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anti-national - Page 1132

  • En défense de Civitas

    Dans un papier nauséabond publié et mis en avant dans Le Plus du Nouvel Obs sous le titre « Civitas : nos impôts financent l’intégrisme et la haine. Il faut que cela cesse ! », l’auteur, manifestement un militant gauchiste, laisse transparaître sa vraie nature, celui d’un petit totalitariste haineux.

    Aujourd’hui, c’est Civitas qui en fait les frais : avec cette tribune et une pétition qui revendique plus de 10.000 signatures en moins de deux jours, il ne veut rien moins que d’empêcher les remises fiscales sur les dons qui lui sont alloués, affirmant que l’État n’a donc pas à financer « l’intégrisme et la haine ».

    On sait déjà que les gauchistes sont fascinés par l’Institut Civitas : des chapelets, des croix, des soutanes, des jeunes filles et jeunes hommes biens peignés, des vieux cathos, bref, toute la France qu’ils détestent, qu’ils vomissent même, et qui pourtant existe encore – et même de plus en plus, à voir les chapelles traditionnelles se remplir. La stratégie consiste à les soupçonner a priori, à interpréter leur comportement de façon à les présenter comme des provocateurs, des individus qui menacent la paix de la société et dépassent les limites admises. Une phrase résume tout cela : « Devons-nous encore une fois tolérer qu’un tel déferlement d’homophobie, d’intolérance et de haine puisse se tenir devant le Sénat, symbole de notre République laïque, égalitaire et fraternelle ? » [...]

    Vivien Hoch - La suite sur Boulevard Voltaire

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  • A Dijon : "M. Hollande, elles sont où vos promesses ?"

    Ce n’est pas exactement le scénario qu’il espérait. François Hollande, en déplacement deux jours à Dijon pour renouer avec le terrain, a été interpellé dès son arrivée dans le quartier populaire des Grésilles, par des personnes mécontentes de sa politique.

    Ce n’est pas exactement le scénario qu’il espérait. François Hollande, en déplacement deux jours à Dijon pour renouer avec le terrain, a été interpellé dès son arrivée dans le quartier populaire des Grésilles, par des personnes mécontentes de sa politique. Tout avait pourtant été cadré par ses conseillers. Arrivée en train, déambulation parmi la population, dispositif de sécurité léger, la mise en scène vantée par l’Elysée n’était pas sans rappeler "l’homme normal" de la campagne présidentielle. Mais dès le début, l’ensemble sonne un peu faux. Parmi les gens présents, les trois quarts sont en réalité des militants socialistes, venus plaider la cause de M. Hollande, réclamant de la patience et de l’indulgence pour le gouvernement qui bataille avec la crise.

    A l’arrivée sur place du président de la République, la tension monte d’un cran. Des syndicalistes de Solidaires se sont notamment réunis "pour lui rappeler qu’il est socialiste". Plusieurs personnes lui lancent des reproches, l’accusant de "faire la politique du patronat", et de se soucier davantage de la guerre au Mali et du mariage pour tous que des problèmes quotidiens des Français. L’un d’entre eux crie : "M. Hollande, elles sont où vos promesses ?"

    La suite sur le site du Monde.fr

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  • Feue la démocratie, la « post-démocratie » est bien là

    Nous ne vivons plus en démocratie mais en « « post-démocratie » : tyrannie du droit, fin de la souveraineté, dénaturation de la citoyenneté, régime oligarchique et dictature des minorités s’imposent aux peuples et contre les peuples…


    Les Français ne vivent plus en démocratie mais en « post-démocratie » , comme de plus en plus d’Européens, d’ailleurs. La « post-démocratie »  emprunte les mots de la démocratie : on parle toujours d’élections, de Parlement et de République française. Mais la « post-démocratie »  prend le contrepied de la démocratie car elle programme la disparition de la souveraineté du peuple au profit d’un système oligarchique, qui vise à l’instauration d’un gouvernement mondial utopique.
    Depuis la fin de l’URSS et l’accession des Etats-Unis au rang de surpuissance mondiale, cette vieille utopie a libre cours car elle ne rencontre plus d’obstacles doctrinaux ; et aussi parce qu’elle sert les intérêts stratégiques américains (notamment pousser les pays à s’ouvrir au commerce international, empêcher l’Europe Puissance, contenir la Russie, etc.).

