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anti-national - Page 381

  • UNION EUROPEENNE : ARRANGEMENTS INCESTUEUX ENTRE PETITS AMIS !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Les arrangements entre  petits amis semblent avoir pris fin à Bruxelles, chacun ayant trouvé ou retrouvé son beefsteak, son rond de serviette à la table de l’UE après le désormais traditionnel petit exercice de « chaises musicales ». L’ami des alcools forts quitte la tête de la Commission pour rejoindre son confetti luxembourgeois, remplacé par dame Ursula Von der Leyen, ministre allemand de la Défense, un temps pressentie pour succéder à Angéla Merkel. Christine Lagarde pourra continuer à défendre les puissances d’argent à la tête de la BCE comme elle l’a fait au FMI, le Belge Charles Michel remplace le Polonais Tusk, un libéral part, un libéral arrive, RAS ! Le socialiste espagnol Josep Borrell devient le « monsieur affaires étrangères » de l’Union, un poste qui ne sert a à rien, puisque chaque Etat membre, - et c’est encore heureux ! -, a sa propre politique étrangère. Tout juste une coordination sur certains dossiers serait souhaitable, car les Etats sont des monstres froids qui ont des intérêts qu’ils n’entendent pas, à raison, partager. En tout cas, c’est comme cela que ça devrait fonctionner dans une libre Union d’Etats souverains.

    Mais nous avons vu que dans l’affaire iranienne, quoique l’on puisse penser de mal de la clique islamiste au pouvoir à Téhéran, l’Europe s’est couchée devant Trump : Adios nos investissements, adios le business pétrolier et les commandes d’automobiles !

    Une entente incestueuse

    Le signe le plus manifeste de l’entente contre nature  entre les conservateurs du PPE, c’est à dire tout ce que l’Europe compte comme élus de la droite molle, - dont le jeune espoir des beaux quartiers et des dames patronnesses Versaillaises Bellamy -, et les socialistes, a été l’élection du camarade David Sassoli comme Président du Parlement européen. Les Populistes, identitaires et autres nationalistes ou eurosceptiques n’ont pas connu, hélas, une assez forte poussée dans leurs pays respectifs, même si en France, -  et encore -, ou en Italie, les scores ont été honorables. Chacun siège dans son groupe, pas d’union : Nigel Farage et ses «  Brexiteurs » s’en iront, probablement, fin octobre, les Hongrois du FIDESZ de Viktor Orban s’accrochent au PPE, ce dernier groupe trop content de « niquer », pardonnez-moi l’expression, les groupes nationalistes et de les amputer d’une bonne dizaine de parlementaires. Pas de quoi pavoiser pour les partisans, comme nous, d’une Europe des nations, d’une Europe des patries, d’une Europe à la carte où chaque pays membre choisirait, souverainement, le degré d’intégration qu’il est prêt à consentir à l’Union européenne.

    Etait-ce mieux avant ?

    Qui est ce David Sassoli, dont je viens d’évoquer le nom à l’instant ? Ce monsieur est un journaliste connu de la RAI, marqué à gauche, l’anti-Salvini parfait. Lequel Mattéo Salvini, une fois de plus, vient de s’illustrer en faisant arrêter la capitaine d’un bateau pirate, le Sea Watch 3, recueillant tout ce qu’il est possible de ramasser comme pseudos naufragés dans les eaux libyennes. Bien entendu, Macron s’est cru obligé de prendre une bonne poignée de ces faux naufragés mais vrais migrants. Lesquels viennent s’ajouter à la masse d’immigrés subventionnés que la France héberge. Il n’est que de se promener dans certains quartiers de Paris ou dans la France profonde, dans des petites villes comme la mienne, pour constater que notre pays, qu’on le veuille ou non, s’africanise, lentement mais sûrement.

    Où est-il le temps des colonies, le temps glorieux de l’Empire où tous ces peuples vivant sous le pavillon tricolore, avaient, à juste titre, droit de cité ? Au moins, à cette époque, la France contrôlait les flux migratoires internes de son espace géopolitique. Mais assez de nostalgie, car je parle d’un temps que les moins de soixante ans n’ont pas connu ! Laissons de côté le fameux « c’était mieux avant » et constatons, à regrets, que les relations franco-italiennes ne s’améliorent pas ! Macron est un immigrationniste convaincu, un serviteur du mondialisme apatride, Salvini tout le contraire. Ces deux-là sont faits pour être les étendards de deux visions du monde, de deux espérances contradictoires pour l’avenir de leurs peuples respectifs. Malheureusement pour nous, pour l’instant, nous sommes du mauvais côté, « du côté obscur de la force » !

