Michel Onfray a donné son avis sur le début de la crise : « pas de stratégie, c’est la stratégie libérale, laissez faire, laissez passer, pas de frontières »
Découvrez cet extrait tiré de l’émission “L’Heure des Pros 2” (CNews) du 23 mars 2020.
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Michel Onfray a donné son avis sur le début de la crise : « pas de stratégie, c’est la stratégie libérale, laissez faire, laissez passer, pas de frontières »
Découvrez cet extrait tiré de l’émission “L’Heure des Pros 2” (CNews) du 23 mars 2020.
BI – L’appel à la prière résonné désormais en France ! Mercredi, nous apprenions via Breizh Info que les villes allemandes de Duisbourg et Hanovre voyaient désormais chaque jour un muezzin lancer l’appel à la prière islamique. Le soir même, à Lyon et Montpellier, un phénomène équivalent se produisait.
La grande mosquée de Lyon rompt sa promesse
C’est par un tweet que le compte Dôme et minarets, qui se revendique comme étant « le journal des mosquées en France », a annoncé fièrement la nouvelle : l’adhan, l’appel à la prière, a retenti depuis le minaret de la grande mosquée de Lyon.
Sans doute conscient de la polémique à venir et conscient également que la République n’est pas plus catholique que musulmane, l’organisme précise dans son message que « les églises étaient appelées à faire sonner leurs cloches à 19 heures en aide aux soignants », oubliant cependant que nombre d’églises françaises faisaient non pas sonner leurs cloches en raison du coronavirus et de ses conséquences mais pour la fête de l’Annonciation.
Diverses vidéos de ce haut fait d’armes ont été relayées depuis.
Clément Martin, porte-parole de Génération Identitaire, a aussitôt évoqué « une déclaration de guerre ». Il cite par ailleurs un article paru dans L’Express le 22 septembre 1994, soit quelques jours avant l’inauguration de la grande mosquée de Lyon, dans lequel il était dit que le minaret ne diffuserait pas d’appel à la prière. Promesse non tenue…
La Paillade, quartier perdu de Montpellier, succombe lui aussi à l’islam
Un peu plus tard dans la soirée, Dôme et minarets est revenu à la charge avec une autre vidéo filmée cette fois ci dans le quartier de la Paillade à Montpellier. La prière islamique chantée par le muezzin résonne là aussi dans la cité.
Les quartiers, noyés sous l’immigration et l’islamisme, bénéficiant qui plus est de de passe-droits quant au confinement, sont plus que jamais en train de faire sécession.
Comme toujours au cœur des catastrophes, et celle que nous vivons mérite ce qualificatif, les pouvoirs publics révèlent leur (in)capacité à faire face à la crise. Le confinement auquel nous sommes contraints, sans doute à raison mais bien tardivement, démontren s’il en était besoinn que nous ne sommes pas gouvernés mais tout au plus administrés.
Chacun connaît l’état des prisons françaises, dont on a parlé ici. Suroccupées, gangrenées par l’islamisme des cités, foyers de violence extrême, elles présentent un risque majeur en cas de contamination. Les quelques mesures prises jusque-là relèvent du bon sens, comme la suppression des parloirs, mais sont gravement insuffisantes puisque les Français ont découvert que les surveillants étaient dépourvus de masques, à l’instar des policiers et gendarmes.
Mais on apprend par la presse que le ministre de la Justice entend libérer par anticipation plus de 5.000 détenus pour désengorger les prisons. Un tel sommet d’irresponsabilité laisse pantois.
Bernard Plouvier
Les pandémies ont souvent donné lieu à des rumeurs. Lors de la Grande Peste du XIVe siècle, on a accusé les lépreux (alors très nombreux en Europe, par importation d’Afrique et du Proche-Orient), les sorciers & sorcières et, parfois, des Juifs d’empoisonner l’eau et les aliments. On a brûlé, pendu, passé par le fer. De nos jours, on se contente du lynchage médiatique.
