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anti-national - Page 154

  • La République a besoin de sacrifices humains

    La République a besoin de sacrifices humains

    Communiqué de l’Association catholique des infirmières et professionnels de santé :

    1)    ABOLITION DE LA CLAUSE DE CONSCIENCE des médecins et soignants ; laquelle leur permet de refuser de pratiquer un avortement ou l’euthanasie. C’est certainement pour les services médicaux la clause la plus sensible. Il s’agit d’obliger notamment les médecins, les sages-femmes et infirmières à faire des actes contre leur conscience. C’est ce que Hitler avait exigé notamment dans les camps de concentration où il y avait des femmes prisonnières enceintes, sans parler des éliminations physiques notamment des malades. Le tout se situant dans le cadre de l’eugénisme afin de purifier la race.

    Or le droit à l’objection de conscience existe dans la loi Veil art. 8, le code de la Santé publique, le code de déontologie. Le Conseil de l’Europe a finalement adopté une résolution n°1763 intitulée « Le droit à l’objection de conscience dans le cadre des soins médicaux légaux »De plus, par la loi du 9 décembre 1905 et l’article 1er de sa CONSTITUTION (1958 et 2008), la FRANCE reconnaît de la même manière la LIBERTÉ DE CONSCIENCE et de CULTE et la neutralité de l’État et des personnes publiques en matière religieuse.

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  • Calais : La colère des plaisanciers monte face aux dizaines de vols d’embarcations par des migrants

    Les traversées de la Manche par des migrants à bord de petites embarcations n’ont jamais été aussi importantes. Même si la plupart des embarcations et des moteurs proviennent des pays de l’Est de l’Europe, certains sont dérobés dans le Calaisis notamment au port de plaisance et base Tom-Souville.

  • La déraison écologique

    La raison écologique est la meilleure avons-nous. Il ne faut pas oublie, pour autant, le développement d’une idéologie écolo, enseignant méthodiquement ce mépris de l’humain, qui pourrait être le drapeau de la nouvelle globalisation.

    Gardiens de la Création, nous le sommes, mais l'homme est aussi à son sommet, dépassant le monde matériel qui l'entoure, parce qu'il est corps et âme et que sa destinée est ailleurs. La terre lui est donnée afin qu'il en dispose : non pour en abuser ni la détruire, mais pour en faire le meilleur usage. Qui saurait prétendre l'inverse ? Mais que de sacrifices absurdes ne lui demande-t-on pas au nom de l'environnement là est la notion religieuse qui prédomine aujourd'hui dans l'idéologie verte, qui n'a de cesse de montrer que l'homme est aujourd'hui le plus grand ennemi de la nature. Médias, programmes scolaires, réglementations à l'infini répètent les poncifs de l'écologie : réchauffement (à cause du C02, dont les dégâts seraient imputables à l'homme), surconsommation, épuisement des ressources, surpopulation, déchets polluants, injustice environnementale dont les pays riches, occidentaux et principalement chrétiens portent la responsabilité à l'égard des pauvres qui seront les premières victimes des dérèglements climatiques… tous ces mots nous sont familiers.

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  • Principe de précaution et servitude volontaire.

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    Le pouvoir actuel n’est pas libéral, mais « progressiste » ce qui est le contraire. Le libéralisme repose sur l’idée que la personne douée de raison peut au profit de la collectivité jouir d’une autonomie dont elle fera le meilleur usage non seulement dans son activité économique mais aussi dans l’ensemble de la vie sociale, avec bien sûr une juste répression des cas où son comportement nuirait à la collectivité. Cette conception conduit à concevoir la société comme un vaste espace de liberté avec en son centre un noyau capable d’exercer les sanctions qui s’imposent à ceux qui contreviennent à des lois les moins nombreuses et les plus claires possibles. Le progressisme repose au contraire sur l’extension indéfinie du noyau central sous la forme d’un Etat tentaculaire multipliant les règlements et les interventions mais en clamant que c’est pour l’augmentation du bien-être et des menus plaisirs de chacun, et la sauvegarde de la santé et de la sécurité de tous. Ce système a été annoncé notamment par deux auteurs français épris de vraie liberté : La Boétie qui dénonce le caractère volontaire de la servitude chez les peuples qui acceptent de perdre leurs libertés et par Tocqueville annonçant une nouvelle forme de despotisme qui ne ruine la liberté que pour prétendre apporter le bonheur. Il est fascinant de constater à quel point la situation actuelle accrédite leurs craintes.

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  • Bizarre, l'indignation à géométrie variable de SOS Racisme...

    LyonSOS Racisme était présent au rassemblement devant la mosquée Essalem, incendiée dans la nuit de mercredi à jeudi dernier. 
    Fort bien.
    Ce qui est bizarre c'est que SOS Racisme n'a pas appelé à manifester autour de la cathédrale de Nantes incendiée par un migrant !
    En France, il y a un acte de vandalisme plus ou moins grave contre un édifice chrétien par jour, et jamais de manif de SOS Racisme...
    Cherchez l'erreur...
  • La nouvelle révolution vient des élites

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    L'impossibilité de rendre la droite intéligente.jpegMichel Geoffroy vient d'écrire un gros ivre sur La super-classe mondiale contre les peuples. L’ancien haut fonctionnaire, pétri par la culture du secret, découvre, pour nous, les arcanes d'un nouvel ordre.

