Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 524

  • [vidéo] L’islam radical dans le monde du travail

    Philippe-Lobjois-600x395.jpg

    Philippe Lobjois, auteur de “La guerre secrète – L’islamisme radical dans le monde du travail” (Editions Fayard), était l’invité d’André Bercoff

  • Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence

    Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence

    Lu dans L’Incorrect :

    […] Ils ne sont pas opportuns, non. Ils arrivent au mauvais moment. La planète n’en peut plus, le Pacte de Marrakech est à portée de signature, il fait froid, il fait moche, les caisses sont vides, et le Grand Remplacement bat son plein. On n’est jamais  opportun quand on n’en peut plus, quand trop c’est trop, quand on a faim et froid et qu’on s’inquiète pour sa subsistance. Pourquoi maintenant, leur disent ceux qui ont le ventre plein et des revenus assurés ? Ce n’est pas le bon moment ! Cette taxe, c’est vraiment rien du tout ! Bien sûr que ce n’est rien du tout, cette taxe, mais quand tu n’as plus rien dans ton porte-monnaie, tu n’as plus rien. (Ça vous est déjà arrivé, de reposer vos courses à la caisse, parce que vous vous rendez compte que vous ne pouvez pas ?)

    Tu ne peux plus avancer, tu ne peux plus acheter, tu ne peux plus chauffer la maison, tu ne peux plus bouger, et même les mots ont du mal à sortir de la bouche. Ils ne comprennent pas ça, ceux qui expliquent « la dette », « l’écologie », « le Grand Remplacement », « la politique », « la morale », « l’éthique », aux Gilets jaunes. Les Gilets jaunes, ils n’ont pas conscience de « lancer une révolution sociale », et je crois même qu’ils s’en branlent absolument, de savoir si leur colère est sociale, politique, opportune, morale, républicaine, révolutionnaire ou réactionnaire. Simplement on avait pris l’habitude de les traire sans qu’ils renâclent, ou seulement pour la forme, et là, tout soudain, ils trouvent un peu douloureux qu’on leur soutire le lait que leurs mamelles ne contiennent plus depuis longtemps.

    Moi aussi je suis désolé de voir qu’ils ne se sont pas révoltés avant, les Français, et pour plus grave encore, qu’ils ne se sont pas révoltés contre leur disparition programmée, contre la submersion migratoire, contre le changement de peuple et contre l’islam assassin, qu’ils n’ont rien dit quand on les a égorgés un à un, quand on les a obligés à changer de trottoir, quand on a humilié leur langue, leur histoire et leurs traditions. Mais c’est comme ça. Ils n’ont pas vu, ils n’ont pas compris, ils n’ont pas été aware, comme dirait le grand philosophe belge Jean Claude Van Damme. Ils sont obscènes et à contretemps, les Gilets jaunes. La couleur de leur mouvement, cet épouvantable jaune fluo, c’est tout le contraire d’un choix esthétique et éthique ; ils n’ont fait qu’attraper au vol une injonction et l’ont retournée en signal.

    Le gilet jaune, c’est celui qu’on porte sur la bande d’arrêt d’urgence, ce territoire précaire où l’espérance de vie ne dépasse pas une demi-heure. Eux, ces Français-là, ils y sont constamment, sur la bande d’arrêt d’urgence. Ces Français-là – le peuple invisible, le peuple profond –, ils se tiennent sur une toute petite portion du territoire médiatique, et ils sont pétrifiés, car ils sont frôlés en permanence par des bolides des fenêtres desquelles s’échappent une musique et des paroles auxquelles ils ne comprennent rien. Ils ont beau porter leur gilet jaune, ceux qui roulent à 200 à l’heure sur l’autoroute de la France nouvelle ne les voient pas.

