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anti-national - Page 370

  • LA SOLUTION DES POUVOIRS PUBLICS POUR FINANCER LES RETRAITES ? RÉDUIRE LE NOMBRE DES RETRAITÉS PAR L’EUTHANASIE DE MASSE !

    2262812951.6.pngJérôme Bourbon

    LE CHIRAQUIEN Jean-Paul Delevoye, haut commissaire chargé de la réforme des retraites, a remis son rapport le jeudi 18 juillet. Chaque fois que le Système parle de réforme, on peut être sûr que l’on s’oriente vers de nouvelles régressions sociales et de nouvelles restrictions de liberté. Ce rapport ne fait pas exception puisqu’il n’a d’autre objectif que de manipuler les masses et de les préparer à cotiser plus longtemps pour percevoir moins encore à la retraite. Ce n’est pas le « travailler plus pour gagner plus » de Sarkozy, qui était déjà dans les faits un mensonge, c’est le « travailler plus longtemps pour gagner moins » de Macron. Et comme toujours les pouvoirs publics procèdent de manière malhonnête en faisant semblant de ne rien changer d’essentiel, de ne pas détériorer encore le système existant.

    Ainsi l’âge légal de la retraite serait a priori maintenu à 62 ans mais cette disposition est totalement vidée de sa substance puisque, dans le système imaginé par Delevoye (ou plutôt mis sur le papier par ce politicien falot qui ne fait suivre que les grandes politiques malthusiennes de l’Union européenne et des cénacles mondialistes), il faudra travailler très au-delà de cet âge pour pouvoir bénéficier d’une pension simplement décente. Et le système de points envisagé a pour objectif d’encourager fortement, et dans les faits de forcer, les gens à travailler le plus longtemps et le plus tard possible, quelle que soit la pénibilité du métier exercé et quelle que soit l’usure du travailleur, pour pouvoir toucher une retraite qui permette de vivre, et parfois même seulement de survivre. 

    AU LIEU de sans cesse augmenter la durée et le montant des cotisations et de réduire les pensions, il conviendrait, et cela aurait dû être fait depuis longtemps, de développer une politique familiale et nataliste ambitieuse. Car la seule façon de permettre dans la durée le financement du système de retraites, c’est d’assurer le renouvellement des générations, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Les pouvoirs publics, à peu près partout en Occident, préfèrent détruire ce qui reste de familles, favorisent par tous les moyens la contraception et l’avortement de masse — lequel enlève silencieusement chaque année à notre nation plus de deux cent mille enfants français parfaitement sains et viables —, accordent des droits exorbitants à des marginaux, à de petites minorités ostentatoires, se font le relais et l’obligé des revendications les plus exorbitantes et les plus folles du lobby LGBT, lui-même activé et favorisé par les cénacles mondialistes, de l’ONU au Conseil de l’Europe, autant d’initiatives criminelles qui ne peuvent conduire à terme qu’à l’implosion et à la cessation du système des retraites. Le jour sans doute n’est pas loin où il ne sera plus possible de prendre sa retraite car elle ne sera plus du tout financée selon le système du « travaille ou crève ! »

    D’aucuns, cyniques, osent affirmer que les immigrés paieront la retraite des Français de souche en âge de cesser leur activité professionnelle. C’est se moquer du monde. Outre que les immigrés entrant actuellement en France sont pour 95 % des ayants-droit sociaux ne travaillant ni ne cotisant, on voit mal comment ils pourraient financer les pensions des seniors. De plus, l’actuel régime par répartition reposait sur la solidarité nationale, ce qui suppose une appartenance commune, un destin commun, le sentiment de faire partie de la même nation, de la même aventure collective, d’avoir une histoire, une terre et des racines communes. Or ce sentiment s’est fortement dilué et estompé, s’est même souvent effondré avec l’immigration de masse extra-européenne. On l’a encore vu ces derniers jours avec la victoire de l’Algérie lors de la Coupe d’Afrique de football. Beaucoup d’immigrés naturalisés français ou devenus français par le droit du sol se sentent beaucoup plus Algériens que Français et souvent ne sont pas mécontents de coloniser aujourd’hui la terre, les rues, les esprits et les institutions des anciens colonisateurs.

