Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 319

  • Minable 1er s’en est allé. Aura-t-il sa place en Enfer ?

    310x190_20mn-33120.jpg

    Bernard Plouvier

    Il est de tradition de ne dire que du bien des chers disparus. Pour Chirac, cela va être mission impossible. L’on ne tire pas sur une ambulance, ni ne bombarde un navire-hôpital, et, en principe, on salue le contenu d’un corbillard. Derechef, c’est, dans le cas présent, moralement impossible.

    Cet homme fut non seulement un politicien retors et menteur, un viveur sans retenue, très probablement un corrompu, mais il fut surtout un criminel d’État, de conserve avec l’autre vieillard que l’on ne pleurera pas, Valéry Giscard.

    Nul citoyen français de souche européenne ne doit pardonner à ces deux politiciens d’avoir exercé leur capacité de nuisance à la puissance maximale, lorsque, le 29 avril 1976, ils ont osé publier le Décret 76-383 (paru au Journal Officiel de la République le 2 mai) autorisant le regroupement familial des travailleurs immigrés.

    Cet acte avait pour but de stimuler la consommation intérieure qui paraissait trop faible aux producteurs et aux distributeurs. De fait, sur ce point, les bénéfices de ces messieurs-dames furent accrus dans des proportions vertigineuses et une foule de professionnels du demi-monde de la politique et des media au service du Big Business salua cette « grande avancée sociale », comme ils le firent, dans un autre registre, avec l’avortement de complaisance, autre don à la France du tandem Giscard-Chirac, soutenant Simone Veil. 

    Aucun de ces dictateurs n’avait consulté l’unique souverain de la République française : la Nation, avant d’obérer l’avenir du peuple de France. On exterminait de futurs bébés « souchiens » et l’on importait des millions d’Africains, de Roms et de Moyen-Orientaux.

    Nul patriote ne doit se sentir obligé de retenir son mépris pour Chirac, le Président Black-Beur. L’athée se sent d’un coup désolé de ne pouvoir croire à la damnation éternelle et aux supplices infernaux. Pour un rien, on se mettrait à espérer que Satan existe. Après tout, notre vie terrestre ressemblant plus souvent à un Enfer qu’à autre chose, pourquoi pas !  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/27/minable-ier-s-en-est-alle-aura-t-il-sa-place-en-enfer-6178734.html

  • Facebook, Google, Microsoft et Twitter recréent Big Brother : vers la fin de toute liberté d’expression sur les réseaux sociaux

    Vous connaissiez peu le Global Internet Forum to Counter Terrorism, un consortium créé en 2017. Que du beau monde, Facebook, Twitter, Microsoft et Google (via YouTube). Et que de bonnes intentions, « lutter contre le terrorisme ». Réjouissez-vous, vous allez en entendre parler (et en subir les conséquences), le consortium s’élargit avec de nouvelles ambitions et de nouveaux moyens.

    Lutte contre « l’extrémisme »

    Après l’attentat de Christchurch contre des mosquées en Nouvelle Zélande en mars 2019, la première ministre Jacinda Ardern, le président Emmanuel Macron avaient lancé en mai, l’appel de Christchurch pour lutter contre les « contenus extrémistes et violents » sur internet. La Grande-Bretagne, l’Irlande, puis Twitter, Facebook, Microsoft et Google avaient rejoint l’appel. La phraséologie était volontairement vague et pouvait englober les soutiens de l’État islamique que les « extrémistes de droite ».

    Mécanisme préventif

    Lors de la conférence de presse annonçant la nouvelle structure, la numéro 2 de Facebook a annoncé fièrement que le réseau social avait supprimé après l’attentat 1,5 millions (vous lisez bien un million et demi) de vidéos dont 1,2 millions n’avaient pu être vues par personne sinon les 30.000 (trente mille) censeurs de Facebook.

    La charmante Jacinta a surenchéri « Nous essayons de créer un mécanisme du genre défense civile. De la même manière que nous réagissons aux urgences naturelles comme les incendies et les inondations, nous devons être prêts à réagir à une crise comme celle que nous avons vécue ». Pour prévenir les inondations, on construit des barrages, pour prévenir les incendies on débroussaille, pour prévenir l’extrémisme, on censure, tout se tient.

