
Dans son récent livre, le militant Fabien Bouglé démonte un à un les arguments en faveur de l’éolien: imposture écologique, dangers pour la santé, gaspillage d’argent public, corruption… Il est interrogé sur RCF.
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Dans son récent livre, le militant Fabien Bouglé démonte un à un les arguments en faveur de l’éolien: imposture écologique, dangers pour la santé, gaspillage d’argent public, corruption… Il est interrogé sur RCF.
Présent à la grande marche contre la #PMAsansPère et la #GPA, aujourd’hui 6 octobre, à Paris, je voudrais apporter un témoignage personnel.
Pour rappel, j’ai participé à la manifestation contre le mariage pour tous de 2013, au cours de laquelle nous étions plus de 270.000. Je confirme que nous étions largement plus nombreux, ce dimanche. Même si je ne suis pas un expert en comptage, je crois que tout chiffre inférieur à celui de 2013 serait purement et simplement un mensonge.
Ensuite, j’ai été surpris de constater que cette manifestation, que certains disaient être celle du Blanc catholique, était plutôt celle du Français défenseur de valeurs familiales, tout simplement.
En effet, j’y ai croisé beaucoup de Noirs, des Arabes, des Jaunes et même un couple d’origine sri-lankaise.
Ma curiosité m’a poussé à interroger certains, dans ces minorités, sur les raisons de leur présence. Rassurez-vous, ils n’étaient pas là pour rien, ils savaient ce qu’ils voulaient et étaient plus déterminés que moi. Malik et Nadia étaient avec leur fils Lyès, ils se disent musulmans, rien dans leur aspect, leur comportement ne permet de deviner leur pratique religieuse. Ils venaient du Val-d’Oise et ont dit leur opposition à toute modification du parcours naturel de vie.
Pas loin d’eux, une bande de jeunes gens venus de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) m’explique leur présence par le refus de la GPA.
Aujourd’hui, j’ai vu la France qu’on ne voit pas dans les grands médias, j’ai entendu ces minorités pour lesquelles beaucoup parlent sans savoir leurs engagements, aujourd’hui j’ai vu qu’en France, contre la #PMAsansPère et la #GPA, ce ne sont pas que les Blancs cathos de droite qui s’y opposent. En tant que Noir, ça m’a fait du bien, j’avais peur de ne pas être normal.
Le député En Marche Thierry Solère a été mis en examen vendredi pour fraude fiscale, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité publique, recel de violation du secret professionnel, trafic d’influence passif concernant quatre sociétés, recel d’abus de bien sociaux, recel d’abus de confiance, financement illicite de campagnes électorales, portant sur une période comprise entre 2003 et 2017, a précisé la procureure Catherine Denis, procureure de la République de Nanterre. L’élu faisait l’objet d’une enquête préliminaire depuis septembre 2016.
Clément Weill-Raynal, journaliste à France Télévisions, a été convoqué par sa hiérarchie pour sa couverture de l’attaque à la préfecture de police de Paris. Peu après les faits, il avait évoqué à l’antenne un attentat, « l’hypothèse d’un acte motivé par l’islam radical » de manière prématurée, selon sa direction.
Explications de son avocat Maître Gilles-William Goldnadel au micro de Boulevard Voltaire.
Forte intervention du sénateur RN Stéphane Ravier lors du débat sur l’immigration, qui ne mâche pas ses mots, que ce soit sur le grand remplacement, sur le racisme anti-blanc, anti-français, anti-chrétien, le terrorisme, l’islam, la préférence nationale, en demandant des quotas non pas d’immigration mais des quotas d’expulsions :
Mais qu’ont-ils dans les yeux ? Cela fait quarante ans que les “élites” ne voient rien de l’immigration de masse, de l’islam guerrier, du séparatisme ethnique. Quarante ans qu’elles n’entendent rien des inquiétudes de ceux qui vivent ces réalités au quotidien. Jeudi dernier, c’est au cœur de la Préfecture de police de Paris qu’un “habilité secret-défense“, adepte du djihad, a assassiné au couteau quatre policiers avant d’être abattu. Le premier commentaire du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a été pour assurer que Mickaël Harpon, converti à l’islam en 2008, “n’avait jamais présenté de difficultés comportementales“, ni “le moindre signe d’alerte“. En réalité, l’islamiste s’était réjoui, en 2015, de l’attentat contre Charlie Hebdo devant deux de ses collègues.
Il fréquentait quotidiennement la mosquée salafiste de Gonesse (Val-d’Oise), dont un des imams était fiché S. Il ne serrait plus la main des femmes. Sa radicalité aurait dû alerter le service antiterroriste qui l’employait comme informaticien. Castaner a parlé d’un “dysfonctionnement de l’État”. Mais seule l’idéologie aveugle à ce point.
Ce que subit le pays sidéré est le résultat d’années d’endoctrinements sur la diversité heureuse et la nation fautive. Il est impensable qu’aucun policier n’ait vu la dérive de cet agent administratif, un Martiniquais handicapé embauché en 2003. Le choix de préserver ce fonctionnaire a été pris sous l’influence diffuse de considérations promues par la pensée officielle : ne pas discriminer, ne pas stigmatiser, respecter les différences, combattre le racisme, lutter contre l’islamophobie.