    Il y a longtemps qu’on leur a expliqué que le peuple, ce n’est pas eux, ce n’est plus eux. Les quartiers populaires, ils n’y habitent pas, et les subventions que l’État aime à distribuer avec emphase, ce n’est pas pour eux. Eux, ils habitent simplement la Creuse, la Picardie, la Lozère, la Somme, ils habitent dans le désert, ils n’habitent pas les Territoires perdus (de la République), ils habitent les territoires invisibles, ceux qui n’intéressent ni le parti dévot ni les investisseurs internationaux ni l’industrie du spectacle. Tout cela remonte à très loin et c’est ce qui leur donne cet élan qui surprend tout le monde.

    Je trouve indécent qu’on parle d’écologie aux Gilets jaunes. Ils fument des clopes et roulent en diésel ? Mais je m’en fous ! Mais alors qu’est-ce que je m’en fous ! Qu’on leur fiche la paix avec la planète, qu’on s’occupe des gros, des vrais pollueurs, de ceux, par exemple, qui prennent l’avion comme les Gilets jaunes prennent leur voiture, et peut-être, ensuite, pourra-t-on leur opposer le sentiment écologique. Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas le problème, aujourd’hui. Quand j’entends des slogans du genre « ensemble pour la planète », par exemple, j’ai l’impression d’entendre les Enfoirés, ces milliardaires déculturés et moralisateurs, qui demandent aux smicards de donner de l’argent aux RMistes et aux chômeurs. Salopards, misérables fripouilles ! Quant aux dépenses, il s’agit bien de ça !

    Tant que des prédateurs milliardaires se goinfreront impunément sur le dos des entreprises publiques et tant que continuera cette folle politique du changement de peuple, on pourra faire tout ce qu’on veut pour économiser trois sous, la balance sera indéfiniment déficitaire, et tout coûtera trop cher. Ces gens qui nous parlent de « la dette » en se rengorgeant de leur pauvre science comptable me sont odieux. Quelle dette ? Imagine-t-on ce que coûte vraiment cette folie, le Grand Remplacement ? Et pour quel résultat ? Même un Giscard d’Estaing en est aujourd’hui conscient, qui fut à l’origine de cette monstruosité, et la regrette. À un bout, ce sont des milliards qui sont soustraits tranquillement aux nations, sans qu’elles mouftent, et à l’autre, on reproche à de pauvres gens de coûter trop cher. Il y a de quoi devenir fou.

    Les Gilets jaunes veulent seulement continuer à exister. Eux seuls n’auraient pas ce droit ? Chacune des minorités de ce pays tyrannise la société pour un oui ou pour un non, et le peuple français dans son immense majorité n’aurait pas le droit de simplement subsister, alors qu’il ferme sa gueule depuis quarante ans, tétanisé par les fêlés qui théorisent un nouveau monde auquel il ne comprend rien ? C’est bien le sens profond de ce mouvement qui est un mouvement de fond : est-ce que nous, peuple français, avons encore le droit de persister dans notre être en ce pays qui naguère était le nôtre ? Je constate une chose : moins on demande et moins on obtient.

    Ceux qui gueulent très fort et emmerdent le monde à longueur d’année – féministes, LGBT, minorités diverses, casseurs – obtiennent à peu près tout ce qu’ils veulent. Les Gilets jaunes ont fini par entendre la leçon, et sortent de l’ombre. Mais comme ils sont beaucoup plus nombreux que ces fameuses minorités, évidement, ça fait beaucoup plus de bruit, et ça effraie, car le mouvement une fois mis en branle, il semble difficile à arrêter. Pour ma part, je m’en réjouis. C’est – enfin – le retour à un ordre des choses normal, en démocratie. La majorité veut se faire entendre comme ce qu’elle est, la majorité – pour combien de temps, ça c’est une autre question…

    La transcendance et les bonnes manières sont remises à une date ultérieure, car la vie est courte. Les Gilets jaunes, c’est ça qu’ils voient : leur vie est courte, et elle n’a pas encore commencé. Ils s’impatientent, et je comprends cette impatience. Et puis, merde, ils sont détestés de BHL et de Kassovitz, et ça, ça compte double.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-gilet-jaune-cest-celui-quon-porte-sur-la-bande-darret-durgence/

  • Les “gilets jaunes” ébranlent l’État faible, par Ivan Rioufol

    gilets-jaunes-16564735.jpg

    Emmanuel Macron a assuré, l’autre jour, qu’il représentait “les vrais populistes […] Nous sommes avec le peuple”. À dire vrai, sa proximité avec la France profonde ne saute pas aux yeux. Le président a réussi à rendre fous de rage les “gilets jaunes” issus des provinces oubliées. Il aura fallu des scènes d’insurrection, samedi dernier à Paris, pour qu’il annule enfin, mercredi soir, les taxes de 2019 sur le carburant.

