anti-national - Page 168
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Zemmour : “Macron a accumulé les lois liberticides (…) Il ne supporte pas la contestation (…) Les médias ne sont pas un contre-pouvoir”
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Macron, la grande braderie de la France (2019)
Fleurons industriels, infrastructures stratégiques, mais aussi sites classés, ressources naturelles ou territoires entiers, avec le VRP Macron, toute la France est à vendre… depuis Bercy sous Hollande, la grande braderie, voire la casse pure et simple, se poursuit de plus belle depuis qu’il est à l’Élysée.
Image qui restera Bruno Le Maire sous les huées de la foule manifestant contre le plan social de General Electric (GE). Visiblement, son piteux « Il est important que General Electric revoie sa copie » n'a pas convaincu. « Ne vous y trompez pas, ce plan, avec son millier de suppressions d'emplois, c'est la dernière étape avant la fermeture du site turbines à gaz ! », rétorque un syndicaliste, qui voit clair dans ce dossier.
Alstom, fleuron industriel et stratégique, a été vendu à la découpe par Macron, ministre de l'Économie de Hollande. Aux Américains de General Electric (GE), les turbines à gaz, utilisées dans le nucléaire, vitales pour notre indépendance militaire et énergétique. Aux Allemands de Siemens, la branche ferroviaire, volet flingué, ironie de l'histoire, par Bruxelles. L'activité nucléaire d'Alstom n'a pas eu cette chance. Promesses de créer 1 000 emplois nets non tenues, « garanties » allègrement bafouées, avec le millier de licenciements annoncés le 27 mai par GE, l'affaire revient en boomerang au visage de Macron Président. Un coup qui fait d'autant plus mal que Hugh Bailey l’actuel patron de GE France, était conseiller pour les affaires industrielles de Macron à Bercy lors de la vente d'Alstom à GE. Quand le conflit d'intérêts est une seconde nature…
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Les principaux ennemis de la liberté d’expression sont les journalistes eux-mêmes
Jean-Yves Le Gallou décrypte l’affaire Valeurs Actuelles :
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Qui est ce pseudo Béhanzin, de la Ligue de défense noire africaine ?
Ne me dites pas que vous n’avez jamais entendu parler de Gbèhin azi bô ayidjlè Ahossou Gbowelé ! Comme les Français ont toujours eu du mal avec les langues gbe-nigéro-congolaises, nos ancêtres colonisateurs l’ont popularisé sous le nom occidentalisé de Béhanzin, roi d’Abomey, dans l’actuel Bénin de 1890 à 1894.
Nous ne contesterons pas son courage, sans doute peut-on même parler d’héroïsme des guerriers et guerrières fons d’Abomey, qui se sacrifièrent devant les fusils gras à tir rapide des légionnaires et marsouins envoyés par la République IIIe pour le réduire. En 1892, alors que Paris était ensanglanté par les attentats anarchistes de Ravachol, la France s’enthousiasmait, par les illustrations en couleur du Petit Journal, des exploits exotiques de nos deux mille soldats envoyés contre ce despote aux milliers de fidèles, pratiquant chaque année les sacrifices humains et razziant les peuples voisins pour alimenter ses marchés aux esclaves.
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Me Gilles-William Goldnadel : « Que cela plaise ou non, l’immigration incontrôlée et l’islamisme sont des obsessions légitimes pour les Français »
Durant l’été, en France, on a assisté à de nombreux faits divers témoignant d’une insécurité galopante en France, un véritable ensauvagement. Dans les colonnes de Boulevard Voltaire, Me Gilles-William Goldnadel dénonce « l’occultation des faits » de la plupart des médias.
Depuis le début de l’été, on parle d’ensauvagement et de multiplication des faits divers. Gérald Darmanin avait de son côté promis que les dealers arrêteraient de dormir. Nous avons vu des photos de dealers protégés par des miliciens armés de fusils à pompe. Que pouvez-vous dire de cette période ?
Il faut prendre les problèmes un par un. Cet été, nous avons assisté à un triomphe extrêmement platonique de la réalité sur le virtuel ou du réel sur l’idéologie. Pendant des années, on vous a expliqué que la sécurité ou l’insécurité étaient une sorte de fantasme et d’obsession qui reposait sur un ressenti, mais sur rien de réel. De temps en temps, cette interdiction de ne pas respecter l’idéologie était provisoirement arrêtée par la venue du réel. En général, l’idéologie retrouve assez vite ses droits lorsque le réel s’estompe et que les morts dorment dans la terre redevenue froide.
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L’accueil des clandestins, toujours insuffisant pour les médias de grand chemin
Il y a deux ans, nous soulignions dans un article que de nombreux médias de grand chemin avaient repris à leur compte la thèse des immigrationnistes selon laquelle il n’y a pas de crise des migrants en France, mais une crise de l’accueil des migrants. En dépit d’un effort budgétaire considérable, la situation s’est-elle améliorée en particulier dans la capitale française ? Nous avons tenté de le savoir dans les médias de grand chemin.
Un effort budgétaire et matériel considérable
En juillet 2017, la maire de Paris Anne Hidalgo s’exprimait dans les colonnes de Ouest-France. Elle proposait une loi « clef en main » sur l’accueil des « migrants ». Celle-ci prévoyait notamment une forte augmentation du nombre de places en centres d’accueil des demandeurs d’asile et une répartition administrée des migrants sur tout le territoire.
