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https://www.peupledefrance.com/2019/08/macron-ose-interpeller-moscou-usage-excessif-force.html
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Note préalable : Nous ne sommes pas gaulliste, et cet article ne s’intéresse pas à De Gaulle en tant que tel !
C’est, en creux, la question qu’on aimerait poser au Général Lecointre, actuel CEMA (chef d’état-major des armées), suite aux propos qu’il a tenus devant la représentation nationale, et qui sont par ailleurs rapportés et analysés par le blog OPEX 360.
Le CEMA a exactement dit :
Je me suis exprimé tout à l’heure devant un certain nombre de généraux en 2e section en leur disant que je comprenais que M. Untel ait envie de faire de la politique et de s’engager pour être député, sénateur ou maire, mais que je ne comprenais pas que le général Untel en 2e section le fasse, et que si je comprenais bien que M. Untel prenne publiquement fait et cause pour telle ou telle liste, je ne comprenais pas que le général ou l’amiral Untel fasse des déclarations publiques de cette nature. Pour moi, c’est une remise en cause de la stricte neutralité politique des armées, qui est fondamentale et que nous devons préserver comme un bien extrêmement précieux.
Aucun nom n’a été cité, mais quelques-uns nous viennent facilement à l’esprit, de Piquemal à Tauzin en passant par Dary, ou encore, du côté de la Macronie, Trinquant…
Cette protestation de loyauté à l’égard de l’exécutif politique du moment a quelque chose d’étrange pour un régime politique et son armée qui ont Charles De Gaulle pour héros et incarnation de la légitimité et de l’honneur. Or il fut en son temps rebelle à l’exécutif en place, légitimant sa prise de position de dissident précisément par son état militaire, et son grade de général. Il y a là une incohérence majeure.
Cette incohérence se double d’un dramatique manque de lucidité quant à la situation actuelle de notre pays, et cette position légaliste méconnait totalement notre état de déréliction, et les hypothèses croissantes de notre effondrement, et encore la responsabilité immense qu’y ont nos élites républicaines, et les exécutifs successifs devant lesquels le CEMA voudrait voir les généraux muets.
Bien au contraire, le fait que des officiers généraux, fussent-ils en 2ème section (une position de simili-retraite, voir l’article du blog cité ci-dessus), s’expriment ès-qualité à ce sujet, est tout à leur honneur et à celui des armées, et le silence veule sinon complice de beaucoup d’autres est au contraire le témoignage d’une collaboration tacite à notre propre décadence. Au moins la collaboration d’une partie de l’État français pouvait-elle s’expliquer par le fait qu’elle se faisait avec le canon du Schmeisser sur la tempe, ce qui n’est pas franchement le cas aujourd’hui.
Le général Lecointre, ainsi que tous ses camarades lourdement étoilés, devraient consacrer un peu de leur très court temps libre à se projeter dans quelques années, et s’interroger sur le jugement qui sera porté sur leur strict cantonnement à la seule chose militaire au sens technique et opérationnel, et à leur silence quant aux débats essentiels à la destinée nationale.

« J’ai été horrifié que la politique d’ouverture des frontières se poursuive si brutalement. »
L’ancien général allemand Joachim Wundrak, trois étoiles, veut devenir maire de Hanovre sous les couleurs de l’AfD. Il accuse la chancelière allemande d’une politique « anti-allemande » visant à « dénationaliser » l’Allemagne.
Monsieur Wundrak, vous avez été membre de la CDU pendant six ans. Vous avez démissionné en 2014, pourquoi ?
A l’époque, j’ai constaté que la politique migratoire du gouvernement fédéral était complètement hors de contrôle et que la police fédérale était même empêchée de rétablir l’ordre.
Qu’avez-vous pensé quand la crise des réfugiés a éclaté un an plus tard ?
J’ai été horrifié que la politique allemande d’ouverture des frontières se poursuive aussi brutalement. Mais je n’ai pas rejoint l’AfD à ce moment. J’espérais que la dissolution des frontières n’était pas un calcul politique.
