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anti-national - Page 167

  • Accusation de viol contre Gérald Darmanin : où en est l’enquête ?

    Il assure n’avoir « évidemment » rien à se reprocher et marcher « la tête haute ». Jeudi 9 juillet sur RTL, le nouveau ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré « avoir le droit à la présomption d’innocence », alors qu’il est visé par une enquête pour viol et que sa nomination place Beauvau provoque l’indignation et la colère des associations féministes.

    […]

    Comment l’enquête le visant a-t-elle évolué depuis la plainte de Sophie Patterson-Spatz en 2017 ? Eléments de réponse.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/accusation-de-viol-contre-gerald-darmanin-ou-en-est-lenquete

  • L’attaque de la Commission européenne contre la réforme de la justice en Pologne

    L’attaque de la Commission européenne contre la réforme de la justice en Pologne

    Résumé, chronologie et enjeux, par Patrik Regalski, auteur invité sur ECLJ. Voici la conclusion :

    Dans ce conflit, la Commission européenne, gardienne des traités, interprète la phrase « les États membres établissent les voies de recours nécessaires pour assurer une protection juridictionnelle effective dans les domaines couverts par le droit de l’Union » comme conférant aux institutions de l’UE un pouvoir sur l’organisation et le fonctionnement des institutions judiciaires nationales. Ce pouvoir serait supérieur à celui des cours constitutionnelles nationales. De la même manière, la mention de l’État de droit parmi les valeurs visées par l’article 2 du Traité sur l’Union européenne est invoquée par la Commission en soutien de sa prétention à exercer un contrôle direct sur le respect de l’État de droit. C’est particulièrement vrai vis-à-vis de la Pologne et de la Hongrie depuis que ces pays sont dirigés par des conservateurs dont les idées ne correspondent pas toujours à celles dominantes à Bruxelles. Et puisque l’article 7 permet difficilement de sanctionner un État membre qui ne respecterait pas l’interprétation que la Commission européenne fait de ces valeurs énumérées à l’article 2, celle-ci s’efforce d’obtenir de la CJUE qu’elle étende sa compétence au contrôle du respect de l’État de droit dans les pays membres. Mais comme cela ne suffit pas pour faire plier Varsovie (et également Budapest), la Commission européenne, soutenue par le Parlement européen, cherche en outre, depuis deux ans, à introduire dans le prochain cadre financier pluriannuel de l’Union – et aussi désormais dans le plan de relance négocié pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie de COVID-19 – un mécanisme conditionnant le versement des fonds européens à l’appréciation par la Commission européenne du respect par chaque État membre de l’État de droit et des valeurs évoquées à l’article 2 du Traité sur l’Union européenne. Ce serait une autre manière de contourner les conditions strictes prévues pour sanctionner un pays sous le régime de l’article 7. Sans attendre la mise en place d’un tel mécanisme, la Commission européenne exerce déjà de fait un chantage aux fonds européens contre les collectivités locales polonaisesqui s’opposent à l’idéologie LGBT, ce qui illustre très bien à quoi pourrait servir le conditionnement des fonds européens au respect de « l’État de droit ».

    C’est pourquoi le conflit qui oppose aujourd’hui Bruxelles à Varsovie concerne en fait tous les Européens.

    https://www.lesalonbeige.fr/lattaque-de-la-commission-europeenne-contre-la-reforme-de-la-justice-en-pologne/

  • Mort de la gendarme Mélanie Lemée : « Si Yassine s’était pris une bastos, il y aurait des fresques « Yassine for life » ». Patrice Quarteron

    Les mots justes de Patrice Quarteron face au silence assourdissant de ceux qui font désormais des délinquants des victimes tout en oubliant les victimes de ces délinquants !

