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anti-national - Page 318

  • La capitaine du Sea Watch, Carola Rackete, a amené des meurtriers, des violeurs et des bourreaux en Italie

    Carola Rackete, l'infâme capitaine du navire de transport de migrants Sea-Watch 3, une ONG, a amené trois hommes qui dirigeaient un centre de détention pour migrants en Libye, où des migrants ont été violés, torturés et assassinés.Selon Il Giornale, trois des 40 migrants qui ont été accueillis par le bateau de Rackete sont des hommes accusés de viol, de torture et d’assassinat de personnes en Libye.
    Les suspects auraient été arrêtés au centre d'accueil de Messine, en Italie.
    La police avait initialement dissimulé les arrestations qui auraient eu lieu le jour même où les migrants ont débarqué du navire.
    «Le capitaine a transporté trois immigrés accusés d'avoir torturé Sea Watch», écrit Franco Grilli, de Il Giornale.
    "Nous ne pouvons pas l'exclure, mais nous n'avons aucune information précise", a déclaré le porte-parole de Sea Watch, Ruben Neugebauer, à l'agence de presse allemande DPA.
    Les trois hommes ont été officiellement accusés d ’« association de malfaiteurs dédiée à la gestion d’un centre pénitentiaire illégal », de torture, de viols, d’enlèvements et même de meurtres.
    En réponse à cette nouvelle, Matteo Salvini, homme politique et dirigeant du parti populiste national Lega en Italie, a écrit: «Non seulement elle a violé les lois et a percuté un bateau de patrouille de la Guardia di Finanza; le 29 juin, Carola Rackete du Sea Watch 3 aurait débarqué trois immigrants accusés de violence, de viol, d'enlèvement et de meurtre en Italie.
    Les parlementaires du Parti démocratique (PD) ont exigé le débarquement de tous les immigrants, y compris ceux qui sont maintenant soupçonnés d'être des criminels féroces.
    " Selon Chiara Giannini, qui cite des "sources fiables", la nouvelle ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese, avait demandé que les nouvelles embarrassantes ne soient pas publiées. Mais au lieu de cela, des membres de la vraie presse ont rendu publiques les arrestations, ainsi que les noms des trois suspects - Mohammed Condè, 27 ans, Hameda Ahmed, 26 ans et Mahmoud Ashuia, 24 ans.voiceofeurope traduction Google

  • Marion Maréchal : « Le premier grand défi, le plus vital, est le Grand Remplacement ! »

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    Le discours de Marion Maréchal à la Convention de la Droite est un discours important. Un discours fondateur d’une génération politique en rupture avec le conformisme de ses aînés.
    Un discours qui remet les idées à l’endroit face au Gorafi quotidien servi par le médiatiquement correct alors que le réel revient au galop. Ce discours est tenu par quelqu’un qui sait que la réflexion précède l’action et que la reconstruction passe par la transgression.
    Le voici dans son intégralité.
    Polémia

    Bonjour à tous mes chers amis, français et de toute la droite ici rassemblée,

    Je suis très heureuse de participer à cette première édition de la Convention de la droite. Je suis convaincue que le basculement politique s’opérera par ce type d’initiative et parla multiplication des îlots de résistance au sein de la société civile.

    N’attendons pas une future victoire institutionnelle pour prendre nos responsabilités et nous engager, elle viendra, mais uniquement si nous l’avons préparée.

    N’attendons pas que l’Etat nous sauve, actuellement il est phagocyté par une idéologie et des intérêts contraires à l’intérêt national.

    N’attendons pas l’homme providentiel. L’homme et la femme providentiels, c’est chacun, chacune d’entre vous, là où vous êtes, pour agir dans le sens de vos convictions et des intérêts du pays. Comme le font aujourd’hui l’incorrect dans les médias, racines d’avenir en politique, et le cercle audace avec l’entreprise, en organisant cette convention.

    Comme nous le faisons mon équipe et moi-même, avec l’ISSEP, en contribuant à former une nouvelle génération de dirigeants au service de leur pays.

    N’attendons pas la rédemption des seuls partis politiques : créons des associations, montons des écoles, entreprenons français, consommons français, apprenons notre histoire, défendons notre langue, sauvons tout ce que nous pouvons sauver.

    La France c’est nous, elle vit en nous, elle existe par nous et elle existera demain par ce que nous aurons su recevoir et transmettre.

    Alors bien sûr, j’entends les impatiences et les frustrations, j’entends ceux qui veulent agir, pressés par le temps, angoissés par les maux qui nous frappent et s’accélèrent. Mais qui peut imaginer que nos idées arrivent au pouvoir sans avoir préalablement brisé les barrières partisanes d’hier ?

    Avons-nous d’autres solutions que de reconstruire et de réunir par une vision de l’Homme et de la société ? Existe-t-il vraiment une autre voie que de passer par les cœurs et les intelligences des hommes de bonne volonté ?