    MAIS LE MOYEN le plus efficace et le plus brutal pour résoudre le problème des retraites, c’est l’euthanasie de masse. Plutôt qu’augmenter les cotisations, plutôt que réduire les pensions, il reste une solution : la réduction du nombre de retraités. La jurisprudence de la cour de cassation le 28 juin dans l’affaire Vincent Lambert aura à n’en pas douter des conséquences cataclysmiques dans les mois et les années à venir. Va se réaliser ce que souhaitait depuis 40 ans Jacques Attali, l’homme qui murmure à l’oreille des présidents, de Mitterrand à Macron inclusivement. 

    Dans L’Avenir de la vie, livre paru en 1981 aux Editions Seghers, Attali se faisait déjà en effet un défenseur acharné et enthousiaste de l’euthanasie de masse des seniors : « Dès qu’il dépasse 60-65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est maintenant un marché mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part, en tant que socialiste, contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures. Je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible, mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en terme de coût pour la collectivité. […] Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. » A n’en pas douter, dans les années qui viennent, « la machine humaine » va « s’arrêter brutalement » selon les vœux du sorcier et prophète (de Satan) Attali (ou Attila ?) le barbare.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/24/la-solution-des-pouvoirs-publics-pour-financer-les-retraites-6166314.html

  • Gilets jaunes : le procureur de Nice avoue avoir menti pour ne pas embarrasser Macron

    Copinage entre frères de loge ? Désir de promotion en rendant un service ? Volonté de casser le mouvement populaire ?On ne saura jamais, le mensonge du procureur aux Français n’est pas suffisant pour déclencher une enquête ni même la moindre sanction…
    Trouvé sur Le Monde : « Il fallait éviter de mettre le président de la République en difficulté. Voilà, en substance, et selon les informations du Monde, comment le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre, s’est justifié auprès de sa hiérarchie d’avoir initialement dédouané les forces de l’ordre, trois jours après les graves blessures subies par Geneviève Legay, 73 ans, lors d’une charge policière pendant une manifestation interdite des « gilets jaunes », le 23 mars.
    Parmi les différentes explications données par le magistrat dans le cadre de son audition demandée par le directeur des services judiciaires en avril, M. Prêtre a affirmé qu’il n’avait pas voulu mettre le chef de l’Etat dans l’embarras « avec des divergences trop importantes » entre les versions.
    Et ce, de sa propre initiative.
    Le 25 mars, quelques heures avant la conférence de presse du parquet, Emmanuel Macron affirmait déjà que Geneviève Legay« n’[avait] pas été en contact avec les forces de l’ordre » dans le journal Nice-Matin. 
    Un entretien où il souhaitait aussi « peut-être une forme de sagesse » à la septuagénairepropos qui n’avaient pas manqué de créer une polémique.
    Contacté par Le Monde, le ministère de la justice a refusé de commenter les propos tenus par le procureur dans le cadre de cette audition, estimant que M. Prêtre « est totalement indépendant, et décide souverainement de la communication qu’il souhaite mener dans chaque affaire ». Tout en affirmant que, « sur la base du rapport », il n’y avait pas lieu d’engager de « poursuites disciplinaires »« L’action des procureurs de la République est particulièrement complexe, a précisé Youssef Badr, le porte-parole de la chancellerie, d’autant plus dans ce contexte. » »
    contre-info.com
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/gilets-jaunes-le-procureur-de-nice.html