    La démocratie a été tuée par les idéologues libéraux

    Les vrais assassins de la démocratie ne sont pas les réactionnaires, les factieux ou les partisans de la dictature. Non : ils se recrutent parmi les partisans de la « société ouverte », de la « fin de l’histoire », du « doux commerce », des « droits de l’homme » et du « gouvernement mondial ». Car la « post-démocratie »  pousse jusqu’à ses ultimes limites la logique libérale initiale et pave notre enfer de plein de bonnes intentions affichées.

    L’utopie « post-démocratique » repose sur une anthropologie pessimiste et réductrice : pour éviter à l’homme de faire le mal, il faut lui ôter les moyens institutionnels d’agir sur ses semblables et promouvoir un ordre qui soit le plus axiomatiquement neutre ; il faut donc substituer le gouvernement des choses (économie, marché) au gouvernement des hommes.

    La politique, les frontières, les communautés et l’Etat sont mauvais pour l’homme, tel est le credo « post-démocratique ». Cette idéologie postule aussi que l’homme prélude à la société et dispose pour ce faire de « droits » propres, indépendamment et préalablement à toute organisation politique, voire à toute communauté et à toute famille.

    La « post-démocratie »  découle de l’esprit libéral, dans sa version anglo-saxonne. On ne peut, certes, exclure que les libéraux souhaitaient réellement, à l’origine, protéger l’homme des méfaits de la tyrannie – comme les fondateurs de l’Europe unie voulaient empêcher le retour de la guerre sur notre continent. Mais la morale des intentions ne suffit pas : le système qu’ils ont contribué à mettre en place déroule sa logique implacable.

    La tyrannie du droit

    L’affirmation de droits humains préalables à tout ordre social porte en elle en effet des conséquences politiques majeures : la suprématie du droit sur les lois, celle des juges sur les législateurs et finalement la remise en cause de toute souveraineté politique.

    Comme on le voit tous les jours, l’affirmation des droits de l’homme débouche sur la fin de la citoyenneté, puisque l’étranger – on dit « immigré » – en tant qu’homme dispose désormais des mêmes « droits » que le citoyen : prétendre le contraire reviendrait à le discriminer injustement. Les « droits » ainsi entendus ne garantissent plus vraiment contre la tyrannie, comme on le pensait à l’origine, mais deviennent un moyen de déstructurer tout ordre politique.

    En « post-démocratie »  le droit procédural supplante donc la loi : l’Etat de droit, comme on dit en novlangue, annonce le gouvernement des juges, celui que nos ancêtres justement récusaient.
    Le droit procédural est de nature libéral car il doit garantir la bonne exécution des contrats et non pas protéger la société. En « post-démocratie » , comme dans les films américains et pour les mêmes raisons, tout se termine donc au prétoire.
    Les juges s’arrogent le droit de censurer les lois ; on appelle cela le contrôle de constitutionnalité des lois : comprenez le contrôle idéologique des législateurs élus, par des juges non élus et qui revendiquent en outre le droit à l’inamovibilité et à l’impunité.

    Les anciens Grecs hausseraient les épaules si on leur disait qu’un tel régime est démocratique !

    Les valeurs contre la démocratie

    La « post-démocratie »  a hérité du puritanisme anglo-saxon, la mise en place d’un régime de prohibitions et de surveillance généralisé, avec la pénalisation des opinions ou des comportements dissidents (proscription des prétendues « phobies »…) et le retour des procès en sorcellerie : car avec les lois mémorielles et liberticides, les intentions cachées comptent désormais plus, face au juge, que les faits.