Le gouvernement Philippe semble avoir été plus qu’attentif aux propositions de la maire de Paris. A l’occasion du débat sur la loi asile et immigration, Le Figaro reprenait le 7 octobre 2019 les déclarations du délégué général LREM et député Stanislas Guérini :
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Djihadisme. Six attentats déjoués et plus de 8 000 fichés pour « radicalisation à caractère terroriste » en France
Breizh Info – La menace terroriste est toujours bien présente dans l’Hexagone. En l’espace de quelques mois, plusieurs attentats auraient ainsi été déjoués dans le pays tandis que les libérations de détenus islamistes inquiètent.
(…) Entre la rentrée masquée pour cause de Covid-19 et les turbulences médiatiques de ces derniers jours dans le sillage de l’affaire Danièle Obono, on en oublierait presque la menace terroriste pesant sur la France. Une menace, élevée, que s’est chargé de rappeler le procureur de la République antiterroriste Jean-François Ricard, à la tête du Parquet national antiterroriste (Pnat), au micro de franceinfo le 31 août.
L’homme a indiqué que « plusieurs attentats ont été déjoués, une demi-douzaine au moins » en France au cours des derniers mois. Et avance notamment une explication : « Nous savons, sans pouvoir vous donner plus de détails, qu’un certain nombre de ressortissants français sont, d’abord, libres, encore en Syrie et peuvent agir, soit ont passé la frontière entre la Syrie et la Turquie ».
(…) Dans ce contexte anxiogène quant au risque terroriste, un autre chiffre a été communiqué le 31 août, cette fois par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin lors d’un déplacement au siège de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) : 8 132 individus sont inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).
Lire l’article complet sur Breizh Info
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Selon un sondage, « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française »
Selon un sondage IFOP, 74% des musulmans de moins de 25 ans font passer leurs convictions religieuses avant la République. Mais ce n’est pas ce qui est choquant dans ce sondage. En effet, tous les catholiques devraient faire passer leurs convictions religieuses avant tout pouvoir. Comme Thomas More face à Henry VIII, Stauffenberg face à Hitler. Ou aujourd’hui face à l’avortement…
Ce sondage IFOP, réalisé à l’occasion de l’ouverture du procès des attentats de janvier 2015, révèle surtout, et c’est là qu’il convient de s’indigner, que :
- 10% des musulmans « condamnent [les frères Kouachi] mais partagent certaines de leurs motivations » et 5% déclarent qu’ils « ne les condamnent pas ».
- Un quart des jeunes musulmans (26%) de moins de 25 ans ne condamnent pas explicitement les auteurs des attentats du 7 janvier 2015 et 12% les condamnent tout en admettant partager certaines de leurs motivations
- l’idée selon laquelle « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française » est loin d’être approuvé que par la population non-musulmane : 61% des Français partageant cette idée d’après un récent sondage de l’Ifop pour le JDD (octobre 2019). Si l’enquête montre que ce sentiment recueille l’approbation de 29% des musulmans, il est aussi partagé par près d’un jeune musulman sur deux (45%).
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Qui sont les sauvages ? par André Bercoff
Il ne se passe pas un jour sans que, un peu partout dans le royaume, les balises de l’effondrement se manifestent avec la régularité d’un métronome. André Bercoff, journaliste et essayiste, décrypte la polémique autour de la notion d’«ensauvagement».
La canicule n’est plus seulement atmosphérique : elle devient, de plus en plus, cosa mentale. Tout se passe comme si le confinement n’était plus physique mais intégré, intériorisé, appliqué dans les têtes. Cependant que l’on nous demande, que l’on exige, d’observer les gestes barrières, le quotidien charrie des pelletées entières de tabassages, de crimes, de délits, de viols, de vols et autres violences qui ne soulèvent même plus l’indignation des médias et de l’opinion publique, les uns et l’autre affairés à l’unique objet de leurs ressentiments : la température.
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Affaire Augustin : la réponse cinglante de l’Action française
On a parfois l’impression qu’il est devenu plus criminel de nommer certains maux que de les commettre…
Le mouvement nationaliste et royaliste fondé en 1898 a publié un communiqué lapidaire, suite aux torrents de boue qui se sont déversés sur lui et sur Augustin. « Alors qu’Augustin faisait remarquer à des jeunes gens qu’ils étaient en train d’importuner des jeunes filles, l’un au moins de ces jeunes gens a décidé de l’attaquer par derrière en lui portant un coup à la tête. Puis Augustin a été ramassé, plus tard, la mâchoire brisée, les dents cassées et les cervicales déplacées », rappelle le mouvement, dans son communiqué. Une remise au point qui fait écho aux 21 jours d’ITT prescrits au jeune homme.
Mais l’Action française ne s’arrête pas là. « Comme Augustin est blanc, français et de droite, comme ses agresseurs sont maghrébins (comme les jeunes filles à qui Augustin voulait venir en aide, sans attendre une hypothétique intervention d’une hypothétique police de proximité tentant hypothétiquement de faire respecter les chimériques lois de Marlène Schiappa), certains mettent en doute le fait qu’Augustin soit à l’hôpital, d’autres lui dénient le droit d’intervenir, d’autres enfin considèrent que frapper un militant de droite est en soi une bonne chose. »