Pour qui faut-il voter ? Tout simplement pour personne ! Ce n’est pas d’un vote dit « utile » dont nous avons besoin, mais d’un réel changement de régime politique. Mais ce changement ne se fera que tardivement si tous les contestataires cherchent encore vainement à mettre de l’essence pour alimenter le moteur d’une voiture qui n’a plus de roues… L’abstention c’est faire le jeu du système disent certains, car ça permet aux candidats traditionnels de perdurer. Certes, mais entre nous, si c’est seulement 2 millions de personnes qui votent pour un candidat accédant au pouvoir, sur une population de 65 millions d’habitants, il est clair que sa légitimité disparaîtra totalement, car on ne pourra plus parler de « loi de la majorité ». Et il suffira que le gouvernement de ce candidat-président fasse passer une mauvaise loi pour que cela tourne au vinaigre… Les démocraties ne sont donc pas faites pour servir les peuples, mais pour les asservir. D’ailleurs pour s’en convaincre, il suffit de constater que la logique de ce système veut qu’à l’âge de 18 ans nous ayons le droit d’aller voter, mais sans se soucier de savoir si oui ou non nous avons une réelle conscience politique ou si les enjeux mêmes nous sont connus. Nous entendons par conscience politique : « la présence chez un individu d’une culture, d’une expérience et d’une maturité politiques, autorisant, notamment en matière électorale, des choix réfléchis. » Ce qui est une bonne définition issue de l’encyclopédie universelle. Combien ne savent pas pour qui voter arrivé à 18 ans et souvent bien au-delà ? Avoir une conscience politique ou une culture politique n’apparaît pas du jour au lendemain.
anti-national - Page 321
-
L'illusion démocratique de la Vè république
-
PMA sans père – La Manif Pour Tous estime que le gouvernement doit maintenant apporter des réponses
Dans un communiqué publié le 24 septembre 2019, La Manif Pour Tous estime qu’après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années.
Voici le texte du communiqué intitulé “PMA sans père : au pied du mur, le gouvernement doit maintenant apporter des réponses” :
L’heure des réponses a enfin sonné. Après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années. Resté sourd aux questions soulevées par les associations familiales, les pédopsychiatres, les juristes, les scientifiques, les philosophes…, la majorité va devoir se montrer non seulement à l’écoute mais aussi entendre les nombreuses réserves exprimées par la société civile.
Il est temps de lever les ambiguïtés entretenues par le gouvernement depuis trop longtemps. L’embarras du gouvernement suite à la publication de l’avis de l’Académie nationale de médecine s’est traduit par un amalgame scandaleux. Des ministres n’ont pas hésité à comparer la situation des enfants vivant dans des familles monoparentales avec celles d’enfants nés par PMA sans père. Heureusement, ces deux situations n’ont rien à voir. Les enfants vivants dans des familles monoparentales connaissent souvent leur père. Mais pour de multiples raisons, ils en sont séparés. Ces situations n’ont rien à voir avec le fait d’organiser la conception d’enfants volontairement privés de leur père. C’est bien ce caractère volontaire qui est au cœur du projet de loi. Qui a le droit de décider qu’un enfant peut être privé de son père avant même sa conception ? Comment l’accepter ? Comment peut-on envisager un seul instant de priver volontairement un enfant de l’amour de son père pour toute sa vie ?
Le gouvernement entretient également une ambiguïté autour de la GPA. Il affirme que ce n’est pas un sujet puisque le projet de loi ne prévoit pas la légalisation de la GPA. Mais, en même temps, il prépare une circulaire sur la reconnaissance des enfants nés par GPA dans un pays étranger. Il ne doit pas fuir ses responsabilités et être clair :
Oui ou non, le gouvernement est-il réellement opposé à la GPA ?
Oui ou non, le gouvernement est-il opposé à ce que des Français aillent faire une GPA à l’étranger ? Par souci de cohérence, et parce que la dignité des femmes n’a pas de frontières, parce que la GPA est effectivement intolérable en France, elle l’est aussi à l’étranger et nos ressortissants ne doivent pas être autorisés par la loi française à y recourir.
Oui ou non, le gouvernement est-il prêt à reconnaître les enfants nés d’une GPA à l’étranger à l’état civil, ce qui reviendrait à encourager les Français à aller faire des GPA à l’étranger et donc au développement de ce business sordide ?
