
Les dégâts ne sont pas encore chiffrés avec précision, mais les « révoltes » de la « juste colère » qui ont suivi la mort de Nahel vont, à coup sûr, coûter des centaines de millions (et probablement dépasser le milliard) d'euros. Il va falloir rebâtir les collèges dans lesquels on n'apprend rien, les médiathèques dans lesquelles on ne lit plus, les terrains de basket qui servent à vendre du shit et les maisons de quartier qui crament tous les cinq ans. La question est « seulement » de savoir qui va payer.