La raison écologique est la meilleure avons-nous. Il ne faut pas oublie, pour autant, le développement d’une idéologie écolo, enseignant méthodiquement ce mépris de l’humain, qui pourrait être le drapeau de la nouvelle globalisation.
Gardiens de la Création, nous le sommes, mais l'homme est aussi à son sommet, dépassant le monde matériel qui l'entoure, parce qu'il est corps et âme et que sa destinée est ailleurs. La terre lui est donnée afin qu'il en dispose : non pour en abuser ni la détruire, mais pour en faire le meilleur usage. Qui saurait prétendre l'inverse ? Mais que de sacrifices absurdes ne lui demande-t-on pas au nom de l'environnement là est la notion religieuse qui prédomine aujourd'hui dans l'idéologie verte, qui n'a de cesse de montrer que l'homme est aujourd'hui le plus grand ennemi de la nature. Médias, programmes scolaires, réglementations à l'infini répètent les poncifs de l'écologie : réchauffement (à cause du C02, dont les dégâts seraient imputables à l'homme), surconsommation, épuisement des ressources, surpopulation, déchets polluants, injustice environnementale dont les pays riches, occidentaux et principalement chrétiens portent la responsabilité à l'égard des pauvres qui seront les premières victimes des dérèglements climatiques… tous ces mots nous sont familiers.
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