    Si la nature avait voulu donner comme un signe à cet antagonisme profond entre les deux sœurs latines, il n’est qu’à voir, comme un symbole,  les énormes glissements de terrain qui ont coupé l’axe ferroviaire franco-italien au cœur des Alpes. De plus, quand on pense que la France officielle, qui bloque à Menton des hordes de migrants économiques pour mieux les laisser filer par la montagne, ose donner des leçons de morale à l’Italie, décidément, on se dit que ce pays, notre pays, marche sur la tête et, qu’à terme, il  faut changer, et vite, de dirigeants !

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  • Violences à Paris, Lyon, Marseille : l’État ne fait plus peur, par Philippe Bilger

    Bien sûr, l’effet est facile qui consiste à coaguler tout ce qui s’est passé de gravement transgressif durant la nuit du 14 juillet.

    Mais la réalité ne ment pas qui, notamment à Paris, à Lyon et à Marseille, montre que l’État ne fait plus peur parce que son autorité est non seulement défaillante mais, pire, absente.

    Certes, ce ne sont pas les déclarations qui manquent et on peut être assuré, sur ce plan, que le verbe politique largement entendu dénoncera le présent et fera espérer pour l’avenir une France enfin apaisée, qui saura se tenir comme on peut le dire d’un enfant bien éduqué.

    La pire des attitudes serait une résignation citoyenne s’habituant à cet état de choses et l’expression d’une lassitude à force d’interpeller, de semoncer l’État pour rien.

    J’ose cette banalité : il n’est pas normal qu’à Paris, on frappe et dégrade, qu’à Lyon, on incendie des voitures et qu’à Marseille, on s’en prenne aux CRS.

    Ou bien doit-on admettre le triste constat d’un pouvoir qui a accepté que, dans notre pays, il y ait un niveau inévitable et irrésistible de désordres et d’atteintes aussi bien humaines que matérielles et que, donc, il se laverait les mains face à cette prétendue inéluctabilité ?

    Faudra-t-il finir par penser que nos gouvernants ne sont pas capables de mener de front dans notre République une double démarche : faire respecter la morale publique par certains d’entre eux et en tirer les conséquences, faire respecter l’ordre sans cesse perturbé par une minorité de nos concitoyens ici ou là, quelle que soit leur origine, et par des étrangers sans droit ni titre.

    Christophe Castaner est un bouc émissaire commode. On ne peut plus se voiler la face. Quand tout va mal sur le plan de la sécurité, il ne s’agit plus seulement d’incriminer la police, le ministre, mais le Premier ministre et le président de la République. Quand un chaînon a durablement craqué, c’est à eux qu’on doit demander des comptes et de l’action.

    Pour avoir l’honneur de se faire passer pour Jupiter, il convient au moins de pacifier notre quotidien. Sauf à considérer que les échecs sont pour les uns et l’impunité pour les autres. Je ne vois pas au nom de quoi, sinon par une révérence de principe mais absurde à l’égard de ce petit monde qui dirige et administre, on arrêterait notre indignation au milieu du gué au lieu de la laisser aller plus haut.

    Nulle part l’incompétence, l’impéritie ne seraient ainsi tolérées.

    J’ai évoqué Christophe Castaner. Quand il y a eu récemment « la dérive violente de certains supporteurs algériens » se comportant chez nous comme pas une seconde ils n’auraient pu le faire chez eux, tout ce qu’a su proposer l’intéressé a été un tweet : « Ceux qui se sont livrés à cela méprisent à la fois […] les valeurs du football mais aussi le pays dont ils ont célébré la victoire » (Le Figaro).

    Je devine les fauteurs de troubles terrorisés après une telle analyse qui n’est qu’un commentaire, une réaction molle et explicative alors que la France attendait une réaction forte !