Vous sous-entendez donc une perte délibérée de contrôle de la part du gouvernement ?
Je n’irais pas aussi loin : Bien entendu, l’Etat ne voulait pas perdre le contrôle. Mais il l’a accepté avec sa politique. En 2017, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré qu’elle ne voyait pas ce qu’elle aurait dû faire différemment. En d’autres termes, rétrospectivement, elle n’a rien compris. Quand j’ai entendu cela, j’ai décidé de rejoindre l’AfD. Mais j’y ai bien réfléchi. Parce que je savais qu’il y avait des risques. […]
[,,,]
Friedrich Merz, politicien de la CDU, a récemment déclaré dans une interview au journal « Bild » que son parti risque de perdre le soutien de la police et de l’armée. A-t-il raison ?
C’est certainement un problème pour la CDU/CSU. L’AfD est le seul parti qui soutient pleinement la Bundeswehr [NDLR : l’armée allemande]. Cependant, l’appui de l’AfD dans les milieux policiers est susceptible d’être encore plus important que parmi les soldats.
Pour quelle raison?
Parce que les camarades de la police constatent tous les jours dans la rue les dérives de la politique allemande. Ils se trouvent aux premiers rangs, au front.
Hier, votre parti vous a désigné comme candidat aux élections municipales de Hanovre avec 98 % d’approbation. Dans votre discours, vous avez décrit la liberté, la raison et la responsabilité comme étant des termes clés de votre vie. L’AfD est-il un parti raisonnable?
Oui. Mais savez-vous une chose? Personne ne lit notre programme. Si vous le lisez, vous aurez une impression différente de ce parti. Le programme de l’AfD d’aujourd’hui s’inscrit dans le droit fil du programme de la CDU de 2003 et j’ai même juxtaposé les deux programmes une fois. En écoutant les discours de l’AfD au Bundestag, je dois dire que c’est du pur bon sens.
[…]
Lors de votre première apparition, vous avez déclaré que « lorsqu’une grande partie du spectre de la gauche, y compris la chancelière d’un parti autrefois plutôt conservateur, se positionne comme anti-allemand, cela signifie que beaucoup de choses ont dû mal fonctionner ». Qu’entendez-vous par « anti-allemand » ?
Je veux parler de la tendance de l’Allemagne à s’éloigner de plus en plus de l’État-nation. Madame Merkel a prêté serment sur l’Allemagne, mais elle a déjà du mal à parler d’un peuple allemand. Elle préfère parler de « population ». Beaucoup de politiciens allemands ont du mal à s’engager pour leur propre nation. Même la protection de leurs propres frontières n’est plus un objectif prioritaire. L’Allemagne cède de plus en plus de souveraineté à l’UE, à la Banque centrale européenne et aux organisations supranationales. Je ne pense pas que ce soit juste. L’État-nation est la première forme d’organisation de l’Allemagne. Là où les structures deviennent trop grandes, un esprit antidémocratique émerge rapidement.
[…]
Le navire humanitaire se trouve en mer Méditerranée avec 121 migrants à son bord. Malte et l'Italie ont tout deux refusé de laisser débarquer l'Open Arms et Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur italien, est allé jusqu'à menacer de saisir le bateau."Que l'Open Arms ne l'oublie pas, les eaux territoriales italiennes sont fermées pour lui et nous sommes prêts à confisquer le navire", a ajouté Matteo Salvini.

L’économiste Bernard Monot, ex-député européen, prévoit lui-aussi un krach économique imminent.
J’avais annoncé celui de 2008 trois mois avant qu’il ne se produise. Aujourd’hui, l’ensemble des banques font de la création monétaire et tout est financé par la dette, publique et privée, qui atteint un niveau inédit. Je m’attends à un krach encore pire, un Pearl Harbour financier qui se produira, je pense, entre 2019 et 2021. Lorsqu’il frappera l’Occident, le système financier bancaire occidental s’effondrera. Avec la directive d’union bancaire, tout l’arsenal légal est en place pour spolier et exproprier les Français de leur argent, et de leurs comptes bancaires – voire plus encore en France, où une loi particulière, la loi Sapin 2, est le pendant de l’union bancaire pour les contrats d’assurance-vie à capitalisation. L’argent sera bloqué, puis confisqué, même en-dessous du pseudo-seuil de protection de 100.000 euros, au-dessous duquel les comptes des Français ne seraient – prétendument – pas ponctionnés. C’est un mensonge institutionnel.