    Nous devons bâtir sur le roc, pas sur des coups médiatiques! Par les Idées, par les loyautés, les réseaux, des élus locaux, des soutiens financiers, culturels, intellectuels, par la confiance des entreprises, par l’appui de hauts fonctionnaires qui auront la capacité à faire bouger l’Etat et avec des alliés en Europe.

    Et pour y parvenir, il y a urgence à rompre avec la droite des experts comptables, ce champs de ruine idéologique qui n’a comme seul obsession que d’apparaître « moderne ». Ont-ils à ce point oublié les penseurs, dont ils sont censés être les héritiers, pour ne pas se remémorer la phrase de Thibon «  être dans le vent, voilà l’ambition d’une feuille morte ».

    Ici, nous portons de plus grandes ambitions. Et ce ne sont pas seulement des ambitions de droite. Ce sont des ambitions françaises.

    La première étant de ne pas se laisser intimider, au pays de la raison, par les délires médiatico-politiques du temps. Il n’est pas simple de faire preuve de bon sens, face à une actualité devenue un véritable Gorafi géant. J’exagère à peine. Voici une semaine que le chef d’Etat canadien s’excuse de s’être déguisé en Aladin il y a 20 ans, sous le regard jubilatoire des associations antiracistes ;

    les féministes, quant à elle, organisent un salon à Paris pour dénoncer l’hétérosexualité « comme régime politique » ;

    pendant ce temps, Agnès Buzyn, Ministre de la Santé, explique sur un plateau « qu’un père peut être une femme ou une même grand-mère » dans le cadre du débat sur la PMA. Ex Justice ? Et je ne vous ai servi que le menu de la semaine.

    Nous pouvons débattre éternellement sur les clivages les plus judicieux à investir politiquement, mais à la lumière de l’actualité, le plus évident est bien : idéologie contre réalisme.

    Face aux délires du camps progressiste, le camps des réalistes que nous sommes a le devoir de se concentrer sur les grands défis du siècle.

    5 grands défis sur lequel se jouera la place de la France au 21ème siècle : le grand remplacement, le grand déclassement, le grand épuisement écologique, le grand basculement anthropologique et le grand affrontement des puissances.

    Le premier grand défi, le plus vital, est le grand remplacement. Ce compte à rebours démographique qui nous fait déjà entrevoir la possibilité de devenir minoritaire sur la terre de nos ancêtres. Avec pour corollaire, le grand ensauvagement d’une société multiculturelle fracturée et violente. Je ne m’attarde pas sur ce sujet, largement évoqué aujourd’hui.

    Je me contenterai de dire que face aux droits des minorités, nous devons opposer fermement notre droit à la continuité historique, notre droit au primat de la culture française sur les cultures importées. Derrière ses mots fermes, le Président de la République ne peut être efficace sur ce sujet de l’immigration s’il ne conduit pas une réforme constitutionnelle, une refonte de notre code de la nationalité, une réforme de la politique sociale et la dénonciation d’un certain nombre de traités internationaux.  Le tout, en parallèle, de la mise en place d’une politique nataliste.

    Le deuxième défi, largement d’actualité : le grand déclassement. Celui que subit la France péri-urbaine et rurale mais aussi une partie des grandes villes, en proie à l’insécurité,  avec notamment des jeunes diplômés qui peinent à se loger ou à trouver un travail décemment rémunéré.

    Cette situation est le résultat d’un choix économique. La plupart des efforts ont été tendus ces dernières décennies vers la nouvelle économie: financière et de service, liées à la NBIC, concentrée dans les métropoles. Nos gouvernants ont renoncé à porter une stratégie pour l’économie plus traditionnelle, pourtant grande pourvoyeuse d’emplois : l’industrie, l’agriculture et l’artisanat.

    Trois axes sont à investir pour parer à l’installation durable d’une France à deux vitesses:

    • Baisser le poids de l’impôt et des taxes : mettre fin à une spoliation étatique qui freine et fragilise le tissu économique non délocalisable, ce qui impliquera nécessairement de recentrer l’Etat sur ses missions régaliennes,
    • Réguler la concurrence internationale, en imposant davantage la voix française dans les négociations commerciales de l’UE,
    • Et lancer une nouvelle politique d’aménagement du territoire : plutôt que de viser la France des 20 métropoles, nous devons avoir pour objectif la France des 100 villes : s’appuyer sur les villes intermédiaires pour remailler l’emploi sur le territoire et désengorger des métropoles devenues économiquement inaccessibles. Pour cela, nous devons mieux répartir les crédits publics sur l’ensemble du territoire, investir plus équitablement dans les infrastructures publiques, mieux répartir les crédits de soutien à l’innovation et à la culture, inciter l’installation des entreprises, assurer l’accès au numérique, maintenir les petites lignes ferroviaires.