    On ne peut pas à la fois donner à la France des leçons de morale républicaine, du genre répétitif, contre le clivage et l’exclusion, pour la générosité à l’égard des migrants de moins en moins politiques, de plus en plus économiques, pour l’Europe qui nous protège, bref, le discours habituel contre le RN, et tout laisser faire pour que celui-ci monte, monte…

    Ce dessein, ce cynisme seraient scandaleux mais je ne suis même pas sûr qu’il y ait une telle intelligence perverse derrière ce « foutoir » et ces débordements telles une lamentable habitude, une déplorable impuissance ?

    S’il y avait seulement de l’incurie, un amateurisme qui valide passivement ce qu’il n’a plus envie d’empêcher, ce qu’il ne sait plus réprimer ?

    Philippe Bilger

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Lagarde, le candidat idéal à la BCE pour accompagner l’effondrement du Système

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    Marc Rousset

    17,8 % de hausse pour le CAC 40 depuis le 1er janvier 2019. L’AMF, gendarme de la Bourse de Paris, redoute une correction sur les marchés financiers : « Le ralentissement économique et les incertitudes politiques »sont toujours présents et l’extrême faiblesse des taux qui laisse peu de marge de manœuvre aux banques centrales incite à l’endettement avec risque accru d’insolvabilité.

    Les mauvaises nouvelles en économie, suite aux actions correctrices des banques centrales, deviennent de bonnes nouvelles pour les boursiers, et inversement. Le monde boursier marche sur la tête. C’est ainsi que la bonne nouvelle de 224.000 emplois créés aux États-Unis, alors que l’attente était de 160.000, a fait très légèrement reculer, ce vendredi 5 juin, le CAC 40, le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P. Tout comme Trump, les boursiers se réjouissent des taux d’intérêt bas générateurs de profits et d’un dollar faible qui permet d’exporter davantage.

    Lagarde arrive à la BCE avec la réputation d’une colombe habile, politicienne qui sait bien naviguer, toujours bien orientée dans le vent. Elle est entrée dans la combine Tapie pour plaire à Nicolas Sarkozy et a réussi le tour de force d’être condamnée (pour négligence) sans être condamnée car la cour avait jugé que sa réputation internationale plaidait en sa faveur. La réalité, c’est que Lagarde a un simple vernis en économie, suite à ses fonctions en France et à la tête du FMI, mais fondamentalement, c’est une juriste qui s’appuie sur l’avis de ses collaborateurs car elle n’a aucune formation en économie, aucune expérience dans les politiques monétaires et n’a jamais dirigé une banque ou le moindre service bancaire opérationnel. Lagarde, c’est l’anti-Benoît Cœuré, Français hyper compétent, membre actuel du directoire de la BCE, qui a la malchance d’être un homme – nouvelle maladie du siècle.

    Lagarde ne fait que confirmer la politisation et la perte d’indépendance de la BCE face au tsunami financier qui se prépare à l’horizon. Lagarde sera, en fait, la responsable de la communication de la BCE pour bien-pensants. Les banques centrales sont prises au piège des taux négatifs et des assouplissements quantitatifs à gogo. Sa mission consistera à endormir les foules, accorder des prêts LTRO aux banques italiennes insolvables, poursuivre la politique laxiste monétaire actuelle jusqu’à ce que tout explose. Lagarde a tout à fait sa place au milieu des absurdités de la théorie monétaire moderne.

    Lagarde va imprimer de plus en plus de monnaie avec, comme contrepartie à l’actif de la BCE, le rachat d’obligations pourries des États, des banques et des entreprises en Europe. Lagarde va exceller à repousser l’explosion, mais elle sera le dos au mur, complètement désarmée si, malgré tout, la récession s’accroît dans le monde.

    On risque, en fait, d’assister à un schisme au sein de la zone euro. D’un côté, les partisans de la baisse des taux d’intérêt négatifs de dépôts par les banques à la BCE de -0,4 % à -0,5 %, la reprise de l’assouplissement quantitatif au premier trimestre 2020. De l’autre côté, l’Europe du Nord et l’Allemagne, dont la dette publique est inférieure à 60 % du PIB, mais aussi tous les épargnants européens laminés et spoliés par la baisse des taux, ainsi que les banques européennes dont les marges sont tout autant laminées avec la politique des taux zéro. Chaque émission de monnaie supplémentaire par Mme Lagarde devra être considérée comme une destruction supplémentaire de la valeur de la monnaie euro, un baril de poudre supplémentaire susceptible d’exploser le jour J ! L’économiste de renom Jean-Luc Ginder, dans Le Huffington Post, n’a pas hésité à parler d’« une crise à venir trente fois plus puissante qu’en 2008 ».