    Élargissement de la plate-forme

    A l’occasion de la réunion de l’ONU, le 23 septembre 2019, LinkedIn (propriété de Microsoft) et WhatsApp (propriété de Facebook) ont rejoint l’organisation. Selon un communiqué repris par l’AFP, la structure œuvrera pour « déjouer les tentatives de plus en plus sophistiquées des terroristes et des extrémistes violents pour se servir des plateformes numériques ».

    Les gouvernements de six pays, France, Royaume-Uni, Canada, États-Unis, Nouvelle Zélande et Japon auront un rôle de consultation ainsi que l’ONU et l’Union Européenne. On ignore encore le montant des financements de la nouvelle organisation, dirigée par une équipe dédiée, mais il devrait être d’une dimension sympathique.

    Lutte contre le « suprémacisme blanc »

    Dans le même temps Facebook annonce une collaboration avec les polices des deux côtés de l’Atlantique, pour « éduquer leurs outils d’intelligence artificielle ». Dés octobre 2019 la police de Londres et le réseau social collaboreront pour « détecter les contenus et mieux les supprimer », entendez par là les contenus « extrémistes ». Des universitaires spécialistes de la « radicalisation » et des « experts du maintien de l’ordre » apporteront (on imagine contre une honnête rétribution) leur expérience. On parle de 350 consultants extérieurs pour soutenir cette noble cause, sans compter les personnels des grands réseaux sociaux.

    Big brother partout

    Le 17 septembre nous vous donnions nombre d’exemples des nouvelles censures sur les réseaux sociaux. D’autres se sont rajoutées. Le magazine L’Incorrect a été censuré sur Facebook après un entretien avec Maître Pierre-Vincent Lambert, l’avocat de Génération Identitaire.

    Il est possible qu’un robot identifie les vestes bleues des militants de Génération Identitaire ou certains mots-clefs et supprime automatiquement le post. Un procédé exactement semblable à celui des staliniens des belles années : vous n’existez plus, vous n’avez jamais existé, vous êtes mort pour la société. De quoi réfléchir à des alternatives aux réseaux des géants américains soutenus par six gouvernements, une bonne partie de l’université et hélas sans doute une forte proportion de journalistes.

    Article repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • Immigration : la pompe aspirante de l’aide médicale d’État

    E Macron.jpg

    Emmanuel Macron semble découvrir les réalités les unes après les autres, la France rurale et abandonnée des gilets jaunes, les jeunes enfants dans leurs « 1.000 premiers jours », les lignes de fret obsolètes qui vont fermer et mettre sur la route des milliers de camions et, enfin, ces jours derniers, l’immigration.

    Comme l’a dit Éric Zemmour, ce Président semble être un stagiaire de l’ENA qui découvre la France.
    Au-delà du double jeu, sa politique du « en même temps » ne trompe personne. Il voudrait nous faire croire qu’il va limiter l’immigration sans toucher aux « pompes aspirantes » qui font de la France un pays si attractif, sans renvoyer tous les déboutés du droit d’asile (aujourd’hui, 90 % d’entre eux restent en France après le rejet de leur demande) sans restaurer un contrôle aux frontières.
    Une mesure s’impose et nous la réclamons depuis des années : l’aide médicale d’État (AME) doit être supprimée. Grâce à elle, aujourd’hui, les clandestins et les sans-papiers sont soignés gratuitement et bien au-delà des soins d’urgence. Ils bénéficient aussi de « soins de confort », des prothèses mammaires, des appareils dentaires… Tout le monde sait bien que, dans le sud de la France, des étrangers font « le voyage du bled » jusque dans l’un de nos « centres médicaux » pour voir un ophtalmologiste et se faire payer des lunettes. Comme le confirmait un rapport parlementaire en 2015, la France est le pays d’Europe le plus généreux pour la prise en charge médicale.
    Depuis quinze ans, le chiffre d’un milliard est avancé pour le coût de l’AME. On nous trompe, puisqu’il est établi que les bénéficiaires ne cessent d’augmenter, tout comme le nombre d’immigrés en France. 350.000 par an, nous dit-on. C’est au moins 450.000, et les déboutés du droit d’asile ne sont jamais renvoyés.
    Emmanuel Macron finira-t-il par découvrir cette réalité-là ? Mais comme le disait Charles Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit, et surtout, il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit. »
    Et aujourd’hui, limiter l’immigration sans supprimer cette pompe aspirante qu’est l’AME est un leurre. Quand on voit ce que l’on voit, l’urgence est extrême, il n’est plus temps de découvrir la réalité mais de l’inverser.
    Jérôme Rivière
    Député RN au Parlement européen
    Source : bvoltaire.fr
  • Suicide français : un avortement pour 3 naissances

