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anti-national - Page 373

  • Drame social sans importance ?

    Les élections sont passées et les plans dits sociaux reprennent, à peine gênés par les déclarations martiales d’un gouvernement qui semble ne plus être qu’un Etat-ambulance quand il faudrait un Etat politique, actif, voire directif, capable de s’imposer aux féodalités financières et économiques : en fait, nous sommes bien loin de la formule célèbre du général de Gaulle qui considérait que la politique de la France ne se faisait pas à la Corbeille, et qui fixait le cap pour la France sans avoir besoin d’étatiser l’économie. En cela, il pratiquait une politique que n’aurait pas renié un La Tour du Pin, ce royaliste social soucieux d’une forme d’« économie d’entente » qui ne laisse pas les puissances patronales s’émanciper de leurs devoirs sociaux. Mais aujourd’hui l’Etat est faible quand les féodalités sont fortes et arrogantes, fixant leur calendrier selon le temps des actionnaires et non selon les intérêts des travailleurs, simples rouages productifs d’une Machine-Marché qui les dépasse et, plus certainement encore, les méprise.

    C’est aujourd’hui Belfort qui est témoin de cette suffisance d’une multinationale, en l’occurrence General Electric, celle-là même qui a mis la main sur la branche énergie d’Alstom en promettant des créations d’emplois auxquelles le gouvernement socialiste de l’époque fit semblant de croire mais qui ne vinrent jamais en réalité : « les promesses n’engagent que ceux qui y croient », disait Charles Pasqua, et ce qu’il formulait pour les élections s’avère tout aussi vrai pour les affaires économiques. Toujours est-il que désormais mille emplois directs sont condamnés et que c’est toute une ville qui est concernée et blessée, encore une fois : ce mouvement entamé à la fin des années 1970 semble sans fin, et rien ne semble pouvoir tenir tête à ce rouleau compresseur de la mondialisation qui déshabille Paul en France pour rhabiller (souvent moins bien encore) Pierre dans des pays aux faibles coûts salariaux, et qui, en définitive, profite toujours plus aux détenteurs du capital et des actions qu’aux ouvriers.

    Dans cette nouvelle affaire, il est néanmoins un élément qui frappe l’observateur, c’est la discrétion des médias qui n’y consacrent que quelques lignes et quelques minutes vite oubliées, et les découpes de presse sur ce dossier tiennent peu de place sur le bureau, comme si, déjà entendue, la cause ne valait pas plus qu’un grand article en pages intérieures, même pas annoncé en couverture. Cette indifférence à ce nouveau drame social est fort révélatrice de cette accoutumance aux mauvais us et coutumes de notre modèle économique dominant et mondialisé, et elle n’a rien de rassurant ! Et si, par malheur et dans un moment de dépit fort compréhensible, des ouvriers brisent quelques vitres et séquestrent quelques dirigeants indélicats, ils seront dénoncés comme d’odieux factieux qui méritent bien ce qui leur arrive ! Le cynisme de cette République si peu sociale (à rebours des souhaits d’un de Gaulle, si marqué par le catholicisme social qu’il rêva d’en faire une politique sous le nom de « participation ») me navre et m’encolère, mais elle ne me surprend plus. Mais doit-on se contenter de ces sentiments-là, de ces poings serrés de rage et de ces jurons lancés à la face de multinationales qui s’en moquent bien ?

