Aujourd'hui, Stella Kamnga dénonce les dérives clientélistes, notamment communautaires et religieuses, de certains élus de banlieue. Une réalité qui n'a cessé de prendre de l'ampleur ces dernières décennies.
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Aujourd'hui, Stella Kamnga dénonce les dérives clientélistes, notamment communautaires et religieuses, de certains élus de banlieue. Une réalité qui n'a cessé de prendre de l'ampleur ces dernières décennies.
Beaucoup d'observateurs ont pris conscience de la dégénérescence du tissu social et de ses risques d'implosion jusque dans la violence des armes. Mais la potentielle guerre civile à venir n'aura sans doute que peu à voir avec un quelconque « grand soir ».
Si la potentialité d'une guerre civile restait de l'ordre de l'anticipation dystopique il y a dix ans lorsque je rédigeais Beyrouth-sur-Loire, elle devient désormais une option obligatoire dans toute discussion lucide sur les futurs possibles de notre pays. J'ai beau me tenir éloigné de tout l'épicerie déclinologue et survivaliste (une fascination morbide de plus), une fois débarrassé des lunettes roses du progressisme, on ne peut que constater l'état de profonde dégénérescence de notre société. Politiciens haïs et marionnettes de la finance spéculative, young leaders de la start-up nation ridiculisés par un virus grippal plus virulent que la moyenne saisonnière... Capitaines d'industries tous vendus à la logique mondialiste et aux stock options sans frontières...
Midi-Libre réalise la prouesse de publier un article narrant un fait divers d’insécurité sans préciser que les coupables sont des immigrés clandestins. Seuls les lecteurs un peu avisés l’auront compris :
C’est à l’hôpital Lapeyronie que des patients, attendant d’être pris en charge, ont eu la mauvaise surprise de voir leurs biens dérobés par des mineurs isolés. Ce dimanche 13 septembre, alors que le personnel des urgences venait d’installer chaque malade dans des box pour les soigner individuellement, le service a été victime d’un vol.
En effet, dix minutes après avoir soigné des mineurs non accompagnés qui s’étaient présentés pour des blessures à la lèvre à la suite de bagarres, les victimes des autres box se sont aperçues qu’on leur avait volé leur portable et leur sac à main.
Et, après vérifications, le personnel a réalisé que les MNA avaient filé à l’anglaise… sans signer les papiers de sortie !
L’expression “avaient filé à l’anglaise” donne néanmoins un indice : il s’agit sans doute de mineurs britanniques…
Le 11 septembre dernier, Eric Zemmour a débattu face au journaliste Laurent Joffrin sur différents sujets, notamment l’immigration et la gauche.
Pour Eric Zemmour, le pays serait face à « deux défis », notamment « le Grand remplacement et le Grand déclassement »
Eric Zemmour a également abordé les failles du regroupement familial, soutenu par la gauche.
À partir du moment où l’on vit dans le pays qui nous a accueilli pour travailler et que, de plus en plus, vous organisez votre mode de vie comme au pays (d’origine), ça ne s’appelle plus une immigration ou une installation. Ça s’appelle une colonisation.
On va finir par croire que le Grand remplacement est voulu et organisé :
Les sans-papiers algériens dans les pays européens auront bientôt plus de chances de s’intégrer sur le marché du travail de l’UE. En effet, la commission de l’Union européenne, ainsi que les syndicats, les employeurs, les chambres de commerce et les organisations ont exprimé leur intérêt à renouveler la coopération dans le cadre du partenariat européen pour l’intégration. Cette coopération vise à octroyer plus d’emplois aux sans-papiers, dont les Algériens, qui se trouvent sur le territoire européen (…)
Pierre Hurmic, maire écolo de Bordeaux, c’est Idéfix. Idéfix qui peut se mettre à pleurer, voire entrer dans une colère noire, si l’on abat un arbre. Heureusement, Obélix est là pour replanter. Et si les Romains se mettent à arracher les arbres de la forêt entourant le village gaulois à une cadence industrielle pour y construire le domaine des dieux, le druide Panoramix détient la solution magique : sitôt en terre, le gland se transforme en arbre majestueux. De quoi les rendre fous, ces Romains. Et Idéfix est content.
Dans la vraie vie, il est rare qu’un gland prenne de l’envergure aussi vite. Quoique… La serre médiatique fait des miracles, aujourd’hui. Pierre Hurmic, donc, pleure sur l’arbre mort de Noël. Certes, il a des arguments : ça coûte cher, ça demande de la manutention, c’est vandalisé, c’est dangereux en cas de tempête. Mettons. La filière du bois aura beau expliquer que, derrière ce sapin, se cache toute une forêt de gens de la vraie vie travaillant et faisant vivre leur famille, ce n’est pas sa « conception de la végétalisation », à Idéfix. Que derrière ce sapin abattu cette année, il y a aussi un sapin que l’on va couper dans un an, un autre dans deux ans, etc., mais surtout, un sapin que l’on a planté cette année, un autre, il y a deux ans, etc., Idéfix n’en démord pas.
Les regards sont tournés vers l’île de Lesbos en Grèce avec le spectaculaire incendie du camp de migrants. Comment Lesbos en est arrivé là ? L’île est-elle une porte d’entrée ou un verrou pour les flux migratoires ?
Pour prendre la mesure de ce drame, il faut le restituer dans son contexte historique et géographique. Cette île grecque qui compte un peu plus de 100.000 habitants se trouve à moins de 10 kilomètres des côtes turques et a toujours constitué une porte d’entrée vers l’Union européenne. Lors de la crise migratoire de 2015, 91.000 réfugiés ont réussi à y aborder et à gagner le continent via le port de Mytilène, la capitale de l’île, s’agglomérant aux quelques 1, 256 million de personnes qui ont pénétré dans l’espace Schengen. Ils auraient encore été plus nombreux si la marine turque n’en avait pas intercepté 445.000.
Extrait tiré de l'émission "BFM Story ", diffusée sur BFMTV le 3 septembre 2020.
Lorsque Macron évoque le « crime contre l'humanité » qu'aurait constitué la colonisation française en Algérie et demande pardon pour cela, son discours s'inscrit dans une réflexion idéologique de fond, véhiculée depuis quelques décennies par les marxistes culturels : la repentance pour le colonialisme et ses « crimes ».
Marquée par une sorte de ballet de flux et de reflux historiques, la guerre des races moderne entre les Blancs et les non-Blancs à l'échelle mondiale a connu deux rounds successifs, tout d'abord la colonisation et européenne outre-mer (expansion blanche), puis la décolonisation sur les sols asiatique et africain (reflux blanc). Nous sommes en train de vivre actuellement le troisième round de cette guerre des races moderne la guerre raciale sur le sol européen même, entre indigènes blancs repliés sur leur terre sacrée européenne d'un côté, collabos immigrationnistes de tout poil (lobbies gauchistes, capitalistes négriers, féministes xénophiles, sionistes anti-européens) et populations de couleur utilisées comme colons au service de la classe dominante mondialiste (un vrai schéma colonial, comme dans une colonie de peuplement en Afrique jadis, Algérie ou Rhodésie, mais à l'envers) de l'autre.
Pierre Aidenbaum, ancien maire socialiste du 3e arrondissement de Paris et adjoint chargé de la Seine à la mairie de la capitale, a démissionné de ses fonctions après des accusations de harcèlement sexuel, a indiqué la mairie, lundi 14 septembre.