    En 2011-2012, la Grèce empruntait à 33 %, contre 2,8 % aujourd’hui, l’Italie à 7 %, contre 1,85 % aujourd’hui, tandis que l’Allemagne et la France en quasi-faillite, avec un endettement du PIB à 100 %, empruntent à des taux négatifs pour la première fois de leur histoire. Tout cela se terminera par l’effondrement de la monnaie et du Système, la ruine des épargnants, Mme Lagarde étant toujours à la tête de la BCE après avoir simplement retardé le plus longtemps possible le moment de l’explosion.

     
  • LAETITIA AVIA A-T-ELLE UNE DENT CONTRE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION ?

  • Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger ?

     
    Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger ?

    De Bernard Antony :

    Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger et des autres grandes villes d’Algérie pour « fêter », avec les formes motorisées de la fantasia, une victoire de l’équipe de France de fouteballe ? Et si, un très grand nombre des plus excités de ces supporters s’avisaient de briser des vitrines, de piller les magasins et d’incendier des dizaines de voitures ? Et si, de plus, cela se produisait le jour de la célébration de la fête nationale algérienne ?

    On imagine sans mal les réactions :

    – des Algériens bien sûr, qui d’ailleurs ont été très fellaghalement éduqués à commémorer ce jour (1er novembre 1954) sans aucune repentance de ce qu’en fut l’atroce réalité, à savoir des assassinats de pieds-noirs et de musulmans patriotes français,

    – de la police et des autorités judiciaires algériennes : les casseurs et incendiaires, de surcroît jugés comme traîtres puisque brandissant des drapeaux français, ne seraient pas prêts de sortir de prison avant des mois, des années et peut-être pas vivants…

    Mais c’est bien la peine pour l’État français d’organiser un beau défilé du 14 juillet avec notre admirable armée et d’inaugurer la veille à Cherbourg le premier d’une série de sous-marins ultra-perfectionnés alors que tant de rues sont livrées à la faune de casseurs, de pillards et d’incendiaires algériens brandissant, conquérants, leurs drapeaux.

    On imagine comment seraient traités de pareils transgresseurs de la paix civile en Russie, aux États-Unis, en Israël ou au Japon…

    La politique qui s’impose à l’égard de ces vandales tient en deux mots : « dedans ! », puis « dehors ! ». D’abord « dedans », c’est-à-dire « au trou » après les justes condamnations qui s’imposent pour saccages, vols et incendies. Ensuite « dehors », c’est-à-dire à leur sortie de prison le renvoi dans leur si prospère Algérie de tous ceux parmi ces délinquants ayant la nationalité algérienne, étant donné que dans les cas très fréquents de doubles nationalité, ils doivent être déchus de la nationalité française.

    Quand donc s’exprimera à la tête de l’État la détermination d’en finir avec les barbares de « Nique la France » ?

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  • Greta Thunberg à l’Assemblée : interdit de rigoler…

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    Ainsi donc, dans quelques jours, Greta Thunberg arrivera en France pour recevoir, à Caen, le prix Liberté… et s’exprimer devant l’Assemblée nationale. Richard Ferrand, sur son perchoir, tel le vieillard Siméon, tendra sans doute une main tremblante vers l’enfançon : « Et nunc dimittis ».

    À la question très sérieuse de Libération – qui a obtenu de haute lutte un entretien – « Vous avez choisi de venir parler devant l’Assemblée nationale le 23 juillet »,  elle répond sans complexe : « J’ai reçu de nombreuses invitations pour m’exprimer devant de nombreux Parlements. J’ai dû décliner pour beaucoup. Cette fois, cela semblait être un bon timing pour la France. »

    On comprend donc qu’il faut, en sus, que nous nous sentions honorés. Peut-être même devrions-nous nous prosterner ? Viva Greta Thunberg, viva notre bienfaitrice !