    Suicide français : un avortement pour 3 naissances

    L’hécatombe se poursuite et, par effet collatéral, le grand remplacement prend de l’importance. Le ministère de la Santé a publié hier les chiffres des naissances et des avortements de 2018 :

    • 224 300 avortements ont été réalisés en France, dont 209 500 auprès de femmes résidant en métropole, en hausse de 3% par rapport à l’année dernière (217.786 avortements en 2017).
    • Le taux de recours s’élève à 15,0 avortements pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en métropole et à 27,8 dans les départements et régions d’outre-mer (DROM), son niveau le plus élevé depuis 1990.
    • Les femmes de 20 à 29 ans restent les plus concernées, avec un taux de 27 avortements pour 1 000 femmes sur l’ensemble du territoire.
    • L’indice conjoncturel d’avortement atteint 0,56 avortement par femme en 2018.
    • 5,3 % de l’ensemble des avortements (soit près de 12 000) sont pratiquées entre la 12e et la 14e semaine d’aménorrhée
    • 2018 a compté 758 000 naissances, soit environ un avortement pour trois naissances (2e tableau ci-dessous).

    Voici l’évolution des avortements et des naissances :

    https://www.lesalonbeige.fr/suicide-francais-un-avortement-pour-3-naissances/

  • Ce ramassis de médiocres… qui nous gouvernent

    democratie-.jpg

    Par Jarente de Senac

    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la France va connaître sous la houlette d’un Gouvernement provisoire de la République française (3 juin 1944 – 27 octobre 1944) la publication d’une série d’ordonnances permettant d’épurer la société française. 30 000 à 40 000 Français, selon l’historien Robert Aron, seront passés par les armes dans l’indifférence d’un certain De Gaulle et de son bras armé, le Parti communiste et ses tueurs (déjà !) La IVe République aura deux médiocres pour président, Vincent Auriol de 1947 à 1954 et René Coty de 1954 à 1959. Mais ces deux pantins ne gouverneront pas, ils veillent sur les institutions. Les vrais acteurs ce sont les présidents du Conseil qui vont se succéder au gré des majorités mouvantes de la chambre des députés.  Là où règne les trois grands partis : les faux-culs démocrates chrétiens du MRP, les socialistes de la SFIO, francs-macs pour la plupart d’entre eux, et les thuriféraires de Joseph Staline à savoir les membres du parti communiste.

    Le bal des médiocres s’égrène de Robert Schuman à Henri Queuille, René Pleven, Edgar Faure, Antoine Pinay, Pierre Mendès-France, Guy Mollet pour finir avec Pierre Pflimlin. C’est alors que se produit le coup d’état gaulliste du 13 mai 1958 où De Gaulle se fait introniser président du Conseil avant de changer la constitution. Et d’inaugurer la Ve République. Dès lors, c’est bien le président qui gouverne et son premier ministre, le premier esclave de cette Ripouxblique d’un nouveau genre. Le seul et unique président à sortir du lot de cette médiocrité ambiante est Georges Pompidou qui avait une vraie et non pas certaine, idée de la France qu’il va industrialiser. Et ce, sans pourrir la vie des Français comme le feront ses successeurs.