Autant de valeurs “humanistes” qui, appliquées sans discernement, peuvent désarmer un service de police, mais aussi un gouvernement et un État. Les droits de l’homme sont paradoxalement devenus les alliés des islamo-fascistes. Ils trouvent aussi, auprès de juges et de journalistes, une abondance de collaborateurs. Ces idiots utiles préfèrent sonner l’alarme contre l’extrême droite. Mercredi, un néonazi a tué deux personnes, aux abords d’une synagogue en Allemagne. Mais ce n’est pas l’extrême droite, en tout cas, qui assassine en France.
Mardi, lors de l’hommage rendu aux quatre policiers, Emmanuel Macron a appelé la nation à “faire bloc”, dans un “combat sans relâche” contre le “terrorisme islamiste“. Faut-il croire celui qui a fait du politiquement correct la langue officielle de la macronie ?
Ivan Rioufol
Texte daté du 10 octobre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol
L’image de la semaine
La censure contre Eric Zemmour franchit un nouveau cap après que des annonceurs aient annoncé leur volonté de supprimer leur publicité des chaînes soutenant le journaliste et écrivain de droite.
Attentat islamiste à la préfecture : les médias en mode autruche !
Alors que le caractère islamiste de l’attaque ne faisait aucun doute, les médias ont préféré surjouer la prudence… Désormais, ils font semblant de découvrir le problème de la radicalisation…
Revue de presse
Il y en aura pour tous les goûts dans la revue de presse cette semaine avec notamment une énorme auto-censure de France 3 qui n’a pas assumé d’avoir publié une grosse Fake News sur l’incendie d’une église à Grenoble.
Manif anti-PMA : la mauvaise foi des médias
Les médias ont tout fait pour minorer le succès de la manifestation des opposants à la loi bioéthique. Le Monde et Quotidien ont notamment démontré leur incompétence.
Coup de chapeau
Dans le silence médiatique, la Nouvelle Librairie a une nouvelle fois été la cible d’une attaque par des militants d’extrême gauche.
Nutella a décidé de supprimer ses plages publicitaires pendant l’émission hebdomadaire de Paris Première « Zemmour et Naulleau ». Cette asphyxie d’un grand média, pour raisons politiques, par un groupe industriel et financier, est une première. La censure anti-Zemmour pourrait s’étendre à tous les autres grands médias. Elle pourrait être pratiquée par tous les autres groupes industriels et financiers. Déjà sont annoncés les boycotts anti-Zemmour de la MAIF, Groupama, Monabanq. Et qui après Zemmour ? Bellamy ? Brunet ? Lucchini ? Messiha ? (Pour ce dernier, c’est déjà fait.)
Ce qui se passe actuellement est un phénomène absolument inédit dans l’histoire de notre pays, et même au-delà : la mise en place d’une dictature capitaliste, d’une authentique ploutocratie qui s’affiche comme telle, un régime où la puissance économique et financière devient seule décisionnaire pour le droit à l’expression dans le domaine politique, culturel et social.
Certes les puissances d’argent n’ont jamais joué un rôle négligeable dans la vie politique française. Mais Nutella, c’est-à-dire le groupe Ferrero, groupe italien comptant 33 000 salariés et pesant 10 milliards d’euros, est allé là où personne n’avait osé aller : couper les vivres à une chaîne d’information, Paris Première, pour l’obliger à licencier Eric Zemmour. Immédiatement le groupe MAIF (3 milliards de chiffre d’affaires), Groupama (14 milliards de chiffre d’affaires), Monabanq (27 milliards de chiffre d’affaires) lui ont emboîté le pas. Une digue réputée infranchissable a été rompue.
Rien d’autre que de l’ultracapitalisme
Nous avons donc une coalition de grandes entreprises qui entendent dorénavant peser sur ce que les Français ont le droit d’entendre ou non. Et parce que la personne visée est marquée à droite, tout le camp de la gauche, et de la gauche de la gauche, sans parler du camp progressiste, trépigne de joie, ne réalisant pas vraiment que, grâce à sa campagne anti-Zemmour, elle déroule un tapis rouge à ce qui n’est rien d’autre que de l’ultralibéralisme, de l’ultracapitalisme, comme jamais la France et la planète n’en ont connu.
Car quelle est la motivation de ces entreprises multinationales, dirigées par des milliardaires ? Il peut y avoir la peur d’un boycott par l’extrême gauche, l’idée que, sur les réseaux sociaux, une mauvaise réputation pourrait leur coûter quelques points de croissance. Mais l’e-réputation et la réputation tout court sont bien plus affectées par un accident industriel comme Lubrizol ou par des affaires à la Carlos Ghosn que par des publicités passées sur une chaîne qui donne la parole à Zemmour.
Mais il y a sans doute d’abord le fait que les directions de ces entreprises, qui raisonnent en marché mondial, qui rêvent de délocalisations faciles, et dont les charges sociales tirent profit de l’immigration massive, veulent défendre leurs intérêts. Et leurs intérêts, c’est de supprimer les frontières, et de développer toujours plus de mobilité planétaire.
Le nouveau capitalisme qui se dessine, avec cette stupéfiante immixtion publique de grands acteurs économiques dans la sphère politique, ne prend plus ses repères à Londres ou Washington, mais à Pékin : immense liberté capitalistique et total verrouillage de la liberté d’expression.
Les Chinois ont tiré profit de ce modèle ces quarante dernières années. Mais Hong-Kong semble montrer que le système a ses limites. Il n’y a pas de raisons que les Français soient davantage enclins que les Chinois à avaler l’écœurante pâte à tartiner progressiste.
Francis Bergeron
Article paru dans Présent daté du 10 octobre 2019