    La réponse à ces drames sociaux mille fois renouvelés est politique, éminemment politique ! Il faut en finir avec ce fatalisme d’Etat et renouer avec une volonté politique qui sache poser et imposer, par la décision rigoureuse mais réfléchie, par une stratégie de politique économique qui place les hommes et leur travail avant les seuls profits des actionnaires ou des dirigeants d’entreprise. Il ne s’agit pas de faire du socialisme mais d’être « social ». Et l’Etat a, depuis les Capétiens, un devoir qui est de protéger ses sujets qui ne sont pas des objets jetables : s’il doit le faire sur le plan de la sécurité civile et nationale, il doit aussi l’assumer sur le plan social. C’est un devoir régalien, et à celui-ci, il faut un pouvoir régalien véritable : en France, malgré Clemenceau ou de Gaulle, régalien signifie royal, rien de plus mais rien de moins…

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com

  • 14 juillet: Après les violences à Paris, Marine Le Pen dénonce l’«incompétence chronique» de Castaner

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    Suite aux violences et interpellations ayant eu lieu en marge du 14 juillet, Marine Le Pen s’est interrogée sur le rôle de Christophe Castaner quant à la gestion des événements.

    Après les incidents survenus suite au défilé militaire du 14 juillet, la présidente du RN a fustigé le ministre de l’Intérieur qui, selon elle, est «en dessous de tout» et est «incapable d’assumer la moindre responsabilité». 

    «Comment est-ce possible que des #BlackBlocs et des voyous d’extrême gauche arrivent à tout saccager le jour de notre fête nationale? Pourquoi cette incompétence chronique d’un Ministre de l’Intérieur en dessous de tout et incapable d’assumer la moindre responsabilité?», a écrit Marine Le Pen sur Twitter.

     Voir le tweet

    Christophe Castaner a également été pris à partie par Philippe Goujon, maire (LR) du XVe arrondissement.

    «Le ministre de l'Intérieur une fois de plus échoue à maintenir la sécurité à Paris. Je mets en cause le dispositif policier inadapté aujourd'hui à Paris pour gérer une journée qu'on savait très difficile», a-t-il expliqué à l'AFP.

    Réaction de Castaner

    Le ministre français de l'Intérieur a dénoncé les incidents survenus le 14 juillet à Paris. Selon lui, il faut respecter le «jour où la Nation est réunie».

    «Ceux qui ont voulu empêcher ce défilé devraient avoir un peu honte. Aujourd'hui, c'est un jour où la Nation est réunie, et je pense que la Nation, il faut la respecter», a-t-il appuyé.

    Un 14 juillet agité

    Ce 14 juillet 2019 a été gâché par des affrontements entre forces de l'ordre et manifestants. Des tensions ont éclaté après le défilé militaire sur les Champs-Élysées. De nombreuses barrières métalliques ont été mises à terre au milieu de la chaussée, des poubelles ont été incendiées, conduisant les forces de l'ordre à riposter en tirant des grenades lacrymogènes.

    Au total, dans la matinée et lors des incidents de l'après-midi, 175 personnes ont été interpellées. Parmi elles, certaines figures des Gilets jaunes ont passé plusieurs heures en garde à vue: Jérôme Rodrigues, Maxime Nicolle et Éric Drouet.

  • La chienlit du 14 juillet révèle le discrédit des autorités

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    Alors qu’il descendait les Champs-Élysées, debout à l’arrière d’un véhicule militaire, Emmanuel Macron a été copieusement sifflé. Quelques dizaines de protestataires, apparemment liés aux gilets jaunes, l’ont chahuté en criant « Macron démission ! » En marge du défilé, 150 personnes auraient été interpellées, dont quelques figures médiatiques du mouvement.

    Macron a donc renoué avec la tradition de son prédécesseur, François Hollande, qui était régulièrement hué. D’aucuns protesteront que c’est une offense à l’armée, en ce jour de 14 juillet. Mais les troupes qui défilaient ont été applaudies et honorées. Ce n’est pas le président de la République ni le chef des armées qui a été conspué, c’est l’homme Emmanuel Macron, dont une partie des Français ne reconnaissent plus l’autorité.

