L’idéologie, c’est-à-dire la logique d’une idée, est souvent séduisante, mais la réalité ne plie pas devant elle. Celle-ci doit donc s’imposer par la violence. Elle a, pour cela, besoin de relais et de bras armés. Il est une officine qui n’a eu de cesse de promouvoir l’idéologie mondialiste, en favorisant notamment la destruction de l’ordre social traditionnel. C’est la Franc-maçonnerie. Le thème est abordé lors d’une émission sur radio courtoisie :
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Le rôle de la Franc-maçonnerie dans la réalisation de l’idéologie mondialiste…
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Syrie : violence, pauvreté, enlèvements…et l’aide de l’AED
« Nous nous sommes habitués à l’horreur du quotidien ». C’est ainsi que l’archevêque d’Alep des Arméniens catholiques, Mgr Boutros Marayati, décrivait à l’Agence Fides la situation vécue par les habitants d’Alep. « Et nous percevons qu’il existe une déformation de toutes les informations », continuait-il, devant les renvois de balle permanents entre les forces de l’ordre et les rebelles armés.
Les chiffres, signes des effets collatéraux du conflit, sont dramatiques:
- 700 000 émigrés (principalement Turquie, mais aussi Liban, Egypte, Jordanie, Irak)
- 3 millions de réfugiés à l’intérieur du pays (la plupart ont tout perdu )
- 80% de la population dans l’incapacité d’aller travailler.
- 70% de la population vivant sous le seuil de pauvreté.
- manque de pétrole, de mazout, de pain, d’eau, de couverture etc…Le 19 février 2013, un chrétien arménien a été abattu à bout portant par des terroristes qui, l’ayant arrêté et fouillé pour son nom de famille, l’ont criblé de balle à l’endroit de la croix qu’il portait autour du cou.
Le 9 février, trois prêtres ont été séquestrés à Alep et Damas. En date du 21 février 2013, nous sommes toujours sans nouvelle. Il s’agit du prêtre arménien-catholique Michel KAYAL, du prêtre grec-orthodoxe Ishaac MAHFOUD et du prêtre grec-catholique Hassan TABARA.
La suite sur le site de l’AED -
Rap anti-blancs : 10 ans de retard pour Copé et Nathalie Goulet
PARIS (NOVOpress) - Il y a plus de dix ans, les militants des Jeunesses Identitaires avaient souhaité briser un tabou en montrant la réalité de cette haine antiblanche s’exprimant impunément dans notre pays. Ils avaient, pour cela, cherché, compilé et diffusé une liste de textes de rap explicites, s’en prenant ouvertement aux Blancs et à la France.
Succès garanti ! De multiples fois reproduites sur les blogs et forums, cette liste finira à l’Assemblée nationale en 2006 lorsque le député UMP François Grosdidier s’appuiera sur celle-ci pour proposer un texte de loi visant à condamner pénalement les auteurs de chansons incitant « à la discrimination, à la violence où à la haine” “anti-blancs“ ».
Sept ans plus tard, cette liste de textes de rap fait une entrée fracassante au Sénat avec la sénatrice de centre gauche, Nathalie Goulet, s’appuyant intégralement sur cette liste pour demander, lors des questions orales au gouvernement, au ministre de l’Intérieur Manuel Valls, d’agir contre « ces chansons, entendues sur les radios » appelant « à la violence et à la haine contre les autorités publiques et la police qui s’efforcent de faire respecter la loi, notamment dans ces zones grises où le risque de perte de contrôle n’est pas exclu, ce que la Représentation nationale ne peut tolérer. »
Moralité de l’histoire : bien avant Jean-François Copé, François Grosdidier ou Nathalie Goulet, les Jeunesses Identitaires avaient, déjà à l’époque, 10 ans d’avance sur les politiques de ce pays. Dernier point pour les mauvais copieurs : le nom exact du groupe de rap lyonnais n’est pas Smala mais Bougnoul Smala….
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Le lobby homosexuel et la tentation totalitaire
De la revendication impérieuse de ses « droits » à la prétention d'empêcher ses adversaires de s'exprimer, le lobby homosexuel soumet la société française à une pression totalitaire.