Oui ou non, le gouvernement veut-il s’engager pour l’abolition universelle de la GPA, au nom de la dignité et du droit des femmes ?Bien d’autres questions sont encore soulevées par la PMA sans père à l’occasion du débat parlementaire : la PMA post mortem, la PMA pour les personnes transgenres, l’autoconservation des ovocytes, la réponse à la pénurie de gamètes… Concrètement, comment le gouvernement entend-il garantir aux femmes que l’autoconservation des ovocytes ne va pas déboucher sur des pressions de leurs employeurs ? Comment le gouvernement peut-il garantir que la pénurie de gamètes ne va pas se traduire par la rémunération des fournisseurs de sperme ou l’achat de sperme à l’étranger ? Comment le gouvernement compte-t-il s’assurer que ce commerce des gamètes sera interdit en France, y compris sur internet ?
Enfin, le gouvernement doit cesser de chercher à museler toute forme d’opposition à son projet au nom de la recherche légitime d’un « débat apaisé ». Il y a eu plusieurs glissements forts regrettables du côté de la majorité qui cherche manifestement à réécrire l’Histoire. S’il s’est déclaré favorable, à titre personnel, à la PMA sans père, Emmanuel Macron a toujours conditionné tout projet législatif à l’existence d’un large consensus. Aujourd’hui, plusieurs ministres cherchent à remplacer ce consensus par le caractère « apaisé » du débat. C’est un tour de passe-passe grossier et indigne du gouvernement. Le Président du CCNE (Comité Consultatif National d’Éthique) a lui-même souligné, à l’issue des États généraux de la bioéthique, qu’il n’existe pas de consensus sur cette mesure. Les Français sont profondément divisés sur cette question. Comment en outre parler de débat « apaisé » lorsque ni les conclusions des États généraux de la bioéthique, ni le contenu de la mission d’information parlementaire, ni les auditions de la commission spéciale mise en place à l’Assemblée nationale n’ont été pris en compte. Comme pour les retraites, la position du gouvernement consiste à organiser un débat mais à ne surtout pas en tenir compte dans ses décisions. C’est parfaitement anti-démocratique.
La République doit protéger tous ses enfants, sans distinguer ceux qui sont nés par PMA, elle n’a pas à en priver volontairement certains de l’amour d’un père. C’est ce message d’amour qui sera porté haut et fort dans la rue lors de la manifestation unitaire sous le label « Marchons Enfants ! » qui se tiendra à Paris le dimanche 6 octobre : « Liberté ! Égalité ! Paternité ! ».
-
La mascarade Greta Thunberg
Par Franck Deletraz
Insultant et donc inadmissible par son ton, insupportable par sa mise en scène pleurnicharde, et totalement inepte sur le fond, le violent discours prononcé lundi par la Suédoise Greta Thunberg à la tribune de l’ONU, en offrant le spectacle consternant de dirigeants de la planète à la tête chenue écoutant sagement avant de l’applaudir en chœur la ridicule leçon d’une écolière de 16 ans, restera peut-être dans les annales de l’organisation internationale comme le symbole de l’inversion des valeurs qui caractérise, hélas, notre époque. Culpabilisation, accusations, menaces : tout y est passé, sans même susciter la moindre réaction d’agacement de la part d’un auditoire visiblement béat d’admiration devant cette gamine insolente. Question : pendant combien de temps encore allons-nous devoir supporter les états d’âme et les invectives de cette marionnette du GIEC ?