    En « post-démocratie »  on considère comme « démocratique » non pas un gouvernement issu d’élections libres et qui applique la politique voulue par la majorité des électeurs, mais un gouvernement qui respecte les « valeurs », c’est-à-dire l’idéologie dominante fondée sur le libéralisme, l’égalitarisme et le cosmopolitisme.

    Le gouvernement hongrois l’a appris à ses dépens : Bruxelles l’a placé au ban de l’Europe parce qu’il voulait réguler l’activité de sa banque centrale. Car en « post-démocratie » , les banques relèvent du sacré !

    Tous ceux qui contestent cette idéologie se retrouvent ainsi placés en dehors de la normalité, sinon de l’humanité. Car les puritains libéraux érigent leurs « valeurs » au rang de nouveau Décalogue !

    La haine des peuples

    Les premiers libéraux se méfiaient de l’Etat et de l’Eglise, qu’ils suspectaient de tyrannie. Mais la « post-démocratie »  a érigé en principe la suspicion à l’égard des peuples autochtones. Elle leur préfère les nomades, les migrants et les minorités.

    Le vote populaire n’est, en effet, un processus valide en « post-démocratie »  que s’il va dans le sens du politiquement correct.
    La démocratie ne se définit donc plus comme un processus mais comme un programme. Sinon on diabolise le vote en l’accusant de « populisme ». Car quand le peuple veut s’écarter du dogme libéral et cosmopolite, ceux qui haïssent la démocratie y voient la marque du populisme.

    On n’hésite pas non plus désormais à faire revoter le peuple jusqu’à ce que le résultat soit conforme (comme dans le cas de l’Irlande avec les traités européens) : car il ne peut y avoir d’alternative aux fameuses « valeurs ».

    Le plus simple en « post-démocratie »  consiste évidemment à ne tenir aucun compte de ce que souhaite la majorité des électeurs et à ne pas la consulter. L’élection ne sert plus qu’à donner une onction, un label, « démocratique », au pouvoir : mais elle ne sert pas à fixer un cap politique. Le peuple français a rejeté par référendum la constitution européenne ? Pas de problème : on la lui impose via le Traité de Lisbonne, ratifié par les parlementaires. Et puis, le mieux n’est-il pas de ne pas le consulter par référendum sur des sujets qui le concernent ?

    Le principe du consentement, qui fondait la démocratie en Europe et plongeait ses racines au plus profond de notre histoire, cède la place au principe de soumission (on ne doit pas remettre en cause les « valeurs » et ceux qui s’en réclament) comme base du nouvel ordre post-démocratique.

    La fin de la citoyenneté

    La démocratie suppose la participation et l’engagement des citoyens, leur « vertu » : leur désintéressement au service du bien commun et leur solidarité. Mais l’idéologie libérale a détruit tout cela depuis longtemps en le remplaçant par la valorisation du calcul égoïste et la promotion des droits créances, antithèse de la citoyenneté.

    On a aussi abandonné le principe majoritaire au profit de la loi des minorités, approche qui convient parfaitement à la petite oligarchie qui a pris le pouvoir. La « post-démocratie »  se résume à la protection des droits des « minorités », car ce levier peut se retourner ensuite contre la volonté de la majorité. On le voit bien, aujourd’hui, ce processus à l’œuvre dans le cas du mariage homosexuel ou de l’immigration clandestine, par exemple.

    Il s’agit, bien sûr, d’une logique de déconstruction individualiste de la démocratie, fruit naturel mais néanmoins amer de l’idéologie des droits de l’homme et du cosmopolitisme.

