
Neuf personnes interpellées sur la cinquantaine d’assaillants, annonce Laurent Nuñez (…)
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Neuf personnes interpellées sur la cinquantaine d’assaillants, annonce Laurent Nuñez (…)
Confrontée à des vagues de migrants arrivant d’Italie, la préfecture des Hautes-Alpes improvise alors que les associations se déchirent entre bénévoles et radicaux.
[…]Les Terrasses solidaires font figure de structure modèle dans le registre de la prise en charge des migrants. Cette bâtisse avec une vue sur la vallée est la propriété d’une association soutenue par le fonds Riace, du nom de ce village de Calabre qui a accueilli des migrants. Le fonds a été créé par Olivier Legrain, un entrepreneur devenu millionnaire par le biais d’une opération de rachat avec effet de levier sur Materis, une filiale de Lafarge.

Retenez-moi ou je fais un malheur !
Synthèse nationale
Prisonnier de sa posture jusqu’au-boutiste, plus matamore que matador, un chiffon rouge dans une main, en guise de muleta, et un cure-dents dans l’autre, en lieu d’épée : Emmanuel Macron est apparu hier au soir, une fois de plus, dans sa criante, sa cruelle vérité. Celle d’un moulin à paroles creuses et à formules alambiquées qui prend ses désirs pour des réalités, brasse de l’air et, en fin de compte, ne produit que du vent.

Chaque jour ou presque, un nouvel exemple d’atteinte à la laïcité dans le cadre scolaire fait la Une des journaux. Une enseignante menacée par des élèves pour avoir montré un tableau de nu, ce qui « était contraire à leurs convictions religieuses », par ci, un élève qui crie « Allah Akbar » par là, un autre qui diffuse des vidéos de l’Etat Islamique…

Vous êtes plutôt Mercredi des cendres ou Nuit du doute ? Abstinence ou Iftar ? Alors que les chrétiens viennent de passer la mi-carême, les musulmans entament ce lundi 11 mars leur ramadan. Le jour même de l’hommage national aux victimes du terrorisme, mais aucun rapport, tout au plus un simple hasard calendaire : le 9e mois de l’année lunaire commence.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Ma génération a été élevée par des parents et des grands-parents qui avaient connu la guerre. La vraie.
L’occupation, les restrictions, la faim, le froid, la misère, la peur, l’angoisse, la mort.
Je n’ai pas connu mon arrière-grand-père, ni ce sénateur, qui fit partie des quelques braves à avoir voté contre les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain mais pendant les longues soirées d’hiver, « on » m’a raconté ces vieilles histoires de familles, faites de courage, de trahisons, de lâchetés et de grandeur. Je vais rapidement vous partager cette petite histoire de famille qui se déroulait dans la Grande Histoire.
Ces mots que j’écris ici sont importants. Ils sont hélas pas encore assez compris raison pour laquelle vous devez tous les partager un maximum et au plus grande nombre.
Les pays, les nations, les empires ne se construisent jamais par la paix. L’histoire nous enseigne que tous les pays, les nations et les empires naissent de la violence et de la guerre. Tous. Cela ne souffre aucune exception.
La président de la commission européenne se comporte comme une impératrice qui a besoin de la guerre, d’une grande guerre pour faire émerger son Empire et forcer la main à tous vers le grand saut fédéral.

“Tout le monde devra participer au redressement des comptes publics”, a assuré Bruno Le Maire à l’Assemblée nationale.
Tout le monde sauf…
Cet homme sorti de nulle part a été porté au pouvoir par un coup d’état judiciaire dont les organisateurs devraient avoir à répondre devant la Nation.
Il a méthodiquement détruit les institutions, les grands services publics, vendu à l’encan à ses maîtres américains les ressources du pays et voilà que ce psychopathe obsédé par son nombril se prend maintenant pour un chef de guerre !
Après deux ans de guerre aux marches de l’Union européenne, on semble redécouvrir peu à peu que « le feu tue », comme l’enseignait en 1901 le colonel Pétain à ses stagiaires de l’École de guerre, qui ne devaient rêver que de guerre fraiche et joyeuse.
La Grande Guerre débuta en casoar et gants blancs et s’acheva dans les tranchées en véritable boucherie. Le 22 janvier 1931, alors que le vainqueur de Verdun était reçu à l’Académie française, Paul Valéry, dans son discours d’accueil eut ces mots : « Vous avez découvert ceci : Que le feu tue… Je ne dirai pas qu’on l’ignorât jusqu’à vous. On inclinait seulement à désirer de l’ignorer ».