Le duo (ou le duel) entre Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan revêt la politique internationale d’une dimension personnelle remarquable. La plupart des démocraties sont vouées à des alternances ou soumises à des règles constitutionnelles qui limitent la durée de leurs dirigeants, et quand celle-ci leur est accordée, le pouvoir reste contraint par des oppositions parlementaires ou des protestations populaires. Le Président russe, à la tête de l’Etat ou du gouvernement, dirige le pays depuis vingt ans, celui de la Turquie, dans les mêmes fonctions, depuis dix-sept ans. Seule Mme Merkel pourrait rivaliser avec ses presque quinze ans de chancellerie, mais bien que l’Allemagne soit plus puissante économiquement que les deux autres, ses marges de manoeuvre sont beaucoup plus limitées par le système politique allemand, par l’intégration du pays à l’Union Européenne et à l’Otan, et par une mauvaise conscience historique qui inhibe la parole autant que l’action, dès que l’on quitte le domaine de l’économie pour celui de la stratégie internationale.
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Russie-Turquie : l’Occident va-t-il à nouveau choisir le mauvais cheval ?, par Christian Vanneste.
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49.3 DE LA HONTE - LE GOUVERNEMENT S'ENFONCE
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Radicalisation : selon Christophe Castaner, 287 agents publics ont été signalés après l’attentat de la Préfecture, parmi lesquels 110 au sein de la police nationale
Le ministre de l’intérieur Christophe Castaner a déclaré ce jeudi que, depuis l’attentat commis à la Préfecture de Police de Paris, 287 signalements pour radicalisation islamiste d’agents publics avaient été enregistrés, dont 110 dans les rangs de la police nationale. Parmi ces « 110 cas signalés » pour radicalisation islamiste dans les rangs de la police, « 73 cas ont été classés » et « 2 agents ont été écartés ». Le ministre a totuefois précisé qu’un « signalement de radicalisation était une suspicion », et qu’une « suspicion ne valait pas radicalisation». Il a ajouté que « l’essentiel » de ces signalements avait été classé sans suite.
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Mimie Mathy a osé : elle doit être exécutée !
Notre société devient folle.
Incapable de régler les problèmes importants, elle s’attache à l’infiniment petit, cible le dérisoire, surestime les propos immédiats, pourfend l’insignifiant, accable la bonne foi, dénonce à tout va et fait une montagne de presque rien. Comme si elle avait de l’énergie à revendre et du temps à perdre, comme si elle n’avait que cette inquisition à se mettre sous la dent et sous l’esprit !
On dira que c’est la faute des réseaux sociaux mais, encore une fois, ils ne sont responsables de rien. Ils pourraient être la meilleure des choses, mais encore faudrait-ils qu’ils ne soient pas dénaturés, dégradés par – j’hésite – des malades ou des totalitaires au petit pied, des Fouquier-Tinville de poche ou des délirants du quotidien.
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La Grèce résiste à l’invasion depuis la Turquie
Les Premiers ministres hongrois, polonais, slovaque et tchèque ont salué mercredi les efforts de la Grèce pour endiguer l’afflux d’immigrés en Europe suite à la décision de la Turquie d’ouvrir sa frontière occidentale.
Viktor Orban a affirmé mercredi qu’il y avait «déjà 130.000 migrants au nord et à l’ouest de la frontière gréco-turque qui se dirigeaient vers l’Europe».
« Cette masse doit être arrêtée le plus au sud possible, et si cela ne fonctionne pas, alors bien sûr, comme en 2015 en dernier recours, les Hongrois seront là pour les arrêter à la frontière serbo-hongroise ».
Les deux tiers de ces migrants sont des Afghans, des Irakiens et des Africains, et non des Syriens, selon la Russie. De samedi matin jusqu’à mardi après-midi, les autorités grecques ont empêché 26.532 migrants venant de Turquie d’entrer illégalement en Europe. Au total, 218 individus ont été arrêtées.
Les autorités grecques ont déclaré avoir contrecarré la tentative d’un millier de personnes de traverser à la nage la rivière d’Evros, à l’extrémité sud de la frontière.
A Evros (Grèce), les fermiers aident les policiers et les militaires à patrouiller la frontière pour stopper l’arrivée de migrants (photo). Les Grecs en ont marre et chassent les journalistes et les responsables d’associations immigrationistes ! La route terrestre étant compromise, beaucoup de migrants tentent de franchir la frontière par la mer. Sur la journée de dimanche, 17 bateaux et 763 personnes ont débarqué sur l’île de Lesbos.
Recep Tayyip Erdogan a réaffirmé qu’il ne comptait « pas fermer les portes » de son pays aux migrants.
https://www.lesalonbeige.fr/la-grece-resiste-a-linvasion-depuis-la-turquie/
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Les Grecs à l’avant-poste d’une nouvelle immigration massive
Par Paul Tormenen, juriste ♦ Le 29 février, le président turc Erdogan a annoncé qu’il allait ordonner aux douaniers de son pays de ne plus garder la frontière avec la Grèce. Si cette annonce n’est pas nouvelle, elle est maintenant mise à exécution. Dans le même temps, de nombreux Grecs manifestent contre la pression migratoire sur les îles de la mer Égée. Mais une réaction ferme des gouvernements européens face aux manœuvres du président turc tarde à se concrétiser. Au risque de créer un nouvel appel d’air aux conséquences incalculables pour les Européens.