  • La France première de cordée pour accueillir de nouveaux migrants

    bateau migrants.jpgLes migrants secourus en Méditerranée vont être répartis entre 14 pays européens. La France, par la voix d’Emmanuel Macron, s’annonce particulièrement volontaire pour cet accueil.
    C’est lundi 22 juillet qu’avait lieu à Paris une réunion de travail sur « les migrations en Méditerranée », laquelle s’est tenue en présence de représentants de plusieurs pays européens.
    Une réunion placée sous la férule des ministres français de l’Intérieur, Christophe Castaner, et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian.
    Dans ce cadre, le président de la République a reçu également à l’Élysée le Haut-Commissaire de l’ONU pour les réfugiés (HCR) Filippo Grandi et le directeur général de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) Manuel de Carvalho Ferreira Vitorino.
    Sous l’impulsion d’Emmanuel Macron, ce sont donc 14 États européens qui ont donné leur accord afin de mettre en place un « mécanisme de solidarité ». Celui-ci étant destiné à répartir les migrants secourus en Méditerranée entre les parties-prenantes. Toutefois, parmi les pays volontaires pour accueillir ces nouveaux flux d’immigrés extra-européens, huit le sont « de manière active ».
    Dans ce club de fervents partisans pour recevoir des migrants, se trouvent la France, l’Allemagne, le Portugal, le Luxembourg, la Finlande, la Lituanie, la Croatie et l’Irlande. Le nom des six autres n’a pas été révélé.
    Matteo Salvini condamne l’accord
    Mais déjà, des voix dissonantes se sont faites entendre. À commencer par le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini. Qui a qualifié la réunion de « flop ». Selon lui, le rendez-vous de Paris a « réaffirmé que l’Italie devrait continuer à être le camp de réfugiés de l’Europe ».
    Et Matteo Salvini de rappeler, dans un communiqué, son opposition à ces dispositions concernant l’accueil des migrants : « J’avais déjà dit non à mon homologue Castaner à Helsinki la semaine dernière. Je le répète aujourd’hui, après que les sommets français et allemand à Paris se sont révélés être un échec ».
    Sans oublier de décocher une flèche à l’endroit des dirigeants français : « L’Italie a relevé la tête, ne reçoit pas d’ordres et n’est pas une dame de compagnie : si Macron veut discuter des migrants, venez aussi à Rome ».
    Il faut aussi souligner que le mécanisme prévoit également l’ouverture des ports italiens et maltais aux bateaux de secours en échange d’une répartition rapide des migrants entre les pays volontaires. De quoi comprendre encore un peu plus les réticences du ministre de l’intérieur italien.
    Porte ouverte aux migrants : le chantage de Macron
    À terme, le but de ce nouvel accord est de permettre aux États volontaires de se répartir l’accueil des migrants secourus sans avoir à engager de négociations après chaque sauvetage.
    Le mécanisme prévoit ainsi d’assurer la répartition « aussi vite que possible » des demandeurs d’asile effectuant leur demande dans l’un des pays volontaires. Emmanuel Macron a précisé : « Nous avons consolidé le mécanisme de répartition à court terme, mais nous souhaitons aller plus loin (…) en responsabilisant l’ensemble des pays-membres, les structures communautaires qui existent ». Mais aussi, en améliorant « l’efficacité de nos politiques de retour (des migrants) volontaire ou contraint vers les pays d’origine ». L’Élysée entend, de ce fait, « accélérer le retour » pour ceux qui « n’ont pas vocation à l’asile ».
    Toutefois, le caractère « volontaire » de l’accueil paraît très relatif lorsque le président français laisse sous-entendre la menace de suspendre les fonds structurels de l’Union européenne aux États réfractaires : « L’Europe n’est pas à la carte lorsqu’il s’agit de la solidarité ».
    Si ce « mécanisme de solidarité » n’est pour l’instant qu’un accord de principe, les pressions effectuées par Paris et Berlin sur les pays hostiles à ce nouvel accueil de migrants, tels la Pologne et la Slovaquie, ne devraient pas simplifier les discussions. Une nouvelle réunion aura lieu en septembre dans une Europe ou la fracture autour de la question migratoire ne cesse de s’accroître.