« Je ne serre pas la main à un pédéraste ", disait mon père (sans se douter qu'il ne faisait que ça toute la journée). » Diable ! Qui est cet « homophobe », dont les propos, aujourd'hui, tomberaient sous le coup de la loi ? Simplement le père de Paul Morand, monsieur brillant, cultivé, passionné d'art. Dans Venises, le grand écrivain poursuit : « Les invertis, "cette partie réprouvée de la collectivité humaine " comme dit une lettre de Proust, formaient une société secrète; on ne saurait comprendre le Temps perdu si l'on oublie que Sodome représentait alors une malédiction. Même à Venise la pédérastie n 'était que le plus discret des beaux-arts. »
Le lobby homosexuel s'est construit dans la mouvance de Mai 68
Ses mœurs n'avaient cependant pas empêché Proust d'être publié, ni Gide, ni Cocteau, ni Montherlant, ni Loti pour ne citer que quelques hommes de lettres, homosexuels notoires. Mal vue, l'homosexualité ? Sans doute, mais elle n'en était pas moins présente au sein de la société. « Le plus discret des beaux-arts », écrit Paul Morand. Un vieux monsieur que j'avais jadis interviouvé pour Minute disait : « l'homosexualité est un jardin secret ». Il s'appelait Pierre Seel et a raconté, dans un livre écrit avec Jean Le Bitoux, comment, jeune alsacien (et donc considéré comme Allemand par le Reich...), il fut déporté pour homosexualité dans un camp de concentration nazi, avant d'être expédié sur le front de l'Est. Ce qu'il ne pouvait raconter dans son livre, c'est la manière dont Le Bitoux, figure du lobby homosexuel, l'avait manipulé et traîné à la Gay pride, dont il était revenu sidéré, choqué par ce qu'il y avait vu. Qu'il soit donc entendu que nous ne confondons pas ici l'ensemble des homosexuels avec le lobby.
En France, le lobby homosexuel s'est construit dans la mouvance de Mai 68, avec notamment la constitution, en 1971, du Front homosexuel d'action révolutionnaire (FHAR), puis des « Gouines rouges », créées par des militantes lesbiennes qui jugeaient le FHAR mysogine ! Comme leurs noms l'indiquent, ces mouvements homosexuels étaient politisés, évidemment à l'extrême gauche. Au cours des décennies suivantes, remarque Jean-Claude Guillebaud dans La Tyrannie du plaisir, les revendications sexuelles allaient cependant prendre le pas sur le combat politique, tout en lui empruntant ses méthodes. Ainsi, la lecture des textes, communiqués, pétitions ou tribunes publiés par les mouvements homosexuels - Act up et consorts -, « renvoie irrésistiblement — mais sous une forme transposée — à la virulence des affrontements idéologiques de jadis, qui tournaient quant à eux autour du totalitarisme, des nationalisations, de la guerre froide, de l'impérialisme ou de la guerre du Vietnam », écrit Guillebaud. « Même patriotisme de chapelle, même référence sourcilleuse aux textes fondateurs ou aux luttes des aînés, même lyrisme généreux mais approximatif dans l'argumentation. Le traître à la communauté, le catho-coincé ou l'hétéro-fasciste ont simplement remplacé l'ennemi de classe, le bourgeois et l'exploiteur... »
« Le domaine privé - celui du corps, de l'épanouissement personnel, des relations entre les sexes - est bien devenu, à titre principal, celui des luttes, poursuit Guillebaud. (...) L'apothéose de l'individualisme, précieux héritage de la "révolution dans la révolution "des années soixante-dix, a logiquement désigné cette liberté-là comme l'enjeu principal. »
Un homme se résume-t-il a sa sexualité ?
Pour se structurer, le mouvement homosexuel a eu recours à des méthodes éprouvées : en premier lieu, la victimisation, qui correspond sémantiquement à la diffusion du concept d'« homophobie », calqué sur celui de « raciste ». « Homophobe » égale raciste, égale extrême droite : c'est tout simple.
Pour se défendre contre cette agression « homophobe » omniprésente et résurgente, l'homosexuel trouve un secours auprès du groupe : « C'est d'abord au nom de cette fragilité, qu'on justifie l'existence - et la fonction refuge - d'une communauté aux sens social et culturel du terme », écrit encore Guillebaud, qui en pointe la conséquence : « le repli vers un tribalisme distinct, avec ses quartiers, ses lieux de drague, ses boutiques, ses codes et, au bout du compte, ses revendications identitaires. »
De la communauté au communautarisme, le pas est vite franchi. Mais se pose alors une question que Guillebaud ne manque pas de formuler : « l'homosexualité fonderait-elle, à elle seule, une identité ? » Autrement dit, « Un homme se résume-t-il à sa sexualité ? » Car c'est bien sur la seule pratique sexuelle qu'est fondé le communautarisme homosexuel !
Ce communautarisme favorise une activité de lobbying et une revendication égalitaire qui ne se contredisent qu'en apparence. Le lobbying favorise la cooptation et l'entraide : c'est ainsi que les homosexuels sont traditionnellement très présents dans certains domaines d'activité comme la mode, la culture... Il s'étend aujourd'hui au domaine politique, notamment avec des groupes comme Gaylib à l'UMP(1) ou Homosexualités et Socialisme (HES) au PS, ou encore à travers des personnalités militantes. La revendication égalitaire vise à obtenir des « droits » jusqu'à présent réservés aux « hétérosexuels » (un terme peu usité jusqu'à une période récente...), mais aussi, finalement, à gommer l'idée de norme sexuelle en plaçant sur un même pied les comportements « homosexuel » et « hétérosexuel ».