    Ces incidents sont, une fois de plus, la preuve que l’autorité de la fonction ne se suffit pas, qu’elle n’est pas respectée quand elle ne se traduit pas par des actes qui la rendent respectable. Il ne serait venu à l’idée de personne de siffler, un 14 juillet, Mitterrand, Chirac ni même Sarkozy, désapprouvât-on leur politique. Il a fallu que Hollande et Macron descendent à un degré singulier d’impopularité pour subir ce genre d’affront. Macron reste, dans l’esprit de beaucoup de Français, le parvenu qui a conquis le pouvoir par effraction, avec la complicité de la finance.

    Toutes les catégories ont de bonnes raisons de lui en vouloir. Les classes populaires et moyennes, qu’il méprise et accable de taxes ou d’impôts, les retraités qu’il ponctionne, les automobilistes qu’il prend pour des vaches à lait, les familles, qui perdent progressivement leur pouvoir d’achat, les chômeurs, dont la plupart seraient des fainéants… On pourrait allonger la liste de tous ceux dont il provoque le mécontentement. Si sa cote de popularité est remontée à 32 %, confortée par une droite plus soucieuse de son portefeuille que de ses valeurs, elle reste bien fragile.

    À peine le défilé achevé, alors que Macron régalait ses hôtes européens à l’Élysée (on ne sait pas si François de Rugy, qui trônait sur la tribune derrière le Président, en était), quelques échauffourées ont eu lieu sur l’avenue la plus célèbre de Paris, manifestement conduites par des Black Blocs, devant les touristes qui prenaient des photographies. On peut s’indigner de voir ainsi la fête nationale devenir l’occasion de chienlit. Christophe Castaner a beau dire que « ceux qui ont voulu empêcher ce défilé devraient avoir honte », c’est lui qui devrait avoir honte d’avoir contribué à saper la légitimité de l’autorité.

    Les Champs-Élysées connaîtront peut-être, ce soir, de nouveaux désordres, si l’Algérie gagne son match contre le Nigeria. Parlera-t-on de « liesse populaire », quand on brandit un drapeau étranger et qu’on commet des dégradations ? Non seulement nos autorités ne sont pas capables de susciter le respect unanime des Français, mais elles sont incapables de faire respecter la France.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/la-chienlit-du-14-juillet-revele-le-discredit-des-autorites/

  • La France est colonisée

    La France est colonisée

    Six mois de prison ferme ont été requis jeudi dernier contre trois militants de Génération Identitaire car ils voulaient empêcher une immigration illégale.

    Pendant ce temps :

    • Jeudi soir, le drapeau français a été remplacé par le drapeau algérien à Tours
    • des magasins ont été pillés à Paris par des supporteurs algériens
    • une femme est morte à Montpellier, renversée par un Algérien
    • des immigrés clandestins ont occupé le Panthéon
    • Hier soir, 250 supporters algériens ont été interpellés (en France)
    • Hier soir, la place de l’Etoile à Paris a été envahie par des Algériens (mais où sont les LBD ?) :

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  • La PMA sans Père, c'est quoi ?

    Tous les enfants naissent de l’union d’un homme et d’une femme : son père et sa mère. Elargir la PMA aux femmes célibataires et aux couples de femmes n’est pas anodin.
    Étendre la PMA cela signifie fabriquer volontairement des enfants privés de leur père toute leur vie ; priver ces enfants de toute leur famille paternelle ; faire financer par l'Etat un acte médical pour des femmes a priori fécondes ; ouvrir la porte au commerce international de gamètes (puisque nous connaissons déjà une pénurie) ; Etendre la PMA aux femmes seules ou aux couples de femmes c’est rendre la France complice de pratiques indignes de la France, pays des droits de l’Homme.
    Et alors ! Nous, avocats, parents, députés, ministres, professionnels de l’enfance, citoyens : devrions-nous laisser faire ça en silence ?

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  • La France, « une des plus grandes menaces mondiales contre la liberté d’expression » pour un professeur de droit américain

    Jonathan Turley, professeur de droit à l’Université George Washington, a récemment lancé un vibrant avertissement aux amoureux de la liberté d’expression. Pour lui, la France dirigée par Emmanuel Macron représente une menace mondiale.
    Voici une partie de sa tribune au journal The Hill, traduit par le site Fdesouche.

