Pour les autorités, le confinement est le meilleur moyen pour limiter la violence du pic de l’épidémie ainsi que l’engorgement des hôpitaux et le nombre de décès. Un anesthésiste réanimateur de la Pitié Salpêtrière déclarait mardi soir sur LCI que la France peut gérer 6 000 malades en réanimation, jusqu’à 12 000 en bloquant tous les hôpitaux. Il précisait aussi qu’en cas d’échec du confinement, l’estimation serait de 100 000 à 150 000 malades devant être mis en réanimation. Commentaire : « Ça, on ne sait pas faire. On entre tous dans un autre monde, là. »
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Les « quartiers ethniques » se fichent du confinement
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Quel confinement dans les « quartiers » ?
Le propre des crises comme celle que nous tentons de traverser est de révéler des vérités qu’on aimerait bien tenir cachées. Des vérités qui montrent combien notre « vernis civilisationnel » est peu épais, prêt à craquer à la moindre contrainte dans notre temps où l’égoïsme est roi.
Vérité des États et des peuples aussi, pour autant que cette mondialisation qui nous saute « viralement » à la gorge laisse encore s’exprimer un peu les mentalités profondes qui nous façonnent.
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Covid-19 : soupçons sur un mensonge d’Etat, par Ivan Rioufol
Agnès Buzyn a menti. Envahie par le remords, elle le reconnait à ma consoeur Ariane Chemin, dans Le Monde daté de ce mercredi. Alors qu’elle était encore ministre de la Santé, elle avoue qu’elle n’aurait pas dû dire, le 24 janvier, parlant du coronavirus apparu en Chine : “Le risque d’importation de cas depuis Wuhan (…) est maintenant pratiquement nul (…) Le risque de propagation du coronavirus dans la population est très faible“. Disant cela, Agnès Buzyn savait qu’elle trompait l’opinion. Aujourd’hui, elle explique en effet :
Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine. Le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumonies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections (municipales) ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein.
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HAUTE TRAHISON !
Michel Onfray cliquez ici
Buzyn, sa vie, son œuvre
En publiant un article (le 17 mars 2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d'Agnès Buzyn, ex-ministre de la Santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu'elle ferait quantité de morts et qu'elle se disait la seule à le savoir !
Or, les Français ne sont pas débiles : ils savent que ce qui s'écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s'y trouve explicitement écrit.
Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n'en avait jamais été. D'abord cette entrée en la matière : "Je me demande ce que je vais faire de ma vie." Ensuite, le plat de résistance : "Je n’ai plus de boulot." Enfin, le dessert, c'est une interrogation de la journaliste : "Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation ?" Pauvre petite fille riche...
Détaillons... -
Sur Sud Radio, André Bercoff : "Certains devront rendre des comptes" (État de l'hôpital public).
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L’ALGERIE, UNE GRENADE DEGOUPILLEE DANS NOTRE SALON !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Une fois de plus, une fois encore, nous allons parler de ce véritable « poison » qui nous menace, aussi dangereux sinon plus, à moyen et long terme, que le Coronavirus. Rien n’est calmé en Algérie, et la farce électorale qui a mené au pouvoir Abdel Majid Tebboune, un homme du sérail adoubé par l’armée, ne va pas calmer pour autant les participants des récurrentes manifestations dans les rues d’Alger et d’ailleurs.
La situation de l’Algérie, au plan économique, est catastrophique. Et comme tout régime qui sent que la situation lui échappe un peu, un petit coup de patriotisme ne fait pas de mal pour détourner l’attention d’un peuple au nationalisme exacerbé. Nous avons vu cela avec les généraux argentins qui, en 1982, ont créé la crise des Malouines, - avec le succès que l’on sait ! -, et les colonels grecs à Chypre en juillet 1974, là aussi avec l’échec patent de leur tentative de rattachement de l’île à la Mère-patrie. Ce qui n’a réussi en fin de compte, qu’à favoriser leur ennemi héréditaire, la Turquie.
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Des jeunes caillassent policiers et pompiers en plein confinement dans le 93 et sont relâchés car les faits “étaient insuffisamment caractérisés”
A Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) dans la soirée du mardi 17 mars, alors que la France est en plein confinement pour tenter d’endiguer la propagation du Coronavirus, une vingtaine de jeune encapuchonnés ont mis en place un guet-apens, dans la cité des 3 000, rapporte Le Parisien.
Après avoir mis le feu à des conteneurs pour attirer les forces de l’ordre, les racailles ont caillassé (pierres, barres de fer) les pompiers et la vingtaine de policiers dépêchés sur place. Le secteur avait, au préalable, été plongé dans le noir. « Comme c’est le cas toutes les nuits, les compteurs électriques sont neutralisés par des individus », déplore une source policière.
Les forces de l’ordre ont du faire usage de leurs grenades de désencerclement pour se défendre, « mais personne n’est venu au contact », explique un agent arrivé sur place. « En 40 minutes, c’était réglé. A 23 heures, tout était rentré dans l’ordre », témoigne-t-il.
Six individus ont été arrêtés pour « participation à un attroupement armé »… avant d’être immédiatement relâchés par le parquet de Bobigny car les faits « étaient insuffisamment caractérisés »… ils ont simplement écopé de l’amende de 135 euros mise en place pour verbaliser les individus qui refusent de se plier aux règles du confinement.
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Les larmes de Buzyn
Les derniers développements de la crise du coronavirus appellent, à eux seuls, beaucoup de remarques. À cet égard, le confinement imposé, pour des raisons parfaitement compréhensibles précisons-le, aura au moins le mérite de libérer et de stimuler notre réflexion.
L'observation des hommes incertains et cependant si péremptoires, qui font semblant de nous gouverner quand ils communiquent leurs consignes par les lucarnes télévisuelles prête à réhabiliter les cultures politiques incorrectes.
C'est d'un tel point de vue que l'on peut apprécier ainsi la nouvelle séquence des larmes de Mme Buzyn.
Une première salve d'aveux avait été publiée le 19 février par le journal Le Parisien, qui ne ressent plus le besoin de se prétendre libéré. Ils avaient déjà conduit votre chroniqueur à en souligner les contradictions et le ridicule. (1)
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Et pendant ce temps-là, la racaille fait la loi dans les rues…
Elle bafoue publiquement et explicitement les lois françaises. Elle pille les magasins. Maintenant qu’Emmanuel Macron a découvert l’utilité des frontières contre l’épidémie, va-t-il découvrir que cela peut aussi servir à protéger un mode de vie pacifique et français en France ?
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Gouvernement hongrois : « La Hongrie et l’Estonie rejettent l’immigration et les plans visant à changer la population européenne »
Hongrie – A l’issue de ses entretiens avec son homologue estonien Urmas Reinsalu, le ministre hongrois des affaires étrangères a déclaré que « les deux pays rejettent l’immigration clandestine et les plans visant à changer la population européenne ».
Lors d’une visite officielle à Tallinn, le ministre des affaires étrangères a renforcé les liens de la Hongrie avec l’Estonie.
Péter Szijjártó, ministre des affaires étrangères et du commerce, a déclaré au MTI que les liens entre la Hongrie et l’Estonie sont basés sur des intérêts mutuels et des valeurs partagées. Il a déclaré que les deux gouvernements sont d’accord sur les défis mondiaux et européens.