    Depuis 1945, la France comme toute l’Europe occidentale est inféodée à Washington et à ses choix géopolitiques catastrophiques (Corée, Vietnam, Afghanistan, Irak). De Mitterrand à Macron, tous courberont l’échine devant le grand Satan. Chirac comme les autres naviguera à vue étant donné que ses compétences se limitent à savoir organiser une campagne électorale et certainement pas à en gérer le succès. Résultat des courses, deux présidences ataraxiques !

    De Chirac, il ne peut rien rester, car il n’a rien fait, rien entrepris. Il n’a fait que bouffer, baiser et tâter le cul des vaches. Il faut bien dire que le régime démocratique – qu’on espère en fin de course – ne génère que des médiocres ou des gens intelligents mal employés. Qu’est-ce qu’un député, un sénateur ? Rien. Si, à justifier ce régime où l’on nous serine que sans eux, il n’y aurait pas de démocratie. Mais les seuls à tenir la boutique, ce sont les maires et les élus locaux. Et une administration de plus en plus autonome qui pourrit chaque jour un peu plus la vie des Français. Platon a dit tout le mal qu’il fallait penser des démocraties. On ne doit pas perdre de vue que ce sont les rois de France qui ont fait ce pays quand nos démocraties s’acharnent, depuis 1870, à le défaire. Tirez-en les conclusions vous même.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/27/ce-ramassis-de-mediocres-6178723.html

  • Les « guerriers du climat » vaincus par la banquise

    Par Rémy Prud’homme, Professeur des Universités (émérite)
    Tous les "savants du monde", d’Al Gore à Greta, le savent et le disent : la banquise du pôle nord fond rapidement.
    En fait, elle a déjà fondu.
    En 2007, Al Gore, conjointement avec le GIEC, recevait le prix Nobel (de la paix, pas de science, mais passons), et il déclarait à Oslo : « La banquise est en chute libre …
    Une étude récente nous avertit qu’elle pourrait avoir complètement disparu l’été dans sept ans seulement ».
    Dans sept ans, en 2014 donc.
    Les membres du GIEC présents avaient chaleureusement applaudi ce magnifique discours prophétique.
         Armés de beaucoup de courage, et surtout d’argent, 17 guerrier/ère/s du climat (c’est ainsi qu’ils se nomment) ont donc, fin août 2019, affrété un bateau de croisière suédois spécialisé, le Malmo, fonctionnant au mazout, et sont partis vers le pôle nord.
    Ils voulaient voir par eux mêmes la mort de la banquise, et la filmer pour l’éducation des masses encore ignorantes.
         Ils ont vu. Arrivé aux iles Svalbard, à 1400 km du pôle, le Malmo a été bloqué, puis encerclé par les glaces, comme dans un roman de Jules Verne.
    La banquise-qui-n’existe-plus avait gagné.
    Plus moyen d’avancer, ni de reculer.
    Les ours blancs, qui-ont-également- disparu, nombreux dans ces parages, et affamés, pouvaient venir manger nos valeureux et savants combattants.
    Ces derniers ont du être secourus par hélicoptère (toujours au mazout).
    On ne sait pas si cette retraite stratégique a été filmée par l’équipe de cinéastes embarquée.
         Bien entendu, cette histoire hilarante ne prouve rien du tout sur l’évolution du climat à moyen ou long terme.
    Mais elle renseigne sur l’instrumentalisation de la science  de l’environnement.
         L’évolution de la banquise arctique, qui est un phénomène complexe, est en fait étudiée et bien connue.
    L’Institut Météorologique Danois, ou le  Centre de données sur la neige et la glace arctique de l’Université du Colorado, par exemple, permettent de suivre les évolutions en temps réel.
    Si au lieu de crier avec les loups nos militants cherchaient à s’informer, ils sauraient que la banquise du pôle nord, qui s’est beaucoup réduite dans les années 1990, a tendance à se stabiliser depuis une quinzaine d’années : en septembre 2019, elle est certes moins étendue qu’en 1990, mais elle est plus étendue (d’environ un million de km carrés, excusez du peu) qu’en 2012.
    Et ils auraient fait preuve d’un peu plus de prudence.
          La mésaventure du Malmo a été systématiquement cachée par les grands médias (radios, journaux, télévision) français et étranger.
         Elle n’aura certainement pas entamée les certitudes de nos hélitreuillés.
    Comme dit Proust : « Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir ».
    source
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/les-guerriers-du-climat-vaincus-par-la.html#more