    La « post-démocratie »  correspond à un totalitarisme soft (« soft power », comme dit l’Union européenne) car elle repose sur la lente destruction de tout ce qui fonde l’identité, le libre-arbitre et la responsabilité de l’homme. Ce mouvement de destruction (on dit « déconstruction » en novlangue) vise à créer une société d’individus, donc un oxymore, une contradiction dans les termes. Car ces individus déracinés deviennent des atomes sociaux, des sujets et une ressource humaine pour l’oligarchie.

    Le gouvernement mondial relève aussi d’une démarche totalitaire qui revient fatalement à placer une partie de la population hors de l’humanité, car il n’y a pas de politique et donc pas de gouvernement sans une logique d’inclusion et d’exclusion.

    La « post-démocratie »  réalise ainsi les plus sombres prédictions de G. Orwell ou d’A. Huxley.

    L’Union européenne laboratoire de la « post-démocratie »

    La « post-démocratie »  ne se résume pas à une théorie, aussi fumeuse soit-elle. Elle entre aussi dans les faits : l’Union européenne en constitue le laboratoire.

    La dynamique de l’Union européenne repose en effet sur la dissolution progressive de la souveraineté des Etats-membres, mais sans la création en contrepartie d’un Etat fédéral voire confédéral. L’Union européenne se veut comme un anti-Etat qui a, certes, un drapeau mais pas de tête, pas de constitution, pas de gouvernement, pas de défense, pas de frontières, pas de citoyenneté : elle veut se définir seulement par ses « valeurs », c’est-à-dire par son idéologie.

    Cet ensemble n’a ni centre ni périphérie : des autorités non élues le régissent, que la majorité des Européens ne connaît pas, qui fixent des procédures contraignantes qui s’imposent à tous, dont les juges également non élus contrôlent l’application et que les parlements nationaux doivent seulement « transcrire ».

    L’Union européenne est un modèle de « post-démocratie »  où la souveraineté se dissout dans le néant et, avec elle, la liberté des Européens.
    Car il n’y a pas de démocratie sans libertés nationales, sans souveraineté et sans politique, donc sans limites.

    La « post-démocratie », symbole de la décadence européenne

    En « post-démocratie » , la démocratie, vidée de son sens, devient un spectacle virtuel : spectacle des élections, spectacle des fausses alternances, spectacle des fausses oppositions gauche/droite au sein d’une oligarchie interchangeable qui conduit sans faiblir le même programme. Car les politiques et les peuples autochtones ne décident plus rien : les marchés, les médias et les juges le font à leur place

    Il ne faut pas s‘étonner si ce spectacle du fantôme de la démocratie intéresse de moins en moins de spectateurs autochtones et si l’abstention politique s’accroît.

    La « post-démocratie »  apparaît de plus en plus comme une curieuse maladie occidentale, d’autant que le reste du monde – donc la majorité de l’humanité – ne se reconnaît pas du tout dans les lubies néolibérales. Le reste du monde s’efforce, au contraire, de retrouver identité, puissance et souveraineté. C’est d’ailleurs pourquoi il vit de mieux en mieux, pendant que le grand hôpital occidental s’enfonce dans le marasme.

    Les pays émergents font aussi de plus en plus obstacle à la toute-puissance américaine et ses « valeurs », tandis que l’islamisme s’affirme comme un universalisme concurrent. L’utopie libérale anglo-saxonne ne fait plus rêver l’humanité. Voilà une vérité que les cosmopolites de la rive gauche, petite minorité ridicule d’enfants gâtés, se gardent bien de révéler !

    La « post-démocratie »  suscite en outre une opposition croissante en Europe même, qu’accentue la persistance de la crise occidentale puisque, en réalité, les deux phénomènes découlent l’un de l’autre.
    Les peuples veulent en effet des Etats qui les protègent et non pas des ectoplasmes qui démontent les frontières et se soumettent aux banques et aux marchés. Ils veulent que l’on respecte leur volonté et leur identité aussi, au lieu de les diaboliser.
    La coupure entre pays réel et pays légal et entre peuples autochtones et oligarchies ne cesse donc de s’approfondir en Occident sur fond de montée des tensions ethniques.