    « On ne sait pas ce qui va se passer, tout est possible » est la citation de la jeune fille que Libération a choisi de mettre en exergue dans son titre. Merci de cette lapalissade. C’est un assez bon résumé de la condition humaine. Dit autrement par Woody Allen : « Tant que l’homme sera mortel, il ne sera jamais décontracté. » De fait, Greta Thunberg ne semble pas très détendue. Et c’est donc cela que tout un parterre de députés recueillis, la tête penchée, les mains jointes prêtes à applaudir à tout rompre, va devoir se coltiner sans ricaner ?

    Après l’enfant-roi, l’ado-Dieu. Remettre en doute son « expertise » promue dogme de foi – qu’elle reconnaît pourtant elle-même aussi incertaine qu’invérifiable : « On ne sait pas ce qui va se passer, tout est possible » – devient un blasphème, faisant de celui qui le profère un parangon du camp du mal : « Êtes-vous affectée par le fait d’être ciblée par des campagnes de dénigrement de l’extrême droite ? » demande Libération« Bien sûr que cela m’atteint. Mais, malheureusement, c’est ce qu’on doit supporter quand on soutient une cause  : recevoir de la haine, des menaces, être la cible de mensonges. » Greta Thunberg, pour sauver la planète, est prête au martyre. Sous les ors de la République et les ovations des puissants, quand même.

    La petite va prendre une année sabbatique pour aller porter la bonne parole. S’il s’agit de répéter ce fantastique aphorisme ci-dessus cité dans toutes les langues « Wir wissen nicht was passieren wird, alles ist möglich, we do not know what will happen, everything is possible, no sabemos qué va a pasar, todo es posible, non sappiamo cosa accadrà, tutto è possibile… », ma fille qui a peu ou prou le même âge veut bien s’en charger : pour voir du pays, c’est mieux qu’Erasmus. Sauf que ses parents (des tortionnaires) sont plutôt du genre à l’envoyer ranger sa chambre, faire des maths et ne la laisser s’intéresser au climat que pour décider ou non de prendre un parapluie. Ce que c’est, que l’obscurantisme.

    « De jeunes Français engagés pour le climat » seront également là, a précisé à l’AFP le député Matthieu Orphelin, à l’initiative de cette merveilleuse intervention. Choisis, donc, parmi ceux qui, le 15 mars, ont séché les cours pour manifester. Loin d’être sanctionnés, ils se voient dérouler le tapis rouge. Non contente de ne leur avoir pour ainsi dire rien transmis, aucune connaissance ou si peu, notre société les encourage en sus à venir dispenser eux-même leur cours magistral sur la tribune comme s’ils avaient la science infuse et le don de prophétie.

    Sur Twitter, une jeune Martiniquaise répondant au prénom d’Alexane explique doctement, ces derniers jours, avoir « boycotté l’épreuve de littérature du bac L de cette année qui portait sur un roman [Hernanidu RACISTE NOTOIRE Victor HUGO » et initié une pétition. Sa vidéo, vue plus de 750.000 fois, fait le buzz. Un début encourageant.

    Sans doute se voit-elle comme la Greta du racisme ? Et pourquoi n’aurait-elle pas, elle aussi, sa place sur le podium ? Pourquoi ne saurait-elle pas mieux que les adultes le sujet qu’il faut donner et les auteurs à dégager ?

    Chers amis profs, vous avez raison de vous reposer. Dans ce monde de fous, la rentrée de tous ces jeunes promet…

    Gabrielle Cluzel

    https://www.bvoltaire.fr/greta-thunberg-a-lassemblee-interdit-de-rigoler/

  • Un 14 juillet placé sous le signe de l’invasion

    Quel pays accepterait que le centre de sa capitale et de ses plus grandes villes soit ravagé par les supporters d’un pays étranger ? Un seul au monde, peut-être, la France.

    Le Rassemblement national, après la casse de jeudi, avait pourtant demandé au gouvernement d’interdire aux supporters algériens de venir sur les Champs-Elysées. On se doutait que le risque était que ces derniers ajoutent le plaisir du pillage au plaisir de la victoire, dans le match Algérie-Nigéria. Ces manifestations violentes derrière le drapeau algérien avaient l’allure de provocations en haine de la France. Les Champs-Elysées avaient vu le matin même le défilé de nos troupes, puis des tensions avec les Gilets jaunes, mais derrière le drapeau tricolore, quand même. L’invasion de la même avenue par des masses étrangères, et cette marée de drapeaux algériens était une vision parfaitement insupportable.