  • Selon L’Express, un fiché S pour islamisme se présenterait comme tête de liste à Goussainville

    hamida.png

    L’Express rapporte qu’Abdelaziz Hamida, conseiller municipal sortant de Goussainville, commune du Val-d’Oise, élu en 2014 sur une liste de gauche avant de passer dans l’opposition, va briguer la mairie. Né dans cette ville, âgé de 43 ans, il est titulaire d’un master en droit et s’affiche comme un entrepreneur et un cadre associatif (il a présidé le football club de Goussainville). Un bon profil pour une élection municipale. Mais il y aurait un hic.

    Cet homme affirme « agir en homme libre, en élu de terrain en phase avec les réalités du territoire et avec [s]es convictions chevillées au corps ». Il se présente, d’ailleurs, comme tête d’une liste sans étiquette, avec le slogan « L’Audace du renouveau ». Sans étiquette, mais fiché S, selon les informations de L’Express. Il serait proche du mouvement fondamentaliste Tabligh, dont le nom a été cité dans le dossier judiciaire de la filière djihadiste de Lunel. Il serait surveillé en raison de ses activités prosélytes et de ses accointances avec d’autres personnes soupçonnées de radicalisme.

    Et alors ? direz-vous. Comme le note le rapport d’information du Sénat du 19 décembre 2018, « les fiches S ne constituent pas, contrairement à de nombreuses idées reçues, un indicateur de la dangerosité d’une personne ». Au demeurant, il s’est déjà présenté aux législatives de 2017, dans la 9e circonscription du Val-d’Oise. S’il n’a obtenu que 5,76 % des suffrages, il est arrivé en tête à Goussainville, avec près de 22 % des suffrages exprimés. Il précise, sur son site, être « un candidat qui n’appartient à aucun parti, à aucun mouvement ». Il jouit donc, dans cette ville, d’une certaine popularité et il serait contraire à la démocratie de faire obstacle à sa candidature.

    Dans un communiqué du mercredi 26 septembre, l’intéressé annonce que « face aux accusations mensongères, aux calomnies et à la diffamation, [il a] décidé de poursuivre ce soir l’hebdomadaire L’Express ». Il a saisi la Justice, ainsi que le ministre de l’Intérieur, afin que « toute la lumière soit faite sur cette sombre affaire et que les prétendues preuves [qu’il est] fiché S soient livrées ». Il conclut en s’adressant aux Goussainvillois : « Ne vous laissez pas voler l’élection municipale de mars 2020 ! »

    Laissons donc la Justice suivre son cours et L’Express apporter, s’il le souhaite, des explications. Quoi qu’il en soit, force est de constater que de plus en plus d’activistes islamiques prétendent s’inscrire dans le jeu démocratique en se présentant aux élections ou en ostracisant les candidats qui ne leur plaisent pas. Ainsi, l’Union des musulmans démocrates de France s’est déjà essayée aux élections européennes, n’obtenant, certes, que 0,13 % des votes, mais atteignant des scores non négligeables dans certains quartiers. Ce qui ne peut qu’encourager les islamiques à tenter leur chance aux municipales, manifestant ainsi un communautarisme politique.

    De toutes façons, qu’on le regrette ou non, légalement, rien n’empêche un fiché S de se présenter à une élection. Il n’est pas besoin d’avoir un casier judiciaire vierge pour se présenter à une élection ; alors, une fiche S ! Il serait effectivement souhaitable que le gouvernement fît toute la lumière sur cette affaire : les habitants de Goussainville doivent pouvoir faire le choix de leur maire en toute connaissance de cause.

    https://www.bvoltaire.fr/selon-lexpress-un-fiche-s-pour-islamisme-se-presenterait-comme-tete-de-liste-a-goussainville/

  • La réalité de l’islam “de France”

    Jérôme Fourquet, directeur du pôle « Opinion et stratégie d’entreprise » de l’Ifop, a récemment présenté les chiffres d’une étude menée par son institut sur les musulmans de France.