Greta, à la limite de l’hystérie
Pour détendre un peu l’atmosphère, et aussi nous faire rire, on aurait aimé que cette brave Greta nous raconte encore une fois comment sa venue très médiatisée aux Etats-Unis à bord d’un voilier zéro carbone, censé polluer moins, avait en réalité produit davantage de CO2 que si elle et son entourage avaient pris l’avion. Mais la nouvelle égérie des écolos était là pour tout autre chose. Particulièrement agressive, elle n’a pas hésité à réprimander les dirigeants de la planète pour leur pseudo inaction contre le prétendu « réchauffement climatique ». En effet, a-t-elle déclaré, « vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses. [...] Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse, et tout ce dont vous parlez, c’est d’argent, et des contes de fées de croissance économique éternelle ? Comment osez-vous ! » Et Thunberg de menacer alors : « Vous nous avez laissés tomber. Mais les jeunes commencent à comprendre votre trahison. [...] Je vous le dis : nous ne vous pardonnerons jamais. Nous ne vous laisserons pas vous en sortir comme ça. »
La France visée par une plainte
Une menace que la Suédoise et ses petits camarades en culottes courtes n’ont pas tardé à mettre à exécution puisque, dans la foulée, on apprenait que 16 jeunes, dont Greta Thunberg, conseillés par le cabinet international d’avocats Hausfeld et avec la bénédiction de l’Unicef, venaient de déposer une plainte auprès du Comité des droits de l’enfant de l’ONU contre la France, l’Allemagne, l’Argentine, le Brésil et la Turquie, pour... violation et non-respect de la convention de l’ONU sur les droits de l’enfant ! Une information que le président de la République, invité mardi matin sur Europe 1, s’est, hélas, abaissé à commenter en expliquant que si « toutes les mobilisations de notre jeunesse ou des moins jeunes sont utiles », « il faut qu’elles se concentrent maintenant sur ceux qui sont le plus loin, ceux qui essaient de bloquer ». Or, a-t-il ajouté, « je n’ai pas le sentiment que le gouvernement français ou le gouvernement allemand, aujourd’hui, sont en train de bloquer ». Et le chef de l’Etat, après avoir appelé les jeunes à agir concrètement sur le terrain, de lancer alors en direction de la harpie suédoise : « Là, des positions très radicales, c’est de nature à antagoniser nos sociétés. »
Source : Présent 25/9/2019
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/25/la-mascarade-greta-thunberg-6178218.html
-
La scandaleuse affiche de la FCPE : "Et alors ?" Alors, NON !
Si cette femme veut vivre "à l'islamique", qu'elle aille vivre dans un pays islamique...
En France, on est dans un vieux pays de tradition gréco-romaine, chrétienne et européenne, où les femmes n'ont jamais eu ce code vestimentaire.
Le Système nous impose un changement de peuple, dont nous ne voulons pas, par une immigration massive délibérément voulue pour "casser" notre Société traditionnelle : il trouve des collabos chez les révolutionnaires pour qui l'immigré remplace l'ancien ouvrier, parti au Rassemblement national; chez les faiseurs de fric, qui veulent une main d'oeuvre bon marché; et chez des "idiots utiles" (le mot est de Lénine) comme cette FCPE et son affiche qui nous répugne : honte à elle !
Nous, comme pour le burkini ou tout autre signe visible de prosélytisme musulman, nous refusons de mettre le doigt dans l'engrenage de l'islamisation progressive et continue de l'espace public, prélude au basculement dans une nouvelle société régie par des lois, moeurs et règlements dont nous ne voulons pas...
-
Quel est le regard des Français sur les questions d’immigration?
L’Assemblée nationale débattra lundi prochain de la politique migratoire. Voulue par Emmanuel Macron, cette initiative a été annoncée parmi les conclusions du grand débat national. «Ce sera l’une des questions majeures de la présidentielle de 2022», a confié le chef de l’État. C’est pour cela qu’il a invité sa majorité à s’en emparer pour ne pas en faire un thème réservé au seul Rassemblement national. À la veille de ce débat, quel est le regard de l’opinion?
Deux sondages récents confirment l’intérêt porté par les Français à la question de l’immigration, sans la placer pour autant en tête de leurs préoccupations. Selon l’enquête Ipsos sur les «Fractures françaises», réalisée pour la Fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne, et publiée dans Le Monde, 32 % des Français font du «niveau de l’immigration» l’un des trois sujets sur lesquels le gouvernement devrait «intervenir en priorité». C’est plus que le chômage, longtemps souci numéro un, les inégalités ou le terrorisme ; mais c’est nettement moins que la protection de l’environnement (48 %), le pouvoir d’achat (46 %) ou l’avenir des systèmes de retraite et de santé (45 %).
https://www.tvlibertes.com/actus/quel-est-le-regard-des-francais-sur-les-questions-dimmigration
-
Zemmour - Comment la mafia mediatico politique prépare les esprits
-
Après la CSG, le gouvernement voudrait continuer de dépouiller les seniors !
Un senior sur deux a subi l’augmentation de 1,9 % de la CSG (perte moyenne annuelle : 400 €), ne recevant en échange qu’un simple merci de la part d’Emmanuel Macron. Malgré ce mépris, selon les sondages qui valent ce qu’ils valent, nos aînés continuent de plébisciter le chef de l’État et lui permettront sans doute de triompher à nouveau de Marine Le Pen en 2022.
