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anti-national - Page 152

  • Zemmour : « On ne s’en rend pas compte, mais ce sont les immigrés eux-mêmes qui décident des immigrés qui viennent ou non en France »

    Dans la troisième et dernière partie de son entretien-fleuve, Eric Zemmour revient sur la “guerre de civilisation” qui divise aujourd’hui la France, les problèmes liés à l’immigration en France et le futur de la démocratie à l’européenne.

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  • L'Etat laisse faire les délocalisations insensées !, par Nicolas Dupont-Aignan.

    "Je suis devant l'usine Konecranes en Saône-et-Loire qui délocalise en Chine avec 116 salariés sur le carreau... alors qu'elle est rentable ! Dans les médias, le Gouvernement parle de "souveraineté économique", mais sur le terrain l'Etat laisse faire les délocalisations insensées."

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/08/12/l-etat-laisse-faire-les-delocalisations-insensees-par-nicola-6257071.html

  • Débarquements de migrants : des patrouilles de la Royal Navy dans la Manche ?

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    Le ministre de l’Intérieur (Home Secretary), Priti Patel, soutient la proposition d’envoyer la Royal Navy face à l’afflux de migrants dans la Manche, après un nombre record de 235 étrangers illégaux débarqués jeudi dernier.

    L’Union pour les frontières, l’ et les douanes (The Union for Borders), syndicat représentant les agents du service d’immigration britannique, a déclaré que les militaires devaient être mobilisés pour aider à faire face à la crise, notamment en raison de la menace de violence de la part des migrants, et pour les forcer à retourner en France par la mer.

    Le nombre de migrants a plus que doublé, au cours des huit premiers mois de 2020 (près de 3.950) par rapport à l’ensemble de 2019 (1.850). Migration Watch UK a averti que plus de 7.500 personnes pourraient arriver d’ici à Noël.

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  • Les catholiques et l’avortement

    Les catholiques et l’avortement

    Dans la torpeur estivale et avec un hémicycle aux trois quarts vide, les députés ont voté la légalisation de l’infanticide avec des “garde-fous” si ténus que l’on peut dire que cette légalisation vaut en toute situation (je veux bien sûr parler de ce que la novlangue qualifier “d’interruption médicale de grossesse” pour “détresse psychosociale”).

    Au même moment, un lecteur m’a fait découvrir un article universitaire relatif au débat sur la “dépénalisation” de l’avortement à titre expérimental (la loi Giscard-Chirac-Veil de 1974). Bien sûr, nous savons tous comment on est passé en 50 ans d’une logique de dépénalisation à une logique de “droit fondamental”, où ce sont désormais les défenseurs de la vie qui peuvent être sanctionnés par la “justice”. Mais il est fascinant – et terrifiant – de constater la responsabilité des catholiques dans le vote de la loi Veil. Alors que le vote fut serré, plusieurs théologiens de renom (et habitués, comme par hasard, des médias “bien-pensants”!) légitimèrent pas des arguties tordues une “réforme de la législation” et les évêques hésitèrent à rappeler nettement la doctrine catholique. Seule Rome parla clairement, mais elle était trop loin pour avoir une réelle influence sur le débat politique.

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  • Cet immigrationnisme des élites qui ruine la France, par Philippe Fabry.

    Source : https://www.causeur.fr/

    La spirale immigrationniste est un pacte tacite entre les grands groupes français et la caste des énarques. 

    En France, deux tiers des habitants sont opposés à l’immigration de masse : les sondages parus à l’automne dernier montraient que cette proportion de la population estimait que l’intégration ne fonctionnait pas, et qu’il y avait trop d’étrangers en France. La proportion varie quelque peu, mais grosso modo, une nette majorité de la population est défavorable à l’immigration de masse, depuis des décennies. Pourtant, celle-ci se perpétue et, surtout, n’est pratiquement plus remise en question dans le débat public.

    Il arrive certes à des polémistes de soulever la question, mais elle n’est pas politiquement débattue, c’est-à-dire soumise à une consultation démocratique. Lorsqu’elle est évoquée, c’est pour des ajustements à la marge, jamais pour interroger le principe et demander leur avis aux autochtones. De fait, depuis la fin des années 1970, c’est entre 200 000 et 300 000 personnes qui pénètrent chaque année sur le territoire national, dont plus de 60 % viennent d’Afrique.

    Le tonneau des Danaïdes

    Dans un pays qui se prétend démocratique, la contradiction entre une politique constante, aux conséquences si lourdes, si profondes et si durables sur le corps social, et l’hostilité à celle-ci de la majorité de la population ne peut qu’interroger. Il ne s’agit en effet pas d’évolutions sociétales, comme le mariage homosexuel ou la suppression de la peine de mort, qui peuvent être adoptées en dépit des préventions de la majorité et bénéficient ensuite d’un effet cliquet. Il n’y a pas d’effet cliquet en matière d’immigration : c’est une volonté toujours renouvelée. D’où vient-elle ?

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  • Sept fusillades depuis fin juin : Grenoble miné par les règlements de comptes

    Les affrontements à coups de fusils d’assaut ont lieu en plein jour, parfois au milieu des passants. Une explosion de violence qui serait liée au déconfinement et à une lutte de territoires entre réseaux rivaux.