  • A qui profite l’affaire Rugy ?

    A qui profite l’affaire Rugy ?

    Lu dans Les 4 Vérités :

    Y aurait-il une coïncidence entre cette démission forcée et la venue de la jeune Greta Thunberg pour parler d’écologie à l’Assemblée ?

    https://www.lesalonbeige.fr/a-qui-profite-laffaire-rugy/

  • Greta et en même temps le CETA – Journal du mercredi 24 juin 2019

     

    Greta et en même temps le CETA

    Les députés ont voté en faveur de l’accord commercial CETA… un texte très controversé soumis au vote alors même que la majorité exhibait la mascotte mineure de l’écologie Greta Thunberg devant la représentation nationale.

    La jeune garde macroniste au pouvoir

    Deux ans après l’arrivée aux manettes d’Emmanuel Macron, la jeune garde qui a participé à sa victoire est bien intégrée aux arcanes du pouvoir. Une équipe en rang serré et qui pèse considérablement dans le dispositif En Marche.

    Carburants : coup de chaud à la pompe

    Nouvelle flambée des prix à la pompe. En cette période de départs en vacances, les prix des carburants dans les stations françaises ont enregistré une nouvelle hausse. Une mauvaise nouvelle pour le portefeuille des vacanciers.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/greta-et-en-meme-temps-le-ceta-journal-du-mercredi-24-juin-2019

  • La France fracturée

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    La France vient de connaître plus de six mois de fortes tensions avec le mouvement des gilets jaunes, mouvement qui traduit une profonde cassure économique entre les Français qui n’arrivent pas à boucler les fins de mois et ceux qui bénéficient des bienfaits de la mondialisation heureuse, ou supposée telle.

    Cette cassure est d’ordre économique et elle s’exprime au nom d’une certaine idée de la France : « Nous sommes français, nous avons droit à vivre de notre travail, à pouvoir bénéficier des mêmes services publics sans parcourir des dizaines de kilomètres. »

    Ces demandes sont plus que légitimes et relèvent de la politique économique du gouvernement qui a passé à la trappe la politique industrielle, l’aménagement du territoire et toute politique prévisionnelle, en d’autres termes « feu l’ardente obligation » du début de la Ve République. C’est le règne du tout marché qui ne peut conduire qu’aux inégalités croissantes !

    Il n’y a là aucune fatalité et cette fracture peut être corrigée en changeant radicalement de politique économique.

    Mais la France connaît, désormais, des fractures beaucoup plus graves et porteuses de conflits annoncés.

    La victoire de l’Algérie contre le Sénégal et les manifestations sur les Champs-Élysées ainsi que dans de nombreuses villes ne sont pas de simples exubérances de supporters d’une équipe de football qui donnent libre cours à leur joie et enthousiasme.

    Ces manifestants s’expriment au nom de leur identité nationale, ils s’affirment comme des Algériens en France et veulent être – pour un grand nombre – reconnus comme tels.

    Ce phénomène n’est pas nouveau, mais il devient de plus en plus prégnant et s’impose parfois avec violence.

    C’est là une violence, non de simples casseurs, mais une violence politique qui incarne tout simplement un communautarisme affirmé dont les conséquences sont malheureusement prévisibles et très risquées pour l’unité nationale de la France et la paix civile !

    Il est à peine croyable que les médias français, avec une totale naïveté, célèbrent ces événements au lieu de rappeler que brandir à l’Arc de Triomphe – haut lieu de la nation française – des drapeaux algériens est un acte politique grave qui interpelle et révolte la très grande majorité des Français !