    Vers la quatrième théorie politique ?

    En d’autres termes, la « post-démocratie » , loin de s’inscrire dans la marche triomphale du progrès mondial, peine de plus en plus à s’imposer. Cet échec résulte des principes erronés sur lesquels elle repose et aussi de l’arrogance de l’oligarchie occidentale, qui se croyait légitime à imposer sa vue du monde à toute la terre, au besoin par la guerre.

    Après l’échec du communisme, du fascisme et maintenant du néo-libéralisme cosmopolite occidental, toutes idéologies liées les unes aux autres, il y a besoin d’une nouvelle théorie politique, comme l’écrit l’essayiste russe Alexandre Dougine : une nouvelle théorie qui tienne compte de la vraie nature de l’homme, des vrais rapports entre les peuples et qui soit à son tour universelle, c’est-à-dire dans laquelle une majorité de peuples puisse se retrouver.

    Une nouvelle théorie dont on sent confusément déjà poindre les principales composantes d’une nouvelle Déclaration d’émancipation de l’humanité : droit des peuples à la souveraineté et au maintien de leur culture et de leur identité, égale dignité des cultures, gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, soumission de l’économie au politique, solidarité des ensembles continentaux, refus de l’ingérence, régulation de l’immigration, primauté des lois, etc.

    A l’âge de la sinistre « post-démocratie » , la démocratie redevient une idée neuve en Europe.

    Michel Geoffroy
    11/03/2013

    http://www.polemia.com – 12/03/2013

  • France : Ayrault réclame 5 milliards d’économies supplémentaires pour 2014

    Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, demande aux ministères d’”identifier au total 5 milliards d’euros d’économies nouvelles en 2014″, dans les lettres de cadrage budgétaire envoyées aux membres du gouvernement.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Le personnel des hôpitaux en danger

    Petits, "ils" insultaient, menaçaient, agressaient leurs profs. "Ils" ont grandi: c'est maintenant au personnel des hôpitaux qu'"ils" s'en prennent, tandis qu'à l'école, une nouvelle génération a pris la relève pour mordre la main qui la nourrit. La réponse, ce sera sûrement plus de subventions et d'allocations.

    Lu sur TF1 News:

    La direction de l'hôpital Nord de Marseille a porté plainte après des actes de violences survenus dimanche et lundi dans le service des urgences de cet établissement.

    Basta. Après des actes de violences survenus dimanche et lundi aux urgences de l'hôpital Nord de Marseille, la direction de l'établissement a porté plainte. Mardi, l'ensemble du personnel a exprimé son ras-le-bol face à la multiplication de ces actes. "Nous enregistrons malheureusement un accident par mois de cette gravité", a déploré le directeur de l'hôpital, Gilles Halimi.

Dimanche, un homme mécontent d'un certificat médical a menacé de mort et de représailles "avec une kalachnikov" le médecin qui l'avait reçu. Lundi, vers 5 heures un homme blessé avec son frère dans un accident de circulation, qui ne supportait pas d'attendre, a cassé une porte à coups de poing. La direction de l'hôpital et deux vigiles, qui ont été blessés dans l'altercation de lundi, ont porté plainte pour violences et dégradations.
 
"Ce sont des faits de plus en plus fréquents", a indiqué à l'AFP le Dr Philippe Jean, responsable du service accueil des urgences adultes. Le chef de service souligne que "la violence urbaine est désormais importée à l'hôpital. Il n'y a plus de respect de l'institution", a-t-il conclu. Dans les couloirs des urgences de l'établissement, situé dans les Quartiers nord, dans une zone parmi les plus défavorisées de Marseille, beaucoup de professionnels de santé confient avoir subi des violences verbales ou physiques. "Il y a quelques semaines, un patient n'était pas satisfait de son certificat médical, alors il m'a craché dessus. Il voulait une semaine de plus et a essayé de me frapper", raconte Maéva Delaveau, médecin urgentiste depuis 10 ans à Marseille, dénonçant des comportements "complètement délirants".

