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anti-national - Page 521

  • Gilets jaunes : des pompiers rejoignent le mouvement

    Gilets jaunes : des pompiers rejoignent le mouvement
  • Serge Petitdemange, porte parole ?

  • Gilets Jaunes : Le système tremble

  • Droite et Gilets jaunes contre le Pacte pour les migrations, par Olivier Bault

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    Le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières que la France s’apprête à signer à Marrakech les 10 et 11 décembre serait-il en passe de se retrouver au centre de la révolte des Français contre la dictature des élites mondialistes et progressistes et leur représentant Emmanuel Macron ? Jusqu’à récemment, les médias mainstream français évitaient consciencieusement d’en parler, espérant sans doute comme le pouvoir exécutif que sa signature par la France passerait inaperçue. C’est une fois de plus la réinfosphère et les médias dissidents comme Présent qui obligent aujourd’hui les grands médias à parler de cet important sujet, et à signaler que la thématique de l’immigration et du Pacte mondial de l’ONU pour les migrations « s’invite dans la mobilisation des Gilets jaunes » (dixit France Info). Le sujet du pacte était débattu cette semaine sur la page du groupe Facebook Gilets jaunes (plus de 150 000 membres) tandis que la polémique enflait sur les réseaux sociaux, à l’approche des manifestations du 8 décembre qui se dérouleront deux jours avant l’ouverture du sommet de Marrakech.

    « Menée par Marine Le Pen et l’extrême droite, la fronde contre le pacte de Marrakech agite le mouvement des Gilets jaunes », expliquait BFM TV le 3 décembre. Si BFM TV, comme d’autres grands médias, abordait enfin la question du Pacte pour les migrations et de sa signature par la France, c’était parce que Marine Le Pen avait tenu une conférence de presse pour dénoncer « la trahison silencieuse de la nation » et exiger d’Emmanuel Macron qu’il renonce à le signer. « On ne peut pas accueillir des centaines de milliers de personnes supplémentaires, sans que ça ait une influence sur l’équilibre de nos budgets sociaux et de nos territoires », a fait remarquer la présidente du Rassemblement national après son entretien de lundi avec le Premier ministre Edouard Philippe.

    « En mars 2000, l’ONU préconisait déjà l’entrée de 159 millions d’immigrés en Europe d’ici 2025. Aujourd’hui, l’ONU veut nous imposer son Pacte mondial pour les migrations. Bien qu’on nous répète que ce texte n’ait aucun caractère contraignant, il vise à consacrer un prétendu droit à la migration. Présenté comme un nouveau droit de l’homme, il induirait de nouveaux devoirs pour les pays signataires. Et ce, au nom d’une charité dévoyée qui fait passer les autres avant les nôtres », dénonçait déjà Nicolas Bay, coprésident du groupe ENL, le 13 novembre au Parlement européen.

    Chez les Républicains, l’opposition à ce pacte commence aussi à se faire entendre, à l’image de ce qu’en disait le 29 novembre Eric Ciotti dans Le Figaro : « Ce texte néfaste instaurera un appel d’air mondial et une forme de droit international à la migration. Au nom de l’intérêt de l’Etat et de sa souveraineté, j’appelle Emmanuel Macron à refuser de signer ce pacte. » « Signer ce pacte sans même un débat au Parlement est une nouvelle preuve du mépris de ce gouvernement pour nos institutions », renchérissait, lui aussi cité le 29 novembre par Le Figaro, le député LR du Pas-de-Calais Pierre-Henri Dumont, chargé des questions d’immigration pour LR.

    Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, va encore plus loin puisqu’il exigeait fin novembre la tenue d’un référendum à ce sujet, en dénonçant dans un communiqué cosigné avec le sénateur Jean-Louis Masson : « Ce Pacte […] encourage l’immigration et dépossède les Etats de la maîtrise de leur politique migratoire. De plus, il promeut la propagande en faveur de l’accueil des migrants et les sanctions matérielles à l’égard des médias dénonçant les dérives de l’immigration de masse. »

    A l’étranger, outre l’Italie et la Suisse qui ne seront pas représentées à Marrakech puisque leur signature est suspendue à un débat au Parlement, la Bulgarie a rejoint mercredi la liste des pays qui se sont officiellement retirés de ce Pacte pour les migrations : Etats-Unis, Australie, Israël, Autriche, Hongrie, Tchéquie, Slovaquie et Pologne.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 7 décembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Véhicules blindés et unités équestres contre gilets jaunes

    A Paris, les Gilets jaunes ont investi d’autres quartiers que les Champs Élysées. Les forces de l’ordre déploient véhicules blindés et unités équestres contre les manifestants. Des moyens auxquels le gouvernement, et les précédents tout autant d’ailleurs, n’a pas recours quand ce sont les banlieues qui mettent Paris ou les périphéries à feu et s’en prennent aux CRS et policiers…

    https://www.medias-presse.info/vehicules-blindes-et-unites-equestres-contre-gilets-jaunes/102152/

  • Ces autistes qui nous gouvernent

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    Le billet de Patrick Parment

     Jacques Chirac qui était un vrai castra politique avait pour lui d’avoir un certain flair politique qui consistait à baisser son froc plus vite que son ombre dès que la rue grondait. Alain Juppé, autre eunuque politique, en sait quelque chose quand en décembre 1995, Chirac lui coupa l’herbe sous le pied de sa réforme pour calmer la rue en proie aux manifs depuis trois semaines. Cela n’induit pas pour autant que Chirac aimait le peuple chez qui il ne voyait, en fait, que des électeurs. Le cul des vaches était chez lui une notion marketing.

    Emmanuel Macron n’est pas du même bois : il est autiste. Voici quatre semaines que le peuple est dans la rue aux quatre coins de la France et voici quatre semaines qu’il se mure dans le silence. Ce qui veut bien dire qu’il ne comprend rien à cette colère des Français. Car c’est bien de colère qu’il s’agit. Les gilets jaunes ne sont pas un parti politique et refuse de nommer des représentants, car cela reviendrait à entrer dans un jeu politicard. Ce qu’ils refusent avec raison a bien été analysé par des intellectuels comme Vincent Coussedière, Alain Finkielkraut, Christophe Guilluy, Michel Onfray et quelques autres et parmi les journalistes, des femmes, pas vraiment féministes d’ailleurs, comme Elisabeth Lévy,  Natacha Polony, Eugénie Bastié, Charlotte d’Ornellas. Quant à nos politiques les seuls qui arrivent encore à surnager sont à côté de la plaque. Marine Le Pen invite le président à s’exprimer – mais manifestement il n’a rien à dire - et Mélenchon, en bon politicard, demande la dissolution de l’Assemblée. La ficelle est un peu grosse, camarade Méchancon ! Mais Macron n’est pas Chirac version 1997. Laurent Wauquiez, quant à lui, navigue dans le flou de la "Carte du tendre".

    Plus Macron se taira, plus dur sera la sortie de crise. S’il avait deux sous de bon sens, il proposerait des états généraux départementaux qui réuniraient les élus (maires, conseillers municipaux et généraux, députés) et les gilets jaunes avec leur cahier de revendications. Ce qui pourrait déboucher sur un cahier de doléances qui remettrait en selle ces corps intermédiaires que sont les élus face au pouvoir. Car, contrairement à ce que l’on peut entendre, ici et là, les gilets jaunes ne veulent pas l’abolition de la République comme on a pu l’entendre sur les ondes par certains journalistes mainstream. Ils veulent des gouvernants responsables susceptibles d’organiser dans ce pays une plus juste répartition des richesses. Richesses dont ils sont l’un des moteurs plus opérants et plus réels que la Bourse. Ce que veulent les gilets jaunes, c’est plus de liberté dans le travail pour entreprendre et qu’on en finisse avec toutes ces normes absurdes qui asphyxient le travail et les taxes qui grèvent les budgets familiaux. Sans parler de l’arrêt des surréalistes diktats bruxellois ! Ce qui devrait déboucher non sur l’abolition mais bien la refonte de notre système social à l’aune des nouvelles donnes que sont l’immigration massive et l’impérative transition écologique.