Or, en l’espace de cinq jours, on vient d’apprendre que le pouvoir médite trois nouveaux mauvais coups envers les seniors. D’abord, on va supprimer l’exonération des charges pour les femmes de ménage, les jardiniers et les services à la personne employés par des personnes âgées de plus de 70 ans et non dépendantes. Le prétexte donné par l’inénarrable porte-parole du gouvernement Mme Ndiaye est risible : employer un jardinier serait abusif. Outre que cette remarque est contestable (faire entretenir son jardin à moindres frais alors qu’on est trop âgé pour le faire soi-même permet de maintenir les seniors chez eux le plus longtemps possible), il suffisait de retirer le jardinage de la liste des métiers dont les charges sont supprimées ! En fait, Mme Ndiaye a pris sciemment cet exemple pour faire passer la pilule auprès des 80 % de Français qui ne vivent pas en pavillon individuel et ne seront pas concernés.
Quoi qu’il en soit, le coup porté par le pouvoir est terrible pour les finances de nos seniors. Nos aînés qui ne sont pas assez malades pour être assistés tous les jours, mais plus assez valides pour se passer d’aide, devront débourser au minimum trois euros de plus par heure de ménage. En estimant au plus juste à trois heures d’aide ménagère par semaine, un couple de personnes âgées perdra 470 euros par an ! Une nouvelle saignée dont ils auront du mal à se remettre. De plus, être déclaré dépendant par une administration tatillonne est tout sauf une formalité : il faut marcher avec difficulté, voire être incapable de se laver seul pour être reconnu dépendant.
Outre cette attaque sur les charges, deux autres mesures odieuses sont en préparation : jusque-là, la grande majorité des personnes âgées propriétaires de leur logement et placées en EHPAD étaient exonérées de l’impôt sur les plus-values immobilières pour leur ancienne résidence principale, du moment qu’ils la vendaient dans les deux années qui suivaient leur départ. Ils ne le seront plus ! Or, l’entrée en EHPAD se fait souvent en catastrophe, soit parce qu’une place se libère, soit parce que l’état de la personne âgée s’est brusquement dégradé. Dans la plupart des cas, il est impossible de vendre le logement avant l’entrée en maison de retraite parce qu’il faut du temps pour trouver un acheteur solvable ou parce qu’il faut demander l’autorisation au juge des tutelles.
Dernier mauvais coup : quand un PEA sera dénoué en rente, celle-ci ne sera plus défiscalisée. En plus de la CSG à 17,2 % qu’on payait dans tous les cas, le contribuable sera taxé au taux de l’impôt sur le revenu, donc le plus souvent à 14 %. Le pire est que le paiement en rente d’un PEA se base sur le capital et les plus-values réalisées. On sera donc taxé sur ses propres économies. Honteux !
-
Violences faites aux femmes. La démagogie législative : une comédie sinistre et dangereuse
Par Xavier Eman
Depuis maintenant de (trop) longues années, la mode est à l’inflation législative. Au fil du temps, des aléas de l’actualité et des soubresauts médiatiques, les nouveaux textes de lois circonstanciels et catégoriels s’accumulent, s’entassent les uns sur les autres, constituant peu à peu un gigantesque maquis juridique, aussi inextricable qu’étouffant.
En effet, désormais, chaque groupe d’individus, chaque ensemble d’intérêts, chaque minorité, chaque église, chaque boutique, chaque lobby veut – et exige ! – sa propre petite loi personnelle de protection. Ainsi des homos, des Noirs, des juifs, des musulmans, des handicapés, des nains, des trans, des immigrés, des asexués, des myopes… Une soif de « législation » communautariste et infra-identitaires que les gouvernements successifs s’empressent d’épancher, soucieux de ne contrarier aucune composante, ni même micro-composante, de leur précieux cheptel électoral.
Or, outre le fait que cette tendance est totalement contraire à l’esprit originel de ce qu’est la Loi – qui est un texte de portée générale visant à assurer le « Bien commun » de l’ensemble de la population qui lui est soumise –, cette incontinence législative se révèle par-dessus le marché totalement inefficace et impuissante dans les faits.
Ainsi, jamais il n’y a eu autant de textes répressifs en France et pourtant jamais le peuple français dans son ensemble et son incarnation qu’est le « Français moyen » n’ont été aussi peu et mal protégés dans leur vie quotidienne. Inquisition partout, sécurité nulle part.
