Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 379

  • Macron veut remplacer des hauts fonctionnaires pas assez loyaux pour accélérer l’adoption de réformes

    Emmanuel Macron a demandé lors du conseil des ministres le remplacement de certains dirigeants d’administration centrale afin de faciliter et accélérer l’adoption de réformes afin que ses réformes soient appliquées plus rapidement, a indiqué la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye mercredi.

    Lors du conseil des ministres, « le président de la République a souhaité que les nominations à la tête des administrations centrales puisse refléter notre volonté » que les réformes soient « accélérées« , avec « une traduction perceptible par nos concitoyens« , a déclaré la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. « Il y aura probablement des annonces et des mouvements à partir de la semaine prochaine et dans le courant du mois de juin« , a-t-elle ajouté. […]

    Depuis le tout début de son quinquennat le chef de l’Etat avait annoncé vouloir remplacer les hauts fonctionnaires réticents, à qui, selon son entourage, il reproche régulièrement de freiner ses réformes. Une forme de « spoil system » à la française, traduisez « système des dépouilles », une pratique américaine consistant à remplacer les responsables clés des administrations par des personnalités dont la loyauté est acquise au nouveau pouvoir. Mais il n’a pas jusqu’ici mené de remplacements de grande ampleur, se contentant de mettre les hauts fonctionnaires sous pression, en les faisant convoquer parfois à l’Elysée, ou en sondant les postulants avant leur nomination, selon la même source.

    LCI

    http://www.fdesouche.com/1215377-macron-veut-remplacer-des-hauts-fonctionnaires-pas-assez-loyaux-pour-accelerer-ladoption-de-reformes

  • La SNCF lance un programme d'1,3 million d'euros pour aider les migrants à s'intégrer

    1043513-sncf.jpgSouvent mise en présence des réfugiés dans ses trains et ses emprises ferroviaires, SNCF lance un programme d'1,3 million d'euros pour les aider à s'intégrer, par l'intermédiaire d'associations mais aussi par l'action directe de ses salariés.
    La crise migratoire européenne est un enjeu économique, social et politique majeur. Le train est pour les migrants un moyen de transport souvent utilisé pour circuler en Europe.
    Face aux flux de migrants, SNCF - tout en assurant la sécurité de ses infrastructures - a mis en œuvre des actions de prévention pédagogiques pour les migrants et de sensibilisation pour les agents avec l’aide d’associations.
    Aujourd’hui, elle passe à l’étape supérieure, comme l’explique Stéphane Volant, secrétaire général : "SNCF a pris les mesures de sécurité qui s’imposaient pour protéger les migrants. Aujourd’hui, il faut aller plus loin et aider les réfugiés à s’intégrer".
    SNCF et sa fondation souhaitent ainsi accompagner 1 000 réfugiés d’ici 2021 avec l’appui de partenaires associatifs et de ses salariés.
    Le programme prévoit ainsi une aide financière de 1,3 million d’euros et propose un accompagnement de salariés SNCF pour aider les réfugiés à parler le français et à comprendre la culture française.
    [...]
    En savoir plus sur sncf.com

  • Guillaume Roquette (Le Figaro) estime que la loi du talion est légitime pour les Jihadistes français condamnés à mort en Irak

     
                                       
    Guillaume Roquette sur les Jihadistes français condamnés à mort en Irak : «La loi du talion est légitime. On ne peut pas dire que les Irakiens jugent comme ils l’entendent et refuser la sentence. Je remarque d’ailleurs que la France les a dans le passé éliminés sans jugement.»
    – LCI, 28 mai 2019, 23h44

  • Écologie punitive et politique écocide : à cause de l’Union européenne, c’est la double peine !

    Edwige Diaz

    Tribune libre d’Edwige Diaz, membre du Bureau National 

    L’Union européenne est devenue maître dans l’art de ce qu’on appelle le «Greenwashing». C’est-à-dire qu’elle vernit ses discours en vert. Mais derrière son verbiage technocratique, la vérité apparaît !