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  • La théorie du « privilège blanc » à l’assaut du pouvoir, par Clément Martin (Les Identitaires)

    Nouveau concept star des social justice warriors, le « privilège blanc » n’est pas qu’un gadget intellectuel à la mode. Cette idée gagne du terrain en France. La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNDH), fondée en 1947 par le Français René Cassin, juriste et proche collaborateur de Charles de Gaulle, vient de rendre son rapport annuel sur « la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie ». Rappelons tout d’abord que cette institution, autorité administrative indépendante (AAI), ne reçoit en théorie aucune commande de la part des pouvoirs publics. Son rôle est de conseiller. D’abord attachée à la définition classique des droits de l’homme (liberté d’expression, de circulation, de réunion, etc.), le nombre de ses attributions a beaucoup augmenté ces dernières années, alors qu’elle-même critique volontiers « l’inflation législative ». La lutte contre le racisme a rejoint son éventail d’actions depuis 1990 ainsi que « toutes les formes de haine anti-LGBT » en 2018. Alors qu’elle avait jugé la loi AVIA « disproportionnée et inopportune », la CNDH se convertit à la paranoïa ambiante autour du « privilège blanc », cité plusieurs fois dans son rapport présenté le 21 juin dernier. De plus, si elle récuse le droit de censure à des sociétés privées, elle « recommande [au gouvernement] de poursuivre l’amélioration de la coopération [de l’État] avec les fournisseurs d’accès à Internet, les hébergeurs et les sites de référencement aux fins de retrait des discours de haine en moins de 24 heures. » Quand on connaît l’interprétation de plus extensive, au niveau politique et judiciaire, de la notion d’incitation à la haine, il est clair que cette recommandation ne peut qu’amener à une censure plus rapide et plus large.

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  • La France et ses mosquées : la Turquie est désormais le premier propriétaire de mosquées en France

    La France et ses mosquées : la Turquie est désormais le premier propriétaire de mosquées en France 

    Analyse d’Annie Laurent sur La Petite Feuille Verte :

    L’implantation du culte musulman en France métropolitaine remonte au début du XXème siècle. Depuis lors, le nombre de mosquées s’est considérablement accru sans que, pour autant, le droit afférent à leur édification n’ait fait l’objet d’une clarification.

    LA GRANDE MOSQUÉE DE PARIS

    La première mosquée fut celle de Paris, inaugurée le 15 juillet 1926, conjointement par le sultan du Maroc Moulay Youssef et le président de la République Gaston Doumergue. Cette construction répondait à une demande contenue dans un mémoire remis au gouvernement en 1916 par Paul Bourdarie, membre du Comité consultatif des Affaires indigènes. Il s’agissait de manifester la reconnaissance de la France envers les musulmans des territoires relevant de son domaine colonial pour leur loyauté durant la Première Guerre mondiale. « Aux yeux de beaucoup de responsables, la France avait contracté une dette d’honneur et de reconnaissance à l’égard de l’Islam » (Alain Boyer, L’Institut musulman de la Mosquée de Paris, CHEAM, 1992, p. 20).

    Ayant accepté ce projet, le gouvernement ne pouvait cependant pas en être l’acteur direct puisqu’il comportait un lieu de culte, ce qui contrevenait à la loi de 1905 portant séparation des Églises et de l’État. Pour contourner l’obstacle, une loi votée en 1920, autorisa la construction, sur fonds publics, d’un Institut musulman placé sous la responsabilité d’une association relevant de la loi de 1901, en l’occurrence le Comité de l’Institut musulman à Paris dont l’objet comportait aussi explicitement l’édification d’une mosquée, le tout subventionné par l’État. « La vocation culturelle de l’Institut musulman a été volontairement mise en avant pour autoriser cette entorse aux règles de la laïcité » (Xavier Ternisien, La France des mosquées, Albin Michel, 2002, p. 40).

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  • Élections municipales : les « Verts » le début de la fin pour Macron ?