    « Grenoble, c’est le Chicago français. » C’est par cette formule choc que le syndicat de police Alliance qualifiait la capitale des Alpes en août 2018, suite à une série de règlements de compte et de meurtres. Deux ans plus tard, le scénario semble se répéter. Depuis fin juin, on dénombre en effet sept fusillades dans l’agglomération grenobloise. Avec un bilan très lourd : trois morts et quatre blessés.

    La première de ces fusillades a lieu le 27 juin sur la place Saint-Bruno. Des tirs retentissent en plein après-midi au beau milieu des passants et des terrasses de bars. Miraculeusement il n’y a pas de victime…

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1411873-sept-fusillades-depuis-fin-juin-grenoble-mine-par-les-reglements-de-comptes

  • « Arrêter une vie n’est pas une solution à la détresse psychosociale », par Emmanuel Sapin.

    Source : https://fr.aleteia.org/

    Chirurgien pédiatre et néonatalogiste, le professeur Emmanuel Sapin décrypte le mécanisme de transgression continue des lois de bioéthique. Il montre comment les principales mesures du texte adopté par les députés en seconde lecture s’inscrivent dans une logique de relativisme idéologique qui, au nom de considérations humanistes, transforme le mal d’hier en bien aujourd’hui.

    PMA sans père, embryons-chimères, avortements tardifs… à chaque révision de loi de bioéthique, le législateur affronte des situations préoccupantes qu’il a créées sans en mesurer les conséquences. La loi définissant comme bien ce qui est permis, ce qui était défendu lors de la loi précédente devient permis. Les frontières sont sans cesse repoussées. Co-auteur de la première chirurgie fœtale réalisée en Europe, le pédiatre Emmanuel Sapin dénonce, en particulier dans le projet de loi voté par les députés, la fausse solution du recours à l’avortement pour libérer une mère en état de détresse psychosociale.

    Aleteia : Quelle est la mesure qui vous paraît la plus discutable dans le texte voté ?

    Emmanuel Sapin : En premier lieu, à cause des conséquences sur la place du père pour l’enfant, la mesure la plus discutable est l’ouverture de la PMA « pour toutes », qui conduit à une dissociation programmée de la notion et de la réalité de la paternité — biologique et éducative — si ce n’est sa disparition, et d’autre part les problèmes liés à la filiation. Il est d’ailleurs paradoxal que simultanément sont ouvertes les possibilités de demande de levée de l’anonymat. Et la prochaine fois, sous l’argument de la discrimination, s’ouvrira la voie de la GPA.

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  • Les catholiques et l’avortement

    Les catholiques et l’avortement

    Dans la torpeur estivale et avec un hémicycle aux trois quarts vide, les députés ont voté la légalisation de l’infanticide avec des “garde-fous” si ténus que l’on peut dire que cette légalisation vaut en toute situation (je veux bien sûr parler de ce que la novlangue qualifier “d’interruption médicale de grossesse” pour “détresse psychosociale”).

    Au même moment, un lecteur m’a fait découvrir un article universitaire relatif au débat sur la “dépénalisation” de l’avortement à titre expérimental (la loi Giscard-Chirac-Veil de 1974). Bien sûr, nous savons tous comment on est passé en 50 ans d’une logique de dépénalisation à une logique de “droit fondamental”, où ce sont désormais les défenseurs de la vie qui peuvent être sanctionnés par la “justice”. Mais il est fascinant – et terrifiant – de constater la responsabilité des catholiques dans le vote de la loi Veil. Alors que le vote fut serré, plusieurs théologiens de renom (et habitués, comme par hasard, des médias “bien-pensants”!) légitimèrent pas des arguties tordues une “réforme de la législation” et les évêques hésitèrent à rappeler nettement la doctrine catholique. Seule Rome parla clairement, mais elle était trop loin pour avoir une réelle influence sur le débat politique.

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  • Des migrants en sûreté : nous voilà rassurés…

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    Le « flash actu » du Figaro demeure une source d’information rapide pas trop triturée dans le sens politiquement correctement orienté. Mais il s’y lit des télescopages d’information véritablement révélateurs.

    Jugez-en dans ces deux entrefilets consécutifs du 8 août :

    16:04 Carcassonne : deux jeunes violemment agressés dans un train. Parce qu’ils ont demandé à un passager d’arrêter de fumer, les deux Toulousains ont été frappés par six personnes.

    15:26 Pas-de-Calais: 33 migrants secourus dans la Manche lors de deux opérations.

    Voici les détails présentés dans l’ordre chronologique.

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  • Délinquance, par Arisitide Renou.

    Depuis des années, je suis de près l’actualité des « faits-divers » pour des raisons professionnelles, et je peux vous certifier ceci : depuis quelques semaines – en gros, depuis la fin du confinement – le type de faits-divers qui m’intéressent, ceux concernant la délinquance et plus particulièrement les faits de violence contre les personnes, ont grimpé en flèche.

    L’année dernière à la même période, je pouvais trouver chaque jour un, plus rarement deux faits-divers correspondant à mes centres d’intérêts professionnels, et parfois aucun. Cette année j’en trouve facilement quatre, cinq, six par jour, et parfois plus.

    Cela n’est pas dû à un élargissement de ma recherche puisque je consulte toujours les mêmes sites et les mêmes journaux. Et il est hautement improbable que les sites et les journaux que je consulte aient changés leur politique éditoriale.

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