anti-national - Page 152
-
Loi éthique, loi de la barbarie.
Ce lundi 27 juillet, la loi éthique, mise entre parenthèses pendant plusieurs mois du fait de la crise sanitaire, revient à l'Assemblée nationale en seconde lecture.Alors que le Sénat les avait supprimés, trois articles particulièrement scandaleux ont été réintroduits par les députés de la Commission spéciale chargée de la finalisation du projet.1 - Le remboursement par la sécurité sociale de la procréation assistée pour toutes, femmes seules et couples homosexuelles compris même si la démonstration de leur infertilité naturelle n'a pas été faite. Le coût pour les contribuables en sera très important. Le coût moral pour la Nation, incalculable. -
Isère : Un maire demande à des jeunes d’arrêter de jeter des pétards, il est agressé et violemment frappé
Le maire de Miribel-les-Échelles, une petite commune d’Isère, intervenait pour faire cesser des jets de pétards ce lundi soir. Il a été agressé et blessé par plusieurs jeunes.
-
Face à l’ensauvagement qui se répand, la colère populaire gronde
Les massacres d’innocents qui se multiplient avec les actes criminels de dévastation et de profanation de l’espace public culturel et chrétien français, perpétrés par une minorité de lâches sauvages, frustrés et hostiles aux valeurs de la France, seront-ils les gouttes de sang qui feront déborder le vase de la colère citoyenne ?
Les habituels commentaires officiels minorants et pusillanimes tentent de faire passer ces assassinats pour des accidents imprévisibles ou des incivilités regrettables, voire pour des revanches sociales légitimes. Ils évoquent systématiquement la tristesse et une fausse compassion. Or, il ne s’agit plus de subir mais de réagir par la force d’un sentiment profond, intense et tabou dans le registre politicien : la colère, une saine et sainte colère qui rejette l’inexcusable et refuse l’inévitable, qui condamne et lutte contre ces actes délibérés.
-
Nantes et le pseudo migrant, vrai clandestin/profanateur et criminel : d'accord avec Jean Messiha...
Jean MESSIHA#cathedraledenantes Cet article nous révèle une vérité insoupçonnable et consternante sur l'immigration clandestine L’@Eglisecatho protégeait dans ses locaux un migrant dont elle savait la situation illégale depuis 2019. Pour la remercier il y a mis le feu
-
« Ensauvagement » : ce que signifie ce concept cité par Gérald Darmanin, Eric Ciotti et Marine Le Pen
Depuis qu’il a été utilisé par Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, « l’ensauvagement » est devenu le nouveau concept au cœur du débat sur l’insécurité. L’expression, utilisée depuis plusieurs années par l’extrême droite, a été théorisée en 2005 puis en 2013.
Depuis 2013 et son utilisation par Marine Le Pen, le mot « ensauvagement » a infusé dans le débat politique consacré à l’insécurité. […] Quand Jean-Pierre Chevènement, ministre de l’Intérieur de 1997 à 2000, utilise le mot « sauvageons » pour décrire les mineurs délinquants dans les quartiers sensibles de banlieues, c’est tout un nouveau vocable qui s’invite en politique. Ceux qui enfreignent la loi sont comparés à des animaux vivant en liberté dans la nature, voire, au sens péjoratif du terme, à des êtres primitifs, non-civilisés.
Il faut toutefois attendre 2005 et un essai de Thérèse Delpech pour voir apparaître l’expression « ensauvagement ». Cette intellectuelle, morte brutalement en 2012, travaillait au Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et a longtemps produit des notes pour l’exécutif. […] Thérèse Delpech dépasse l’exemple irakien pour théoriser un « ensauvagement plus global. Selon elle, les conflits sont de plus en plus violents et marquent « une sauvage indifférence aux êtres humains« . Elle pose l’idée que les esprits et les gouvernements sont, à l’inverse, de plus en plus inactifs, apathiques face à cette violence. « La passivité qui accompagne la montée de la violence est plus inquiétante encore que la violence montante, écrit-elle. Car elle rend sa victoire possible. Celle-ci bénéficie de l’inaction. » […]
-
Meurtre d’Adrien Perez : l’un des meurtriers présumés pourrait être libéré, le parquet a fait appel
Adrien Pérez avait été mortellement poignardé à la sortie d’une boite de nuit de Meylan, près de Grenoble (Isère), le 29 juillet 2018. L’un des trois individus mis en cause dans cette affaire pourrait être remis en liberté. Le parquet a fait appel de cette décision.
