A voir absolument. Pour ceux qui doutent de la manipulation en cours.
anti-national - Page 154
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Hold-up : la bande annonce
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Un enseignant martyr laïc de l’islamisme : détonateur de la guerre civile ou dernier avertissement ?
Choqués mais pas surpris par l’ignominie de Conflans, car un professeur vient de mourir pour la France, non pas glorieusement, mais en victime expiatoire des valeurs de notre nation. Un « martyr laïc », face à l’islamisme le plus abject, ne peut mourir pour rien. Son assassinat nécessite une réponse du pays dont il contribuait à défendre les valeurs. Loin d’un fait divers, c’est un acte de guerre contre la France et la peur doit changer de camp.
Où sont les musulmans qui acceptent la laïcité et la primauté des lois de la République sur leur religion ? Bloquent-ils les mosquées salafistes ? Affichent-ils les caricatures ou sont-ils soumis aux dealers et aux intégristes ? C’est donc aux religieux d’agir contre les intégristes de leur religion.
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Attentat à Conflans-Sainte-Honorine : tout ça pour ça !
Attentat à Conflans-Sainte-Honorine : tout ça pour ça !
Vendredi 16 octobre 2020, un professeur d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine a été décapité par un islamiste. Selon les premières informations, l’auteur de l’attentat aurait voulu « punir » le professeur pour avoir montré à ses élèves une caricature de Mahomet publiée dans un numéro de Charlie hebdo. Retour sur cette énième « réplique » de la publication initiale des caricatures de Mahomet.Charlie hebdo, une vieille histoire de bouffeurs de curés… et d’imams
L’attentat de vendredi ne peut se comprendre qu’en le replaçant dans un contexte plus large que le seul geste horrible de l’islamiste qui a décapité un professeur d’un collège des Yvelines.
Le journal satirique Charlie hebdo s’inscrit dans une longue tradition française d’humour paillard et anticlérical. Une tradition dont Rabelais n’est pas le moindre des piliers. On peut ne pas apprécier les représentations de prêtres sodomisés ou pratiquant la fellation, mais c’est aussi cela, la liberté d’expression.
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Covid19, les derniers chiffres de mortalité française face à la propagande médiatique et gouvernementale
Les statistiques se suivent et se ressemblent.
Tous les 15 jours l’Insee met à disposition les nouveaux chiffres sur la mortalité en France. Tous les 15 jours l’Insee rappelle qu’il n’y a plus de surmortalité en France depuis le 1er mai. Mais quel est le poids d’un institut qui donne des chiffres incontestables une fois tous les 15 jours face à la propagande médiatique et gouvernementale quotidienne ?
Bien peu de choses. Dans cet article on va revenir sur les derniers chiffres de mortalité française.
Vous pourrez constater qu’il ne se passe rien, même un mois après la rentrée scolaire alors qu’on nous annonçait le retour de la tempête juste après le calme de l’été. On verra aussi que le nombre de morts du virus n’est pas la seule fausse idée que l’on a de la crise.
Nous sommes passés depuis maintenant 6 mois à une dictature médico-médiatique. Nous voyons défiler chaque jour des médecins et des directeurs d’hôpital à la télé, alors que la surmortalité du coronavirus ne concerne même pas en premier lieu l’hôpital, mais les EHPAD et les personnes âgées à domicile.
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Non, Monsieur Mélenchon, il n’y a pas « un problème avec la communauté tchétchène » mais avec votre aveuglement sélectif !
Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais non. On avoue partout qu’on n’en sait rien, cela, au motif que la France ne fait pas de statistiques ethniques. Officiellement ils sont entre 15 et 20.000 sur notre sol (selon Europe 1), beaucoup plus certainement, exilés d’un pays qui compte environ 1,3 million d’habitants.
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Marine Le Pen exige “une législation de guerre” contre l’islamisme
Quelques heures après avoir rendu hommage à Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, Marine Le Pen s’est adressée aux Français ce lundi matin. Depuis le siège de son parti, la présidente du Rassemblement national a violemment taclé, l’inaction, à ses yeux, des pouvoirs publics depuis plusieurs années et demandé la mise en place d’une “législation de guerre” pour lutter “la dérive sectaire d’un Islam politique et de son idéologie criminelle, l’islamisme”.
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Michel Onfray sur CNews : « On voit bien que les gouvernants ne prévoient rien ».
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Tout est prétexte pour censurer les réseaux sociaux
Furieux que la loi Avia ait été censurée par le Conseil constitutionnel, nos apprentis dictateurs profitent de tout évènement pour revenir avec leur projet de censure d’internet (encore un virus chinois).
Le porte-parole du gouvernement l’annonce :
Xavier Bertrand, l’idiot utile d’Emmanuel Macron, a dénoncé à son tour le rôle des réseaux sociaux :
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Le Samedi Politique – Covid-19 : F. Di Vizio, l’avocat à l’origine de la perquisition des ministres explique tout !
Depuis le début de la crise sanitaire du Covid-19, les décisions politiques incohérentes, inefficaces, ineptes s’enchaînent. Parmi les décideurs publics, beaucoup font valoir que le Covid-19 est nouveau et qu’ils ne « savaient pas ».
Pourtant, dès son départ du ministère de la Santé, Agnès Buzyn s’est répandue dans la presse pour dire combien elle avait alerté le sommet de l’Etat sur la dangerosité de cette épidémie. Des déclarations qui ont justifié de nombreuses plaintes devant la Cour de Justice de la République, déposées par maître Fabrice Di Vizio, représentant le Collectif C19, un collectif de soignants et une association de victimes du Covid-19. Ces plaintes visent Agnès Buzyn, mais aussi son successeur Olivier Véran, l’ancien premier ministre Edouard Philippe, le directeur général de la santé, Jérôme Salomon.
Tous ont été perquisitionnés, à l’instar de la directrice générale de Santé Publique France, Geneviève Chêne.
Un temps judiciaire qui a suscité de très nombreux commentaires.
Maître Fabrice Di Vizio nous dira tout.
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Les complices de l’islam terroriste
La décapitation de vendredi montre dans l’enchainement des faits une accablante complicité d’un certain nombre d’acteurs.
Samuel Paty s’apprêtait à être sanctionné par l’Académie des Yvelines pour avoir osé montrer des caricatures du prophète Mahomet.
Abdelhakim Sefrioui, prédicateur islamiste connu du renseignement, a été placé en garde à vue. Le 8 octobre, il avait appelé à la mobilisation contre l’enseignant. Son CV dévoile un profil d’islamiste expert de l’agit-prop.
L’islamiste qui a décapité ce professeur d’histoire est un tchétchène de 18 ans né à Moscou, nommé Abdoulakh Anzorov. Il était connu pour des antécédents de droit commun, mais disposait d’un casier vierge. Il n’était pas connu pour sa radicalisation mais ferait partie d’une bande d’Éragny fréquentée par un islamiste fiché “S”. Sa famille est originaire d’un village au sud de Grozny, en Tchétchénie, et est arrivée en France en 2008. Leur demande d’asile pour obtenir le statut de réfugié politique leur a été refusée par l’administration, mais cette décision a été cassée en 2011 par la Cour nationale du droit d’asile. La famille Anzorov a donc obtenu le statut de réfugié et l’assaillant a reçu automatiquement une carte de séjour valable 10 ans en mars 2020, à sa majorité. Si la justice, en 2011, avait suivi l’administration, cette famille aurait fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire.