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anti-national - Page 373

  • Génération identitaire : Anaïs Lignier : « La Justice nous donne raison : c’était une interdiction politique et idéologique »

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    En novembre 2017, deux ans après l’attentat du Bataclan, Génération identitaire avait organisé une grande manifestation à Paris contre l’islamisme, finalement interdite à la dernière minute par le préfet de police pour « risques de troubles à l’ordre public ». Génération identitaire avait attaqué cet arrêté d’interdiction.

    Aujourd’hui, la Justice leur donne raison et condamne l’État à leur verser 1.500 euros de frais de justice.

    Boulevard Voltaire a rencontré Anaïs Lignier, l’un des cadres de cette ONG.

    Vous avez déclaré, dans une vidéo, que Génération identitaire a gagné un procès contre l’État. Deux ans après l’attentat du Bataclan, Génération identitaire voulait organiser une manifestation pour commémorer cet attentat. Cette manifestation lui avait été refusée au dernier moment. Visiblement, la Justice vous a donné raison contre l’État.

    Il y a deux ans, Génération identitaire voulait organiser une grande manifestation contre l’islamisme.
    À l’époque, la manifestation avait été interdite pour de simples prétendus troubles à l’ordre public, rien de plus. Selon nous, l’interdiction de dernière minute était fondée sur des motifs politiques et idéologiques.
    Par le biais de notre avocat, nous avons fait appel de cette décision. Aujourd’hui, la Justice nous donne raison. Elle admet que notre mouvement agit toujours de manière ordonnée, sans violence ni dégradation. L’interdiction n’était absolument pas justifiée. L’État est donc condamné à nous verser 1.500 euros de frais de justice.

    L’interdiction pour risques de troubles à l’ordre public était peut-être une réaction sécuritaire normale…

    Comme dans toute manifestation politique, il y a toujours des opposants qui appellent à des contre-manifestations. Cela avait déjà été le cas pour d’autres manifestations que nous avions organisées. Tout s’était bien déroulé. Des forces de police avaient entouré la manifestation.
    Cette fois, il n’y avait pas de raison qu’elle se passe plus mal qu’une autre manifestation.

    Génération identitaire n’en a pas fini avec la Justice. Certains de vos camarades sont en procès pour l’opération au col de l’Échelle. Avez-vous confiance en la Justice au sujet de cette affaire ?

    Nous n’avons évidemment pas confiance. Tout est très flou autour de cette histoire.
    Pour nous, c’est clairement un acharnement politique. Ces derniers mois, de nombreuses menaces de dissolution ont été proférées à notre encontre. Ces menaces n’ont pas eu de suites puisqu’il n’y avait pas de motifs avérés pour mettre en œuvre une dissolution. Nous continuons à demander une relaxe pure et simple.

    Comprenez-vous que vos modes d’action choquent et que des réponses judiciaires puissent suivre ?

    Notre objectif est d’éveiller les consciences. On ne peut pas le faire sans bruit. Notre but est de toujours agir de manière ordonnée, sans violence ni dégradation, mais évidemment en faisant du bruit et en interpellant les pouvoirs publics. C’est une victoire pour nous. Nous arrivons à être sur le devant de la scène et à faire part de nos idées au plus grand nombre.

    Nous sommes le 26 juillet et nous commémorons les trois ans de l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray et la mort du père Hamel. Que vous inspire cet attentat ?

    Cet attentat nous a montré que cela n’arrivait pas uniquement dans les grandes villes. On s’en est pris à une religion qui est à la base de la civilisation européenne. On voit, encore une fois, que ces tueries sont ciblées. Personne n’est intouchable, dans cette histoire. L’islamisme est grandissant sur notre Terre.

    https://www.bvoltaire.fr/anais-lignier-la-justice-nous-donne-raison-cetait-une-interdiction-politique-et-ideologique/

  • Attaques contre Boulevard Voltaire : les gauchistes n’aiment pas la liberté d’expression

    Attaques contre Boulevard Voltaire : les gauchistes n’aiment pas la liberté d’expression

    Lu sur Boulevard Voltaire :

    Alors que vient d’être votée une loi contre le harcèlement en ligne, un groupuscule d’antifas internationaux répondant au nom douteux de Sleeping Giants se vante de harceler, sur Twitter, les annonceurs de Boulevard Voltairejusqu’à ce que ceux-ci s’engagent à se retirer de notre site.

    Alors que l’anonymat sur les réseaux sociaux est pointé du doigt comme vecteur essentiel de la haine, dont il permet l’impunité, ils agissent masqués, cachés derrière d’improbables avatars et de nombreux comptes factices, le courage ne semblant pas les étouffer.

    Ils se targuent d’avoir usé du même procédé aux États-Unis avec le site Breitbart responsable, selon eux, de l’élection de Trump. C’est sur Boulevard Voltaire, en lequel ils voient le Breitbart français, qu’il disent avoir choisi de concentrer leurs attaques. C’est faire beaucoup d’honneur à notre site…

    Certes, Boulevard Voltaire, c’est plus de 75 millions de pages vues par an, Boulevard voltaire, c’est plus de 400 millions de pages vues depuis sa mise en ligne, Boulevard Voltaire, c’est plus de 8 millions de pages vues par mois, Boulevard Voltaire, c’est plus de 700.000 visiteurs mensuels. Mais Boulevard Voltaire ne prétend pas être faiseur de roi ni de président : Boulevard Voltaire entend simplement – et c’est la seule clé de son succès – donner à ses lecteurs cette information libre et différente à laquelle ils aspirent.

    Pourquoi parler, aujourd’hui, de ce groupuscule qui sévit régulièrement contre nous depuis 2016 ? Parce qu’il a, semble-t-il, décidé de se faire connaître par une campagne dans la presse, relayée ces derniers jours par des médias bien aimables – pour ne pas dire complaisants – de faire caisse de résonance à une opération de si faible envergure, au bilan invérifiable. Ils font indirectement de la publicité à Boulevard Voltaire, qu’ils en soient remerciés. En revanche, leurs informations erronées nuisent à la crédibilité de leur support. Cela a d’abord été un article sur FranceSoir : si Pierre Plottu, le journaliste qui en est l’auteur, avait pris la peine de nous appeler, il aurait évité de reproduire sans vérifier le chiffre – revendiqué par les Sleeping Giants – de « 1.000 annonceurs » manquant à l’appel. Sur leur compte Twitter, les Sleeping Giants ne cessent de rappeler à l’ordre des marques qui n’auraient pas tenu leur engagement, preuve que nombre d’annonceurs qu’ils croyaient avoir convaincus de partir sont, à leur grand dam, revenus ! Puis il y a eu une dépêche de l’AFP reprise, comme d’habitude, paresseusement, presque au mot près, par nombre de médias : La CroixLibérationTV5 MondeRMCLe Pointjeanmarcmorandini.com. La journaliste de l’AFP Anne Renaut, elle – cet effort mérite d’être salué -, nous a contactés, mais livre malheureusement, in fine, une dépêche partiale et inexacte : Boulevard Voltaire aurait été « fondé en 2012 par le maire de Béziers Robert Ménard, élu avec le soutien du RN ». C’est faux. En 2012, Robert Ménard était journaliste ; ce n’est qu’en 2014, et alors qu’il avait déjà quitté Boulevard Voltaire depuis plusieurs mois – afin, précisément, de se lancer librement dans la campagne électorale -, qu’il a été élu. Ou alors, il faut écrire aussi que « Reporters sans frontières a été créé en 1985 par le maire de Béziers, élu avec le soutien du RN ». Le comité directeur de Reporter sans frontières apprécierait. Par ailleurs, comme par hasard, n’est cité nulle part Dominique Jamet, cofondateur au même titre que Robert Ménard.

    « Boulevard Voltaire s’est retrouvé quasi-sans annonces fin 2018 » : c’est faux. Il faut s’y connaître comme ma grand-mère en matière de pub sur Internet pour ignorer que, dans ce domaine, « un clou chasse l’autre », et que chaque annonceur se retirant est aussitôt remplacé par un autre, peut-être moins prestigieux, mais le volume publicitaire reste identique. Les annonceurs qui le souhaitent peuvent, du reste, nous contacter en cliquant ici.

    La vérité est que la campagne de harcèlement des Sleeping Giants, en dépit de leurs fanfaronnades, n’a eu que peu d’incidence sur le développement de Boulevard Voltaire. Au-delà du tonneau des Danaïdes que représente le vivier des annonceurs sur Internet, la prudence et la volonté d’indépendance ont toujours poussé Boulevard Voltaire à ne considérer les revenus publicitaires que comme un appoint marginal : Boulevard Voltaire (qui ne reçoit pas de subventions) vit essentiellement des dons de ses lecteurs, sur lesquels la propagande antifa n’a aucun effet… Ceux qui le souhaitent peuvent nous aider en cliquant ici.