    Le troisième défi est le plus omniprésent dans le débat public : il s’agit du grand épuisement écologique. Notre environnement est épuisé par un modèle productiviste, imposé par la pression de la concurrence mondiale et un modèle de consommation internationalisée. Des paysans qui se suicident, des champs devenus stériles à force de produire, des écosystèmes qui disparaissent saturés de déchets et de produits chimiques. Ce modèle  est un échec qui a sacrifié notre autonomie. Pour la première fois de son histoire, la France pourrait importer plus de produits agricoles qu’elle n’en exporte d’ici 2023 ! L’écologie est un conservatisme : préserver des paysages, des terroirs, un mode de vie alimentaire, c’est protéger une identité. C’est donc à nous de porter ce combat, loin des lobbys, des effets d’aubaine, des éclats médiatiques, des grandes messes internationales, d’une fiscalité punitive aussi inefficace qu’injuste. Ce ne sont pas les internationalistes libre-échangistes à la macron ou les zadistes anti-nucléaires qui pourront répondre de manière cohérente à ce problème. Nous sommes les plus légitimes à proposer des modèles économiques alternatifs qui encouragent à produire et consommer local. Permaculture, biomimétisme, recyclage, systèmes naturels de dépollution, création d’algoplastiques… je suis très optimiste sur ce sujet car la science et l’innovation nous promettent déjà des solutions révolutionnaires pour respecter la nature. Mais tout ceci ne peut fonctionner que dans une logique locale, fondée largement sur l’initiative entrepreneuriale et dans le cadre de frontières protectrices.

    L’actualité législative nous amène au 4ème défi : le grand basculement anthropologique, qui n’est pas sans lien d’ailleurs avec la question écologique. Je ne saurai dire mieux que Soljenitsyne et ce qu’il déclarait à ce sujet: « L’Homme tel que nous l’avons toujours connu était le sujet de l’histoire, aujourd’hui il se transforme en copeau du progrès technique. Le progrès technique a toujours eu tendance à entamer la nature, aujourd’hui il commence à entamer la culture et l’homme ».

    Ainsi le progressisme devient-il un anti-humanisme en transformant une économie de marché en société de marché. Dans ce temple de la consommation, les désirs deviennent des droits, tout s’achète et tout se vend, de l’utérus à l’enfant.

    L’eugénisme et l’intelligence artificielle sont les prochains terrains de compétition des grandes puissances. La France a longtemps et souvent inspiré le monde ; elle a encore un grand rôle à jouer dans ce domaine : en servant d’éclaireur, en portant une société qui respecte la dignité humaine, qui refuse la marchandisation de l’homme et de ses produits, qui préserve et développe le cerveau humain face à l’expertise des machines. Les robots ne seront jamais des concurrents si nous nous attachons à cultiver notre humanité : le libre-arbitre, l’intelligence transversale, l’empathie et l’éthique. La réponse se trouve dans l’éducation : l’éducation à l’esprit critique, au raisonnement, à la culture générale, à la mémorisation aujourd’hui malmenée dans notre modèle scolaire.  La France a toutes les ressources, intellectuelles, historiques, civilisationnelles, médicales, techniques pour relever ce défi qui n’est pas seulement éthique, mais anthropologique, social et éducatif. Nous avons rayonné pour l’égalité, pour la liberté, pour la démocratie, nous devons aujourd’hui rayonner pour le grand combat de la dignité humaine.

    Enfin, le dernier défi et non des moindres : le grand  affrontement des puissances. La fin de l’histoire n’a pas eu lieu. Des nations autrefois en sommeil réinvestissent le jeu mondial. La Chine et plus largement l’Asie mais aussi la Russie deviennent de plus en plus offensifs, tandis que les Etats-Unis défendent leur place bec et ongle.

    Le gouvernement  ne semble pas comprendre que l’économie est devenue le nouveau terrain d’affrontement des puissances. Comme les pacifistes en 40, il ne veut pas affronter l’adversité là où elle se trouve : augmentation démographique mondiale, espionnage industriel, captation des entreprises stratégiques par l’étranger, mutation de l’actionnariat et délocalisations massives, hégémonie des GAFA sur nos données,  nouvelle guerre du droit et du dollar, colonisation des terres agricoles et la captation de nos ressources.

    L’énarchie des années 2000 actuellement aux commandes, avec son logiciel des années 90,  n’a pas d’autres ambitions pour notre nous que devenir une nation de second rang, un protectorat américain, un musée à ciel ouvert pour tourisme de masse, cantonnée à une économie de service.