    Alors que nos politiciens aux États-Unis peuvent applaudir Macron comme des idiots, la plupart des Américains sont de fervents partisans de la liberté d’expression. C’est dans notre sang. Cependant, sans se laisser décourager, Macron et d’autres en Europe s’apprêtent à imposer unilatéralement le contrôle de la parole sur Internet avec de nouvelles législations en France et en Allemagne. Si vous pensez qu’il s’agit d’une question européenne, détrompez-vous.

    Macron et son gouvernement tentent d’éliminer unilatéralement les pensées haineuses sur Internet. Le Parlement français a adopté une nouvelle loi qui donnerait aux entreprises comme Facebook et Google seulement 24 heures pour supprimer les propos haineux de leurs sites, sous peine d’une amende de 1,4 million de dollars par violation.

    Les Français et les Allemands n’essayent plus de convaincre les États-Unis de renoncer à leur liberté d’expression. Ils se sont rendus compte qu’ils n’ont pas à le faire parce qu’en imposant de lourdes amendes, les grandes entreprises seront forcées de censurer la parole selon des normes mal définies.

    La décision des Européens frappe dans l’angle mort de la Constitution des États-Unis. Le Premier Amendement fait un excellent travail pour empêcher les actions du gouvernement contre la liberté d’expression, et la plupart des lois qui restreignent la liberté d’expression en Europe seraient inconstitutionnelles aux États-Unis. Cependant, bien que protégés contre Big Brother, nous sommes complètement vulnérables devant Little Brother, composé de sociétés privées qui ont un large pouvoir sur la réduction et le contrôle de la parole à travers le monde.

    (…) Ces lois criminalisent la liberté d’expression selon des normes vagues faisant référence à l’« incitation à la haine » d’autrui fondée sur la race ou la religion.

    (…) Le résultat de ces lois mal définies est prévisible. Un récent sondage a révélé que seulement 18 % des Allemands estiment pouvoir s’exprimer librement en public. Plus de 31 % ne se sentent même pas libres de s’exprimer en privé parmi leurs amis. Seulement 17 % des Allemands se sentent libres de s’exprimer sur Internet, et 35 % déclarent que la liberté d’expression est limitée à de petits cercles privés.

    Les Nations Unies renouvellent également leurs appels à faire de la diffusion de « propos haineux »un type de crime international. Les pays musulmans veulent que le blasphème soit inclus, et Israël veut que l’antisémitisme soit criminalisé. Même dans notre propre pays, des politiciens comme Howard Dean et divers universitaires ont déclaré que les propos haineux ne sont pas protégés par le premier amendement. La députée Frederica Wilson a demandé que des gens soient « poursuivis » pour s’être moqués de membres du Congrès. Un récent sondage a révélé que la moitié des étudiants aux États-Unis ne croient pas que la propagande haineuse devrait être protégée.

    La triste ironie est de voir la France prend la tête des pays visant à restreindre la liberté d’expression. Autrefois bastion de la liberté, la France est aujourd’hui devenue l’une des plus grandes menaces mondiales contre la liberté d’expression.

    Texte repris du site Polémia

    https://fr.novopress.info/

  • Immigration : on invoque les droits de l’Homme, mais on oublie ceux du Citoyen

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    En ce 14 juillet, jour de fête nationale, un mot vient au lèvres : « fierté ». Fierté nationale, bien sûr, qu’on doit ressentir aujourd’hui, par exemple en regardant l’habituel défilé sur les Champs-Élysées.

    En revanche, les Champs-Élysées (la plus belle avenue du monde, dit-on) éveillent-ils encore un sentiment de fierté sans partage ? Depuis l’année dernière, ils sont, au contraire, devenus à plusieurs reprises le lieu d’expression de nos échecs, le rendez-vous de nos contradictions, notamment celles qui opposent les priorités des discours officiels à la réalité de notre pays et à ses exigences, le terrain de protestation préféré, même lorsque celle-ci prend l’apparence de la fête. Le saccage de l’Arc de Triomphe, le vandalisme subi par les magasins de luxe ou les banques ont eu un retentissement dans le monde entier. Surtout, ils faisaient apparaître la rupture entre deux et peut-être trois France : celle qui vit bien la mondialisation, celle qui en souffre et qui, en gilets jaunes, manifestait sur le territoire symbolique de la première, et puis celle qui est à l’affût de tout désordre pour casser et pour piller. Mesure-t-on à quel point les gentils rassemblements contre le réchauffement climatique et la priorité accordée dans les discours présidentiels à cette question, heureusement marginale en France, cachent les véritables priorités ?

    Parmi celles-ci, ce sont encore les Champs-Élysées qui en ont souligné récemment la plus urgente : l’immigration. Non seulement celle-ci est excessive et depuis fort longtemps, mais encore elle n’est pas contrôlée et limitée à d’éventuels besoins économiques : elle prospère par le regroupement familial et le maintien sur le territoire de clandestins, elle est facilitée par la générosité du droit d’asile et l’accompagnement social excessif, comme l’aide médicale d’État. Enfin, l’assimilation des étrangers ne fonctionne plus. On fabrique des Français de papiers qui ont souvent une autre nationalité et n’éprouvent manifestement pas le sentiment d’une appartenance à la nation française. Les débordements qui se sont produits après la victoire de l’équipe de football algérienne sont un signe inquiétant de l’échec de notre politique d’immigration. Ils ne doivent pas être minimisés car ils rappellent le match interrompu entre les deux équipes française et algérienne en 2002 : « Marseillaise » sifflée, pelouse envahie par les supporters algériens, dont beaucoup possédaient sans doute la « double nationalité ». Un journal commentait, à l’époque, en écrivant que la France n’avait pas réglé le problème de ses banlieues, comme si la question était sociale et la France responsable de la mauvaise réponse. Non, c’est la politique d’immigration suicidaire qui est la cause de cette difficulté. Tout vient de la confusion entre la résidence et la citoyenneté. La France est devenue un terrain vague sur lequel il suffit de se trouver pour se croire les mêmes droits que les nationaux. On invoque les droits de l’Homme, mais en oubliant que notre déclaration évoque les droits de l’Homme et du Citoyen, et que ceux du second l’emportent évidemment sur ceux du premier.

    Être citoyen, c’est être membre de la Cité, être solidaire de son destin. L’acquisition automatique de cette dignité, la possibilité d’avoir plusieurs « nationalités », la réduction des avantages du citoyen par rapport à l’étranger, la capacité pour un « double-national » d’être élu, voire ministre, sont absurdes. La politique poursuivie et amplifiée par Macron est absurde. Dans ce domaine plus que dans d’autres, le principe de précaution devrait jouer : peut-on accepter que pèsent dans des élections des choix qui ne reposent pas sur la volonté de servir l’intérêt du pays ? Lorsqu’on va brandir, sur les Champs-Élysées, un autre drapeau que le nôtre, qu’on se livre à une démonstration de force et à des débordements, il y a derrière ces comportements la même intention provocatrice. Mais c’est un autre lieu de notre fierté nationale, le Panthéon, que des clandestins ont osé occuper pour revendiquer des droits, alors même que ces droits devraient être suspendus à un seul : le droit d’être présents sur le territoire français… qu’ils n’ont pas.

    En ce jour de fête nationale, il faut plus que jamais affirmer que l’identité nationale est indissociable de la citoyenneté et que notre pays est en train de voir disparaître l’une et l’autre !

    Christian Vanneste

    https://www.bvoltaire.fr/immigration-on-invoque-les-droits-de-lhomme-mais-on-oublie-ceux-du-citoyen/

  • Emploi : l’été des licenciements de masse

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    La rentrée s’annonce morose. Semaine après semaine, des entreprises d’envergure annonce des plans de licenciement et des restructurations de grande ampleur. 
    Des milliers de Français vont perdre leur emploi lors des prochains mois.

    Conforama : de la Ligue 1 à la fermeture de 42 magasins

    42 magasins fermés et 1900 emplois supprimés. 
    Conforama, l’un des géants du meuble, a présenté son plan choc qui sera mis en application au début de l’année 2020. 
    La nouvelle a provoqué l’émoi et des syndicats se sont introduits dans la réunion tenue par la direction.
    Les dirigeants justifient leur décision par la perte de 500 millions d’euros depuis 2013.
    Cela n’avait pas empêché la marque d’investir 25 millions d’euros pour devenir le sponsor principal du championnat de France de football de Ligue 1 en 2017. 
    Une somme qui n’aurait pas comblé le déficit mais aurait permis de sauver plusieurs magasins et des centaines d’emplois.

    Bic, Canal+, enseignement professionnel, Neovia : plus de 1 300 licenciements

    En plus de Conforama, d’autres sociétés renommées licencient à tour de bras. 
    C’est le cas de Bic, fabricant de stylos et de briquets, qui a annoncé début juin la suppression de 450 postes à travers le monde dont 100 à Clichy, son principal lieu d’implantation en France. 
    Quelques reclassements seront proposés, mais une soixantaine d’employés seront bel et bien au chômage.

    Canal+ n’a plus la tête à la fête, la chaîne cryptée prévoyant le départ de 544 de ses salariés. 
    La perte de droits de retransmission d’événements sportifs majeurs comme la Ligue 1 ou la NBA ont contribué au désamour des téléspectateurs qui se sont tournés vers d’autres offres.
    La Bretagne n’échappe pas à l’hécatombe avec 127 postes supprimés par Neovia, entreprise de nutrition animale, désormais aux mains du groupe américain ADM.
    Enfin, le syndicat de l’enseignement professionnel public lutte toujours avec vigueur contre la réforme Blanquer qui devrait supprimer près de 600 places dans leur secteur à la rentrée.
    Ces licenciements ou restructurations colossaux interviennent quelques semaines seulement après les dernières manifestations d’envergure des gilets jaunes et pourraient bien relancer les hostilités.
    crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
  • Le suicide démographique de la France : des chiffres accablants et épouvantables

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    Nouvelles du jour : « Le gouvernement désarmé face à l’afflux de migrants. La pression migratoire baisse partout en Europe, sauf en France. Le nombre de clandestins pèse de plus en plus lourd sur toute l’administration » !!
    La France récupère tous les déboutés de l’asile que nous envoient l’Allemagne et la Belgique. Nous sommes le déversoir des refoulés.
    Comme c’est curieux. Le gouvernement découvre l’eau chaude. Pourtant, il n’a cessé d’entretenir un colossal mensonge d’État pour masquer le désastre qui se prépare. La dernière étude de l’Ined sur la natalité le prouve encore une fois.
    Insee et Ined, même combat : nier la réalité du Grand Remplacement en usant sciemment de méthodes de calcul trompeuses pour ne pas dire vicieuses.
    Rappelons que la France est le dernier pays où les statistiques ethniques sont interdites, ce qui en dit long sur l’ampleur du désastre que le pouvoir nous cache depuis des décennies.
    Le gouvernement a même mis fin aux statistiques du dépistage de la drépanocytose, qui était un excellent indicateur de l’invasion migratoire et du changement de peuple qui s’opère. Une désintégration de la nation qui va s’accélérer avec la disparition prochaine des générations du baby-boom, les plus nombreuses.
    On nous ment sur le nombre d’immigrés, sur les chiffres de la natalité, sur l’estimation des clandestins, sur les chiffres de la polygamie et bien entendu sur le coût démentiel de l’immigration qui reste la cause essentielle de notre ruine et de notre endettement massif.
    Essayons d’y voir clair avec quelques chiffres non truqués.
    1° Population
    Selon les chiffres de 2015 donnés par l’Insee, il y aurait en France 6,2 millions d’immigrés et 7,3 millions de descendants d’immigrés. Mais l’Insee ne comptabilise que la 2e génération, les 3e et 4e générations étant considérées comme françaises de souche car supposées parfaitement assimilées !