    Ce qui est omis, en revanche, dans tous ces articles est que, concomitamment à cette campagne de harcèlement, notre site a fait l’objet d’attaques informatiques sévères, le rendant inaccessible durant plusieurs heures, des attaques revendiquées par des antifas anonymes et saluées sur Twitter par ceux-là mêmes qui relaient les Sleeping Giants. Convenons que la coïncidence est troublante… Nous avons décidé, il y a deux mois, de porter plainte. Ces cyber-corbeaux ne doivent plus sévir en toute impunité. Notre site voit sa liberté de parole menacée par des individus qui prétendent la museler et l’étrangler financièrement. Demain, d’autres médias que le nôtre seront visés. Il est temps d’identifier individuellement les auteurs de ce harcèlement, ceux qui les relaient, et de les faire condamner pour leurs agissements.

    https://www.lesalonbeige.fr/attaques-contre-boulevard-voltaire-les-gauchistes-naiment-pas-la-liberte-dexpression/

  • La France aux petits soins avec les jeunes migrants, mais laisse tomber ses "vieux" (article du 1 février 2018)

    « La France est humaine », paraît-il ? Mais pour qui ? Pour tous ces migrants, jeunes, en pleine santé, que l’on loge, nourrit, soigne, divertit, dans des conditions qu’apprécieraient beaucoup de nos « vieux ».
    Ce débat se discute depuis plusieurs années à l’Assemblée Nationale et au Sénat et il occupe les parlementaires sur un sujet qui, certes, les interpelle ; « Comment mourir dans la dignité ? ».
    Il est évident qu’il s’agit là d’un sujet de haut niveau philosophique qui mérite que l’on s’interroge longuement et c’est ce que l’on fait.
    Mais il est un autre débat, qui lui n’interroge personne, du moins jusqu’à aujourd’hui : « Comment vivre ses dernières années dans la dignité ? ».
    La loi de la nature veut qu’avant de mourir, il nous faille vivre quelques années et dans quelles conditions ? Cela ne dépend pas, – hélas – de notre volonté !
    Il y a actuellement 1.300.000 « vieux dépendants » chez nous.
    Or, ces « vieux », dont on ne sait plus quoi faire, participent bien malgré eux à la vie de la Nation. Ils perçoivent une pension sur laquelle l’Etat prélève des impôts. Impôts qui viennent d’être augmenté de 1,70% de CSG pour les plus riches, ceux qui perçoivent plus de 1200 euros/mois, les veinards ! Retraites dont ils ne peuvent plus, hélas, profiter dans l’état de santé qui est le leur à présent !
    Cet Etat, qui les pourchasse jusqu’à leur dernier souffle de vie, en leur confisquant jusqu’à « leurs successions », quand il en reste une, devrait se pencher sur leur triste sort et non pas les abandonner dans des « mouroirs », sans soins bien souvent (uniquement des cachets, des gouttes, des injections et des perfusions, pour les faire « dormir » toute la journée afin qu’ils ne dérangent pas !)
    Il est vrai qu’avec le 0,4% du PIB qui leur est réservé ils n’ont pas le droit de vivre trop longtemps, cela ne se fait pas. Et ce n’est pas le « pourboire » ridicule de 50 millions d’euros qui changera la donne.
    On ne demande pas à l’Etat d’aller jusqu’à 1%, ce serait bien trop (alors que certains pays, tel le Danemark par exemple, réservent 2% du PIB et que tous « leurs vieux » bénéficient d’une fin de vie honorable, dans des résidences conviviales et que cela ne coûte que 1800 euros/mois pour tous (2800 euros/mois en France, en moyenne) encadrés par 10 soignantes pour 10 « résidents », alors qu’en France on n’en compte que 5 pour 10).
    A moins que, comme cela s’est passé à la triste époque nazie, et se passe encore de nos jours, dans quelques très rares pays, il suffise d’euthanasier les « vieux », dépendants, impotents ou grabataires, ce qui, après tout, est une solution comme une autre et qui vaut la peine d’être débattue, surtout quand il nous est donné de constater dans quelles conditions finissent quelquefois leurs misérables vies, à ces « vieux » dépendants, impotents, grabataires… et gênants !
    N’est-ce pas le cas déjà dans un pays aussi civilisé que l’Angleterre où l’accès à certains services de réanimation, de dialyse rénale ou d’actes chirurgicaux, ne sont plus autorisés après 70 ans !
    Après tout, pourquoi ne pas interrompre des vies qui ne valent plus la peine d’être vécues ?
    « La France est humaine », paraît-il ? Mais pour qui ? Pour tous ces migrants, jeunes, en pleine santé, « qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts », que l’on loge, nourrit, soigne, divertit, dans des conditions qu’apprécieraient beaucoup de nos « vieux », vos parents, vos grands-parents, votre famille, ceux que vous abandonnez, que vous préférez oublier, parce qu’ils gênent vos habitudes, qu’ils perturbent vos loisirs, ces loisirs dont vous disposez bien davantage qu’ils en ont disposé, eux, toute leur vie durant, pour vous élever et vous conduire où vous êtes !
    Ces vieux, dont certains guettent le départ vers leur fin de vie pour « squatter » l’appartement, puisqu’ils ne pourront plus revenir, qu’ils sont partis pour toujours, et le mettre à la disposition de ces « exilés », comme certains les nomment aujourd’hui et qui nous envahissent !
    Ces vieux qui n’ont pas encore atteint le dernier stade, qui ne sont pas sur la ligne de départ, et qui se demandent comment ils vont pouvoir régler des sommes ahurissantes, bien plus de 2500 euros/mois, avec leur 1200 euros, pour les plus riches, et cela pour obtenir une place, et ne parlons pas des autres, ceux qui n’ont pas « cette chance », parce qu’ils vivent et meurent en France !
    Quel chef d’état, quel ministre, aura le courage et la volonté de s’atteler à cette tâche : donner à nos vieux un endroit digne où finir leur vie, avec les soins, l’accompagnement et la nourriture qu’ils méritent, quel que soit le montant de la pension qu’ils perçoivent ?
    La Cour des comptes leur indiquera où trouver les milliards nécessaires pour appliquer cette « nouvelle taxe », une de plus, quitte à réduire les dividendes perçus par les actionnaires (plus de 43 milliards cette année) pour s’intéresser à ceux qui n’en perçoivent pas.
    Certaines « fins de vies » sont-elles indignes ?
    Pourquoi la présence de ces « personnes âgées » embarrasse tellement ceux qui sont, pour le moment, moins âgés ? Justement parce que les conditions désespérantes de ces « fins de vies » leur donnent une angoissante « peur de vieillir » dans des conditions identiques !
    Je me rends parfaitement compte, en terminant cet article, que j’ai perdu une fois de plus mon temps, qu’il ne servira à rien, que tout continuera comme avant, comme aujourd’hui, comme demain, et que les « vieux » continueront à disparaître dans l’indifférence la plus totale et que nous aurons toujours « peur de vieillir » !
    Manuel Gomez

  • Université : le terrorisme intellectuel frappe de nouveau

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    Le cancer de la « correction politique », qui sème ses métastases dans tous les secteurs de la société, a contaminé désormais les institutions les plus brillantes de la nation. Des étudiants préparant l’agrégation de lettres modernes avaient, il y a deux ans, rédigé une demande comminatoire au jury de l’épreuve, où on le sommait de définir « l’attitude à adopter et le vocabulaire à utiliser pour décrire ces textes ». Ces textes sont des œuvres « classiques », soupçonnées de véhiculer des « discours oppressifs », c’est-à-dire promouvant apparemment le sexisme, la misogynie, l’antisémitisme, le racisme, l’homophobie, etc. En l’occurrence, « Oaristys », œuvrette de jeunesse d’André Chénier, présentait prétendument une « scène de viol ».

    Sur son site Transitions, revue et séminaire, Hélène Merlin-Kajman, de la Sorbonne nouvelle, vient d’exprimer ce qui est sans aucun doute l’indignation d’une grande partie des membres de l’Université en arguant que la littérature est fondamentalement une convention, c’est-à-dire une forme fondée sur un travail de l’imagination, destinée à susciter des effets de plaisir, d’admiration (et sans doute de rejet), dont l’interprétation est un jeu subtil et complexe de références, de rapprochements, de mise à distance. Or, en ravalant l’œuvre de jeunesse, inspirée du poète grec antique Théocrite, à une apologie du viol, on s’interdit toute analyse authentique.

    On ajoutera qu’on se moule dans l’uniforme de la maréchaussée de la pensée, vocation dont semble éprise toute une bande de terroristes intellectuels qui voudraient reconduire ici les dérives de l’Université américaine, où le « trigger warning », qui consiste à « avertir » les étudiants de la « nocivité » idéologique d’un contenu, impose une censure dont sont l’objet les professeurs.

    Marc Hersant, professeur, lui aussi, de la Sorbonne nouvelle, qui publiera bientôt un essai sur cette affaire, souligne combien, maintenant, la littérature, y compris celle des Temps anciens, qu’il s’agirait de mettre à distance, est fragilisée et soumise à une inquisition réductrice, niant la notion de code (du reste, la vie, ce roman, est elle-même imprégnée de conventions).

    On veut faire de la littérature un canal propagandiste en oubliant que l’humain y est interrogé, par-delà le bien et le mal (les œuvres édifiantes ayant disparu dans les oubliettes de la mémoire culturelle).

    Et ce chantage n’est pas seulement intellectuel : il peut aboutir à la violence, comme la séquestration, par exemple, en mars dernier, d’une partie des comédiens qui voulaient jouer, à la Sorbonne, Les Suppliantes, d’Eschyle, dont certains devaient arborer des masques noirs.

    Rappelons qu’André Chénier fut emprisonné par les jacobins et guillotiné deux jours avant la chute de Robespierre (lisez Stello, d’Alfred de Vigny !). Le sinistre Fouquier-Tinville aurait déclaré : « La République n’a pas besoin de poète. » Ses héritiers semblent ranimer son programme.

    Claude Bourrinet

    https://www.bvoltaire.fr/universite-le-terrorisme-intellectuel-frappe-de-nouveau/

  • Municipales à Nice – Estrosi pourrait obtenir l’investiture de la Macronie

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    Emmanuel Macron excelle dans l’art de phagocyter tant au PS que chez les Républicains.
    Les prochaines élections municipales devraient encore accentuer les choses. La rumeur semble ainsi se confirmer, selon laquelle, pour Nice, le maire LR Christian Estrosi serait estampillé “Macron-compatible” pour le prochain scrutin.

    Le contexte est particulier : Eric Ciotti, député LR des Alpes-Maritimes, rêve de s’emparer de la mairie de Nice. Pour cela, il cherche à obtenir que les instances dirigeantes du parti Les Républicains désavouent l’actuel maire LR, Christian Estrosi. Un choix cornélien pour un parti délabré et sans chef.

    Saisissant cette opportunité, le parti macroniste la République en Marche propose à Estrosi l’investiture de la majorité présidentielle pour le scrutin. Le JDD a révélé que le délégué général de La République en Marche, Stanislas Guerini, a rencontré Christian Estrosi pour “un dialogue” allant dans le sens d’une alliance. Le JDD ajoute : “La ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, a été chargée d’une mission, officieuse, de médiation avec le maire de Nice. Niçoise et présidente de l’université Nice-Sophia-Antipolis jusqu’en 2017, elle connaît bien l’homme, qui l’apprécie”.

    Même François Bayrou, pourtant en froid avec LREM pour les municipales, aurait rencontré le maire de Nice.

    Quant à Christian Estrosi, fort de cette abondance de sollicitations, il a également rencontré Christian Jacob, donné favori de la course à la présidence des Républicains. Finaud, Estrosi essayerait de jouer sur les deux tableaux, au nom de la nécessité de “faire rempart” au candidat du Rassemblement National.

    https://www.medias-presse.info/municipales-a-nice-estrosi-pourrait-obtenir-linvestiture-de-la-macronie/110920/

  • Affaire Epstein : une météorite sur le point de frapper le monde des élites ?

    dimanche 28 juillet 2019
    Voici quelques noms figurant dans le "livre noir" d'Epstein (tous ne sont bien sûr pas forcément impliqués dans ses activités illégales mais on trouve un certain nombre de violeurs et pédophiles connus).William Astor : membre de la Chambre des lords
    Anthony Bamford : membre de la Chambre des lords
    Alec Baldwin: acteur qui considérait comme «triste et injuste» la campagne contre Woody Allen.
    Mike Bloomberg: ancien maire de NY
    Tony Blair: ancien Premier ministre du Royaume-Uni
    Flavio Briatore: homme d'affaires italien, ex-directeur commercial de Benetton, fondateur de Billionaire Couture, manager et directeur de l'écurie de Formule 1 Benetton Formula de 1989 à 1997 et ancien directeur de l'écurie de Formule 1 Renault F1 Team.
    Louis Albert de Broglie: militant écologiste français.
    Chris Brown: chanteur R&B récemment accusé de viol aggravé.
    Jean Luc Brunel: directeur de l'agence de modèles MC2 qui sautait sur les gamines qu’il avait sous sa responsabilité dans son agence de mannequins. Servirait de rabatteur pour Epstein.
    Naomi Campbell: mannequin
    Prince Pierre d'Arenberg
    Prince Andrew: Une jeune femme assure avoir eu, mineure, des rapports sexuels avec Andrew, sur ordre d'Epstein
    Chris Evans: acteur
    Ralph Fiennes: acteur
    Bill Cosby: accusé par 13 femmes de viol.
    Dustin Hoffman: acteur accusé accusé d'agressions sexuelles à plusieurs reprises
    Mick Jagger: chanteur
    Michael Jackson: condamné pour pédophilie.
    Edward Kennedy: Sénateur 
    Henry Kissinger: Ancien secrétaire d'État des États-Unis, membre permanent du Bilderberg
    Rupert Murdoch
    Evelyn de Rothschild
    Edouard de Rothschild
    David Rockefeller
    Prince Salman
    Kevin Spacey: pédophile ayant voyagé dans le "lolita express" d'Epstein.
    John Gutfreund: Banquier, PDG de Salomon Brothers.
    David Koch: homme d'affaire, propriétaire de Koch Industries, 8ème fortune au monde.
    Ehud Barak: Ancien premier ministre d’Israël.
    Ehud Olmert: Ancien premier ministre d’Israël.
    Leslie Wexner: Milliardaire, PDG de L Brands.
    Bruce King: Ancien gouverneur du Nouveau-Mexique.
    Bill Richardson: Ancien gouverneur du Nouveau-Mexique et candidat démocrate à la présidence.
    Peter Soros, le neveu de George Soros.
    Ivana, Ivanka, Robert et Donald Trump (accusé de viol sur mineur dans un manoir d'Epstein)
    Bill Clinton: violeur en série.
    Chris Tucker: acteur qui a voyagé dans le "lolita express" d'Epstein.
    Prince Michel de Yougoslavie
    Alan Dershowitz: avocat d'Epstein, également accusé de pédophilie.
    John Kerry
    Henry Kravis: Comité de direction du Bilderberg.
    George Mitchell: Ancien sénateur américain, président de The Walt Disney Company de mars 2004 à janvier 2007 et envoyé spécial au Proche-Orient, travaillant sous la présidence de Barack Obama et la secrétaire d'État Hillary Clinton.
    Journalistes et médias: Charlie Rose (CBS) , Mike Wallace (CBS), Barbara Walters (ABC), Mortimer Zuckerman (propriétaire du New York Daily News), Richard Branson: fondateur de Virgin group, 261e personne la plus riche du monde.
     
    VideoRT
    Traduction: Wanted Pedo
    Via MK Polis
    Liens connexes:
    ➤ Affaire Epstein : une météorite sur le point de frapper le monde des élites ?
    Jeffrey Epstein servait de maître chanteur pour le Mossad et la CIA
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/affaire-epstein-une-meteorite-sur-le.html#more

  • Le quotidien Présent face à la censure de Facebook

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    Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ La fondation Polémia va-t-elle être exclue des réseaux sociaux pour avoir pris la défense de Génération Identitaire, elle-même virée de Facebook en mai 2018, après sa salutaire opération Defend Europ au col de l’Echelle par lequel transitent tant de clandestins ?
    C’est en tout cas ce qui vient d’arriver au quotidien Présent à la suite de sa Une du 17 juillet sur « Génération persécutée » et d’un article déplorant les si lourdes réquisitions du parquet à l’encontre des jeunes Identitaires menacés de prison ferme et de l’association elle-même, sous le coup d’une amende de 75 000 euros.

    La dissolution par voie judiciaire se substituant ainsi à la dissolution politique, difficilement soutenable en droit puisque, lors de l’équipée du col de l’Echelle, le procureur de Gap avait lui-même affirmé qu’aucune violence n’avait été perpétrée, les militants se contentant de remettre aux gendarmes les clandestins interceptés. N’importe ! Dès le 19 juillet, Présent recevait cet ahurissant message de la société Facebook : «Votre publication va à l’encontre de nos standards de la communauté. Ces standards de la communauté sont appliqués à l’échelle mondiale et contribuent à faire de Facebook un lieu sûr [sic] et accueillant [resic] pour tous. »

    Facebook censure les Identitaires. La privatisation de la censure d’Etat est en marche

    Pour ceux qui l’ignoreraient, le directeur de Facebook-France — qui a ainsi appliqué avec zèle la (future) loi Avia contre « la haine en ligne » alors que ce texte mettant Internet sous haute surveillance idéologique n’a été voté qu’en première lecture et n’a donc aucune valeur —, est l’énarque et ex-Sarko boy Laurent Solly. Egalement ancien directeur général de TF1 où il s’illustra en déclarant au Point en 2007 : « La réalité n’a aucune importance, il n’y a que la perception qui compte » — voir Les médias en servitude, page 63.

    Ostracisme contre Présent, mobilisation pour L’Huma

    Cette exclusion tombe mal pour Présent qui, privé de toute publicité, tricard des revues de presse, trop ignoré des responsables dits nationaux et mal distribué par Presstalis (ex-NMPP) et surtout par La Poste, avait trouvé dans les réseaux sociaux un ballon d’oxygène. Et surtout une manière de briser l’omerta dont il est victime bien que, fondé en 1982, il ait dépassé en longévité la légendaire Action française alors qu’ont disparu tant de titres opulents — Le Matin de Paris, J’informe, Paris-Jour, etc. C’est cette lutte de chaque jour pour tenter de survivre, et de s’améliorer, qu’évoque et explique Francis Bergeron, pilier du journal, dans son dernier livre, Présent, un défi au quotidien *.

    Sait-on par exemple que le seul quotidien « national et catholique » paraissant en Europe ne compte que dix salariés dont trois journalistes professionnels à plein-temps quand L’Humanité aligne « 200 salariés dont 125 journalistes, pour 30 000 exemplaires diffusés et seulement quelques milliers de vrais lecteurs [contre 10 000 pour Présent]» et « une influence proche du néant », d’où ses « monstrueux déficits » ?

    Quelque 7 millions d’euros, dont la perte provoque paradoxalement un gigantesque élan de solidarité. En janvier dernier, poursuit Bergeron, « France inter et France Info notamment ont appelé à une mobilisation de leurs auditeurs. Plus étonnant encore, des journalistes du Figaro, au nom de la pluralité de la presse, ont eux aussi tenu à marquer leur soutien au journal stalinien » alors que, « quand Présent s’est trouvé en difficulté en juin 2018, pas un seul journaliste de ce quotidien de droite ne s’était manifesté ». Et pratiquement aucune personnalité de droite non plus tandis que le directeur de L’Huma, Patrick Le Hyaric, pouvait pavoiser : « Des députés, des sénateurs de tous les groupes républicains, des journaux dont nos amis du groupe Bayard-La Croix [mais oui, avis aux lecteurs cathos !], apportent de l’argent. Des institutions, des municipalités dirigées par des maires de l’arc-en-ciel républicain installent des abonnements. »

    Comment ne pas être écœuré par cet empressement au service d’un organe qui, après avoir en 1953 pris le deuil du « Grand Staline » pleuré selon lui par « tous les peuples », se fit des décennies durant le chantre des divers goulags ?

    Plafond de verre et trahisons

    Beaucoup des difficultés éprouvées par Présent lui sont consubstantielles depuis sa naissance, sous l’égide de Jean Madiran, de François Brigneau, d’Hughes Kéraly et de Bernard Antony : distribution aléatoire, prix jugé trop élevé, qui est aussi selon les fondateurs « le prix de la liberté », et surtout impossibilité de forcer le fameux « plafond de verre » dont se plaignent tant les immigrés, nombreux pourtant à être devenus commissaires, préfets, présidents de chambre, diplomates, directeurs d’hôpital… ou ministres. Mais c’est en 2014 que tout s’est compliqué. Face à une situation financière catastrophique, la direction d’alors songeait à déposer le bilan. Impensable pour la majorité des collaborateurs et des « Amis de Présent », qui se prononcèrent pour une nouvelle direction. D’où cascade de procès devant les Prud’hommes, certains essayant de faire jouer la clause de conscience sous prétexte que « Présent n’était plus un journal catholique », bien qu’il ait toujours gardé sa rubrique sur le saint du jour ainsi que sa page sabbatique « Dieu premier servi » et qu’il ait mené récemment une vigoureuse campagne pour le maintien en vie de Vincent Lambert.

    Mais le cas le plus extravagant est celui de Bruno Fanucchi, alias Yves Brunaud, naguère journaliste salarié du Parisien et pigiste à Présent où il traitait de la politique étrangère. Aujourd’hui retraité, lui aussi a fait jouer la clause de conscience sous prétexte que le quotidien était désormais vendu au KGB, donnant pour preuve que n’avait pas été publié (mais bel et bien payé) l’un de ses réquisitoires contre Vladimir Poutine**. Las, rappelle Bergeron, la juge de première instance considérant « que l’antisoviétisme d’hier et une certaine modération de ton à l’égard de Poutine aujourd’hui constituaient un changement de ligne du journal, a donc estimé que la démission de Bruno Fanucchi, en date du 13 mars 2015, devait être considérée comme un licenciement […] ouvrant droit à des dommages et intérêts ». Présent ayant relaté le procès dans un article où le plaignant apparaissait sous sa véritable identité, l’avocat de Bruno Fanucchi a fait savoir que « cette révélation était“de nature à nuire à sa réputation personnelle et professionnelle” » de son client et menacé d’un nouveau procès. « Autrement dit, l’auteur, nous pouvons être attaqués, et condamnés, mais il nous est sommé de ne pas écrire par qui et pour quoi nous sommes attaqués et condamnés ! »

    Regarder malgré tout vers l’avenir

    Plaie d’argent n’est pas mortelle, dit-on, mais pour une équipe aussi restreinte, elle est insupportable car porteuse d’angoisse, dévoreuse de temps et d’énergie. Pour autant, le quotidien national ne baisse pas les bras. Après changement d’imprimeur et passage à la couleur (ce que je regrette personnellement), il a, comme le rappelle Bergeron, doublé sa pagination, augmenté le nombre de ses pigistes correspondants à l’étranger ou rubricards, attiré des bénévoles pour renforcer l’équipe. De trimestriels, ses hors-série (le dernier, daté de juillet-août, est consacré aux polars de droite) sont devenus bimestriels, des synergies ont été créées avec d’autres publications ainsi qu’un Prix des lecteurs de Présent — décerné en janvier à Jean-Marie Le Pen pour ses Mémoires.

    Malgré l’actuelle dictature (d’ailleurs favorisée par l’Education nationale, avec les résultats désastreux qu’on sait) du tout-écran au détriment de l’écrit, malgré la rigueur des temps qui fait de l’achat d’un journal un luxe, malgré enfin le mauvais coup porté par Facebook, le « défi » sera-t-il gagné ? Adepte de l’adage « Aide-toi, le Ciel t’aidera », Francis Bergeron qui, dès 1982 participa, ainsi que la caricaturiste Chard, à « l’aventure de Présent », en est convaincu.

    Camille Gallic 29/07/2019

    * Francis Bergeron, PRÉSENT, Un défi au quotidien, éd. Dualpha 2019, www.francephi.com. 200 pages avec illustrations et annexes, 23 €.

    *** Lequel n’a pourtant pas toujours tort, notamment sur l’invasion de l’Europe par des hordes de clandestins. Voir https://www.polemia.com/vladimir-poutine-attaque-migrants-interets-population-autochtone/

    https://www.polemia.com/present-quotidien-censure-facebook/

  • Squats : la nouvelle Mafia immobilière (Rediff.)

    Faux bail, trafic de clés, nouveau contrat d’électricité…Tous les moyens sont bons pour squatter en toute impunité. Face aux procédures judiciaires qui s’éternisent, les propriétaires de logements squattés sont à bout. Malakoff en région Parisienne. Pierre est comédien, il a 33 ans. Il y a 2 mois, il achète cette maison 310.000 euros.

    Aujourd’hui, il ne peut plus rentrer chez lui car sa maison est squattée par un Egyptien. Il vit ici en toute illégalité avec sa femme et ses enfants. Pierre est venu avec des amis pour tenter de faire partir le squatteur.

    http://www.fdesouche.com/1243419-squats-la-nouvelle-mafia-immobiliere-rediff
  • La Macronie, ou le règne de l’instantané et de l’image

    La Macronie, ou le règne de l’instantané et de l’image

    Depuis l’entrée en fonction du télé-évangéliste de l’Elysée, le site internet de la Présidence de la République a été transformé et celui de l’Assemblée nationale vient de subir une profonde modification. Sont clairement privilégiés l’instantané et l’image.

    Sur le site de l’Elysée, la part de l’image est essentielle. L’écran d’accueil (à 100%), en cette fin du mois de juillet, n’est qu’une photo du défilé du 14 juillet :

    Il faut « descendre » après l’image pour trouver les rubriques proposées, qui privilégient l’instantané (« Actualités ») ou legadget (« Présidence », rubrique détaillée ci-dessous avec notamment la présence de l’épouse du chef de l’Etat au même titre que le Président de la République) :

    Lire la suite

  • La République liquide le patrimoine industriel et commercial français pour payer ses frasques et ses cadres corrompus !