
Donald Trump ne met bien évidemment pas fin aux formations contre les discriminations raciales dans l’administration. Il demande à ce que ces formations ne s’appuient pas sur la “critical race theory”. Il met fin aux formations racistes.
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Donald Trump ne met bien évidemment pas fin aux formations contre les discriminations raciales dans l’administration. Il demande à ce que ces formations ne s’appuient pas sur la “critical race theory”. Il met fin aux formations racistes.
Les positions militantes noires et anti-françaises, obsédées par la division « raciale » entre les populations, sont en retard : celles de LFI, Obono par exemple, du minuscule groupuscule Ligue de défense noire africaine, faisant un peu de bruit sur les réseaux sociaux grâce aux médias bienveillants, ou des associations d’« afro-descendants » persuadés d’avoir des esclaves comme ancêtres. Pourtant, aucun Noir vivant en France ne peut affirmer avec certitude descendre d’esclaves, sauf à avoir mené un travail généalogique probant. La lecture de livres historiques sérieux, tels ceux, mondialement reconnus, d’Olivier Pétré-Grenouilleau, Les Traites négrières (Gallimard, 2004), devrait suffire à le comprendre. Il est donc étonnant que les militants noirs de France, nombreux à penser que l’Afrique est un « pays », ne soient pas mieux informés des avancées remarquables de leurs « compatriotes » noirs africains, en matière de remigration.
Donald Trump ordonne la suppression des formations contre le racisme dispensées dans l’administration fédérale des États-Unis, dénonçant une “propagande clivante et anti-américaine”.
“Des employés de l’administration ont été priés de suivre des formations où il leur est dit que +pratiquement toutes les personnes blanches contribuent au racisme, où il leur est demandé de dire qu’ils ‘bénéficient du racisme‘”, indique notamment la Maison Blanche dans un communiqué.
(…) L’administration présidentielle a reçu l’ordre de « s’assurer que les agences fédérales cessent d’utiliser les dollars des contribuables pour financer ces séances de propagande clivantes et anti-américaines », ajoute le communiqué.
Aux États-Unis, d'épisodiques crises de folie sociétale 1
Puritanisme et néo-inquisition : l'hystérie politiquement-correcte plonge la superstructure des États-Unis, notamment son infosphère 2, dans d'épisodiques crises d'une épilepsie sociétale mal comprise, vu d'Europe.
Addendum : un lecteur me signale que Michel Onfray accuse par erreur Laurent Joffrin d’avoir promu la coprophagie et la zoophilie par une tribune. En effet, il fait référence à un article dont Laurent Joffrin n’est pas l’auteur, publié par Libération le 17 janvier 2014, date à laquelle il n’était pas encore revenu en tant que directeur de la rédaction. (Source pour le lien à cette tribune : https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/joffrin-penseur-du-sexe ).
Source : https://www.france-catholique.fr/
« Aujourd’hui, la vie publique se résume a des polémiques médiatiques où l’on se contente d’asséner des affirmations dont la véhémence fait preuve. Cela ne laisse plus beaucoup de place pour une argumentation développée. » Cette déclaration de Marcel Gauchet à l’hebdomadaire L’Obs est d’autant plus à recevoir avec sérieux qu’elle explique la cessation de parution de la revue Le Débat, dont le philosophe fut, pendant quarante ans, l’animateur infatigable aux côtés de Pierre Nora, son directeur.
Fleurons industriels, infrastructures stratégiques, mais aussi sites classés, ressources naturelles ou territoires entiers, avec le VRP Macron, toute la France est à vendre… depuis Bercy sous Hollande, la grande braderie, voire la casse pure et simple, se poursuit de plus belle depuis qu’il est à l’Élysée.
Image qui restera Bruno Le Maire sous les huées de la foule manifestant contre le plan social de General Electric (GE). Visiblement, son piteux « Il est important que General Electric revoie sa copie » n'a pas convaincu. « Ne vous y trompez pas, ce plan, avec son millier de suppressions d'emplois, c'est la dernière étape avant la fermeture du site turbines à gaz ! », rétorque un syndicaliste, qui voit clair dans ce dossier.
Alstom, fleuron industriel et stratégique, a été vendu à la découpe par Macron, ministre de l'Économie de Hollande. Aux Américains de General Electric (GE), les turbines à gaz, utilisées dans le nucléaire, vitales pour notre indépendance militaire et énergétique. Aux Allemands de Siemens, la branche ferroviaire, volet flingué, ironie de l'histoire, par Bruxelles. L'activité nucléaire d'Alstom n'a pas eu cette chance. Promesses de créer 1 000 emplois nets non tenues, « garanties » allègrement bafouées, avec le millier de licenciements annoncés le 27 mai par GE, l'affaire revient en boomerang au visage de Macron Président. Un coup qui fait d'autant plus mal que Hugh Bailey l’actuel patron de GE France, était conseiller pour les affaires industrielles de Macron à Bercy lors de la vente d'Alstom à GE. Quand le conflit d'intérêts est une seconde nature…
Jean-Yves Le Gallou décrypte l’affaire Valeurs Actuelles :