    Malheureusement, le cas de l'hôpital nord de Marseille n'est pas isolé. A l'échelle nationale,  5 760 faits de violence ont été signalés en 2011, selon les derniers chiffres de l'Observatoire national des violences en milieu de santé. Dans 51% des cas il s'agit de violences physiques, soit une hausse de 4% par rapport à 2010.

    http://rivarol.over-blog.com

  • Quand le mondialisme passe, l’emploi trépasse – par Pieter Kerstens

    Il y a déjà 15 ans, en mars 1997, la fermeture brutale de l’usine Renault à Vilvoorde en Belgique avait vu se profiler le consensus politique du lobby mondialiste. Depuis, les groupes Général Motors, Ford, Peugeot-Citroën ou Renault ont multiplié les fermetures de sites de fabrication et ce n’est pas terminé, étant donné que sur une centaine d’unités de production automobile en Europe, plus de 40 sont en surcapacité depuis de longs mois.
    Pour les élites politiques, il ne s’agit pas de vilipender la fermeture d’une usine, mais bien de stigmatiser hypocritement la manière inélégante, sans référence au monde ouvrier, des patrons de ces marques automobiles, MM Varain, Goshn & C°.
    N’oublions pas que depuis de très nombreuses années, les chefs d’États ou de gouvernements, les Chirac, Dehaene, Prodi, Zapatero, leurs copains de la Commission Européenne et leurs successeurs, ont été  les complices d’une politique d’ensemble qui s’est traduite par de larges et drastiques suppressions d’emplois, ainsi que par une atomisation des marchés nationaux au sein d’une conjoncture mondiale toujours plus contraignante. 
    Mais ce que ces valets du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à nous cacher pendant des décennies éclate au nez et à la figure des peuples européens maintenant que la crise affecte profondément les familles et les structures de nos économies : le village mondial est une chimère et l’Organisation Mondiale du Commerce (ex-Gatt) l’instrument du bradage de produits de mauvaise qualité vendus à vil prix… dont le résultat est le chômage en Europe !
    Semaine après semaine, mois après mois, les travailleurs se rendent compte que « l’Europe du bien-être et de la prospérité », vantée par  les charlatans qui nous gouvernent depuis plus de 30 ans, n’est qu’un vaste leurre et bien évidemment que notre avenir et celui de nos enfants sera loin d’être rose. Bien au contraire, ces imbéciles aux commandes s’obstinent à gaspiller les deniers publics dans de fumeuses politiques « sociétales » et de « solidarité » afin de capter le vote de clients/électeurs qui seraient redevables de ces prébendes, pour les maintenir plus tard dans leurs fonctions rémunératrices.
    Pour ces saltimbanques de la gestion à courte vue, l’austérité ou la rigueur sont des anathèmes, des « provocations », des « insultes » aux travailleurs, bref en d’autres termes, inadéquats et impensables pour redresser la barre des finances publiques mises à mal par leur faute. Pourtant, ce sont quand même ces pourriticards et ces socialauds-humanistes qui ont conduit nos économies au fond du gouffre financier où nous sommes aujourd’hui. Ils ont et ont toujours eu la faculté  d’imposer, à temps, des mesures drastiques et certes impopulaires, mais  indispensables au redressement des entreprises nationales ou européennes.
    Il n’est pas trop tard pour tenir un langage de vérité ni pour sauver l’essentiel des structures sociales dans les pays européens, encore faudra-t-il trouver un certain courage politique pour éviter une catastrophe. En effet, peut-on refuser l’austérité pour favoriser la facilité ?
    En 1860, Abraham Lincoln déclarait devant le Congrès américain : «  Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. »

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Madone des sans-papiers, Duflot les loge à l'hôtel