(in Minute, 29 mai 2019)
Devenir propriétaire engendre de nombreux frais. Même si la taxe d'habitation va disparaître progressivement, la taxe foncière, elle, risque d'augmenter régulièrement.
Il s'appelait Franck Chesneau. Le vendredi 2 août, à Générac, il luttait contre un incendie d'origine criminelle. Son avion, un Tracker 22 de la sécurité civile, qui aurait du s'arrêter de voler en 2008, s'est écrasé à 17 h 20.
Âgé d'une cinquantaine d'années, il était marié et père de deux enfants, âgés de 14 et 17 ans...
Le lundi 5 août, le Système l'a décoré - à titre posthume - de la Légion d'honneur : c'est évidemment amplement mérité et c'est bien la moindre des choses. Il aurait mieux fait, le Système, de lui offrir sinon un avion flambant neuf, au moins un appareil correct, "avant" !...
Nous lui avons immédiatement rendu l'hommage qu'il méritait, sans note, seulement avec le titre laconique : "Soldats du feu, soldats tout court, héros français..."
Il convenait, sur le coup, de respecter un délai de décence, et de laisser la famille, les proches et les amis, commencer leur travail de deuil, et de ne pas lancer trop tôt une polémique.
Mais aujourd'hui, maintenant que cinq jours ont passé, on peut commencer à crier sa colère et à accuser... le Système !
Oui, le Système.
Car "on" trouve chaque année, et depuis des décennies, des milliards pour l'AME, qui n'est rien d'autre qu'une incitation au clandestinisme et à la violation de nos lois. "On" trouve, comme par magie, des gymnases désaffectés, des écoles fermées, des gendarmeries abandonnées, des casernes de pompiers ou militaires vidées, bref, mille endroits, aussitôt rénovés à grands frais pour y loger... "des gens qui fuient la guerre chez eux" !
Mais, quand Hitler a envahi une France que la République avait désarmé et que le Front Populaire n'avait pas préparé au péril imminent dont on savait bien qu'il nous guettait, les Français sont-ils partis au Kenya, en Uruguay, au Viet-Nam ou ailleurs, pour "fuir la guerre" ?
Quelle est cette étrange justification (!) : dès qu'un pays est en guerre, donc, il est logique et normal que ses habitants s'en aillent "ailleurs" ? Et les gens d' "ailleurs" sont tenus de les accueillir ? On est là en pleine aberration mentale, si l'on peut dire !
La vérité est que le Système dépense des milliards - et, ce, depuis des années... - pour accueillir des envahisseurs de confort et/ou économiques, qu'il rebaptise "migrants", pour faire passer la pilule (avec la bénédiction du Pape !, un comble pour un Système non pas laïque mais hypocritement et haineusement laïciste, envers la seule religion chrétienne).
Et ces milliards, c'est précisément l'argent qui manque, et que le Système refuse :
- aux personnels de Santé en général : infirmiers, urgentistes, aides-soignants, personnel des EHPAD... qui n'ont ni le salaire qu'ils méritent ni les conditions de travail décentes, pour eux et les patients, qu'exigent leur tâche difficile...
- aux pompiers, qui se sont mis en grève pour protester eux aussi contre des manques de moyens de plus en plus criants...
- aux Sauveteurs en mer, dont le drame récent du début juin dernier est venu rappeler à tous la vétusté du matériel et le manque criant, là aussi, de moyens financiers...
- à notre réseau routier - donc à la sécurité de tous - et à l'état lamentable d'un grand nombre de routes et, selon un rapport du Sénat, datant de juin dernier, de 25.000 ponts jugés dangereux...