    Mais bigre, les Gilets jaunes, c'est NOUS !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • [vidéo] L’islam radical dans le monde du travail

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    Philippe Lobjois, auteur de “La guerre secrète – L’islamisme radical dans le monde du travail” (Editions Fayard), était l’invité d’André Bercoff

  • Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence

    Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence

    Lu dans L’Incorrect :

    […] Ils ne sont pas opportuns, non. Ils arrivent au mauvais moment. La planète n’en peut plus, le Pacte de Marrakech est à portée de signature, il fait froid, il fait moche, les caisses sont vides, et le Grand Remplacement bat son plein. On n’est jamais  opportun quand on n’en peut plus, quand trop c’est trop, quand on a faim et froid et qu’on s’inquiète pour sa subsistance. Pourquoi maintenant, leur disent ceux qui ont le ventre plein et des revenus assurés ? Ce n’est pas le bon moment ! Cette taxe, c’est vraiment rien du tout ! Bien sûr que ce n’est rien du tout, cette taxe, mais quand tu n’as plus rien dans ton porte-monnaie, tu n’as plus rien. (Ça vous est déjà arrivé, de reposer vos courses à la caisse, parce que vous vous rendez compte que vous ne pouvez pas ?)

    Tu ne peux plus avancer, tu ne peux plus acheter, tu ne peux plus chauffer la maison, tu ne peux plus bouger, et même les mots ont du mal à sortir de la bouche. Ils ne comprennent pas ça, ceux qui expliquent « la dette », « l’écologie », « le Grand Remplacement », « la politique », « la morale », « l’éthique », aux Gilets jaunes. Les Gilets jaunes, ils n’ont pas conscience de « lancer une révolution sociale », et je crois même qu’ils s’en branlent absolument, de savoir si leur colère est sociale, politique, opportune, morale, républicaine, révolutionnaire ou réactionnaire. Simplement on avait pris l’habitude de les traire sans qu’ils renâclent, ou seulement pour la forme, et là, tout soudain, ils trouvent un peu douloureux qu’on leur soutire le lait que leurs mamelles ne contiennent plus depuis longtemps.

    Moi aussi je suis désolé de voir qu’ils ne se sont pas révoltés avant, les Français, et pour plus grave encore, qu’ils ne se sont pas révoltés contre leur disparition programmée, contre la submersion migratoire, contre le changement de peuple et contre l’islam assassin, qu’ils n’ont rien dit quand on les a égorgés un à un, quand on les a obligés à changer de trottoir, quand on a humilié leur langue, leur histoire et leurs traditions. Mais c’est comme ça. Ils n’ont pas vu, ils n’ont pas compris, ils n’ont pas été aware, comme dirait le grand philosophe belge Jean Claude Van Damme. Ils sont obscènes et à contretemps, les Gilets jaunes. La couleur de leur mouvement, cet épouvantable jaune fluo, c’est tout le contraire d’un choix esthétique et éthique ; ils n’ont fait qu’attraper au vol une injonction et l’ont retournée en signal.

    Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence, ce territoire précaire où l’espérance de vie ne dépasse pas une demi-heure. Eux, ces Français-là, ils y sont constamment, sur la bande d’arrêt d’urgence. Ces Français-là – le peuple invisible, le peuple profond –, ils se tiennent sur une toute petite portion du territoire médiatique, et ils sont pétrifiés, car ils sont frôlés en permanence par des bolides des fenêtres desquelles s’échappent une musique et des paroles auxquelles ils ne comprennent rien. Ils ont beau porter leur gilet jaune, ceux qui roulent à 200 à l’heure sur l’autoroute de la France nouvelle ne les voient pas.