     
    S
    elon la presse, l'hébergement d'urgence dans la seule Ile-de-France serait réservé entre 80 et 95 % à des étrangers en situation irrégulière. Duflot loge les clandestins dans des Hôtels à 150 euros… De plus, parce qu’ils refusent de « souiller » une mosquée on les met dans les Églises!
    Cela coûterait annuellement 410 millions d’euros, et Duflot réclame un plan d’urgence supplémentaire de 50 millions d’euros. Entre autres bonne idées, la Ministre du Logement suggère de régulariser les 8000 clandestins, ce qui, paraît-il, leur donnerait accès plus facilement à des logements sociaux. On croit rêver !!!¢
    Sur le sujet, voir aussi les articles du Gaulois

  • Les dessous de la mondialisation : Roumanie, exploitants à terre

    En 2004, le géant agroalimentaire américain Smithfield Food, le « king » du porc, s’installe en Roumanie. Il construit, rachète plus d’une cinquantaine de fermes, dont Comtim, ancienne structure d’État et étend ainsi son royaume dans l’abattage, la transformation et la distribution.

    Fort de son poids économique et des arguments séduisants adressés à la Communauté Européenne, il rafle les subventions attribuées à la modernisation des fermes d’élevage intensif de porcs roumains. Alimentation transgénique, méthode de croissance express, pollution des sols…Rien ne semble l’arrêter.

    Le rouleau compresseur américain Smithfield poursuit sa conquête, notamment en France. Aoste, Justin Bridou, Cochonou, Jean D’Erguet, Duc de Forez et bien d’autres sont déjà tombés dans son filet.


    Roumanie : exploitants à terre par _romegas

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Une République démunie face à une mondialisation incontrôlée.

    Face à la mondialisation présente, cette mondialisation trop souvent sans frein ni morale, et si bien représentée par ce dirigeant états-unien cynique et brutal de Titan, M. Taylor, qui insultait dernièrement les ouvriers français dans un courrier au ministre Arnaud Montebourg et prône le servage brutal des travailleurs, que fait, que peut faire la République ? En fait, il semble qu’elle soit bien démunie et que, dans la plupart des cas et au sein même de ses élites, la mondialisation apparaisse comme une fatalité, hier satisfaisante et aujourd’hui tragique mais « nécessaire » : il n’y a plus de réflexion ni d’action politique qui puisse l’arrêter, si l’on en croit leurs dires. Il faut juste s’y adapter et en faire, malgré tout, « une chance », entend-on dans les cénacles économiques et politiques…

    Mais cette fameuse « adaptation », autre nom du fatalisme et non pas du pragmatisme, se fait d’abord au détriment du « social » et des plus faibles ou fragiles dans la sphère économique, mais aussi des règles qui, jusque là, permettaient de partager les fruits de la croissance ou de les redistribuer de façon plus ou moins équitable. Bien sûr, il ne s’agit pas de tomber dans l’angélisme d’un péremptoire « c’était mieux avant » ou d’un modèle social français qui aurait été l’idéal absolu, mais de reconnaître les acquis d’une histoire sociale qui, en France, sont nés en réaction et surtout en réparation de notre « 1791 », ce « 1791 » si néfaste sur le plan de l’organisation et de la défense sociales. C’est d’ailleurs ce combat social incessant, long, fastidieux, parfois violent, qui a permis aux travailleurs de ce pays de retrouver une dignité que la Révolution libérale de 1791 leur avait volée ou interdite, mais aussi de profiter des fruits des « Trente glorieuses », parfois, d’ailleurs, au détriment de leur propre identité de producteur et à l’avantage de leur seule qualité de consommateur. Tout était-il juste dans cette lutte ? Sans doute pas, et les erreurs furent nombreuses, parce que les guides de celle que l’on nommait alors la classe ouvrière étaient souvent des idéologues plus que des syndicalistes au sens noble du terme, et qu’ils ont méconnu les risques d’une société de consommation qui, basée sur une croissance considérée comme éternelle et infinie, est plus destructrice et déracinante que ses publicités ne le laissent entendre et comprendre… La séduction de la marchandise, symbolisée par la voiture, la télé et le réfrigérateur, et autorisée par le crédit à la consommation, a permis à la mondialisation de s’imposer comme une « nécessité » pour mieux préparer et pérenniser la dépendance des populations à la consommation permanente et toujours renouvelée : un moyen d’étouffer les révoltes politiques et de dévaluer le politique au profit de l’économique et de son symbole et maître absolu, l’Argent, celui qui désormais anime les sociétés et, même, les nourrit plus encore que la production agricole elle-même, cette dernière étant ainsi prisonnière des jeux du Marché agroalimentaire, parfois au risque même de la santé publique…