    En effet, l’Union européenne perçoit l’Europe uniquement comme un espace de marchés. Soumise à l’ultralibéralisme et à son corollaire, les traités de libre-échange avec la terre entière, elle encourage l’envahissement de nos océans par des porte-conteneurs qui, même équipés des dernières technologies, abîment la biodiversité en produisant chacun autant de dioxyde de soufre qu’un million de voitures. La flotte commerciale mondiale représente 93 000 bâtiments dont on ne sait par quelle hérésie leur fioul lourd n’est pas taxé.

    Quelle injustice ! Alors que les directives européennes nous interdisent d’exonérer de TVA la TICPE et que la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte impose une augmentation significative de la Taxe Carbone jusqu’en 2030.

    Mariez un matraquage fiscal déguisé en «écologie incitative» à une politique irresponsable de dénucléarisation du mix énergique à court terme et vous obtenez une folle et coûteuse politique de développement des EnR, souvent très consommatrices en énergie grise. 

    Éolien (véritable aberration écologique destructrice des écosystèmes) et photovoltaïque (qui nous rend dépendant des puissances asiatiques, propriétaires de terres rares, extraites dans des conditions environnementales et éthiques contestables) constituent le summum de la tartufferie écologique. 

    De même, le bilan de l’Union européenne en termes de lutte contre la pollution aux pesticides est plus que contrasté et reflète la parfaite soumission de l’UE aux lobbies et aux puissances d’argent.

    En effet, si l’Union européenne se gargarise d’avoir interdit (bien que trop tardivement) certains néonicotinoïdes, elle reste beaucoup plus silencieuse quant à la récente décision de sa Commission. Celle-ci, sous pression des lobbies, n’a pas accepté d’élargir le champ d’évaluation de la toxicité des néonicotinoïdes qui reste limité aux abeilles domestiques. 

    Quant à d’autres pesticides, tout autant destructeurs d’insectes pollinisateurs et générateurs de perturbateurs endocriniens, tel le Sulfoxaflor, l’UE a tout simplement préféré ignorer les préconisations des eurodéputés RN !

    Pire! L’écologie sert de prétexte à l’Union européenne pour imposer la dérèglementation totale des marchés. 

    Ainsi, pour atteindre ses objectifs trop élevés et par conséquent quasiment inatteignables en termes de production d’énergies renouvelables (rapport de la Cour des comptes de mars 2018), l’Union européenne a décidé, en septembre 2018, de supprimer les mesures antidumping (taxes à l’importation) qui assuraient un minimum de protectionnisme aux rares constructeurs industriels européens.

    Le très technocratique Traité sur le Fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) atteint le paroxysme de la perniciosité.

    L’article 106, au nom de la «concurrence libre et non faussée», impose l’ouverture à la concurrence de tous nos services publics, les soumettant de fait à la notion de rentabilité entrepreneuriale. 

    Deux exemples sont symptomatiques : 

    • la privatisation des barrages hydroélectriques (150 d’ici à 2022 et l’ensemble du parc d’ici à 2050) qui sera responsable de l’augmentation des tarifs de l’électricité (et ce, indépendamment de l’augmentation de 6% déjà prévue en juin 2019).  
    • L’ouverture à la concurrence de la SNCF avec notamment le volet TER prévu en 2023. Les grandes perdantes seront inévitablement les petites lignes qui irriguent la ruralité. Pour se déplacer, il faudra donc prendre la voiture. Où est la cohérence écologique ? 

    L’article 140 interdit à notre budget national d’avoir un déficit de plus de 3% de notre PIB.

    Prise en étau entre la soumission à des politiques communautaires coûteuses (gestion d’une immigration massive, contribution excédentaire au budget de l’UE, impuissance face à la concurrence fiscale et déloyale infra européenne…) et une absence de souveraineté budgétaire, la France doit, pour faire des économies, organiser elle-même le démantèlement de ses services publics de proximité (maternités, classes, bureaux de poste, antennes CPAM, trésoreries…).

    Une fois de plus, cette désertification rurale conduira à l’usage de la voiture.