    Des violences, nous y avons eu droit, à nouveau, non seulement sur les Champs, à partir de 2 heures du matin environ (25 arrestations), mais aussi à Marseille vers la Porte d’Aix, où des bandes masquées ont affronté la police jusque tard dans la nuit, et à Lyon ainsi que dans plusieurs communes de sa banlieue. Dans le Rhône, de très nombreuses voitures ont en outre été incendiées. Lundi matin, les médias officiels s’efforçaient de minimiser la casse, mais les images étaient là, et on commence à se demander ce que peut nous réserver la finale.

    Délinquants à double titre

    L’invasion algérienne des Champs-Elysées n’est pas le seul évènement à avoir gravement terni les cérémonies. Nous avons en effet assisté, le vendredi soir précédant ce week-end du 14 juillet, à l’assaut du Panthéon par 400 à 700 immigrés clandestins. Ces hommes étaient encadrés par des militants (blancs) d’extrême gauche, réunis au sein de divers collectifs, des collectifs bénéficiant de financements eux-mêmes étrangers. Envahissant cette ancienne église du quartier latin, volée à l’Eglise par la Révolution, et transformée en mausolée pour les grandes figures du système, ils ont occupé les lieux jusqu’au soir, chassant les touristes du quartier. Ces envahisseurs étaient délinquants à double titre : ils n’avaient aucune qualité pour séjourner dans notre pays. En outre ils s’étaient emparés d’un bâtiment public, qu’ils ont donc occupé plusieurs heures. Pour moins que ça, des mouvements identitaires ont été dissous, et des militants condamnés à de la prison ferme. L’objectif des doubles délinquants : « obtenir des papiers et des logements pour tous ».

    Certes ils n’ont pas profité de leur séjour pour violer le cercueil de Simone Veil ou de quelques autres panthéonisés, mais même s‘ils l’avaient fait, nul doute que des circonstances atténuantes leur auraient été trouvées.

    La manifestation s’est poursuivie à l’extérieur du bâtiment. Ils ont reçu le soutien d’élus mélenchonistes et de militants écologistes. Evidemment, à plusieurs centaines, et certains de leur impunité, ces commandos peuvent réitérer sans problème leurs actions. 37 arrestations ont été opérées, au cours des affrontements, mais « uniquement pour vérifier les identités », ont pris la précaution de préciser les autorités, trop inquiètes de voir dégénérer une situation qu’elles reconnaissent ne plus être capables de maîtriser.

    Emeutes d’Africains par ici, d’Algériens par-là, c’était un 14 juillet classique, unissant les Français dans la ferveur républicaine, en somme.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 15 juillet 2019

    https://fr.novopress.info/

  • La profanation du Panthéon, nouvelle étape de la lâcheté des gouvernants ?

    Et si l’injure faite aux grands noms de la France aux marches du Panthéon était l’ultime étape de la lâcheté des gouvernants ?Ces clandestins aux ordres d’associations, qui ont pignon sur rue, illustrent l’ultime dérive de nos institutions.
    Dérive, puisque quiconque s’affranchit de nos lois peut provoquer l’État, souiller la République et ridiculiser la France à l’étranger. 
    Ceux qui commettent un acte empreint d’un tel mépris à l’égard de la France agissent de cette façon parce qu’ils sont conscients de la déliquescence de nos institutions, du silence d’un peuple joué par les « puissants », de la lâcheté des clercs.
    On ne peut que noter le silence du pouvoir face aux provocations de ceux qui ont instrumentalisé ces troupes clandestines. 
    Or, les associations qui les ont encadrés ont désormais des comptes à rendre à la nation.
    Leur activisme d’hier doit conduire le pouvoir à prendre des sanctions propres à mettre un terme à ces provocations, et il ne peut s’agir de menaces verbales mais d’actes de nature à mettre enfin un terme à ces provocations et l’existence même de ces associations.
    Spectateurs aujourd’hui d’actes inadmissibles, parions que les Gaulois se réveillent demain et que les responsables politiques du pays prennent enfin conscience des périls à venir. 
    Général de division (2S) Daniel Roudeillac

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/la-profanation-du-pantheon-nouvelle.html

  • Désinformation à rebonds autour du thème du grand remplacement.