Avec les années, la pression qu'exerce le lobby homosexuel sur les esprits, sous prétexte de lutte contre « l'homophobie », par le biais des médias, le poids du politiquement correct et même par la loi, est devenue totalitaire, comme celle que font peser les lobbies antiracistes en pratiquant les mêmes méthodes.
Et le « plan contre l'homophobie » annoncé par Najat Vallaud-Belkacem ne fera qu'aggraver la situation.
Eric Letty monde & vie 5 février 2013
I. Gaylib a quitté l'UMP en janvier 2013 pour protester contre la participation de ce parti à la Manif pour tous du 13 janvier. -
Rémunérations saisissables
Pendant que notre monarque président et sa clique de chiens galeux amusaient la galerie avec la destruction des valeurs morales et sociales, sont tombés des décrets qui, eux, comme par hasard,ne sont pas chantés par les merdias, ou les radios propagandes. Saviez-vous que les huissiers peuvent dorénavants saisir les allocations familiales (jusqu’à 50%), les indemnités journalières maladie, les PENSIONS DE RETRAITE, les PENSIONS D’INVALIDITE, les allocations de solidarité, bref, les revenus de survie du petit peuple, qui, lui, ne peut pas compter sur des rentes de stock option.
Malheureusement, des personnes dans mon entourage, qui ont trimé toute leur vie, peinent aujourd’hui à survivre (manger tous les jours),ceux qui ne vont pas aux fameux restos du coeur par pudeur, et qui sont certainement, beaucoup plus nécessiteux que certains habitués, car eux n’ont pas toutes les combines. Ces personnes, ayant cotisé toute leur vie, ont le risque pour un impôt en retard ou un PV impayé, de se retrouver encore plus en difficlté. Remarque : maintenant, le solde non saisissable se monte à 483,27 € ‘au lieu de 500 € précédemment.
Je discutais ce matin avec un monsieur (qui travaille encore à 62 ans) et qui disait avec bon sens : “[ils] sont en train de voir jusqu’où ils peuvent aller sans que les gens se révoltent…”.
sources : service-public.fr
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Où est la justice sociale ?
EOù est la justice sociale quand on repousse l'âge légal de la retraite alors que tout étranger de 65 ans n'ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à une retraite de 780 euros par mois, 5 ans après son arrivée ?¢EOù est la justice sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la ferme n'a pas droit à ces 780 euros au prétexte que son mari et elle dépassent le plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?EOù est la justice sociale quand la sécu en faillite continue de payer à l'étranger, sans le moindre contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires disparus depuis des lustres ?EOù est la justice sociale quand l'Aide Médicale d'État soigne 220000 sans-papiers chaque année, à raison de 3500 euros par malade, alors que la sécu ne dépense « que » 1600 euros par affilié qui travaille et cotise ?EOù est la justice sociale quand des étrangers bénéficient de la CMU et d'une mutuelle gratuite, alors que 5 millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop riches pour bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une ? 30% des Français avaient différé leurs soins en 2011 !EOù est la justice sociale quand on sait que 10 millions de fausses cartes Vitale sont en circulation et permettent de soigner des milliers d'étrangers sous une fausse identité, au détriment des ayant-droit ?EOù est la justice sociale quand la France entretient des milliers de polygames, certains d'entre eux percevant plus de 10 000 euros par mois sans travailler, alors que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le rouge ?EOù est la justice sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire pour un logement social, alors qu'un jeune couple français doit attendre sept ou huit ans son premier logement pour avoir un enfant ?EOù est la justice sociale quand on sait qu'un million de faux passeports, donnant droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de passeports biométriques soi-disant « infalsifiables » ?EOù est la justice sociale quand un Français né à l'étranger doit prouver sa nationalité à l'administration, ce qui se traduit souvent par un véritable parcours du combattant, alors qu'on brade chaque année la nationalité française avec des milliers de mariages blancs ?EOù est la justice sociale quand on veut donner le droit de vote aux étrangers, alors que nos élus ont confisqué aux citoyens leur « non » au référendum sur la Constitution européenne et que des millions d'électeurs, de droite ou de gauche, ne sont pas représentés au Parlement ?EOù est la justice sociale quand on accueille chaque année plus de 200000 étrangers non qualifiés, dont notre économie n'a nul besoin, alors que la pauvreté augmente, que nous avons près de 5 millions de sans-emplois et que le chômage atteint déjà 40% chez la population immigrée ?EOù est la justice sociale quand le contribuable finance des associations qui ne combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti-français est systématiquement ignoré et les plaintes classées sans suite ?EOù est la justice sociale quand on condamne un journaliste pour avoir énoncé une vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs incitant à la haine ne sont jamais inquiétés au nom de la liberté d'expression ?EOù est la justice sociale quand la délinquance explose et que les droits des voyous passent avant ceux des victimes ?Car si l'intégration a totalement échoué, c'est tout simplement parce que nos dirigeants ont confondu antiracisme et acceptation de l'autre avec le renoncement à nos valeurs. Il ne fallait rien changer au « moule » qui a permis depuis des siècles à des millions d'immigrés de devenir des citoyens français. Les règles d'intégration qui ont fait leur preuve avec des générations d'immigrés, étaient la force de la France. La faute majeure de nos élus est de les avoir ignorées.