    Il est vrai que ces individus ont bien compris le message d’Emmanuel Macron qui, à plusieurs reprises, a qualifié la colonisation en Algérie de « crime contre l’Humanité », bel encouragement pour ceux qui déversent leur haine sur les réseaux sociaux en diffusant à satiété leur fameux « Nique la France ». Et, « cerise sur la gâteau« », comme dirait Gavroche, un indigène parisien, les immigrés en situation irrégulière envahissent le Panthéon et exigent leur régularisation : du jamais-vu !

    La France n’est plus ni un État qui contrôle ses frontières, ni un pays qui fait respecter son identité nationale aux étrangers qui vivent sur son sol, elle est devenue une terra incognita sur laquelle des hordes viennent planter leur drapeau pour se l’approprier !

    Propos excessifs ? Ne le croyez pas. De nombreux observateurs étrangers ne comprennent plus que la France puisse laisser le haut du pavé à des individus qui vont jusqu’à mettre bas la statue de De Gaulle.

    En laissant faire ce genre de manifestations, le gouvernement joue avec le feu ! Il devrait garder à l’esprit la prophétie de Louis de Bonald : « Toutes les fois que l’on attend le retour de l’ordre, on ne peut se tromper que sur la date. »

    C’est exact, mais il y aura de la casse, par notre faute et notre laxisme.

    Jacques Myard

    https://www.bvoltaire.fr/la-france-fracturee/

  • Immigration illégale en Méditerranée : SOS Méditerranée persiste dans son erreur

    L’ONG reprend la mer et son bateau est encore plus grand que ceux précédemment affrétés. Le fait que leur mission s’annonce très compliquée grâce à la politique déterminée de Salvini et au refus de plus en plus marqué de l’immigration par les Européens n’y change rien. Ce sont encore des centaines de milliers d’euros qui vont s’ajouter aux millions déjà engloutis par SOS Méditerranée dans leurs campagnes au large de la Libye. Comment expliquer cet acharnement ?

    L’humanitaire détourné au profit de l’idéologie

    Nombre de volontaires et de donateurs agissent et donnent certainement en toute bonne foi, pensant sauver des vies. Néanmoins, il y a tout de même en arrière-plan un désir, conscient ou pas, d’accueillir voire d’importer massivement des migrants en Europe quoi qu’il en coûte. Les morts en mer, causées par le trafic, et les dangers rencontrés sur la route ou dans les camps de migrants et de réfugiés sont évitables. Et c’est là où s’arrête l’humanisme des ONG : elles refusent de faire dans les pays d’origine un travail pour décourager l’immigration illégale. Cela leur demanderait pourtant pas plus d’efforts et de moyens que leurs « opérations » en mer.

    Ils créent des problèmes mais n’en résolvent aucun

    Tout le monde est d’accord pour dire que les migrants rêvent d’un Eldorado européen qui n’existe pas. Force est de constater que l’émigration massive d’Africains n’a résolu aucun problème de l’Afrique, tout en créant de nouveaux en Europe. Ceux qui partent sont de toute manière remplacés très rapidement par la natalité galopante de leur pays d’origine. Qui peut penser que nous sommes ici témoins d’une solution politique viable ? Et si certains ont pu réussir la traversée et sont accueillis par les pays européens, qu’est-ce qui moralement empêcherait tous les autres volontaires – très nombreux – de venir également ? Le chantage à la prétendue « urgence » du sauvetage prépare en réalité le terrain à une autoroute migratoire.

    Il faut agir sur les lieux de départ de l’immigration

    Un humanitaire conséquent agirait sur les lieux de départ. Des campagnes dans les principaux pays d’émigration qui informeraient sur la fermeture des routes migratoires, sur les dangers du voyage et sur la nature criminelle des réseaux de passeurs devraient être la priorité des ONG si vraiment elles cherchaient à sauver des vies. Au lieu de cela, elles préfèrent engloutir des millions d’euros en assurant le service après-vente des passeurs. La diversité à tout prix et le plus rapidement possible, voici ce qui semble être l’horizon indépassable des pseudo-humanitaires. Peu importe le prix que les Africains devront payer pour que leur rêve de société arc-en-ciel devienne réalité en en Europe.