    Le «désaménagement» du territoire additionné à la casse des services publics sont en marche pour la destruction de l’environnement !

    Face à ces grands enjeux, le juste-échange doit s’imposer comme le nouveau modèle commercial. Le localisme, fils du bon sens, nous permettra d’inverser le coût de la distance pour favoriser la consommation de proximité, de protéger notre biodiversité et nos ressources et ainsi léguer aux générations futures un avenir sain dans un monde durable. 

    https://rassemblementnational.fr/tribunes-libres/ecologie-punitive-et-politique-ecocide-a-cause-de-lunion-europeenne-cest-la-double-peine/

  • General Electric : une tragédie sociale dont Macron est le premier responsable

    ob_4b6be0_ge-belfort.jpg

    Jean-François Touzé Délégué national du Parti de la France, en charge des études et de l'argumentaire

    L'annonce par General Electric de la suppression de 1.000 postes dans son usine de Belfort est incomplète et insincère : si l'on prend en compte les répercussions inévitables sur les sociétés sous-traitantes, c'est, en effet, non pas 1.000 mais au total entre 3.000 et 4.000 emplois qui sont menacés.

    Dans cette tragédie sociale, la responsabilité d'Emmanuel Macron est totale. C'est lui, en effet, qui, en tant que Secrétaire général adjoint de l’Élysée chargé des affaires industrielles, puis en tant que ministre de l'économie, fut le chef d'orchestre de la session de la branche énergie d'Alstom à General Electric qui avait pris l'engagement non seulement de conserver tous les postes existants mais d'en créer mille nouveaux.

    Macron a donc agi soit par incompétence, soit, en toute connaissance de cause, par cynisme et choix funeste de désindustrialisation de la France amenée à devenir, pour les tenants du mondialisme, un pays de services.

    Dans les deux cas c'est un des fleurons industriels et économiques de notre pays que celui qui est aujourd'hui Président de la République a délibérément bradé, et l'intérêt social d'une ville et d'un département qu'il a négligé au profit exclusif de celui des actionnaires.

    Le Parti de la France réaffirme sa volonté politique d'une réindustrialisation ambitieuse de la France correspondant aux réalités des besoins du marché, et d'une économie européenne ouverte au monde mais conquérante et protégée.

    2017 12 01 PUB SITE 2.jpg

  • Impôts : plus de la moitié du gouvernement a eu un redressement fiscal l'an dernier

    fi1sc_maxnewsworldthree488791.jpgAu total, en 2018, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique a transmis 30 dossiers de responsables publics à la justice, indique son rapport pour 2018.
    Mauvais effet de com' pour le gouvernement.
    À l'heure où les Français doivent boucler leur déclaration d'impôts pour l'année 2018, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique note dans son rapport concernant l'année écoulée que "21 dossiers" de déclaration d'impôts de membres du gouvernement sur 35 "ont donné lieu à des rectifications". Soit 60% du gouvernement, souligne Le Canard Enchaîné à paraître ce mercredi, qui a repéré l'information.
    Ces cas concernent "des membres du gouvernement nommés en 2017 et durant le premier semestre de 2018", précise la Haute autorité, qui "a pour mission de superviser la vérification fiscale des membres du Gouvernement, menée par la Direction généraledes finances publiques (DGFiP) dès leur nomination" afin "d'assurer un contrôle impartial et indépendant".  
    [...]
    En savoir plus sur lexpress.fr

  • Altercation Gilbert Collard/Daniel Cohn-Bendit : sous les insultes, un réel problème de fond…

    6a00d8341c86dd53ef0240a48a0b4e200d-800wi.jpeg

    Le 26 mai, sur TF1, à l’occasion de la soirée des élections européennes, Gilbert Collard et Daniel Cohn-Bendit se sont invectivés et traités de tous les noms. Ce que j’ai vu et entendu de pire dans l’audiovisuel.

    Une honte.

    Les deux journalistes animateurs, Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray, dépassés, impuissants, le premier, étrangement, n’invitant toutefois que Gilbert Collard à se calmer.

