elle considère depuis toujours la procréation humaine avec suspicion, voire comme un crime. En 1974 déjà, le premier candidat écologiste à une présidentielle, René Dumont, voulait taxer les familles de quatre enfants et plus - avant des mesures plus efficaces à la chinoise ? - pour le préjudice que cette « surproduction » faisait courir, selon lui, à l'équilibre écologique ; pensée criminelle, puisqu'elle définissait l'enfant comme un objet de luxe taxable, mais qu'a reprise et aggravée le député écologiste Yves Cochet en 2009, en calculant le coût carbone d'un enfant occidental - six cent vingt trajets aller-retour Paris-New York ! Et de réclamer, déjà, la réduction des allocations familiales... dès le troisième enfant (mieux que René Dumont), ajoutant à l'époque dans un entretien au Monde : « S'il y a moins d'actifs et plus d'inactifs, notamment du troisième âge, la question des retraites en 2020 ou 2030 ou 2040 sera plutôt résolue par quelques réfugiés climatiques de la jeunesse du Sud que par une gestion purement comptable des caisses de retraite françaises. (1) » Ou quand le discours écologique, totalitaire par essence, puisqu'il conçoit l'humain simplement en termes de gestion, recoupe le discours ultralibéral et européen sur l'immigration...
    Car c'est bien de cette idéologie hors-sol - un comble pour les écolos -, indifférente à l'existence de nations historiques et de civilisations pérennes, faisant de l'homme un simple force de travail exportable, puisque réputé dépourvu de toute racine, que participe cette proposition, socialiste, de fiscalisation, qui, toutefois, ne scandalise pas outre-mesure la droite, et s'inscrit dans cette logique remplaciste qui satisfait les bobos français. Ainsi l'éditorialiste de Marianne, Nicolas Domenach, se réjouissait récemment face à Éric Zemmour(2), de ce que la "droite" française - laquelle ? -, sur le modèle de la droite américaine, devrait bientôt réviser, si elle voulait revenir au pouvoir, ses positions sur la présence des étrangers et la thématique communautariste en raison du poids grandissant de l'électorat issu de l'immigration, ou immigré, si le droit de vote est accordé aux étrangers extracommunautaires ! Et on ose intenter un procès à Renaud Camus pour son expression de « grand remplacement » alors même que ce grand remplacement, ce sont les élites dénationalisées qui le réclament à cor et à cri ! Comme si, du reste, la "droite", Sarkozy en tête, n'avait pas mené, en matière d'immigration, la même politique laxiste que Hollande poursuit aujourd'hui, en tentant déjà de s'attaquer à la politique familiale...
    Oui, la haine de la famille est bien le fait d'un pays légal qui, réduisant l'humain à une variable d'ajustement, ne pense plus en termes de peuple ou de nation mais de profits su les plans européen et mondial. Déconnectés du pays réel, nos dirigeants doivent s'attendre un jour ou l'autre à un retour de bâton ! Et qu'ils sachent d'ores-et-déjà que les Français, ce jour-là,  ne pratiqueront pas « l'abstention militante et engagée », chère à NKM : ils en finiront avec l’imposture.
    François Marcilhac Action Française février mars 2013
    1)    - http://www.lemonde.fr/planete/chat/2009/11/20/faut-il-faire-moins-d -enfants- pour-sauver- la-planete_1270074_3244. html
    2)    - Sur l-Télé, le 16 février 2013.

  • Egypte : quand la police n’est pas là, les islamistes mènent la danse

    Depuis que les policiers égyptiens sont en grève, la presse évoque l’existence de nouveaux miliciens islamistes qui menacent de faire la loi afin de combler le vide sécuritaire. Ce sont ainsi des comités populaires religieux qui entendent faire régner l’ordre en Egypte, leur percée suscitant une inquiétude croissante. Ces groupes sont formés par la Jamaa Islamiya, un ex-groupe djihadiste converti à la politique depuis la chute de Moubarak et l’élection d’un islamiste à la présidence.