    On y apprend notamment que, parmi les musulmans français de naissance, 18 % estiment que la charia devrait s’imposer dans notre pays. Les musulmans naturalisés français sont 26 % à le penser également et les musulmans étrangers 46 %.

    Autrement dit, plus on maintient les frontières ouvertes à l’immigration, plus on rend difficile l’intégration des musulmans dans la société française.

    Si, réellement, les politiciens qui prétendent nous gouverner souhaitaient aider à la naissance d’un islam de France modéré et tolérant, le premier geste qu’ils devraient faire serait donc de fermer les frontières.

    S’ils ne le font pas, c’est qu’en réalité, l’islam est pour eux une façon d’en finir avec les « Gaulois réfractaires », comme dirait le président Macron.

    Cette étude comporte encore d’autres chiffres intéressants. En particulier, j’y ai découvert que seuls 41 % des musulmans de France estiment que la pratique de l’islam doit être adaptée et aménagée pour se conformer à la laïcité à la française.

    Ce qui signifie qu’une large majorité considère que l’islam ne doit faire aucun effort pour s’intégrer.

    « Mieux » encore, 37 % des musulmans estiment que c’est, au contraire, à la laïcité française de s’adapter pour laisser la place à l’islam. Ce chiffre a augmenté de 8 % depuis 2011.

    Il n’aura échappé à personne que l’essentiel du pouvoir a été exercé par la gauche depuis cette date. Cela implique que la gauche immigrationniste rend plus difficile l’intégration.

    Comme jadis avec le prolétariat, l’objectif des immigrationnistes n’est pas de faciliter l’intégration des musulmans dans une société française façonnée par le christianisme.

    Il est, au contraire, de les entretenir dans la haine de la société française pour disposer d’un « potentiel révolutionnaire » capable de faire exploser la société française honnie.

    Il n’existe qu’une seule façon de résoudre le problème migratoire – mais aussi, avec lui, le problème que pose l’islam (et qui dépasse de beaucoup la question du terrorisme).

    Il faut d’abord fermer les frontières. Et ensuite exiger des nouveaux arrivants de se conformer à nos lois et à nos coutumes. L’adoption d’un prénom français, la participation aux fêtes françaises, pourraient être des « marqueurs » de ce choix.

    Faute de ce désir d’intégration, il est impératif que nous puissions dire aux étrangers (et même aux Français de papier) que nous ne les retenons pas et qu’ils peuvent rejoindre les pays idylliques où la charia s’applique !

    Jean Rouxel

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • I-Média n°265 : Eric Zemmour, le retour qui affole les médias !

    I-Média n°265 : Eric Zemmour, le retour qui affole les médias !

    Analyse de Jean-Yves Le Gallou qui nous apprend que LCI et BFM TV auraient également proposé une participation à Eric Zemmour :

    https://www.lesalonbeige.fr/i-media-n265-eric-zemmour-le-retour-qui-affole-les-medias/

     

  • Immigration : la lucidité… en attendant les actes

    polony.jpg

    Par Natacha Polony

    Il y a parfois de très mauvaises raisons d’énoncer des vérités. Doit-on pour autant s’interdire d’affirmer qu’elles sont des vérités ? Certainement pas. De même que « l’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu », l’instrumentalisation politicienne d’un débat permet au tacticien de rencontrer subrepticement les aspirations des citoyens. A ceci près que cette instrumentalisation forcément grossière souille la matière à laquelle elle s’attaque, pour la plus grande joie de ceux qui ne voulaient surtout pas de ce débat.