    Pourtant, avec un peu de méthode, de courage et de patriotisme, nous pouvons retrouver une ambition de puissance. Il suffit d’avoir la force de gouverner et de concentrer nos efforts sur ce qui garantit notre indépendance et notre influence. Pour atteindre cet objectif, nous devons notamment  miser sur trois choses :

    • Une armée de qualité. J’entends par là notre capacité de projection et notre industrie de défense si nous souhaitons avoir les moyens d’une diplomatie d’équilibre.
    • Notre présence sur les 5 continents qui nous offre des opportunités exceptionnelles en terme géostratégique et de ressources naturelles.
    • L’échelle européenne. La réforme de l’UE ne passera pas par la commission ou le Parlement européen mais par des stratégies d’alliance gouvernementales pour réequilibrer le rapport de force avec l’Allemagne. C’est bien la France qui a la clef du destin européen. Depuis que l’UE existe, la France n’a quasiment jamais été mise en minorité sur un texte qu’elle ne voulait pas : notre servitude a toujours été volontaire. Nous avons les moyens de renverser le système de l’intérieur : nous sommes membre fondateur, après le départ du Royaume-Uni nous avons la plus grande armée européenne, nous sommes le seul membre permanent de l’ONU, les seuls à avoir bombe nucléaire, nous sommes la deuxième économie, contributeur net, nous sommes une puissance universelle qui voit bien au-delà du projet européen.  Nous avons toutes les cartes pour ne plus être la victime mais le moteur de cette institution. Si nous exigeons demain que la commission se cantonne aux sujets communs stratégiques comme la souveraineté numérique ou la réciprocité dans les échanges internationaux, nous pouvons obtenir gain de cause. Encore faut-il être capable de défendre les intérêts français jusqu’au bout.

    Finalement, le principal obstacle se trouve dans cette petite musique du renoncement, cette tentation permanente du désespoir, ce sentiment de fatalité d’un combat déjà perdu. Ne soyons pas infidèle à notre Histoire en nous abandonnant à cette facilité. Notre Nation a souvent connu de terribles chutes, elle a aussi et surtout vécu de sublimes résurrections.

    Je comprends qu’il puisse y avoir du doute, je ne comprends pas qu’on puisse perdre espoir.

    Où serions-nous si les français avaient perdu espoir après le traumatisme de 1870, la saignée de 17 ou la défaite de 40. Sûrement ont-ils douté. Et pourtant chaque fois, ils ont démenti l’avenir sombre qui semblait se profiler. Nous, français, sommes d’une certaine manière, condamnés à l’espoir. Pas un espoir béat et attentiste mais un espoir d’action. Car les idées justes se renforcent à l’épreuve de l’action. Alors agissons, agissons au-delà de nos petits intérêts catégoriels, agissons chacun où nous sommes, selon nos talents et nos passions.

    Et demain, nous serons au pouvoir.

    Merci à tous.

    Marion Maréchal
    Discours du 28/02/2019

    Source : L’Incorrect

  • Benalla, futur Sarkozy de Saint-Denis ?

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    Et maintenant les municipales ?

    Le feuilleton Benalla reprend de plus belle. Là où on ne l’attendait pas forcément : sur le terrain des prochaines élections municipales. Le Mondial d’athlétisme à Doha en plein cagnard, ce n’était pas possible, question de délais de préparation. Et puis Alexandre, c’est plutôt la boxe, son sport à lui. Présider les funérailles religieuses de Chirac, pareil, pas possible, vu que c’est Macron qui s’y est collé. Donc, les municipales. L’un des événements dont il faudra être dans les prochains mois. Pour Macron, c’est trop tard, il a sauté l’épreuve en surdoué qu’il est, comme chacun sait, mais pour Benalla, à 28 ans, l’âge où Nicolas Sarkozy devint maire de Neuilly, tout est possible. Mis en examen n’empêche pas de se présenter à une élection, que l’on sache. Amusant, d’ailleurs, l’évocation de Sarkozy : finalement, ce dernier termine sa carrière publique là où Benalla l’a commencée, aux marches du palais… de justice.

    Donc, Alexandre Benalla pourrait se lancer dans la bataille des municipales. C’est L’Opinion qui l’affirme. Où ? Pas à Issy-les-Moulineaux, où il résidait au plus fort de l’affaire qui porte son nom. Mais à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), nécropole des rois de France et l’un des derniers bastions communistes, et non l’inverse. Alexandre Benalla, donc, y réfléchit, nous dit L’Opinion. Il faudra quand même qu’il ne réfléchisse pas trop longtemps. Cela ne se monte pas comme ça, une liste de cinquante-cinq personnes qui tiennent à peu près la route avec, en plus, la règle du chabadabada. Une belle gueule et une jolie cravate ne font pas un programme. Et puis, il faudra qu’il s’affole pour trouver un logement à Saint-Denis. Pas seulement une boîte aux lettres. Cela dit, à Saint-Denis, il semblerait qu’il n’y ait pas de difficultés pour trouver un logeur.