    Entretien avec l'abbé G. de Tanouarn

    Qu’appelez-vous « la superclasse mondiale » ?

    Fondamentalement, ce n'est rien d'autre que le Pouvoir économique et financier, dérégulé et mondialisé dans la seconde moitié du XXe siècle. Car en 1989, après la disparition de la menace communiste, la fonction marchande se met à tout diriger en Occident. C'est ce qui me différencie par exemple des travaux d'un Henry Coston, autrefois : je ne pointe pas telle ou telle minorité à l'œuvre dans l'histoire, même si cette méthode a eu son intérêt, mais je décris un système, que je caractérise ainsi : l'usurpation de la souveraineté politique par le pouvoir économique et financier mondialisé et dérégulé en Occident. Il faut bien se dire que les 100 premières entreprises mondialisées, qui sont américaines en grande majorité, représente un PIB supérieur à celui de l'Union européenne. Ajoutons qu'elles peuvent se localiser où elles veulent pour payer le moins possible d'impôts aux États. Eh bien ! La super-classe mondiale, c’est le milieu humain qui naît du nouveau rapport de force entre l'économie et la finance mondialisées d'une part, la souveraineté politique d'autre part.

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  • La France poignardée au cœur (2018)

    Tous les jours depuis le début de l’été, une nouvelle attaque au couteau endeuille la France. Qu’ il s’agisse de clandestins ou de racailles, leur volonté de tuer est manifeste. Est-ce insigne d’ensauvagement ou le symptôme d’un mal encore plus grave ?

    25 août, un jour ordinaire en France un homme meurt poignardé dans le métro, un autre est entre la vie et la mort à Toulouse, agressé à coups de machette et de batte de base-bail. Deux jours auparavant, un homme fiché pour radicalisation islamique tue deux membres de sa famille et en blesse grièvement une troisième, un acte revendiqué par l'État islamique. Ce faisceau d'éléments pointant vers la piste terroriste n'empêche pas Gérard Collomb de nous servir l'habituelle rengaine du « déséquilibré ».

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  • La Ripoublique exemplaire (2018)

    Vous croyez que le quinquennat de Hollande avait battu tous les records en matière d’affairisme ? C'était compter sans le « nouveau monde » et la « République exemplaire  Macron ». Litanie des affaires !

    La macronie remercie Alexandre Benalla ! Les frasques du collaborateur d'Emmanuel Macron auront, eu le mérite de faire oublier aux Français l'incroyable chapelet d'affaires qui touche le Président, son gouvernement et sa majorité. Impossible de les citer tous, un florilège thématique fera l'affaire.

    Quatre (ex-) ministres ont fait l’objet de soupçons de conflits d'intérêts : Agnès Buzyn, à la Santé, dont le mari est PDG de l'INSERM, qui dépend de son ministère, Nicolas Hulot, feu ministre de l'Écologie, était mal à l’aise entre les donateurs de sa fondation (Areva, EDF…) et ses fonctions... Mais rien à voir avec sa démission. Françoise Nyssen, à la Culture, qui chapeaute le Centre national du livre, verra celui-ci octroyer 100 000 € à Actes Sud, sa maison d'édition. La même a d'ailleurs réalisé des travaux sans permis de construire à Arles et à Paris, pour la même boutique. Citons enfin Stéphane Travert, ministre de l'Agriculture, qui aurait fait fuiter un amendement sur l'interdiction du glyphosate au lobby de l'agrochimie.

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  • Merkel en maillon faible (2018)

    On nous vend, à longueur de media, une réussite de l’Union européenne que tous, tant nos concitoyens que nos voisins, peinent à voir. Car, avant tout, Bruxelles est une succession de compromis sur une addition d’échecs. Angela Merkel en est, aujourd’hui, le signe le plus visible.

    Fin juin, un nouveau sommet européen s'est ainsi soldé par une nouvelle réussite. Donald Tusk, le président du Conseil européen, affirmait en effet sur Twitter, élevé semble-t-il au rang de communication officielle de Bruxelles : « Les dirigeants de l’UE28 se sont accordés sur les conclusions du sommet, y compris la migration. »

    Plus enthousiaste que jamais, le VRP européen Macron renchérissait : « Beaucoup prédisaient ce soir l'impossibilité d'un accord, beaucoup prédisaient le triomphe de solutions nationales, nous avons réussi ce soir à obtenir une solution européenne et un travail en collaboration. C'est la coopération européenne qui l'a emporté. »

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  • Violence policière inouïe contre une femme qui ne porte pas de masque

    La scène se déroule à Melbourne, en Australie. Elle montre l’arrestation extrêmement violence d’une jeune femme. Son délit ? Ne pas avoir porté le masque en rue…

    La dictature sanitaire dans toute son horreur.