    Mais le peuple reste invisible à ses yeux. Dimanche, sur C8, le député LaREM, Aurélien Taché, demandait : “C’est qui le peuple français ?”, en se faisant l’avocat de la souveraineté européenne voulue par Macron. Ce dernier est attendu lundi à Marrakech (Maroc) pour y signer le “pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières”. Le texte a été refusé par les États-Unis, Israël et de nombreux pays européens. Il assimile l’immigration à un droit de l’homme et à une richesse. Même le Parlement ne sera pas sollicité pour avaliser cet engagement à dissoudre le vieux peuple français dans un multiculturalisme sacralisé.

    La conversion populiste de Macron tient du cynisme d’un salonard. Le progressisme, dont se réclame “en même temps” le chef de l’État, n’est guère plus ouvert aux révoltés de la France d’en bas. N’est-ce pas la gauche internationaliste qui a délaissé les “petits Blancs” trop franchouillards, au profit des minorités déracinées ? Ces jours-ci, les âmes généreuses redécouvrent leur fibre sociale pour s’approprier un mouvement qu’elles ont beaucoup insulté. La gauche fantomatique aimerait tant réduire les “gilets jaunes” à une lutte des classes ressuscitée !

    Ceux qui dénigraient des “poujadistes” recasent leur “convergence des luttes”. Les anticapitalistes imposent des revendications sur l’abolition des privilèges, la haine du riche, le rétablissement de l’ISF, etc. Des collectifs “antiracistes” (Comité Adama, Comité Rosa-Parks) ont infiltré, samedi à Paris, la cause des cités dans celle des ruraux. Des lycéens cornaqués par le savoir-faire trotskiste entrent dans la danse, Jean-Luc Mélenchon jubile. François Hollande encourage…

    Reste que la “révolution Facebook” a réussi, seule et en dépit de sa désorganisation, à ébranler l’État, la classe politique, les syndicats, les médias.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 6 décembre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Contre le Pacte de Marrakech

    47684488_968093226716082_1232565857725448192_n.jpg

    Source Valeurs actuelles cliquez ici

    Décision. Le chef de l’État devait prochainement ratifier un pacte mondial sur les migrations piloté par l’ONU, par ailleurs très décrié. En pleine crise des “gilets jaunes”, il va finalement déléguer la tâche.

    Tandis que les « gilets jaunes » s’apprêtent à participer à l’acte IV de leur mobilisation, à Paris, samedi 8 décembre, Emmanuel Macron n’ira finalement pas, comme prévu, à Marrakech (Maroc) les 10 et 11 décembre prochains, où il était censé ratifier un pacte onusien sur les migrations. Pas de quoi calmer les ardeurs de certains manifestants, qui voient en ce texte la porte ouverte à tous les migrants, d’autant plus que c’est le secrétaire d’État aux Affaires étrangères qui le signera pour lui, rapporte Libération ce vendredi.

    Une ratification en catimini ?

    Le désistement du président Macron aurait suscité une « grande déception » du côté du Maroc, qui voit dans cette conférence un « moment historique », selon une source diplomatique locale. Ce changement de dernière minute peut être vu comme une stratégie de la part du chef de l’État, qui sait l’impopularité du pacte en question dans les rangs des « gilets jaunes ». Pourtant, l’idée est bel et bien de ratifier ledit texte, qui a déchaîné les passions depuis son adoption en juillet dernier à New York. Aujourd’hui, seuls deux tiers des quelque 190 pays qui l’avaient validé ont confirmé leur présence à l’événement.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Des Suédois protestent contre les migrations de masse aux cris de « Réveillons le Viking qui est en nous »

    supporter-suede-drapeau-600x364.jpg

     EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Dimanche dernier un millier de manifestants participait à un rassemblement devant le Parlement suédois à Stockholm. Les orateurs, après avoir déploré la perte par la Suède de son statut d’état modèle, mirent en garde contre les dangers du traité de l’ONU sur les migrations.