La Grèce, zone de transit
En septembre 2019, le président turc Erdogan menaçait déjà de « continuer à envahir l’Europe de migrants si la Turquie ne reçoit pas plus de fonds » de l’Union européenne (1). Après le pic de 2015 et une baisse ensuite, le nombre d’arrivées illégales en Grèce recommence à augmenter fortement depuis 2017, avec une accélération depuis le mois de décembre 2019.
Arrivées illégales en Grèce 2017 36 310 2018 50 508 2019 74 613 Source : UNHCR Refugee situation
Le 29 février 2020, le président turc annonçait qu’il laisserait dorénavant les frontières de l’Europe ouvertes aux migrants (2). Selon certaines sources, non seulement la frontière gréco-turque n’est plus contrôlée par les douaniers turcs, en dépit de l’accord signé en 2016 entre l’Union européenne et la Turquie, mais également des migrants seraient fortement incités à se rendre en Europe (3). C’est par milliers que ceux-ci se massent et franchissent illégalement par la mer et la terre une frontière dont la surveillance par les autorités grecques est renforcée (4).
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Avortement : ils ne sont jamais contents
Télérama estime que l’IVG, cette religion qui se nourrit du sacrifice des tout-petits, est menacée :
Elle nous l’avait dit au téléphone, mais on pensait avoir mal entendu : « Quarante-cinq ans après la loi Veil, il faut encore que les équipes de l’hôpital soient engagées, voire militantes, pour que l’accès à l’IVG se fasse sans accroc. Sinon, à un moment ou à un autre, ça coince. » Dans les vastes locaux du Planning familial du Loiret, à Orléans, le Dr Laurence Wittke persiste et signe. « L’hôpital de la ville fait au mieux, avec ses petits moyens. Mais lorsqu’on lui envoie une femme avec un délai limite, il a parfois du mal à entendre qu’il s’agit d’une urgence. » Actuellement, deux semaines sont nécessaires pour obtenir un rendez-vous, et onze jours de plus pour accéder au bloc, alors que la Haute Autorité de santé (HAS) préconise que toute patiente obtienne une consultation dans les cinq jours. « Récemment, nous avons reçu une femme à dix semaines de grossesse. L’hôpital a été incapable de l’accueillir avant quinze jours, reprend Laurence Wittke. Ils ont fini par la diriger vers Blois, dans un autre département. »
L’absence de militantisme pro-avortement des nouvelles générations les inquiète à juste titre. Aux Etats-Unis, le combat pour la vie avance peu à peu et encore récemment :
- le gouverneur de Virginie occidentale a signé lundi une loi qui pénalise les médecins qui ne fournissent pas de soins médicaux à un enfant né vivant après un avortement. Les professionnels de la santé seront soumis à des mesures disciplinaires de la part de leur conseil d’administration.
- L’été dernier, l’administration Trump interdisait aux scientifiques gouvernementaux d’utiliser pour la recherche les tissus provenant d’avortements.
https://www.lesalonbeige.fr/avortement-ils-ne-sont-jamais-contents/
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Un ancien juge à la CEDH confirme l’enquête de l’ECLJ sur le scandale Soros
Boštjan Zupančič est le juge ayant eu le plus long mandat à la Cour européenne des droits de l’homme, de 1998 à 2016. Il en a présidé la troisième section, et a également été juge à la Cour constitutionnelle de Slovénie et vice-président du Comité des Nations-Unies contre la torture. Il réagit aux révélations sur l’infiltration de la CEDH par des juges liées au réseau de l’Open Society de George Soros :
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Municipales : quand France 3 décide de boycotter la candidate RN de Lyon
« C’est un vaste scandale qui se prépare à Lyon ». Dans une vidéo publiée sur Twitter, la candidate soutenue par le Rassemblement national et le Parti démocrate-chrétien Agnès Marion s’est indignée d’avoir été éjectée d’un débat réunissant six candidats aux élections municipales de Lyon. Organisée en partenariat avec Le Progrès, cette confrontation très attendue par les habitants de la cité rhodanienne doit se tenir sur France 3, ce mercredi 4 mars à 21h05.
(…) « J’y étais initialement invitée pour y participer en ma qualité de candidate de la liste Pour l’Amour de Lyon. […] J’en ai pourtant été désinvitée », déplore la candidate dans sa vidéo. Elle explique que « Xavier Roland, directeur de la rédaction de la chaîne, [lui a] servi le motif selon lequel les invités étant trop nombreux, il avait dû faire un choix ». « Indignée », Agnès Marion lui a répondu que ce comportement n’était rien d’autre qu’une « une atteinte au débat démocratique ». Le directeur de la chaîne lui a rétorqué « que la consigne d’équité délivrée par le CSA était soumise à une interprétation subjective ». La candidate fustige cette « subjectivité » et estime ironiquement qu’en son absence, « ce débat sera d’une intensité remarquable puisqu’au final il oppose des candidats qui sont d’accord sur tout ».
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Zones de non-droit : « la menace d’embrasement est encore plus forte »
Ancien préfet et Directeur pour l’intégration, Michel Aubouin a travaillé au cœur de l’Etat. Pendant 40 ans, il a vu petit à petit des quartiers entiers rompre avec la République.
Près de 10% de la population française vit aujourd’hui dans de telles enclaves. Michel Aubouin a quitté ses fonctions pour dénoncer cette situation. L’équilibre national est au bord de la rupture, dit-il. Un entretien choc.