    Une faillite.

    Cette altercation unique, d’une infinie grossièreté, Collard renvoyant Cohn-Bendit à son passé et ce dernier n’étant pas en reste dans l’insulte, a fait beaucoup jaser et on s’en est repu sur les réseaux sociaux.

    Un voyeurisme.

    Daniel Cohn-Bendit a pu s’expliquer sur ces échanges délirants et il a évidemment, évoquant l’interpellation de Collard (« Vous êtes un homme de trop ») sur le plateau de « C à vous », fait référence à l’Histoire, à l’antisémitisme et, implicitement, à l’Holocauste. Une généralisation tragique. (Morandini)

    Un détournement.

    Gilbert Collard, lui, a été convié à s’exprimer à « L’Heure des pros » sur ce vaudeville lamentable. Selon lui, Cohn-Bendit doit être « en ce moment dans un EHPAD que lui a réservé Macron ».(Morandini)

    Une outrance.

    Le pire est qu’ont été totalement occultés le fond du problème et la responsabilité de TF1 dans l’organisation de ce débat. Dans quels esprits saugrenus avait pu germer l’idée que Daniel Cohn-Bendit était plausible en « grand témoin » alors qu’il avait appuyé tout au long, ne mégotant pas son soutien, la liste de LREM et la cause européenne du président de la République ? Comme il y avait déjà un représentant de LREM sur le plateau, c’était un déséquilibre qui était instauré. Anomalie d’autant plus préjudiciable qu’on pouvait pressentir le traitement que lui réserverait Gilbert Collard, dont l’indifférence n’est pas le fort.

    Une aberration.

    Épisode dérisoire, dira-t-on. Mais riche de leçons.

    Extrait de : Justice au Singulier

    https://www.bvoltaire.fr/altercation-gilbert-collard-daniel-cohn-bendit-sous-les-insultes-un-reel-probleme-de-fond/

  • Tommy Robinson : « Le viol de la Grande Bretagne »

    Voici la bande-annonce du documentaire qui va bientôt sortir. Regardez-la, elle dure 3 minutes, et, en seulement 3 minutes, elle dit parfaitement l’horreur vécue par des milliers de gamines et elle dit aussi le fabuleux travail de Tommy Robinson, qui, bien que harcelé, lourdement menacé, notamment de prison interdit d’oublier, interdit de mettre la poussière sous le tapis.

    Tommy Robinson prépare un documentaire-choc sur les gangs de violeurs en masse (en anglais: "grooming gangs"), issus pour la plupart de la communauté pakistanaise, de jeunes Anglaises, à une échelle industrielle, et sur les complicités parmi les autorités qui ont permis le plus grand scandale du pays de ce siècle : une véritable trahison.

    Tommy Robinson.jpg

    2017 12 01 PUB SITE 2.jpg

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/05/29/tommy-robinson-le-viol-de-la-grande-bretagne-6154774.html

     
  • Les lois attentatoires à la liberté d’internet, de la presse et d’expression peuvent ne pas viser seulement la «fachosphère»

    Les lois attentatoires à la liberté d’internet, de la presse et d’expression peuvent ne pas viser seulement la «fachosphère»

    De Jean Rouxel sur Les 4 Vérités :

    Voici un an que le feuilleton de l’affaire Benalla n’en finit pas de «rebondir».

    L’étrange collaborateur du chef de l’État qui, manifestement, ne peut ou ne veut pas lui refuser grand-chose, bien que viré de l’Élysée depuis des mois, continue à hanter l’actualité.

    Tout récemment, le feuilleton a connu une nouvelle phase avec la convocation de la journaliste du «Monde» Ariane Chemin par la DGSI par la cellule en charge des atteintes au secret de la défense nationale. Sont en cause les informations du «quotidien de référence» sur Chokri Wakrim, compagnon de l’ex-chef de la sécurité de Matignon, Marie-Elodie Poitout, et sous-officier de l’armée de l’air. Ce Wakrim se trouvait lié par un contrat à un oligarque russe sur lequel pèse une enquête pour corruption.