    Tous soulignèrent que son adoption limitera la liberté d’expression en introduisant le droit d’interdire toute critique de l’immigration. Adjurant le peuple suédois de défendre corps et âme sa liberté de parole ils proclamèrent, : « Il est temps de réveiller le Viking qui est en nous, de défier le « politiquement correct » avec courage et une parole plus claire ». L’un des orateurs souligna que le traité regorgeait de nouveaux droits accordés aux immigrants sans leur imposer aucun devoir.

    Curieusement cette réunion se déroula sans contre-manifestation gauchiste, comme si même les antifas prenaient conscience que la Suède connaissait des problèmes majeurs. On chanta l’hymne national suédois à la fin et, bien entendu, aucun média du système ne rendit compte de l’événement !

    https://fr.novopress.info/212909/des-suedois-protestent-contre-les-migrations-de-masse-aux-cris-de-reveillons-le-viking-qui-est-en-nous/

  • Qu'est ce que le Pacte de MARRAKECH pour les migrants ?

  • La place de Civitas dans les manifestations de Gilets Jaunes – Entretien avec Alain Escada

    Samedi 8 décembre sera l’acte IV des Gilets Jaunes. A chaque précédente mobilisation, des drapeaux frappés du sacré-cœur étaient présents et remarqués. Le mouvement Civitas assume sa participation à ces évènements politiques qui retiennent désormais l’attention du monde entier. De Tokyo à Washington, de Londres à Istamboul, de Tanger à Moscou, les médias parlent des Gilets Jaunes et décrivent une situation insurrectionnelle.

    A quelques heures d’une journée sous haute tension, nous avons voulu interroger Alain Escada, président de Civitas.

    MPI : Ce vendredi matin, France Télévision rapporte vos propos sur l’opposition entre le Pays Réel et le Pays Légal que vous retrouvez avec bonheur dans ce qui se passe avec les Gilets Jaunes. Vous dites qu’ils sont “admirables” et “émouvants”. Expliquez-nous cela.

    Alain Escada :  Je parlais bien sûr des vrais Gilets Jaunes, pas des anarcho-communistes et des racailles de cités qui tentent de profiter des circonstances pour semer le chaos, incendier des voitures de particuliers et piller des boutiques comme des hordes barbares les plus méprisables. Les vrais Gilets Jaunes sont admirables et émouvants parce qu’ils font preuve d’audace, de persévérance, de courage, de solidarité, et que cela leur en coûte. Ils offrent leur temps, leur énergie, leur santé, prennent des coups de matraque, se font arroser par des autopompes et gazés par des grenades lacrymogènes comme s’ils étaient des criminels. Alors qu’ils sont de simples Français venus dire, crier, hurler leur colère d’être méprisés et rackettés par des gouvernants qui, eux, vivent dans le luxe et l’opulence sans consentir le moindre sacrifice. Le gouvernement fait réprimer férocement les Gilets Jaunes avec des moyens et une détermination qui sont absents lorsqu’il faut gérer les émeutes ethniques et les zones de non-droit abandonnées à la délinquance.

    MPI : Est-ce une question de lutte des classes ?