- à nos Armées, dont on a, certes, augmenté le budget, pour le faire tendre vers les 2% du PIB, mais bien loin cependant des 4% dont elles disposaient dans les années soixante : on ne compte plus les hélicos qui ne peuvent voler, les matériels roulants qui demandent autant ou plus d'heures de réparations qu'ils n'en passent sur le terrain, les pilotes de chars ou d'avions dont le nombre d'heures d'entraînement a été dramatiquement réduit...
- à nos paysans, qui font vivre nos paysages - ces paysages si beaux que le monde nous envie - mais qui manquent d'eau parce qu'on ne constelle pas la France des retenues, barrages, lacs artificiels qui permettraient de retenir l'eau de pluie qui tombe en hiver pour en profiter l'été : l'Espagne, où il pleut bien moins que chez nous, récupère 20% des eux de pluie hivernales, la France... 2 % !...
- et enfin, pour en revenir à notre point de départ (mais cette courte liste n'est pas limitative) à nos soldats du feu, qui doivent lutter contre les incendies avec, on l'a dit en commençant, des appareils qui auraient du être retirés du service en... 2008 !
Alors, oui, après la mort de Franck Chesneau on peut et on doit poser la question politique qui dérange : la France est un pays riche, comment donc en est-on arrivé là ?
Parce que, si la France est bien un pays riche, c'est un pays mal géré par le Système. Un Système qui ne part pas de l'humble et modeste observation des choses, des réalités d'en bas, mais de ses présupposés idéologiques, de ses nuées, de ses abstractions.
Des abstractions qui, peu à peu, déclassent et ruinent le pays...
Des abstractions qui tuent...
Voilà pourquoi nous menons et nous continuerons à mener la seule action qui mérite de l'être : une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet).

Essayez de dire ça : « L'homme noir ne peut pas, dans sa chair, dans son âme, incarner l'antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n'aura raison contre une femme blanche ou asiatique. Il va bien falloir que l'Afrique le comprenne un jour ». Bien sûr que vous ne le direz pas. Et à supposez que vous le fassiez, les micros, dégoûtés, se détourneraient de vous.
Et maintenant, écoutez ça. « L'homme blanc ne peut pas, dans sa chair, dans son âme. incarner l'antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n'aura raison contre une femme noire ou arabe. Il va bien falloir que la France le comprenne un jour. » C'était dans l'émission de Lauren Bastide sur France Inter, une radio qui vit de notre redevance audiovisuelle. Il est bien normal de payer pour être insulté, non ?
La personne qui a tenu, en toute liberté ces propos abjects, s'appelle Maboula Soumaharo. Pour éviter tout jeu de mot facile sur « Maboula, le féminin de maboule ? », précisons qu'elle est parfaitement saine d'esprit. La haine, en effet, n'est pas considérée comme une pathologie psychiatrique.
France Inter la présente comme étant « angliciste » et « civilisationniste ». Et précise qu'elle est maître (la radio dit « maîtresse ») de conférence à l'université de Tours. Pas un mot, en revanche, sur le fait qu'elle est proche des Indigènes de la République, une association qui vomit les « souchiens ». Pas un mot non plus sur le fait que Maboula Soumaharo co-organise des camps « dé-coloniaux » interdits aux Blancs.
Normal que France Inter ne le dise pas : on ne va quand même pas expliquer aux auditeurs à qui ils ont à faire. N'en déduisons pas pour autant que Maboula Soumaharo déteste tous les Blancs : elle en aime certains. Par exemple, Lauren Bastide, qui l'a reçue. Sa sympathie pour elle est si grande qu'elle n'a pas exigé être interviewé par un journaliste noir. Et si vous voulez savoir pourquoi la journaliste n'a pas réagi aux propos écœurants de Maboula Soumaharo, voici la réponse : c'est qu'un Blanc, ou une Blanche, ne peut pas avoir raison contre une femme noire...
Source : site Atlantico