Les derniers développements de la crise du coronavirus appellent, à eux seuls, beaucoup de remarques. À cet égard, le confinement imposé, pour des raisons parfaitement compréhensibles précisons-le, aura au moins le mérite de libérer et de stimuler notre réflexion.
L'observation des hommes incertains et cependant si péremptoires, qui font semblant de nous gouverner quand ils communiquent leurs consignes par les lucarnes télévisuelles prête à réhabiliter les cultures politiques incorrectes.
C'est d'un tel point de vue que l'on peut apprécier ainsi la nouvelle séquence des larmes de Mme Buzyn.
Une première salve d'aveux avait été publiée le 19 février par le journal Le Parisien, qui ne ressent plus le besoin de se prétendre libéré. Ils avaient déjà conduit votre chroniqueur à en souligner les contradictions et le ridicule. (1)