    Mais d’où est partie cette rumeur que l’ancien chargé de mission au cabinet du Président pourrait se lancer à l’assaut de la grande ville du neuf cube ? C’est le JSD (le Journal de Saint-Denis) qui a, le premier, levé le lièvre, dans un article du 18 septembre intitulé « Benalla, l’invité surprise à Saint-Denis », avec une photo de l’élégant devant la basilique. « Que vient faire réellement dans la ville des rois de France celui qui en 2018 habitait encore Issy-les-Moulineaux ? », interrogeait le journal. « Le mystère reste entier », concluait-il comme dans les meilleurs feuilletons d’antan. Le 27 septembre, nouvel article du JSD, qui titre, cette fois, « Sur les traces de Benalla à Saint-Denis », article dans lequel on raconte que Benalla a posé un lapin au JSD. Alors, question : « Mais que vient-il faire ici ? » Réponse d’un employé municipal, qui passait par là, comme par hasard : « Cela m’a choqué qu’il se montre à Saint-Denis… Après Jawad BendaoudTariq Ramadan, voilà Alexandre Benalla. On a la dream team à Saint-Denis. » Ce qui n’a pas plu du tout à Benalla, selon le JSD. Et peut-être pas aux deux autres aussi, mais le journal ne le dit pas. Au mois d’août, toujours selon le JSD, Benalla aurait même été vu dans un bar à chicha. L’homme est donc mûr pour partir en campagne électorale.

    Le dernier épisode du feuilleton Benalla dans le JSD est tout chaud du 1er octobre : « Alexandre Benalla sort du bois. » L’article du 27 septembre l’a rendu « furieux » et il menace, désormais, de poursuivre le journal. Réaction immédiate, sur Twitter, de Benalla : « Utiliser le journal de la ville, avec des gens (militants) payés par le contribuable dyonisien, à des fins électorales, ça s’appelle comment ? LE COMMUNISME !!! » Il va y avoir du sport.

    On a hâte de lire la suite…

    Georges Michel

    https://www.bvoltaire.fr/benalla-futur-sarkozy-de-saint-denis/

  • Attaque au couteau à la Préfecture de Paris : selon BFMTV, l’assaillant était converti à l’islam depuis 18 mois

    20h30 – Toutes les pistes sont étudiées ce soir, indique une source policière, notamment la piste terroriste. Par ailleurs, la fonctionnaire gravement blessée et conduite à l’hôpital lors de l’attaque serait hors de danger.

    D’après BFMTV, l’auteur présumé de l’attaque au couteau qui a fait quatre morts à la Préfecture de police de Paris ce jeudi était converti à l’islam depuis 18 mois. Les raisons de son acte meurtrier ne sont pour le moment pas connues.

    Le site Actu17 va plus loin et affirme la piste terroriste est désormais privilégiée, en précisant que l’auteur devait être prochainement convoqué par sa cheffe afin de s’expliquer sur le fait qu’il ne saluait plus les femmes.

    La femme du meurtrier a été placée en garde à vue, selon le parquet de Paris.

    RT – « Selon une source policière contactée par RT France, l’assaillant s’était converti à l’islam il y a 18 mois. L’informaticien aurait été en entretien ce 3 octobre avec sa supérieure hiérarchique qui souhaitait le questionner sur son comportement envers les femmes de la préfecture. La fonctionnaire aurait été tuée par l’assaillant avant qu’il ne s’en prenne à d’autres collègues ».

    Source : BFMTV Actu17  : voir la video du tweet

    https://www.tvlibertes.com/actus/%f0%9f%94%b4attaque-au-couteau-a-paris-selon-bfmtv-lassaillant-etait-converti-a-lislam-depuis-18-mois

     
  • IL A GAGNE ! ET LA LIBERTE DE PENSER AVEC LUI ! GRAVE DEFAITE POUR LES CENSEURS BOBOS/GAUCHOS... LA MANIF DE DEMAIN, DU COUP, ANNULEE...

    (photo Valeurs actuelles)

    Zemmour a gagné, et nous et toute la France avec lui !

    Et la liberté de penser, d'écrire, de dire avec lui !

    C'est un jour noir pour les "censureurs" de la doxa dominante, pour les tartufes du politiquement correct, pour les terroristes de la pensée, ayatollahs et khmers de tout poil.

    Mais c'est un jour de fête pour la liberté d'expression, pour l'indépendance d'esprit, pour la saine réaction du peuple français et des élites qui commencent à se lever un peu partout pour réagir aux menaces qui nous entourent...

    Cependant, le mot d'ordre était "Défendons Eric Zemmour" : ce mot d'ordre est devenu "restons vigilants", pour toutes nos libertés...