En 1918, la pandémie était appelée « Grippe espagnole » et cette soi-disant origine ibérique était une Fake New. Mais, lors des tractations de Paris pour établir le soi-disant Traité de Paix, on inventa un autre bobard : « La grippe de 1918 est bien partie de l’Est, ayant eu son premier foyer en Allemagne, où l’on s’était efforcé de tenir la chose secrète » (in Le Concours médical du 20 avril 1919)… le vaincu, tenu pour unique responsable du déclenchement de la guerre, devait l’être aussi de la propagation de l’épidémie meurtrière !
L'avocat des professionnels de Santé Fabrice Di Vizio répond clairement face aux mensonges du gouvernement !
A propos de Laurent Nuñez, il s'énerve et va encore plus loin en déclarant : "Lui il faut le frapper à un moment donné !"
C’est une histoire de fou. Une histoire française. Voici un éminent spécialiste, Didier Raoult, expert mondial en maladies infectieuses et tropicales, obligé de se battre pour se faire entendre des autorités de son pays. En revanche, les travaux de ce grand chercheur, qui exerce à Marseille, ont déjà réussi à convaincre Donald Trump de l’efficacité de la chloroquine (antipaludéen) dans le traitement du coronavirus Covid-19. “Nous allons pouvoir rendre ce médicament disponible quasi-immédiatement“, a déclaré le président américain vendredi. Pour sa part, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a assuré dimanche vouloir le tester davantage.
Face à la crise sanitaire engendrée par l’épidémie de coronavirus, le ministère du Travail a annoncé mardi 24 mars que le gouvernement allait permettre de déroger à la durée du travail dans certains secteurs jusque 60 heures sur une semaine, contre 48 heures actuellement, et 46 heures contre 44 heures en moyenne sur une période de 12 semaines.
Ces modifications pourront s’appliquer dans les secteurs de l’énergie, des télécoms, de la logistique, des transports ou encore de l’agroalimentaire, a précisé l’entourage du ministre du Travail Muriel Pénicaud. Ces heures additionnelles de travail devraient être payées en « heures supplémentaires » et le temps de repos devrait être respecté, selon la même source.
Pourquoi le ponte Didier Raoult a-t-il eu tant de mal à faire accepter l’idée d’un test à grande échelle de l’hydroxychloroquine contre le coronavirus? Non seulement le spécialiste s’est jusque-là heurté à un scepticisme systématique, mais il ressort aussi qu’il a longtemps été en conflit avec Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn.
«Il ne faut plus tarder mais agir», martèle-t-il. Ce lundi 23 mars, une très longue file d’attente s’est formée devant l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée de Marseille (IHU). Les patients potentiels, dont certains sont décrits comme fébriles, masqués et gantés, peuvent y être testés et bénéficier du traitement par hydroxychloroquine associée à un antibiotique.
Pourquoi cette molécule a-t-elle eu tant de mal à émerger et à être reconnue comme piste très prometteuse contre le coronavirus?
Les réseaux sociaux, puis certains médias, se sont mis à creuser la question. Résultat: il semble bien que cet antipaludéen (également utilisé contre la maladie du lupus) bon marché, utilisé depuis des décennies, et facile à produire ait été victime d’un tir de barrage à la fois médiatique et politique, et peut-être même d’inimitiés.
Premier jour de confinement, deuxième de télétravail, puisque l’Éducation nationale a enfin décidé qu’il fallait arrêter de se réunir… Jeudi encore (même pas une semaine), le Président allait au théâtre et, dimanche, allait voter… Les premiers mails d’élèves arrivent, les plus connectés, les plus sérieux. On travaille. La poésie engagée. Le Printemps des poètes, qui a lieu, comme tous les ans, à cette période, a pour thème « le courage ». Tiens, un signe… Sous le patronage de Corneille : « Espère en ton courage, espère en ma promesse. »
On a aussi le temps de lire. Pascal, bien sûr : « Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose… » Finalement, les catholiques en carême devraient y voir un autre signe, dans cette retraite.
Loïk Le Floch-Prigent est notamment ex-PDG d’Elf-Aquitaine et de Gaz de France. Aujourd’hui, il accuse le gouvernement. Et l’accusation est grave. Il affirme que le gouvernement a refusé l’aide d’entreprises pour fabriquer d’urgence des respirateurs artificiels.