    La République est, depuis sa création et malgré quelques exceptions d’autant plus remarquables qu’elles furent rares, liée aux oligarchies d’argent et à leurs intérêts : de Danton à nos jours, elle n’a cessé d’entretenir des relations douteuses avec le monde des puissances industrielles et financières, au risque de mélanger les genres et les comptes, et elle a souvent oublié ses devoirs sociaux ou elle n’y a répondu que par une démagogie méprisable… C’est souvent contre son propre gré qu’elle a fait ou accepté des réformes sociales qui ont permis d’améliorer le sort des travailleurs, entrepreneurs, ouvriers ou paysans, mais elle n’a pas oublié, par contre, de se faire toujours plus gourmande en taxes et impôts pour contenter ses clientèles vassalisées.

    Face à la République de l'Argent, le royalisme social, celui des réalités socioprofessionnelles.

    Aujourd’hui, les caisses de l’Etat sont désespérément vides, et les dettes, accumulées par une gestion maladroite et parfois malsaine, se font de plus en plus lourdes, à l’heure où les créanciers de la mondialisation se font, eux, de plus en plus pressants, et que l’Union européenne, d’inspiration libérale et si peu sociale malgré ses fondateurs démocrates-chrétiens, en appelle aux « nécessaires réformes de structures » qui ne sont rien d’autre que le démantèlement de celles des Etats au profit des grandes entreprises, des établissements financiers et des grands actionnaires, et au détriment des équilibres sociaux déjà fragilisés par la fin des « Trente glorieuses ». Le transfert des richesses des pays d’Europe et de la France vers les nouvelles puissances émergées et vers les pays pétroliers ou gaziers (comme le petit Qatar aux grandes ambitions sportives…) se traduit par un appauvrissement réel et parfois inquiétant, voire dramatique pour certaines catégories de nos concitoyens, de notre pays et de sa population en général. Il faut évidemment tenir compte de ses données lorsqu’il s’agit de réfléchir à ce que pourrait faire un « autre régime » que l’actuelle oligarchie, baptisée République, aujourd’hui au pouvoir.

    http://www.nouvelle-chouannerie.com/

  • Nouveau reportage russe : « Dans 23 ans, la Ve République sera musulmane ! »

    La télévision russe revient sur l’islamisation de la France. Extraits tirés de la vidéo ci-dessous :

    « Ici, une personne sur cinq est musulmane. Dans cette course démographique, l’islam a depuis longtemps vaincu l’Europe ! En général, les Français de souche ont un enfant par famille, alors que les musulmans en ont cinq ! »

    « A ce rytme-là et d’après les sociologues, dans 23 ans, la cinquième république sera musulmane, les Français n’auront plus qu’à se résigner ! »

    « En France, il y a 2.200 mosquées, qui occupent une surface de 300.000 m². Selon l’évaluation du conseil des musulmans de France, chaque musulman a besoin d’au moins un mètre carré pour l’accomplissement des rites religieux, ce qui signifie qu’il faudra multiplier par deux le nombre de mosquées. »

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