    L’équipe de la Convention de la droite communique : Chers amis, Le Figaro a dit non à ceux qui voulaient voir Eric Zemmour au chômage. La manifestation prévue ce vendredi est donc annulée. Nous avons remporté cette victoire. Le combat continue.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Les islamistes blâment les femmes pour un tremblement de terre à Istanbul

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    Ahval est un site d’information consacré à l’actualité turque et qui s’exprime en turc, en anglais et en arabe. Il est dirigé par Yavuz Baydar, journaliste connu en Turquie et qui a fui son pays après la tentative de coup d’État de juillet 2016. Selon un article posté sur ce site, le 26 septembre 2019, les islamistes auraient blâmé les femmes pour un tremblement de terre de force 5,8 sur l’échelle de Richter qui vient de se produire à Istanbul.

    Sur les réseaux sociaux, des religieux musulmans turcs extrémistes ont accusé les femmes d’avoir provoqué le séisme en s’habillant de manière provocante, en égarant les hommes, en corrompant leur chasteté et en pratiquant l’adultère. Un prédicateur plus radical que les autres a même affirmé qu’Allah a provoqué cette catastrophe naturelle pour exiger l’annulation de la signature, par la Turquie, de la convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre les violences faites aux femmes. Les islamistes reprochent violemment à ce texte de favoriser la propagande LGBT et de porter atteinte aux valeurs familiales. Certaines femmes qui fuyaient dans la rue le tremblement de terre ont été victimes d’injures, et l’une en chemise prétendument trop courte a été harcelée pour sa tenue responsable, paraît-il, du séisme. Comble du ridicule, un prédicateur a même accusé les États-Unis de cette catastrophe.

    Déjà, en 1999, après un séisme qui avait provoqué plus de 18.000 morts dans une région proche de l’ancienne Byzance, les femmes avaient été prises pour bouc émissaire. C’était, alors, le refus de porter le voile qui avait été mis en cause.

    Ce phénomène n’est pas propre à la Turquie. Selon Le Figaro, en 2010, l’ayatollah iranien Kazem Sedighi avait, dans un prêche à Téhéran, attribué l’accroissement des tremblements de terre à l’augmentation des relations sexuelles illicites. Selon lui, les femmes, en ne portant pas une tenue islamique conforme, pervertiraient les jeunes gens et les inciteraient à l’adultère. Elles seraient donc les premières responsables des catastrophes naturelles.

    En Occident, il y a plusieurs siècles, on accusait les sorcières ou les juifs de provoquer des épidémies ou des famines (et on les brûlait parfois pour les punir). Après la défaite de 1870, on a organisé, en France, des processions religieuses pour « expier les crimes de la Commune » auprès de Dieu et on a construit, dans ce but, la basilique du Sacré-Cœur sur la butte de Montmartre. En 1940, le régime de Vichy a favorisé « l’ordre moral » pour expier le Front populaire, même si le maréchal Pétain s’en est défendu dans un discours en octobre 1940.

    En 2019, il reste des traces de cette mentalité : l’Occident est prompt à battre sa coulpe avec le réchauffement climatique dont nous serions tous responsables. D’autres discours ont accusé MM. Zemmour, Camus ou Finkielkraut d’avoir provoqué, par leurs écrits, la tuerie de Christchurch. Ils étaient pourtant aussi coupables de ce massacre que les femmes d’Istanbul du tremblement de Terre !

    Christian de Moliner

    https://www.bvoltaire.fr/les-islamistes-blament-les-femmes-pour-un-tremblement-de-terre-a-istanbul/

  • Les trafiquants d’êtres humains utilisent les réseaux sociaux pour porter les migrants en Europe

    Les trafiquants d’êtres humains, ces passeurs de « migrants », ont un business de mieux en mieux organisé. Ils profitent des communications via les réseaux sociaux pour organiser les traversées des clandestins en Méditerranée vers les côtes italiennes.

    La page Facebook HaRaGa Dz, donne des informations sur les voyages « de l’espoir » le long de la route algérienne, qui porte des milliers de migrants des côtes africaines aux côtes de Sardaigne.

    Sur les réseaux sociaux, des pages comme celle-ci, qui présentent la traversée vers l’Italie comme un voyage normal à effectuer avec une quelconque agence de voyage, sont légion. On y trouve les prix, les informations pour partir en embarcations, les ports de départ, les trajets, des photographies attractives du pays de destination, de la coupole de la place Saint-Pierre au Forum romain… Pour aller de Bodrum, au sud-est de la Turquie, à Cosenza dans le sud de l’Italie, le migrant clandestin devra débourser entre les 2 000 et 4 000€.

    En 2019, sont arrivés en Italie selon les chiffres officiels du ministère de l’Intérieur, donc inférieurs à la réalité, 7032 personnes, mais seulement 2 sur 8 sont arrivées avec des bateaux marchands, les navires des ONG et des gardes-côtes. 80 % ont débarqué en Italie de manière autonome, sur des petites embarcations et zodiacs.