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Communisme et nazisme, les deux branches radicales du socialisme
The Soviet Story du Letton Edvins Snore est un film documentaire méconnu en France, et c’est bien dommage car il démolit deux mythes particulièrement bien ancrés dans notre pays. Le premier mythe nous fait croire que le communisme, contrairement au nazisme, part d’une bonne intention.
Le deuxième mythe, c’est de s’imaginer que le socialisme internationaliste bolchevique et le socialisme ultranationaliste nazi n’ont absolument rien en commun, et que d’ailleurs le national-socialisme n’a de socialiste que le nom. Edvins Snore nous raconte, témoignages, images et documents d’archives à l’appui, l’histoire commune de deux branches radicales du socialisme : le national-socialisme allemand et le communisme russe.
Premier mythe : contrairement au nazisme, le communisme part de bonnes intentions
Ou, comme l’affirme le président socialiste de l’agglomération de Montpellier pour justifier l’édification de statues de Mao et Lénine (voir l’article ici) sur la Place des Grands Hommes du XXe siècle (à environ 300 000 euros la pièce, voir ici), « les idéologies représentées sur la place sont toutes des idéologies de libération et de conquête des droits malgré leurs parts d’ombre ». [...]
La suite sur Nouvelles de France
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Norvège : le documentaire qui a sonné le glas de la théorie du genre !
Les pays scandinaves, et particulièrement la Norvège, ont été pendant des années les pays les plus progressistes en matière religieuse, comme en matière de mœurs, et notamment d’égalité des genres. L’idéologie du gender s’y était enracinée. Mais voilà…
Le documentaire ci-dessous, réalisé par un journaliste norvégien auprès de spécialistes des deux camps, a eu des conséquences radicales : suite à sa diffusion, fin 2012, le gouvernement a suspendu toutes les subventions aux recherches scientifiques sur la théorie du genre. Un document d’une quarantaine de minutes qui laisse en effet laisse peu de place au doute… et qui a détruit la théorie du genre en Norvège :
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L’Union européenne, c’est la guerre…
… et non la paix, comme certain tentent de nous le suggérer :
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Mariage gay, PMA, GPA : l’avenir radieux pour tous
Il serait temps que le peuple de gauche se pose quelques questions…
Il est curieux de constater comment la gauche, fervente défenseur du mariage pour tous, abandonne la réflexion anthropologique à la droite et aux représentants des religions monothéistes.
Pourtant, il serait bienvenu que des hommes et des femmes de gauche – mis à part Sylviane Agacinski et une poignée de députés – se posent de vraies questions sur ce projet. Pourquoi le fait de donner l’égalité du droit à fonder une famille, indépendamment de la différence biologique entre les sexes, serait un progrès ? La distinction féminin/masculin était jusqu’à présent, quels que soient les de gouvernements qui se sont succédés, le cœur et le fondement même de l’idée de famille et de filiation.
Remettre en question les valeurs fondamentales de la vie de famille me heurte dans mes valeurs en tant que catholique et humaniste. Modifier par une loi des articles du Code civil sur les idées de paternité, de maternité et de filiation pour les remplacer par le « parent 1 » et le « parent 2 » était une aberration totale. D’ailleurs, ce projet a été abandonné au profit d’on-ne-sait quelle vague définition des parents. Qui le gouvernement a-t-il consulté pour se permettre de bouleverser un texte fondateur de notre démocratie et du fameux vivre-ensemble dont il se réclame si fort ? Pas le peuple en tout cas ! Comment le gouvernement peut-il affirmer que les homosexuels veulent tous se marier de manière traditionnelle, alors que dans leur combat, ils ont la plupart du temps lutté contre la « société bourgeoise » (le beau texte que Renaud Camus a publié à ce sujet dans Causeur est particulièrement drolatique et éloquent).
Jacques Déniel - La suite sur Causeur