anti-national - Page 51
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L’autoroute, l’usager, l’activiste et la députée ( par Jean-Paul Pelras )
25 avril 2023 E-site66agri11 Ils étaient donc entre 4 500, si l’on s’en réfère aux chiffres fournis par la préfecture, et 8 200, si l’on tient compte de ceux fournis par les manifestants, samedi dernier dans le Tarn, pour dénoncer un projet qu’ils estiment en totale contradiction avec l’urgence climatique. Il faudrait d’ailleurs se demander à quoi ressemble ce qui n’est plus en contradiction avec l’urgence climatique, si ce n’est peut-être ce qui arrange les activistes du moment, systématiquement prêts à tout bloquer sauf, peut-être, ce qui leur permet d’exister… -
La préoccupation du bien-être animal : une hypocrisie européenne de plus
Il faut entendre, ici, les animaux destinés à la reproduction, l’engraissement et l’abattage. Des efforts doivent être faits notamment lorsqu’il s’agit du transport de ces bêtes. Il est évidemment mis en avant le fait que les acteurs économiques en la matière tentent de réduire les coûts et de maximiser les recettes au détriment du bien-être des animaux.
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Le naufrage progressiste, meilleur allié des « néo-réacs », par Ivan Rioufol
Les « progressistes » sont leurs meilleurs détracteurs. Dix ans après l’adoption du mariage homosexuel, ils s’enivrent des mea-culpa d’opposants d’hier qui avouent s’être trompés de combat. Cette repentance d’esprits faibles, qui acquiescent en conséquence à la PMA sans père en attendant la perspective d’une GPA pour les hommes, est vue comme une victoire contre les « néo-réacs » et autres « populistes ». En réalité, l’inverse s’observe. Il y a plus de dix ans, votre serviteur avait écrit : « De l’urgence d’être réactionnaire » (PUF), en reprenant du réactionnaire la définition qu’en donnait naguère Larousse : « Celui qui prête son concours à une réaction politique ». C’est ce mouvement réactif qui partout s’accélère, à mesure que l’opinion mesure les désastres causés par des décennies de pensées fausses et de reculades face aux tyrannies des minorités sexuelles ou racialistes.
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Près de 7 Français sur 10 estiment que la réélection d’Emmanuel Macron a été une mauvaise chose pour le pays, selon un sondage
Selon une enquête "L'Opinion en direct" menée par l'institut Elabe pour BFMTV et publiée lundi 24 avril, 69% des Français estiment que la réélection d'Emmanuel Macron a été une mauvaise chose pour la France. Cette opinion a augmenté de +14 points depuis la dernière enquête menée quelques semaines après sa réélection le 24 avril 2022. Seuls 30% des Français considèrent que ce deuxième mandat est une "bonne chose".
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Incorrigible Macron, risible Macronie
L'intervention télévisée du chef de l'État, ce 17 avril, ne dépare pas la série. Collection désormais interminable, la liste s'allonge de ces prestations essentiellement creuses. Or, Emmanuel Macron prétend encore faire perdre leur temps aux drogués du petit écran. Continuellement depuis 2017, l'audimat baisse. Tendance fâcheuse pour les régies publicitaires elle reflète la lassitude des citoyens. Par centaines de milliers, ils s'étaient engouffrés dans le prétendu "grand débat", ouvert en janvier 2019, supposé répondre à la crise des gilets jaunes de l'année 2018. On n'y reprendra plus les Français.
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Macron bientôt assigné à résidence ? - JT du mercredi 19 avril 2023
Au programme, retour sur l’impopularité d’Emmanuel Macron.
Après 6 ans au pouvoir, le chef de l’Etat ne peut plus envisager un seul déplacement sans recueillir le rejet des Français. Une situation de plus en plus délicate à gérer pour tout l’exécutif.
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Trahison : la classe qui a vendu son âme aux 0.1%
Publié par Antonin Campana sur 16 Avril 2023
Les manifestations contre la loi sur les retraites confirment ce que nous avions déjà observé lors des mobilisations des Gilets jaunes, ou contre le passe-sanitaire : les populations allochtones ne se sentent pas concernées !Les fractions islamisées pourraient tirer profit de ces troubles, mais il n’en est rien pour le moment. Elles ne paraissent pas pressées, préférant sans doute attendre que le processus de pourrissement de notre société arrive à son terme, pour la cueillir dès son effondrement. La guerre intérieure redoutée n’est probablement pas pour aujourd’hui, à moins bien sûr que certains Etats étrangers (l’Algérie pour le France, le Maroc pour la Belgique, la Turquie pour l’Allemagne…) ne décident, dans un environnement géopolitique qui leur serait favorable, d’activer leurs cinquièmes colonnes. -
Le pire casseur est à l’Élysée
Double satisfaction le 14 avril au soir pour Emmanuel Macron : lancement réussi, à partir de Kourou, de la fusée française Ariane porteuse de la sonde européenne Juice partie pour explorer les lunes de Jupiter, et validation par le Conseil constitutionnel du projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale reportant l’âge de la retraire, adopté grâce au 49-3 et dont seuls deux « cavaliers budgétaires », en particulier l’«index seniors » imposé par le Sénat afin d’améliorer l’accès des anciens à l’emploi, ont été censurés par les (supposés) Sages du Palais-Royal qui, en revanche, ont rejeté la première mouture référendum d’initiative partagée (RIP) proposée par la Nupes et renvoyé au 3 mai leur décision sur un second projet.
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L’Islamo-gauchisme menace et montre son visage haineux : La terreur toujours et encore.
Michel Festivi
On le savait, on y était habitué, mais à chaque fois cela fait froid dans le dos. Déjà par le passé, Reynald Secher, le valeureux historien de l’Histoire génocidaire de la Vendée, grand prix de l’Académie française, avait subi les foudres, non pas de l’islamo-gauchisme à l’époque, mais du gauchisme violent, qui depuis des lustres empêche toute liberté d’expression de la pensée et gangrène l’Université française d’ailleurs en pleine déliquescence.
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Le FMI, association de malfaiteurs
Au moment où Lula, depuis Pékin, attaque à juste titre le FMI, et où la Tunisie refuse de céder au chantage de cette officine occidentale, citons cet extrait d’une étude de l’Université de Boston :
« Malgré d’importantes recherches au FMI montrant que l’assainissement budgétaire n’est peut-être pas une voie optimale vers la reprise économique, les auteurs n’ont trouvé aucun changement significatif dans le niveau d’assainissement budgétaire requis par le FMI depuis la crise financière mondiale de 2008 ».