    Nous assistons donc à la situation (qui serait cocasse, si elle n’était préoccupante sur le n’importe quoi qui règne au sommet de l’État), où Emmanuel Macron, grand pourfendeur d’influence russe devant l’Éternel, se trouvait confier des responsabilités de sécurité à des personnes liées à un homme d’affaires russe!

    Mais revenons à Ariane Chemin et à sa convocation. Pour que la DGSI prenne le risque d’ameuter toute la presse, il faut qu’elle soit sous pression élyséenne. En tout cas, alors qu’Emmanuel Macron doit son élection à un massif soutien des oligarques et des médias dominants, non seulement il semble progressivement «lâché» depuis quelques mois (et on peut dater ce lâchage du déclenchement de l’affaire Benalla), mais encore il prend le risque d’affronter ses anciens soutiens. Car il force ainsi les médias dominants à se solidariser avec Mme Chemin et avec «Le Monde».

    Peut-être mes excellents confrères vont-ils enfin s’apercevoir que les lois attentatoires à la liberté d’internet, à la liberté de la presse et à la liberté d’expression, qui s’accumulent à grande vitesse, peuvent ne pas viser seulement la «fachosphère» honnie. Il était ironique que la première censure liée aux lois Macron contre la liberté d’internet vise une campagne du gouvernement; il est intéressant que l’on mette les grands moyens de l’État contre «Le Monde» – et non contre un vulgaire site de russosphère! Serviteurs zélés de l’oligarchie, les médias dominants découvrent ainsi la versatilité des puissants. En tout cas, pour une fois, je m’offrirai le luxe d’assurer ces confrères de toute ma sympathie, car, bien que «Le Monde» soit hostile à notre liberté, nous sommes, nous, favorables à la sienne – au moins contre le pouvoir!

    https://www.lesalonbeige.fr/les-lois-attentatoires-a-la-liberte-dinternet-de-la-presse-et-dexpression-peuvent-ne-pas-viser-seulement-la-fachosphere/

  • Juste après les élections, General Electric annonce 1000 suppressions d’emplois

    Juste après les élections, General Electric annonce 1000 suppressions d’emplois

    48 heures à peine après les élections européennes, l’américain General Electric (GE) a annoncé la suppression de plus d’un millier d’emplois sur son site de Belfort.

    Hugh Bailey, actuel Directeur Général de General Electric France, était conseiller pour les affaires industrielles d’Emmanuel Macron au ministère de l’Économie lors de la vente d’Alstom à GE. Cette affaire est encore une conséquence du capitalisme de connivence qui règne dans notre pays.

    En mai 2014, Arnaud Montebourg rejeta l’offre de reprise de la branche Energie d’Alstom par GE, et lui proposa de céder en échange ses activités Ferroviaire. Le 28 mai, GE s’engagea auprès du gouvernement à créer 1 000 emplois en France d’ici fin 2018, et le 19 juin, présenta une offre améliorée. L’État français disposerait d’un droit de veto dans la coentreprise portant l’activité Energie. Le 20 mai, l’État prit position pour l’offre de GE et annonça son intention d’entrer au capital d’Alstom à hauteur de 20%. Le 26 août 2014 François Hollande désavouait Montebourg, Emmanuel Macron lui succédait, et les garanties et les avancées obtenues par Montebourg furent oubliées… Macron ira jusqu’à défendre GE durant l’enquête de la direction de la concurrence de la Commission européenne, et GE put acquérir le pôle Energie d’Alstom avec les mains entièrement libres! GE annonçait en octobre 2017 la suppression de 350 postes sur un total de 800 à l’usine GE-Hydro Alstom de Grenoble. En juin 2018, GE annonçait qu’il ne tiendrait pas son engagement de créer 1 000 emplois en France.

    Le Président de la République, directement responsable de ce gâchis, doit être directement interpellé et sommé de protéger les salariés et l’indépendance stratégique nationale.

    https://www.lesalonbeige.fr/juste-apres-les-elections-general-electric-annonce-1000-suppressions-demplois/