    Ainsi pendant que certains politiques essayent de réguler, de stopper ces flots de « migrants » illégaux, en se mettant à dos toute la bien-pensance, la conscience morale universelle, le pape François, ces voyages favorisant cette immigration illégale s’organisent et se payent au vu et au su de tout le monde sur internet, Facebook, Skype.

    Pour comprendre comment on entre si facilement en Europe, ne regardez donc pas la mer mais Facebook et les autres géants des réseaux sociaux aux mains des purs et durs mondialistes…

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/les-trafiquants-detres-humains-utilisent-les-reseaux-sociaux-pour-porter-les-migrants-en-europe/112877/

  • Désolé, Robert Ménard, la remigration est aussi possible que nécessaire

    Cher Robert Ménard,

    vous aimez le contre-pied, le paradoxe, incarner la vox clamantis in deserto. En termes de communication, être dans la rupture. Rien d’étonnant donc qu’à la Convention de la droite du 28 septembre, vous soyez monté à la tribune pour faire la leçon à vos hôtes. Après le Vu de gauche méprisant d’Enthoven, l’assistance a eu droit à votre Vu de Béziers. À cette occasion, vous avez affirmé votre hostilité à la remigration, la déclarant « d’une bêtise absolue », une véritable « absurdité ». Mais sans doute estimez-vous qu’à des amis égarés, il convient de tenir le rude langage de la vérité. Quitte à utiliser des formules que la gauche applaudirait.

    Laissez-nous vous dire, cher Robert Ménard, que vous vous trompez. La remigration est possible. Elle l’est car nécessaire. Ce n’est pas une figure de style, mais un constat politique, dans le sens premier du mot. Ou la remigration ou la soumission/disparition. Béziers n’est pas une île. Vous pouvez transformer votre ville autant que vous voulez, refaire quatre fois le bitume des rues, ouvrir 1 000 boutiques dans le centre, faire tomber localement le chômage à 0 %, il n’en reste pas moins que votre action municipale ne changera rien à l’alternative. Sachant qu’à cette alternative, il n’en existe qu’une autre, la guerre. Nous n’en voulons pas et vous non plus.

    En 2017, nous avons publié nos 30 mesures pour une politique d’identité et de remigration. C’est avec plaisir que nous allons vous en envoyer un exemplaire ; vous pourrez juger sur pièces, critiquer en détail. Vous y verrez cependant qu’il ne s’agit pas d’un manuel d’utopie mais de mesures concrètes, dont certaines ont été éprouvées avec succès dans des pays démocratiques comme l’Australie ou les États-Unis.

    Le remigration n’est pas un concept adapté de la « valise ou le cercueil ». C’est peut-être votre histoire personnelle qui vous fait redouter des violences qu’une mise en place de la remigration provoquerait. Mais les violences existent déjà et qui peut croire qu’elles n’iront pas en augmentant ? Qui peut croire que « ça va bien se passer » ? Et si vous êtes hostile à la remigration, que proposez-vous ? Concrètement ? L’assimilation, l’intégration ? Au moment où leur échec comme celui de la société multiculturelle crèvent les yeux ?

    L’homme de communication que vous êtes sait que pour faire avancer une idée, il faut qu’elle s’installe dans le débat public, qu’on la défende ou qu’on la critique. Planter des mots dans des têtes pour que pousse l’action. Mettre en pleine lumière un concept ignoré encore du plus grand nombre est donc déjà une victoire. À ce titre, cher Robert Ménard, merci pour votre intervention.

    Amicalement,

    Les Identitaires

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • Le site d’informations Fdesouche victime d’une censure qui ne dit pas son nom

    Le site d’informations Fdesouche victime d’une censure qui ne dit pas son nom

    Au même moment où Eric Zemmour est la cible d’attaques de censeurs professionnels, les attaques contre les médias alternatifs se multiplient :

    Il y a un mois, nous avons été la cible d’une campagne, orchestrée par Le Canard Enchaîné et relayée par tout ce que la France compte comme commissaires politiques, visant à ce qu’Amazon nous exclue de son programme « partenaire ». En dépit d’un partenariat ancien et serein, l’entreprise américaine a immédiatement cédé, rompu le contrat et décrété qu’elle nous priverait aussi des sommes qu’elle nous doit .

    Après les menaces, l’assassinat social, les plaintes, les perquisitions, les insinuations, l’intimidation, la diffamation, cette expérience n’est qu’une ligne supplémentaire à la longue liste des vicissitudes que nous affrontons au quotidien depuis 15 ans pour nous punir d’alimenter une revue de presse sur le thème de l’immigration, du communautarisme, de l’insécurité…

    Malgré notre habitude de prendre les choses avec philosophie, il est difficile de ne pas être interloqué par la violence sociale dont fait preuve cette aristocratie médiatique, qui bénéficie de tous les canaux de diffusion, de tous les réseaux, de toutes les subventions, de tous les financements et qui se gargarise en s’acharnant contre notre blog et ses modestes deniers comme s’il s’agissait d’un acte de courage.

