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Bonne nouvelle : la dénisphère a perdu. Ou presque. Les mensonges des désinformateurs se retournent contre eux. Les Français, longtemps trompés par le récit officiel et la diabolisation des contradicteurs, constatent les désastres qui les accablent. Les gens ne se laissent plus abuser, pour la plupart, par les dénégationnistes qui récusent les réalités dérangeantes. Le 15 mai, j’avais noté, par hasard, ce rappel à l’ordre anodin de Jean-Jacques Bourdin à son interlocuteur, sur Sud-Radio : « Je ne peux pas vous laisser dire (…) ! ». Or ce leitmotiv, repris par beaucoup de modérateurs de débats, est symbolique d’un abus d’autorité qui ne passe plus. Le scandale suscité, lundi, par le commentaire de Patrick Cohen sur France 5, à propos du drame de Crépol (Drôme) illustre l’irritation croissante d’une opinion qui sait débusquer désormais les mécanismes du bidouillage des faits.
Les photos de ce militant nationaliste retrouvé déshabillé et inconscient n’ont pas été diffusées sur BFM ou sur TF1 pour illustrer ces fameuses violences de l’ultra-droite et pour cause :
“Un document interne de la police revient sur l’épisode du lynchage de ce militant d’ultradroite. Agé de 20 ans, il a été retrouvé un peu plus tard ensanglanté sur la voie publique, « grièvement blessé après avoir été enlevé et lynché par des individus du quartier ». Selon les éléments de l’enquête, le jeune homme, originaire de Mayenne (…) Arrivé sur place, la présence des forces de police l’aurait dissuadé de participer aux affrontements et il se serait installé dans le minibus, stationné à l’écart, lorsqu’un inconnu l’a extrait du véhicule, avant que plusieurs autres personnes ne se ruent sur lui pour le rouer de coups.
Un ressortissant congolais sera jugé le 20 décembre 2023 par le tribunal de Versailles. L’homme est accusé d’avoir agressé une adolescente de 17 ans, dans un bus, à Saint-Martin-de-la-Garenne (Yvelines).
« Il lui a dit : Bonjour ma chérie. T’es belle. Tu me donnes ton 06 ? Puis il a commencé à caresser sa cuisse. »
Des peines de six à douze mois de prison avec sursis ont été requises, ce mardi, contre trois militants accusés d’avoir organisé des manifestations interdites contre les « mégabassines » à Sainte-Soline (Deux-Sèvres). (…)