    Il y a longtemps qu’on leur a expliqué que le peuple, ce n’est pas eux, ce n’est plus eux. Les quartiers populaires, ils n’y habitent pas, et les subventions que l’État aime à distribuer avec emphase, ce n’est pas pour eux. Eux, ils habitent simplement la Creuse, la Picardie, la Lozère, la Somme, ils habitent dans le désert, ils n’habitent pas les Territoires perdus (de la République), ils habitent les territoires invisibles, ceux qui n’intéressent ni le parti dévot ni les investisseurs internationaux ni l’industrie du spectacle. Tout cela remonte à très loin et c’est ce qui leur donne cet élan qui surprend tout le monde.

    Je trouve indécent qu’on parle d’écologie aux Gilets jaunes. Ils fument des clopes et roulent en diésel ? Mais je m’en fous ! Mais alors qu’est-ce que je m’en fous ! Qu’on leur fiche la paix avec la planète, qu’on s’occupe des gros, des vrais pollueurs, de ceux, par exemple, qui prennent l’avion comme les Gilets jaunes prennent leur voiture, et peut-être, ensuite, pourra-t-on leur opposer le sentiment écologique. Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas le problème, aujourd’hui. Quand j’entends des slogans du genre « ensemble pour la planète », par exemple, j’ai l’impression d’entendre les Enfoirés, ces milliardaires déculturés et moralisateurs, qui demandent aux smicards de donner de l’argent aux RMistes et aux chômeurs. Salopards, misérables fripouilles ! Quant aux dépenses, il s’agit bien de ça !

    Tant que des prédateurs milliardaires se goinfreront impunément sur le dos des entreprises publiques et tant que continuera cette folle politique du changement de peuple, on pourra faire tout ce qu’on veut pour économiser trois sous, la balance sera indéfiniment déficitaire, et tout coûtera trop cher. Ces gens qui nous parlent de « la dette » en se rengorgeant de leur pauvre science comptable me sont odieux. Quelle dette ? Imagine-t-on ce que coûte vraiment cette folie, le Grand Remplacement ? Et pour quel résultat ? Même un Giscard d’Estaing en est aujourd’hui conscient, qui fut à l’origine de cette monstruosité, et la regrette. À un bout, ce sont des milliards qui sont soustraits tranquillement aux nations, sans qu’elles mouftent, et à l’autre, on reproche à de pauvres gens de coûter trop cher. Il y a de quoi devenir fou.

    Les Gilets jaunes veulent seulement continuer à exister. Eux seuls n’auraient pas ce droit ? Chacune des minorités de ce pays tyrannise la société pour un oui ou pour un non, et le peuple français dans son immense majorité n’aurait pas le droit de simplement subsister, alors qu’il ferme sa gueule depuis quarante ans, tétanisé par les fêlés qui théorisent un nouveau monde auquel il ne comprend rien ? C’est bien le sens profond de ce mouvement qui est un mouvement de fond : est-ce que nous, peuple français, avons encore le droit de persister dans notre être en ce pays qui naguère était le nôtre ? Je constate une chose : moins on demande et moins on obtient.

    Ceux qui gueulent très fort et emmerdent le monde à longueur d’année – féministes, LGBT, minorités diverses, casseurs – obtiennent à peu près tout ce qu’ils veulent. Les Gilets jaunes ont fini par entendre la leçon, et sortent de l’ombre. Mais comme ils sont beaucoup plus nombreux que ces fameuses minorités, évidement, ça fait beaucoup plus de bruit, et ça effraie, car le mouvement une fois mis en branle, il semble difficile à arrêter. Pour ma part, je m’en réjouis. C’est – enfin – le retour à un ordre des choses normal, en démocratie. La majorité veut se faire entendre comme ce qu’elle est, la majorité – pour combien de temps, ça c’est une autre question…

    La transcendance et les bonnes manières sont remises à une date ultérieure, car la vie est courte. Les Gilets jaunes, c’est ça qu’ils voient : leur vie est courte, et elle n’a pas encore commencé. Ils s’impatientent, et je comprends cette impatience. Et puis, merde, ils sont détestés de BHL et de Kassovitz, et ça, ça compte double.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-gilet-jaune-cest-celui-quon-porte-sur-la-bande-darret-durgence/

  • Les “gilets jaunes” ébranlent l’État faible, par Ivan Rioufol

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    Emmanuel Macron a assuré, l’autre jour, qu’il représentait “les vrais populistes […] Nous sommes avec le peuple”. À dire vrai, sa proximité avec la France profonde ne saute pas aux yeux. Le président a réussi à rendre fous de rage les “gilets jaunes” issus des provinces oubliées. Il aura fallu des scènes d’insurrection, samedi dernier à Paris, pour qu’il annule enfin, mercredi soir, les taxes de 2019 sur le carburant.