    Ainsi, Emmanuel Macron a parlé d’immigration. Et il l’a fait en des termes que nul ne devrait lui reprocher. Oui, « il faut regarder ce sujet en face », et, en e et, « les bourgeois ne croisent pas l’immigration, ce sont les territoires les plus pauvres qui en sont le réceptacle ». Marianne, depuis sa création, en 1997, se bat pour qu’il soit possible d’adopter une position lucide sur le sujet sans être immédiatement accusé de « faire le jeu » du Rassemblement national. Réflexe pavlovien qui n’a pas manqué, une fois de plus. Immédiatement, le discours d’Emmanuel Macron a suscité les réactions habituelles : nez bouchés, airs outragés. Un problème ? Il n’y a pas de problème. Des fraudes à l’aide médicale de l’Etat ? Où donc ? Les habituels factcheckeurs se sont empressés de démonter l’exemple stupide cité par Stanislas Guerini et quelques autres sur les « prothèses mammaires », mais pas un n’a repris l’enquête du Figaro, en 2013, sur ces patients géorgiens et tchétchènes atteints de tuberculose résistante et débarquant avec une précision confondante à la Pitié-Salpêtrière...

    L’opposition facile entre de supposés « humanistes » (ce superbe mot devenu le plus creux de la langue française), surtout occupés à se donner bonne conscience, et des « populistes » trop heureux qu’on leur fasse cadeau du peuple et de ses préoccupations cache mal les réalités. La première est que cette question migratoire traverse tous les pays européens, et pas seulement parce que des partis peu recommandables manipuleraient des citoyens enclins à la xénophobie. Du Danemark à l’Italie en passant par l’Allemagne ou l’Espagne se pose la question d’une culture européenne et de sa perpétuation. Deuxième point, non moins essentiel : un système généreux et universel ne peut être maintenu que si l’on contrôle de façon stricte tous les abus. Et, dans cette optique, les dispositions voulues par Emmanuel Macron n’ont rien de scandaleux. Ceux qui mêlent volontairement les termes « réfugié » et « migrant », pour effacer toute frontière entre le droit d’asile, imprescriptible, et les migrations économiques, sont les fossoyeurs de l’idée même d’asile politique. « C’est un fantasme, personne n’est pour l’abolition des frontières », entend-on claironner. Mais transformer en « réfugiés » tous ceux qui rêvent légitimement d’une vie meilleure revient à cela. Et c’est le troisième point : l’immense hypocrisie de tous les débats autour de l’immigration vient du fait qu’ils occultent un élément fondamental, à savoir que l’immense majorité des êtres humains qui risquent la torture ou la mort en Libye ou en Méditerranée auraient préféré vivre correctement parmi les leurs. Le droit de vivre et travailler au pays, slogan de la gauche des années 70, doit s’appliquer aux habitants de l’Afrique autant qu’aux paysans du Larzac. Et cela passe par une redéfinition complète du commerce mondial qui empêcherait la destruction des cultures vivrières au profit d’une agriculture intensive contrôlée par les lobbies semenciers, ou l’appropriation des terres par des multinationales européennes ou américaines – et désormais chinoises – avec la bénédiction de dictateurs locaux. Comme souvent, les impératifs humanitaires et écologiques ne peuvent faire abstraction de la question du modèle économique.

    Enfin, les députés LREM qui ont joué les grandes âmes ont eu raison sur un point. Ils ont publié une tribune rappelant au président la question principale, celle de l’intégration, qui, visiblement, n’entre que très peu dans le logiciel macronien. A ceci près que l’intégration ne saurait être uniquement économique. Elle passe par la certitude, pour celui qui accueille comme pour celui qui est accueilli, qu’embrasser un nouveau pays revient à embrasser son mode de vie, ses valeurs, sa mémoire. L’individualisme contemporain, assis sur le règne du droit et du marché, est en train de fracturer les sociétés européennes et de faire de l’immigration un problème puisqu’elle devient facteur de désagrégation culturelle. Emmanuel Macron a, certes, cité le concept d’insécurité culturelle dans son discours, mais à aucun moment il n’a donné l’impression d’y apporter un début de réponse.

    Le modèle européen, centré sur la dignité humaine et la liberté individuelle, est fragilisé par des bouleversements dont les flux migratoires ne sont qu’une dimension parmi d’autres. Affronter cette réalité est très bien. Le faire sans arrière-pensée électorale, à un autre moment qu’en pleine contestation sociale, est encore mieux.

    Source : Marianne 27/09/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/26/immigration-la-lucidite-en-attendant-les-actes-6178453.html