    Il n’en demeure pas moins que nous n’avons plus les ressources nécessaires et que nous avons besoin de votre aide économique pour maintenir notre site à flot.

    C’est exclusivement de votre soutien que dépend l’issue de cette tentative d’asphyxie financière : soit un nouvel échec pour les censeurs, soit l’acte de fin de l’aventure Fdesouche.

    Par avance, merci à tous.

    Pour apporter votre aide, c’est ici.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-site-dinformations-fdesouche-victime-dune-censure-qui-ne-dit-pas-son-nom/

  • Jean-Yves Le Gallou : « Éric Zemmour a frappé juste ! »

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    Levée de boucliers après le discours d’Éric Zemmour à la Convention de la droite, samedi dernier. Ses propos sur l’immigration n’ont pas plu, notamment à la Société des journalistes du Figaro, qui demandent son exclusion.

    Réaction de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion, pour lui, de tirer le bilan de cette Convention de la droite.

    Le discours d’Eric Zemmour à la Convention de la droite a tellement marqué les esprits que le syndicat des journalistes du Figaro a demandé qu’Eric Zemmour soit banni du Figaro.
    Suite à cela, les journalistes de LCI se sont opposés à la diffusion en direct du discours d’un des plus célèbres polémistes de France.
    Qu’avez-vous pensé de l’intervention d’Eric Zemmour et de cette levée de boucliers ?

    Je crois qu’il a frappé juste. Il a dit des choses absolument essentielles.
    Il a posé la question aux Français : « êtes-vous prêts à devenir minoritaires dans votre pays et à être remplacés ? » C’est une question fondamentale.
    Il a aussi dit que l’immigration était une catastrophe dans un certain nombre de domaines, notamment dans les domaines de la sécurité, de l’éducation et des transports. Il a dit qu’il y a avait avec cette immigration une double peine avec l’islamisation.
    Ces propos ne sont peut-être pas politiquement correct, mais ils sont exacts. C’est précisément parce que ces propos sont exacts qu’il est interdit de les dire. C’est la réalité !
    Le job des grands médias et surtout des journalistes conformistes n’est pas de dire la réalité, mais précisément de la cacher.

    Le Figaro est-il encore un média de droite ?

    Le Figaro n’est plus un média de droite depuis longtemps. On le présente comme cela pour faire croire à un faux pluralisme. L’immense majorité des journalistes du Figaro sont des conformistes bêlants.
    Cela ne s’invente pas. Le Figaro a deux syndicats de journalistes. Le premier est le syndicat national des journalistes représenté par Patrick Bèle. Ce dernier a tenu des propos particulièrement graves à l’égard de Zemmour. Il a demandé son licenciement en parlant d’élucubrations abjectes. Il avait simplement des opinions dissidentes. Il expliquait que Zemmour était sorti du champ de l’acceptable. Quel est l’acceptable pour eux, si ce n’est le conformisme ? Le second syndicat est le syndicat des journalistes représenté par monsieur Durand-Souffland, journaliste judiciaire. Il est très ami de monsieur Dupond-Moretti. Durand-Souffland n’est pas n’importe qui. C’est l’homme qui a obtenu en 2010 le premier Bobard d’or. Il avait couvert l’affaire de l’homme qui avait été tué en photographiant des lampadaires en 2005. Il avait couvert cette affaire en expliquant que ces meurtriers étaient tous des Européens. Il avait osé dire cela au moment de son procès, alors que les Européens en question étaient un Congolais, un antillais et deux maghrébins. Voilà l’homme qui a obtenu le premier bobard d’or en 2010 et qui aujourd’hui, demande le départ de Zemmour. Ces gens-là sont des professionnels du mensonge. Quand quelqu’un dit des vérités dures comme Zemmour, ils crient au scandale.Qu’avez-vous pensé de cette Convention ? A-t-elle été utile ?

    Cette convention a servi à dépasser les frontières, et notamment les frontières du politiquement correct. La France et l’Europe sont en train de mourir de la tiédeur, de la volonté de ne pas voir la réalité en mettant la tête dans le sable…
    Cette convention a dit un certain nombre de choses. Je ne crois pas que ce sont les discours tièdes qui réveilleront les électeurs, notamment les électeurs de droite, mais les discours mobilisateurs qui prennent en compte les faits.
    La principale réserve électorale à droite n’est pas à gauche. La principale réserve électorale est chez les abstentionnistes. Les abstentionnistes sont dégoûtés d’aller voter. Ils trouvent que voter ne sert à rien. Ils entendent en permanence un robinet d’eau tiède. Je crois que cette Convention de la droite a bien fait le travail, quitte à choquer les petits esprits conformistes.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-yves-le-gallou-eric-zemmour-a-frappe-juste/