    Alain Escada : Non, c’est une question d’injustice sociale entretenue par un système pervers. Le chef d’Etat et le gouvernement ont le devoir d’assurer le bien commun de leur population. Mais nos gouvernants sont des banksters et des parvenus soucieux de leurs seuls intérêts personnels et à la solde d’un projet mondialiste et d’une haute finance cosmopolite. Ils pratiquent la préférence étrangère au détriment de leur propre peuple. Ils offrent à des immigrés entrés illégalement en France des aides auxquels n’ont pas droit des retraités qui ont trimé toute leur vie et doivent se contenter d’une fin de vie misérable. Ils pressent fiscalement les petits commerçants, les artisans, les petites entreprises, mais ils permettent aux multinationales d’éluder l’impôt. Ils augmentent les taxes des Français mais offrent des budgets colossaux à des projets menés à l’autre bout du monde, subventionnent par millions des médias que les Français ne lisent, n’écoutent ou ne regardent que de moins en moins, ainsi que des associations telles que le CRIF, la LICRA, SOS Racisme, les lobbies LGBT et autres organisations qui ne servent en rien le bien commun. Un gouvernement courageux, authentiquement au service du Pays Réel, n’aurait aucun mal à faire des centaines de milliards d’économie et à pouvoir ainsi assurer un meilleur niveau de vie à sa population.

    MPI : Cela justifie-t-il les violences des dernières semaines ?

    Alain Escada : Les violences, qui en a la responsabilité ? Sur ce point, je partage le point de vue d’Emmanuel Todd qui a parlé de “stratégie de provocation gouvernementale”. Le 24 novembre, puis le 1er décembre, les forces de l’ordre ont très tôt fait usage des autopompes et des grenades lacrymogènes sans que ce soit justifié. C’est très probablement sur ordre. Et c’est de nature non pas à apaiser une foule mais à la mettre dans un état de rage.

    MPI : Des drapeaux frappés du sacré-cœur ont-ils bien leur place dans des manifestations aussi agitées ? D’autant plus que des drapeaux communistes et anarchistes sont également présents ?

    Alain Escada : Votre question est bien légitime. Et je suis intimement convaincu que ces drapeaux ornés du sacré-cœur font un grand bien parmi les Gilets Jaunes. Le sacré-cœur de Jésus est entouré des mots “Espoir et Salut de la France”. En ces temps de grande confusion, c’est un message essentiel : l’espoir et la salut de la France résident dans une France catholique. Le règne du Christ-Roi est une notion probablement obscure pour la plupart de nos contemporains. Il s’agit de conduire l’Etat, de gérer le pays, d’appliquer des lois de façon conforme à l’ordre social chrétien désireux d’assurer le bien commun de tous les Français et non d’une simple part d’entre eux.

    Vous le savez, la majorité des Gilets Jaunes sont politiquement “vierges”, sans doctrine. Si nous abandonnons le terrain, d’autres, moins bien intentionnés, n’hésiteront pas à occuper toute la place. Que les nationaux catholiques s’investissent sur le terrain et ils feront reculer les anarcho-communistes.

    J’observe que ces derniers jours, l’éveil des consciences se fait remarquer. Sur l’île de la Réunion, un cahier de doléances des Gilets Jaunes préconise parmi différentes mesure d’interdire la franc-maçonnerie. A Rennes, lors d’une réunion de Gilets Jaunes, il a été proposé l’abolition de la loi Pompidou-Rothschild. Et de plus en plus généralement, il y a opposition au Pacte mondial pour les migrations de l’ONU. Tout cela va dans le bon sens. A nous de continuer à participer à l’éveil des consciences, dans un esprit contre-révolutionnaire et non pas révolutionnaire.

    https://www.medias-presse.info/la-place-de-civitas-dans-les-manifestations-de-gilets-jaunes-entretien-avec-alain-escada/102097/

  • Macron trouve 500 millions d’euros pour… le Sahel

    Nul doute que cette information intéressera les Français et tout particulièrement les Gilets Jaunes. Le ministre Jean-Yves Le Drian vient de le confirmer lors d’une réunion de l’organisation G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) à Nouakchott :

    « la France (…) investira 500 millions au profit des priorités » du G5 Sahel

    . « La moitié de cette somme concerne des projets déjà en gestation et en cours (…) L’autre moitié sera octroyée de manière accélérée dans les deux ans qui viennent pour vous permettre d’être au rendez-vous de vos priorités »

    La France va ainsi ajouter 220 millions d’euros de financements nouveaux à 280 millions d’euros déjà engagés.