-
Parti national financier : le scandale judiciaire du siècle ?
Lancé à la suite de l’affaire Cahuzac pour traquer la corruption, le Parquet National Financier (PNF) s’est intéressé de trop près aux hommes politiques. Quitte à devenir un acteur politique au comportement trouble.
Nous sommes en janvier 2017 à peine le Canard Enchaîné a-t-il commencé le feuilletonnage des turpitudes du candidat Fillon que le Parquet national financier (PNF) ouvre une enquête préliminaire. La suite, on la connaît : le candidat de la droite, donné favori pour la présidentielle, n'est pas qualifié pour le second tour. C'est la première fois que la justice intervient en pleine élection présidentielle. Le dossier sur Fillon était-il vraiment à charge justifiant une action si prompte ? En tout cas, le 10 juin 2020, devant les députés, celle qui était alors procureur du PNF Éliane Houlette, dit avoir reçu des pressions multiples et détaillées de sa hiérarchie judiciaire. Notamment de la part de Catherine Champrenault, procureur de Paris nommée par Taubira. Curieusement, en juin 2019, Houlette disait n'avoir reçu aucune pression...
-
Le maire EELV de Colombes compare les forces de l’ordre à la police de Vichy, Darmanin veut porter plainte
Patrick Chaimovitch, nouvel édile de la ville des Hauts-de-Seine, a comparé les forces de l’ordre qui «traquent les migrants» aux gendarmes impliqués dans la rafle du Vel d’Hiv.
-
CE PAYS PART EN VRILLE
-
On ne peut vaincre l’ensauvagement qu’en restaurant Notre civilisation ! (II)
Les violences urbaines de Dijon, de Nice et d’ailleurs, les meurtres gratuits qui témoignent d’une totale indifférence à la vie des autres ont propulsé la notion d’ensauvagement au premier plan de l’actualité. Le fonctionnement médiatique de notre société nous habitue à traverser au pas de charge des séquences saturées par un sujet dominant. Certains sont imposés d’en haut par l’idéologie qui anime le microcosme des politiques et des communicants, comme le réchauffement climatique, d’autres s’imposent d’eux-mêmes mais sont récupérés par la sphère du pouvoir, comme la pandémie actuelle, qui accroît l’emprise sur la société civile, d’autres encore sont suscités par des groupes de pression idéologiques et déstabilisateurs comme l’étonnante incursion en France du « racialisme » prétendument antiraciste, qui a facilité la scandaleuse exploitation de l’affaire Traoré. Enfin, il y a ceux que les faits eux-mêmes placent en tête des informations. Les violences, les coups de couteau, les blessures, les handicaps à vie, les morts, pour un mauvais regard, pour une cigarette refusée, pour un rappel à l’ordre sont monnaie courante mais demeurent dans la zone grise des faits divers où les revendications islamistes sont signes de déséquilibre mental et les noms des auteurs oubliés ou maquillés. Et puis, en quelques jours, des morts particulièrement cruelles commis par des « sauvages », provoquent une vague émotionnelle et font monter à la surface la réalité que la France d’en-haut veut cacher : celle de ces quartiers et maintenant de ces villes où la loi qui règne n’est pas celle de l’Etat, mais celle des bandes qui vivent des trafics ou des communautés qui s’inspirent d’autres règles que les nôtres. Dans cette France à l’envers, c’est le citoyen qui doit fermer les yeux et baisser la tête, car à vouloir rappeler la loi, il risque sa vie. Cette question est évidemment plus importante que celle du Covid-19, car contrairement à la maladie, elle dépend entièrement de la volonté politique, et qu’elle est d’une durée plus longue. Elle est plus essentielle que l’écologie ou l’économie, car elle est nationale et non mondiale et dépend de nous. C’est pourquoi le gouvernement de contre-sens que notre pays subit depuis trois ans l’a superbement ignorée et écartée. Voici qu’elle lui est jetée à la figure.