    Jean-David Cattin

    https://www.les-identitaires.com/2019/07/22/immigration-illegale-en-mediterranee-sos-mediterranee-persiste-dans-son-erreur/

  • Greta Thunberg : Notre-Dame-de-la-Désolation

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    Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici

    Greta Thunberg, jeune suédoise de 16 ans, est une militante pour le climat. Elle a notamment commencé la Skolstrejk för klimatet (« grève de l’école pour le climat ») et donné un discours à la conférence de Katowice de 2018 (COP24) sur les changements climatiques, concluant : « Notre biosphère est sacrifiée pour que les riches des pays comme le mien puissent vivre dans le luxe. Ce sont les souffrances du plus grand nombre qui paient pour le luxe du plus petit nombre. Et si les solutions au sein du système sont impossibles à trouver, nous devrions peut-être changer le système lui-même. »

    Voilà qui est clair sur l’idéologie de l’enfant suédois.

    Critiquée de tous côtés pour l’utilisation affectée de ses prétendues maladies (le syndrome d’Asperger, un trouble obsessionnel compulsif et un mutisme sélectif lui ont été diagnostiqués), son financement douteux, sa manipulation présumée, Greta Thunberg est reçue par le Pape François, proposée pour le Prix Nobel de la Paix, intervient au sommet de Davos, est invitée par Arnold Schwarzenegger, reçoit le prix « prestigieux » d’Ambassadeur de la Conscience par Amnesty International, etc. Pas mal à 16 ans…

    La fulgurance de son irruption encensée et la mise en scène plus qu’ostentatoire de sa démarche par les médias laissent songeur… comme les attaques dont elle est l’objet.

    Vegan, refusant d’utiliser l’avion, dressant un tableau apocalyptique de notre futur déjà présent, Greta Thunberg est invitée à l’Assemblée nationale par 162 députés ce mardi 22 juillet, reçue par son vice-président, et participe à un débat et aux questions au gouvernement.

    Mieux que Jeanne d’Arc, elle n’entend pas la voix de Dieu qui l’appelle, elle est Dieu lui-même. On croit marcher sur la tête. Un mélange d’écologie politique radicale, d’ultragauchisme, de droits-de-l’hommisme extrême, de prophétisme de gourou, d’apocalypse imminente. Icône d’une jeunesse inculte et caution généreuse de politiques manipulateurs à mauvaise conscience.

    L’écologie politique paroxystique sombre dans une pantalonnade dérisoire et inquiétante.

    Et pourtant, comme d’autres depuis peu, Greta Thunberg pose les bonnes questions, mais apporte des réponses ineptes dont on est en droit de se demander à qui elles profitent. La question de la décroissance est bien réelle et même incontournable et elle doit certainement être reconsidérée de manière radicale. Comme celle du système capitalisme financier mondialisé, obstacle fondamental à tout changement radical écologique. Nicolas Hulot les a déjà évoquées. Le grand journaliste objectif Jean-Michel Aphatie aussi, avec gêne. Mais aucun d’eux, y compris l’icône suédoise, ne propose de solutions satisfaisantes, au contraire, se contentant de psalmodier des incantations en appelant un progrès salvateur putatif autant qu’utopique et mortifère en réalité, ou de rêver d’une révolution systémique cosmopolite, genre hippies des années 68 puissance 10, comme Notre-Dame-de-la-Désolation.