    L’Union européenne se fend également de son petit cadeau. « Je suis heureux d’annoncer que le soutien de l’Union européenne au Programme d’Investissements Prioritaires (PIP) s’élève à présent à 800 millions d’euros. Cela comprend l’annonce aujourd’hui de 122 millions d’euros d’argent frais », a déclaré depuis la capitale mauritanienne le commissaire européen pour la Coopération internationale et le Développement, Neven Mimica.

    https://www.medias-presse.info/macron-trouve-500-millions-deuros-pour-le-sahel/102069/

  • Cette curieuse absence d’autocritique couplée à un cynisme révoltant

    17d221335ab0ddfdc54c939430062.jpg

    Bernard Plouvier

    Cela fait environ dix-huit mois que le couple Macron emplit la scène médiatique avec son cabotinage. Dix-huit mois également de baratin modern-style et de mesures économiques ultraréactionnaires : celles qui accroissent les dépenses des salariés, par le biais d’une inflation encore modérée et d’une taxation de moins en moins discrète, et celles qui allègent les dépenses des entreprises, mais sans dynamiser l’emploi, puisque le chômage réel affleure les six millions.

    Au lieu de méditer son bilan désastreux, qui est une véritable provocation pour le menu peuple, notre Génial Président-Dictateur Général pique une colère, tandis que son « Premier Flic » laisse transformer une grogne très légitime en une jacquerie sauvage de voyous, sournoisement alimentée par les fonds secrets.  

    À qui fera-t-on croire que les attaques de policiers par de pseudo-manifestants ne sont pas de grossières provocations, ni que les dégâts monstrueux ne sont pas le fait de casseurs professionnels, engagés pour salir un mouvement de contestation populaire parfaitement compréhensible ? 

    Il ne s’agit pas, pour nos princes abusifs, de « gérer médiatiquement une crise » (comme ils disent dans leur jargon énarco-administratif) : leur baratin lamentable et hypocrite, la Nation n’en veut plus ! Il s’agit de reconnaître l’état détestable d’une année et demie de gestion ignoble du Bien Commun, de cesser de mépriser le vrai peuple de France et de mettre fin à un spectacle à peine digne d’une principauté d’opérette.

    Il s’agit de rompre définitivement avec une politique antinationale où l’immigration et l’insécurité, où le chômage créé par les délocalisations d’entreprises et des importations de produits bas de gamme fabriqués dans un Tiers-Monde esclavagiste, sont financés par une imposition directe et des taxes extraordinairement lourdes, alors même que l’État réduit de plus en plus ses dépenses les plus élémentaires : sécurité intérieure et extérieure, instruction publique, voies de communication, hôpitaux publics, services administratifs au quotidien.

    Les Français sont les plus belles vaches à lait fiscales d’Europe. Ce prélèvement d’argent ne doit plus être synonyme de détournement de fonds en faveur de l’immigration-invasion, du tribut payé à la finance cosmopolite ou de l’embauche d’une armée de fonctionnaires sous-productifs engagés par l’effet du piston. L’argent public doit servir la Nation française et elle seule.

    Ce doit être la leçon à tirer du mouvement actuel de protestation, un mouvement calomnié par des princes aux abois, qui soldent des voyous, dans l’unique but de continuer les fructueux grenouillages de l’économie globale.         

    Macron and Co doivent écouter la Nation souveraine, solliciter humblement son avis sur les grands problèmes de société, enfin mettre en œuvre une politique conforme aux souhaits de la Nation. S’ils ne le veulent pas ou n’en sont pas capables, qu’ils s’en aillent. On ne les regrettera pas. 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Acte 4 de la mobilisation des Gilets jaunes à Paris directe RT

    Des magasins verrouillés, des véhicules blindés et des milliers d’agents des forces de l’ordre déployés... Ce 8 décembre le quatrième acte de la mobilisation des Gilets jaunes a lieu sous haute sécurité à Paris.

    https://francais.rt.com/france/56397-acte-4-mobilisation-gilets-jaunes