  • Affaire Rugy : la presse allemande descend Macron !

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    Emmanuel Macron rêvait d’être le maillot jaune de l’Europe. Il risque fort d’en être la lanterne rouge. En tout cas, le magazine allemand Der Spiegel n’est pas tendre avec lui. Il estime qu’il accumule les mauvais choix dans son entourage. « Des choix catastrophiques », surenchérit-il. Benalla, Loiseau, Rugy, et bien d’autres encore ! Assurément, notre président ne ferait pas un bon directeur des ressources humaines. À moins qu’il ne trouve son intérêt à se rabattre sur des médiocres.

    Voyez ce pauvre Rugy sur lequel Mediapart s’acharne ! Il pleurait presque, ce vendredi matin, devant Jean-Jacques Bourdin, qui se prenait pour son confesseur. « Jamais de toute ma vie, je n’ai demandé un logement social » s’est-il justifié. Quant aux fameux homards, il y est « allergique », il a « une intolérance aux fruits de mer ». On apprend aussi qu’il « n’aime pas le champagne », qui lui « donne mal à la tête » et « déteste le caviar ».

    Apparemment, il n’a pas convaincu Der Spiegel. « François de Rugy a vécu très confortablement pendant des années aux frais de l’État », souligne-t-il. Et de mettre en cause « la mauvaise connaissance de la nature humaine de Macron » et « son sens moral ». Rarement critique fut aussi forte contre un président français. On aurait presque envie de le défendre. À croire que les Teutons n’aiment vraiment pas les Gaulois !

    Certes, François de Rugy est la tête de Turc idéale. On lui reproche surtout de ne pas tenir ses engagements. En participant à la primaire citoyenne de 2017 – où il a défendu pêle-mêle l’écologie, la légalisation du cannabis, l’euthanasie et le suicide assisté, l’extension de la PMA et la GPA –, il s’était engagé à soutenir le vainqueur. On sait ce qu’il en fut. Il préféra soutenir la candidature de Macron, qu’il jugeait plus nutritive. En politique, les Français n’apprécient guère ce qui s’apparente à la traîtrise, même s’il n’est pas le seul à prendre son intérêt personnel pour l’intérêt de la France.

    Mais Der Spiegel n’a pas tort de considérer que Macron manque de discernement. Il est vrai qu’il n’aime guère s’entourer de personnalités trop brillantes, de peur qu’elles ne brillent plus que lui. C’est humain ! Il préfère les parasites ou les courtisans qui lui sont redevables. La gauche a tort de considérer notre Président comme un monarque républicain. Les grands rois savaient s’associer des ministres compétents et, s’ils avaient des courtisans, ils leur confiaient rarement des fonctions importantes.

    Il est probable que, dans les jours ou les semaines qui viennent, le ministre de la Transition écologique et solidaire sera lâché par les rares soutiens qui lui restent. Il paraît que Macron et Philippe en font encore partie. Mais ils feraient bien de ne pas trop la ramener et de ne pas se présenter comme des parangons de vertu. Quand on affrète un avion privé au prix de 350.000 euros, pour revenir plus vite de Nouvelle-Calédonie, ou quand on n’est pas trop regardant sur l’origine des fonds qui ont alimenté la campagne du candidat d’En Marche, on n’est jamais à l’abri des investigations de journalistes trop curieux.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/affaire-rugy-la-presse-allemande-descend-macron/