    Une courte video punchy, à ne pas mettre à la portée de toutes les oreilles…

  • Drame social sans importance ?

    Les élections sont passées et les plans dits sociaux reprennent, à peine gênés par les déclarations martiales d’un gouvernement qui semble ne plus être qu’un Etat-ambulance quand il faudrait un Etat politique, actif, voire directif, capable de s’imposer aux féodalités financières et économiques : en fait, nous sommes bien loin de la formule célèbre du général de Gaulle qui considérait que la politique de la France ne se faisait pas à la Corbeille, et qui fixait le cap pour la France sans avoir besoin d’étatiser l’économie. En cela, il pratiquait une politique que n’aurait pas renié un La Tour du Pin, ce royaliste social soucieux d’une forme d’« économie d’entente » qui ne laisse pas les puissances patronales s’émanciper de leurs devoirs sociaux. Mais aujourd’hui l’Etat est faible quand les féodalités sont fortes et arrogantes, fixant leur calendrier selon le temps des actionnaires et non selon les intérêts des travailleurs, simples rouages productifs d’une Machine-Marché qui les dépasse et, plus certainement encore, les méprise.

    C’est aujourd’hui Belfort qui est témoin de cette suffisance d’une multinationale, en l’occurrence General Electric, celle-là même qui a mis la main sur la branche énergie d’Alstom en promettant des créations d’emplois auxquelles le gouvernement socialiste de l’époque fit semblant de croire mais qui ne vinrent jamais en réalité : « les promesses n’engagent que ceux qui y croient », disait Charles Pasqua, et ce qu’il formulait pour les élections s’avère tout aussi vrai pour les affaires économiques. Toujours est-il que désormais mille emplois directs sont condamnés et que c’est toute une ville qui est concernée et blessée, encore une fois : ce mouvement entamé à la fin des années 1970 semble sans fin, et rien ne semble pouvoir tenir tête à ce rouleau compresseur de la mondialisation qui déshabille Paul en France pour rhabiller (souvent moins bien encore) Pierre dans des pays aux faibles coûts salariaux, et qui, en définitive, profite toujours plus aux détenteurs du capital et des actions qu’aux ouvriers.

    Dans cette nouvelle affaire, il est néanmoins un élément qui frappe l’observateur, c’est la discrétion des médias qui n’y consacrent que quelques lignes et quelques minutes vite oubliées, et les découpes de presse sur ce dossier tiennent peu de place sur le bureau, comme si, déjà entendue, la cause ne valait pas plus qu’un grand article en pages intérieures, même pas annoncé en couverture. Cette indifférence à ce nouveau drame social est fort révélatrice de cette accoutumance aux mauvais us et coutumes de notre modèle économique dominant et mondialisé, et elle n’a rien de rassurant ! Et si, par malheur et dans un moment de dépit fort compréhensible, des ouvriers brisent quelques vitres et séquestrent quelques dirigeants indélicats, ils seront dénoncés comme d’odieux factieux qui méritent bien ce qui leur arrive ! Le cynisme de cette République si peu sociale (à rebours des souhaits d’un de Gaulle, si marqué par le catholicisme social qu’il rêva d’en faire une politique sous le nom de « participation ») me navre et m’encolère, mais elle ne me surprend plus. Mais doit-on se contenter de ces sentiments-là, de ces poings serrés de rage et de ces jurons lancés à la face de multinationales qui s’en moquent bien ?

    La réponse à ces drames sociaux mille fois renouvelés est politique, éminemment politique ! Il faut en finir avec ce fatalisme d’Etat et renouer avec une volonté politique qui sache poser et imposer, par la décision rigoureuse mais réfléchie, par une stratégie de politique économique qui place les hommes et leur travail avant les seuls profits des actionnaires ou des dirigeants d’entreprise. Il ne s’agit pas de faire du socialisme mais d’être « social ». Et l’Etat a, depuis les Capétiens, un devoir qui est de protéger ses sujets qui ne sont pas des objets jetables : s’il doit le faire sur le plan de la sécurité civile et nationale, il doit aussi l’assumer sur le plan social. C’est un devoir régalien, et à celui-ci, il faut un pouvoir régalien véritable : en France, malgré Clemenceau ou de Gaulle, régalien signifie royal, rien de plus mais rien de moins…

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com