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    Richard Roudier Président de la Ligue du Midi
    Les élections municipales n’ont guère été clémentes envers le parti présidentiel, qui n’est pas arrivé à décrocher une seule mairie de grande ville. Le seul à avoir réussi à remporter le second tour et qui puisse être relié à LREM est notre ex premier ministre Edouard Philippe qui a été élu au Havre, mais il l’a fait sans étiquette, comme si sa relation avec le gouvernement était un peu honteuse (il en a d’ailleurs profité pour abandonner le navire). Un peu comme la victoire de Louis Aliot à Perpignan, qui peut difficilement être imputée au RN, puisque le candidat s’est présenté lui aussi sans couleur de parti. Une victoire qui cache des gains assez faibles et des pertes, mais c‘est toujours mieux que le parti présidentiel qui, lui, perd partout alors qu’il n’a pas de front « républicain » contre lui.
    Le vainqueur dans cette « mascarade » (dixit Agnès Buzyn) est sans conteste le parti Europe Ecologie Les Verts qui aligne une belle liste de succès : Lyon, Bordeaux, Strasbourg, une alliance qui le met en position de force à Paris…

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  • Black Lives Matter : « Nous Sommes des Marxistes Aguerris » – Partie I

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  • Encore peur pour Brigitte Bardot ?

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    Brigitte Bardot, questionnée par André Bercoff - j'étais présent dans le studio - s'est déchaînée au téléphone sur l'insécurité de la France, les "lâches" qui nous gouvernent et les affaires graves qui depuis quelques jours assombrissent et indignent la France (Sud Radio).

    Pour ne parler que de Thomas poignardé par un homme sorti de prison par anticipation à la suite de la Covid-19. De la gendarme de 26 ans tuée par un chauffard sous l'emprise de la drogue et de l'alcool, au casier judiciaire bien pourvu dans le domaine de cette délinquance automobile. Du chauffeur d'autobus à Bayonne dans un état de mort cérébrale parce qu'il avait accompli son travail à l'égard d'une personne sans masque et avec un chien. Agressé violemment par un groupe dont deux personnes ont été mises en examen et écrouées.

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  • Sénat : un rapport alarmant sur l’islam politique en France

    «L’islamisme radical est polymorphe, s’insinuant dans tous les aspects de la vie sociale et tend à imposer une nouvelle norme sociale en se prévalant de la liberté individuelle.» […]

    «On pose un sujet de société: toute la France, sauf l’Ouest, est touchée par un islam radical», prévient la rapporteur, la sénatrice LR Jacqueline Eustache-Brinio (Val-d’Oise). «Aujourd’hui, en France, on assigne à résidence des gens au nom d’une norme religieuse. On ne peut pas l’accepter. C’est maintenant ou jamais qu’il faut réagir», met-elle en garde.
    […]

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1398471-senat-un-rapport-alarmant-sur-lislam-politique-en-france

  • Les Démocraties occidentales désarmées ? Le révélateur de Hong Kong.

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    Les Démocraties occidentales sont, comme dans les années 1930, faibles et trop souvent désarmées face aux puissances autocratiques ou totalitaires, et elles semblent n’avoir rien retenu de l’histoire, une fois de plus et peut-être une fois de trop : les provocations ottomanes du nouveau sultan Erdogan et la prise de contrôle presque totale du territoire de Hong Kong par la Chine de Xi Jinping marquent une poussée des régimes intolérants qui semble s’accélérer à l’occasion de ce déconfinement qui tourne à la déconfiture économique et idéologique des grandes démocraties occidentales, en partie minées par le communautarisme et le racialisme, deux systèmes idéologiques qui portent le même risque de désintégration des anciens modèles de civilisation sans remettre en cause, loin de là, les idéologies économiques dominantes de la société de consommation et du libre-échangisme mondialisé. L’américanisation des conflictualités internes à notre pays, par exemple, montre bien la porosité de nos sociétés, par les médias comme par la mondialisation elle-même, aux thématiques imposées par les gourous d’une gouvernance qui cherche, par tous les moyens (y compris ceux de la morale ou, plus exactement du moralisme, fort peu politiques s’ils s’avèrent néanmoins politiciens…), à contourner les gouvernements politiques des Démocraties tout en les culpabilisant pour mieux les affaiblir : une stratégie profitable aux Etats non-démocratiques qui s’engouffrent dans les brèches faites par les opinions publiques des Démocraties elles-mêmes, insouciantes du danger à moyen terme (dans le meilleur des cas) d’un effondrement total, qui pourrait être civilisationnel avant d’être militaire… Un effondrement qui n’est pas fatal, mais possible et plausible si l’on n’y prend garde.

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