    Assem Abdel Maged, membre du bureau politique de la Jamaa Islamiya, déclare sans détours au Figaro: «Que les fonctionnaires de police qui entendent poursuivre leur grève sachent qu’ils ne retrouveront pas leur poste une fois que nous aurons pris la relève. Une chose est sûre: nous ne laisserons pas la situation sécuritaire se détériorer.»

    Il est vrai que si l’État n’assume plus les fonctions régaliennes qui participent à sa souveraineté, il s’expose à voir sa légitimité mise en cause par l’émergence de groupes politiques ou religieux qui prendront acte de sa démission. La nature a de toute façon horreur du vide : si l’État n’assure plus la sécurité du pays, les criminels seront soumis à la vindicte populaire, ou bien les particuliers rendront justice eux-mêmes. Rien d’étonnant donc au phénomène égyptien. Reste que dans le contexte, cette absence de police est favorable aux islamistes, lesquels ne perdent pas une occasion de »se rendre utile »… A suivre.

    http://www.contre-info.com/

  • Le piège syrien

    [tribune libre] Grosse polémique déclenchée par F.Hollande suite à sa proposition, sans l’accord du Conseil de Sécurité, de vouloir armer la rébellion syrienne.

    Cette déclaration a aussi une incidence politique. Compte tenu du climat de tension qui existe entre Angéla Merkel et lui, cette proposition lui permet cette forme de provocation sachant qu’elle y est opposée pour des raisons bien précises qui vont être énumérée ci-après.

    Suite à cette proposition de F.Hollande, un sondage vient d’être effectué dont le résultat aujourd’hui est de 76% contre l’armement par la France des rebelles syriens.

    Bien que F.Hollande ait voulu satisfaire une partie bien précise de son électorat, de nombreux politiques s’y opposent tant à gauche qu’à droite, tirant les leçons de ce qui s’est passé en Libye. D’autre part, la Russie et la Chine s’opposant au sein de l’ONU et du Conseil de Sécurité à toute intervention étrangère, l’implication de la France pourrait avoir des conséquences plus graves qu’on ne le pense, sachant aussi que l’Iran, pour des raisons bien, apporte son soutien aux  opposants à Bachar el-Assad.

    Personne ne peut nier les massacres qui se perpétuent depuis maintenant deux ans dans cette guerre civile et, entre ceux qui se battent contre la dictature de Bachar souhaitant instaurer un gouvernement démocratique et ceux de plus en plus nombreux qui sont des Djihadistes voulant le remplacer par une dictature islamiste, le choix d’un soutien de la part des Nations Unies et du Conseil de Sécurité est loin d’être acquis et voté.

    Personne en Occident n’envisage voir des armes très sophistiquées données à la rébellion syrienne devenir la propriété des islamistes qui, après avoir renversé la dictature syrienne, se retourneront tôt ou tard contre ceux qui les ont offertes.

    L’exemple actuel des armes livrées par la France à la rébellion libyenne se sont retrouvées face à l’armée française au Mali.

    D’autre part, l’armée française se plaint actuellement du manque de pièces détachées qui oblige, pour réparer certains matériels, à prélever des pièces sur d’autres matériels en état : comment peut-on envisager de donner -je dis bien donner car il n’est pas envisagé de les vendre- à des groupuscules qui ne peuvent les payer ?

    L’exemple du printemps arabe démontrant qu’à chaque révolution, tunisienne, égyptienne et libyenne ce sont toujours les islamistes qui ont pris le pouvoir, qui peut prendre le risque d’étendre cette invasion islamiste dans cette zone géostratégique très instable avec le risque d’une invasion salafiste à tous les territoires voisins dont le Liban voisin d’Israël.

    Ayant personnellement entendu des témoignages de syriens des deux bords, il ressort que personne ne nie le régime dictatorial  en place mais où, entre autres, toutes les communautés religieuses ont encore le droit de cohabiter dans une liberté totale, ce qui ne sera plus le cas si les islamistes prennent le pouvoir.