    Si notre Planète est en péril, c’est du fait de sa surpopulation humaine, au-delà des cycles naturels, par ailleurs, de réchauffement et de refroidissement alternatifs de la Terre. Or, cette surpopulation, mère de tous nos maux, y compris l’immigration, n’est jamais évoquée ni même envisagée comme la cause des nombreux dérèglements et pollutions catastrophiques, en effet, eux aussi. On lui préfère les bonnes vieilles solutions idéologiques de la gauche –comme de la droite moribonde d’ailleurs– nappées dans l’utopie d’une « race humaine » sacralisée au développement infini, qui détruit faune et flore allègrement avec tous les équilibres naturels, sans que cela fasse sourciller le moins du monde nos ayatollahs de l’écologie politique, Greta en tête aujourd’hui. L’Homme se développe non avec la Nature mais contre la Nature, éclairage que personne ne veut utiliser pour mener une véritable révolution naturaliste.

    Nous voilà donc revenus aux « provos », « plutôt rouges que morts », et autres pacifistes béats des années 60 et 70 avec l’enfant-Dieu Greta Thunberg. Seuls les manipulateurs ont changé en modernisant un peu les thèmes mais avec les mêmes ressorts. On en finit par regretter l’ex-URSS et la Chine de Mao. Au moins, eux, on pouvait les identifier clairement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Réforme des retraites : un nouveau système monopolistique

    Réforme des retraites : un nouveau système monopolistique

    Extrait d’une critique de l’IREF sur le rapport de Jean-Paul Delevoye (celui qui met 700 000 signatures à la poubelle), qui n’applique pas le principe de subsidiarité en venant encore renforcer le rôle de l’Etat omnipotent :

    Le vice le plus fondamental est peut-être surtout dans la centralisation du nouveau système entre les mains de l’Etat. Une caisse unique des retraites universelles sera créée qui regroupera toutes les caisses et qui s’apprête sans doute ainsi à voler les réserves de 150 milliards d’euros des caisses complémentaires et indépendantes. Et l’Etat pilotera le tout. Certes, il est prévu d’associer les assurés et les professionnels au sein du conseil d’administration de cette structure et de lui adjoindre un « conseil citoyen », mais le budget sera préparé par l’Etat et inclus dans les lois de finances ! Et rien n’assure que les retraités seront représentés dans les instances mises en place.

    Cette réforme est une pierre de plus dans la prise en charge « universelle » de la société par l’Etat avec en corollaire l’infantilisation croissante des individus. Il n’y a d’ailleurs aucun exemple étranger (pays riches et démocratiques) de système “universel” comme celui que veut mettre en place M. Macron.

    Il reste une question sans réponse : comment et pourquoi M. Macron et son gouvernement peuvent-ils encore être critiqués pour leur libéralisme alors qu’une grande majorité des réformes engagées, et particulièrement celle des retraites, renforce le collectivisme dont est empreinte la politique de la France depuis des décennies ?

    https://www.lesalonbeige.fr/reforme-des-retraites-un-nouveau-systeme-monopolistique/

  • Immigration : Salvini s’oppose au couple franco-allemand – Journal du mardi 23 juillet 2019

     

    Immigration : Salvini s’oppose au couple franco-allemand

    Un mois après l’affaire Carola Rackete, les divisions sur le sujet migratoire sont toujours vives. Alors que plusieurs pays européens se sont entendus sur la création d’un mécanisme de solidarité, le ministre de l’intérieur italien s’oppose toujours aux décisions de Paris et Berlin.

    Boris Johnson prend ses quartiers au 10 Downing Street.

    Comme prévu, le partisan d’un Brexit dur succède donc à Theresa May à la tête des conservateurs et au poste de premier ministre britannique… Le début d’un parcours qui promet d’être semé d’embûches.

    Souriez, vous venez de travailler 203 jours pour l’Etat !

    Aujourd’hui 23 juillet c’est le jour de libération fiscale, le jour où vous cessez symboliquement de travailler pour l’Etat et que vous récoltez enfin le fruit de votre labeur. Retour sur une gabegie fiscale française.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/immigration-salvini-soppose-au-couple-franco-allemand-journal-du-mardi-23-juillet-2019