La soumission du législateur à l’émotion du moment, aux tumultes des faits divers et aux pressions des coteries les plus diverses ne produit au final qu’une interminable série de « lois-gadgets » parfaitement inutiles autant qu’inapplicables. On pourra penser ici à la loi visant prétendument le « harcèlement de rue » (comme si, avant elle, celui-ci était légal et autorisé…) ou le grotesque délire sarkozyste concernant « l’interdiction des regroupements dans les halls d’immeubles »…
Aujourd’hui c’est au tour des « violences faites aux femmes » d’être le nouveau sujet choisi pour nourrir la frénésie législative.
Il me semble pourtant qu’il est déjà interdit de tabasser ou de trucider les gens. Et ce qu’il s’agisse de son conjoint, son employé, son camarade de classe ou un quidam dans la rue. Cette loi immémoriale – et somme toute assez raisonnable –, l’État contemporain est incapable de la faire appliquer et respecter. C’est pourquoi, on voit assez mal par quel étonnant miracle il appliquerait plus efficacement des lois spécifiquement consacrées au « féminicide » et à la « violence conjugale ».
Cet État, totalement incapable d’assurer la sécurité minimale de ses citoyens dans l’espace public, prétend aujourd’hui s’immiscer dans la sphère privée pour faire y régner – là par contre – une impitoyable « tolérance zéro »… C’est une démagogie qui serait risible si elle ne contenait des éléments supplémentaires de totalitarisme.
L’arsenal juridique actuel est très largement suffisant pour régler l’ensemble des problèmes de violence qui touchent notre société et punir ceux qui méritent de l’être. Il pourrait même être très largement dégraissé. Ce qui manque, ce n’est pas un énième texte à vocation publicitaire – qui restera d’ailleurs lettre-morte – c’est le courage et la force politique d’appliquer le droit le plus simple et le plus basique, en s’attaquant aux vrais problèmes et aux vrais coupables. Tout le reste n’est qu’agitation médiatique et gesticulation dérisoire…
Source : site Breizh info
-
Macron et l’immigration : une réappropriation du discours sécuritaire de droite afin de renforcer la politique migratoire
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Lundi dernier, Emmanuel Macron a déclaré : « Les bourgeois n’ont pas de problème avec l’immigration. Ils ne la croisent pas. Les classes populaires vivent avec ». Jean-Marie Le Pen a qualifié de « grâce » ces propos du président de LREM. Les propos de Macron sont en apparence critiques envers l’immigration. Il est vrai que le phénomène migratoire commence à se voir, même pour les plus aveugles des Français. Mais Macron est-il vraiment contre l’immigration ?Quels sont ses véritables objectifs ?
Dans son habitude de l’ « en-même-temps », vendredi dernier, Macron a été capable de pointer du doigt des conséquences négatives de l’immigration, tout en allant signer en Italie avec Giuseppe Comte un accord sur la répartition automatique des clandestins en Europe.
En vérité, on voit bien que Macron adopte un discours sécuritaire non pas pour faire réduire l’immigration légale ou illégale, mais pour mettre en place un programme migratoire européen qui encadrera, protégera et multipliera les arrivées. De nombreux médias de réinformation ont abordé cet aspect macronien de l’immigration, comme le dernier épisode d’I-Média sur TV Libertés avec Jean-Yves Le Gallou.
-
Greta Thunberg déraille à l'ONU et attaque la France en justice
Dans un long monologue, la jeune Suédoise s’en est prise violemment aux dirigeants mondiaux pour leur inaction contre le changement climatique. Avant d'annoncer une action en justice contre cinq pays.
Elle est en colère, et elle l’a montré. Greta Thunberg était une des invitées des Nations unies ce mardi, rapporte Le Monde.La jeune Suédoise participait à un sommet sur l’urgence climatique et a eu droit de s'exprimer. Dès le début de sa prise de parole, elle a laissé ouvertement éclater sa colère. « Je ne devrais pas être là, je devrais être à l’école, de l’autre côté de l’océan. […] Comment osez-vous ? Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses », dit-elle d’abord avec véhémence. « Les gens souffrent, les gens meurent. Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse et tout ce dont vous pouvez parler, c’est de l’argent et du conte de fées d’une croissance économique éternelle. Comment osez-vous ? », a-t-elle continué les larmes aux yeux devant un parterre de dirigeants.Quelques minutes après son intervention, Greta Thunberg a lancé une nouvelle offensive contre plusieurs pays, mais cette fois-ci sur le plan juridique, rapporte Le Figaro. Avec 16 autres jeunes, elle a déposé une plainte inédite contre cinq pays pollueurs : la France, l’Allemagne, l’Argentine, le Brésil et la Turquie.[...]En savoir plus sur valeursactuelles.com