    Dans cette région, c’est d’abord à la ligue arabe de se prononcer : mais comme d’habitude, elle en est encore incapable, paralysée par les nombreuses rivalités et oppositions tribales.

    Aussi pour beaucoup, ce que n’a pas encore compris F.Hollande et qui émane du sondage de ce jour où 76 % s’opposent à son projet, c’est ce choix qui peut paraître cynique mais où entre deux maux et deux risques il faut toujours savoir choisir le moindre.

    Il ressort aujourd’hui, qu’entre deux dictatures, la plus haïssable et la plus dangereuse à éviter à tous prix  est d’abord celle des barbus.

    JCC http://www.contre-info.com

  • Le gouvernement affirme n'avoir plus d'argent pour l'armée française... mais en trouve pour armer les rebelles syriens

    Le gouvernement affirme n’avoir plus d’argent pour l’armée française… mais en trouve pour armer les rebelles syriens

    Alors que le ministère de la Défense a dû procéder à 54 000 suppressions de postes au cours du quinquennat de Nicolas Sarkozy, les contraintes budgétaires fixées par François Hollande dans le but de « sauver l’euro » ont de fortes probabilités d’accélérer la destruction de nos armées.

    LES ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES INTENABLES DE FRANÇOIS HOLLANDE

    Pour que l’on juge du caractère proprement intenable de la situation, il faut savoir trois choses :

    1°) les résultats obtenus par la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) lancée par Nicolas Sarkozy ont abouti à des économies budgétaires cumulées d’environ 15 milliards d’euros sur 5 ans. Je rappelle que c’est cette RGPP qui est à l’origine du non-remplacement de 1 fonctionnaire sur 2 partant à la retraite, de la fermeture massive d’écoles, de services hospitaliers, de postes, de commissariats de police, etc. Je souligne au passage que de nombreuses administrations commencent à être complètement désorganisées, des services entiers, dans les préfectures ou les administrations déconcentrées de l’État, n’étant désormais plus qu’imparfaitement assurés.

    2°) nonobstant ces coupes extraordinairement drastiques, le déficit budgétaire de l’État n’a fait qu’empirer sous Nicolas Sarkozy. Il s’agit de l’illustration de ce que j’ai maintes fois expliqué, dans mes conférences et entretiens, à savoir qu’il est puéril de croire que l’on réduit le déficit d’un État en coupant dans ses dépenses. Car un État n’a rien à voir avec un ménage de salariés, dont les recettes – les salaires – sont constants quelles que soient les dépenses du ménage. Les recettes d’un État (TVA, IR, IS et TIPP pour les principaux en France) dépendent étroitement de l’activité économique et si celle-ci dégringole, les recettes s’effondrent encore plus vite. Or si l’on coupe drastiquement dans les dépenses de l’État, notamment en période de crise, cela va contribuer à faire chuter l’activité économique, donc les recettes encore plus vite. Et l’on risque de voir se creuser encore plus le déficit que l’on prétendait combler.

    3°) les orientations fixées par François Hollande – sur instruction de la BCE et de la Commission européenne – consistent à vouloir réduire les dépenses de l’État de 60 milliards d’euros au cours des 5 prochaines années. Cela signifie que le chef d’État “socialiste” prétend qu’il va falloir faire 4 fois plus d’économies au cours des 5 prochaines années qu’au cours des 5 années écoulées. Dans les allées du pouvoir, dans les administrations, personne de sérieux ne sait comment de telles coupes à la hache pourraient être encore possibles.

    LE GOUVERNEMENT S’APPRÊTE À TAILLER DE FAÇON INOUÏE DANS DES PANS ENTIERS DE L’ARMÉE

    Quoi qu’il en soit, c’est dans ce contexte général que le ministère de la Défense risque de voir son budget subir une nouvelle coupe sans précédent historique. [...]

    La suite sur le site de l’Union populaire républicaine

    http://www.actionfrancaise.net

  • David Duke et les immigrationnistes - Diviser pour régner ; en se faisant haïr