    Mais le peuple reste invisible à ses yeux. Dimanche, sur C8, le député LaREM, Aurélien Taché, demandait : “C’est qui le peuple français ?”, en se faisant l’avocat de la souveraineté européenne voulue par Macron. Ce dernier est attendu lundi à Marrakech (Maroc) pour y signer le “pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières”. Le texte a été refusé par les États-Unis, Israël et de nombreux pays européens. Il assimile l’immigration à un droit de l’homme et à une richesse. Même le Parlement ne sera pas sollicité pour avaliser cet engagement à dissoudre le vieux peuple français dans un multiculturalisme sacralisé.

    La conversion populiste de Macron tient du cynisme d’un salonard. Le progressisme, dont se réclame “en même temps” le chef de l’État, n’est guère plus ouvert aux révoltés de la France d’en bas. N’est-ce pas la gauche internationaliste qui a délaissé les “petits Blancs” trop franchouillards, au profit des minorités déracinées ? Ces jours-ci, les âmes généreuses redécouvrent leur fibre sociale pour s’approprier un mouvement qu’elles ont beaucoup insulté. La gauche fantomatique aimerait tant réduire les “gilets jaunes” à une lutte des classes ressuscitée !

    Ceux qui dénigraient des “poujadistes” recasent leur “convergence des luttes”. Les anticapitalistes imposent des revendications sur l’abolition des privilèges, la haine du riche, le rétablissement de l’ISF, etc. Des collectifs “antiracistes” (Comité Adama, Comité Rosa-Parks) ont infiltré, samedi à Paris, la cause des cités dans celle des ruraux. Des lycéens cornaqués par le savoir-faire trotskiste entrent dans la danse, Jean-Luc Mélenchon jubile. François Hollande encourage…

    Reste que la “révolution Facebook” a réussi, seule et en dépit de sa désorganisation, à ébranler l’État, la classe politique, les syndicats, les médias.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 6 décembre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Contre le Pacte de Marrakech

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    Source Valeurs actuelles cliquez ici

    Décision. Le chef de l’État devait prochainement ratifier un pacte mondial sur les migrations piloté par l’ONU, par ailleurs très décrié. En pleine crise des “gilets jaunes”, il va finalement déléguer la tâche.

    Tandis que les « gilets jaunes » s’apprêtent à participer à l’acte IV de leur mobilisation, à Paris, samedi 8 décembre, Emmanuel Macron n’ira finalement pas, comme prévu, à Marrakech (Maroc) les 10 et 11 décembre prochains, où il était censé ratifier un pacte onusien sur les migrations. Pas de quoi calmer les ardeurs de certains manifestants, qui voient en ce texte la porte ouverte à tous les migrants, d’autant plus que c’est le secrétaire d’État aux Affaires étrangères qui le signera pour lui, rapporte Libération ce vendredi.

    Une ratification en catimini ?

    Le désistement du président Macron aurait suscité une « grande déception » du côté du Maroc, qui voit dans cette conférence un « moment historique », selon une source diplomatique locale. Ce changement de dernière minute peut être vu comme une stratégie de la part du chef de l’État, qui sait l’impopularité du pacte en question dans les rangs des « gilets jaunes ». Pourtant, l’idée est bel et bien de ratifier ledit texte, qui a déchaîné les passions depuis son adoption en juillet dernier à New York. Aujourd’hui, seuls deux tiers des quelque 190 pays qui l’avaient validé ont confirmé leur présence à l’événement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/